[T]Je reviendrais, je te le promets.

encore mieux ^^

comme une blonde je suis viens de lire la dernière suite que tu as posté....
Donc bon voilà ben j'aime et je veux la suite !!

Ouiii =D xD

OUIIII !!!!!

oui ^^

Chapitre 29 : Mistig, c’est pour toi.


Je suis sur le canapé, zappant sur plusieurs chaines, découvrant des musiques, la plus part du temps, plus nul les unes des autres. Je vois Tom qui s’approche de moi, avec Val, qui c’est un peut installer ici depuis que Tom est revenu, il y a deux semaines de cela. Elle est supers sympas … j’ai un peut appris à la connaitre depuis qu’elle est arrivé … et de plus, ils vont bien ensemble. Depuis qu’ils se sont rencontrés, ils ne se lâchent plus.

Bien sur, je ne m’empêche pas de prendre Tom dans mes bras pour autant, et lui le fait de plus en plus. Il m’a d’ailleurs dit que « Si Bill ne voyait pas que j’étais faite pour lui, il lui ouvrirait les yeux » … mais bon, je ne pense pas lui demander ça, Bill c’est Bill, et je veux qu’il reste comme ça.

Je mets en lecture le DVD que nous avons choisi dans l’après-midi pour le regarder ( http://www.excessif.com/cinema/videos/teaser-freddy-les-griffes-de-la-nuit-5703368-760.html ) Val c’est installer à côté de Tom, la tête sur les genoux de se dernier. Et moi, je me suis installé dans le fauteuil à côté du canapé, partant déjà dans l’univers du film.


Quelqu’un frappe doucement à la porte … Val se propose pour aller ouvrir.


Une personne qui n’avait pas mie les pieds ici depuis … depuis le jour après le défiler serais la bonne réponse. Il avait frappé puis par la suite sonné … mais bien avant tout ça, il était resté devant le portail, se demandant s’il devait sonner, ou s’il devait repartir … il avait tournée en rond, autour de sa valise. Mais au bout d’une voir deux heure à faire ces même pas, il c’est arrêter et à pris son courage à deux mains pour rentré dans le terrain, et à frapper doucement, espérant que ça aller suffire, mais il a dû sonner.

Val arrive au niveau de la porte, et ouvre, découvrant que la nuit était tombé, et un homme, se tenir devant elle, la regardant.

Bill : Bonjour, je suis bien chez Mistig ?

Val se retourne et d’une vois forte, elle appelle Mistig.

Val : Mistig, c’est pour toi.

Elle se retourne vers Bill, et dit « Elle arrive ». Elle laisse la porte ouverte, et retourne dans le salon, laissant le temps à Mistig de sortir de cette même pièce.


J’arrive dans le hall, regardant un peut qui m’attendais au niveau de la porte, en voyant se visage, mes pas se sont figés, je ne savais pas si je pouvais dire quelque chose … ces yeux, son visage, il est là devant moi … j’aurais pue courir vers lui et lui sauté dans les bras, mais je suis comme fixé sur place.

Aucun de nous deux ne dit une parole … trop difficile à dire en se moment … J’aimerais savoir où il était pendant deux mois et quelque semaine … se qu’il avait fait pour occuper ces journées … S’il a pensé à nous pendant tout se temps …

Je reste sur place, bougeant les lèvres, essayant de dire des mots qui ne veulent pas sortir de mes lèvres.

Il s’approche de moi, laissant mes yeux le détaillé … ces cheveux long, libérer de son bonnet et de sa casquette il y a quelque seconde, son visage fin et laiteux, son maquillage toujours parfait, ces lèvres gloser avec délicatesse.

Il est maintenant à quelque pas de moi, je dirige ma main vers son visage, touche sa peau toujours aussi douce, décale quelque mèches trouvant refuge derrière son oreille.

Mistig : Tu es … Tu es … Revenu ?

C’est seulement cette phrase qui à pue sortir de mes cordes vocales … je ne savais pas si je devais demander autre chose … si j’en aurais eu le courage.

Il entour doucement ces bras autours de moi, laissant mon visage aller dans son coup, redécouvrant son odeur, l’odeur de son parfum. Il murmure un simple « oui » dans mon oreille, laissant apparaitre un sourire sur mes lèvres. Ces bras mon beaucoup manquer … ils sont devenu, que quelque seconde, un pécher mignon, mais ça je le savais déjà des notre première rencontre … son odeur, son parfum … tout m’avais tellement manqué … son corps frêle et fragile dans mes bras. Des larmes … de la joie ??? … coulent le long de mes joues, espérant ne pas rêver.

… : Mistig, tu te …

Je lève le visage, sortant pas pour autant des bras de Bill et découvre Tom, lui aussi figé sur place par la découverte de Bill devant lui. Il bouge doucement les lèvres et laisse sortir des petites syllabes.

Tom : Pe … tit … frè … re.

Bill n’attend pas deux seconde pour se getter dans les bras de Tom, fessant des bisous sur chaque joue de ce dernier, ne pouvant plus prononcer une seule syllabe, un seul mot, mais son sourire apparait doucement sur son visage, ces bras prennent possession de la taille de Bill pour l’avoir contre lui, pour lui dire d’une autre façon, que par les mots, qu’il lui a manquer.

c'est mimi trop mimi

la suite please

c'est mignon ^^
J'aime je veux la suite stp

Haan J'aime *.*
La Suite ! =D

la suite please ^^

Trop bien
Sa mérite une suite =)

la suite please

Chapitre 30 : Je ne sais pas … désoler.


Des larmes coulent le long des joues de Tom, laissant la joie se propager sur son visage. Ils ne se lâchent pas … voulant rattraper tout les deux les semaines sans câlin amical … voulant retrouver son frère … les minutes s’écoulent doucement, laissant le temps au temps, le temps de se retrouver.

Val est revenu dans le hall, se demandant, après deux trois minutes pourquoi ils étaient si long. Elle avait alors découvert Tom dans les bras de cette homme aux cheveux long … au début elle se demandait qui c’était … maintenant, après deux trois questions à Mistig, elle a sue que c’était « Bill Kaulitz » le petit frère de Tom.

Mistig n’a pas pue s’empêcher de rester planter, là où Bill l’avait pris dans ces bras … la où Tom avait vue Bill au début. Les larmes ont aussi coulé le long de ces joues, elles les avaient laissé couler, laisser tracer leurs chemins.

Bill chuchote des mots, quelque fois incompréhensible … quelque fois trop sourd … quelque fois avec une pointe de tristesse … d’autre remplit de tendresse … et d’autre encore plein d’amour pour son frère. Il n’arrive pas à se séparer de son frère, redécouvrant un sentiment qui lui avait manqué … un sentiment d’amour … d’amour fraternel.

Tom murmure doucement à l’oreille de Bill.

Tom : Est-ce que tu … Mistig ?

Tom avait murmuré cette phrase, laissant le loisir qu’à Bill de l’entendre … Mais Bill ne trouve pas la réponse à cette question, il ne savait pas quoi répondre, il ne savait pas se qu’il ressentait pour elle.

Tom : Tu m’as manqué.


Nous sommes tous installer sur le canapé … je vois qu’ils regardaient un film à mon arriver. Je suis sur le canapé à côté de Tom, qui lui-même est à côté de Val … si je me rappelle bien, si j’ai bien compris, ils sortent ensemble.

Mistig : Tu … Tu étais où pendant tout se temps ?

Je regarde Mistig, me demandant si je devais leurs dire la vérité, leurs dire que j’étais à Paris pendant deux mois et deux semaines … que j’ai appris à parler français pendant tout se temps … que j’ai travailler des une librairie Franco-allemande … après tout, ils veulent savoir, alors je vais leurs dire la vérité … sa ne sert plus à rien de mentir, plus maintenant.

Bill : J’étais à Paris, le premier mois, j’ai commencé à travailler dans une librairie, j’ai fait un compte en banque … je me suis fait mettre des rajouts par une coiffeuse, j’ai également acheté des lentilles de couleur vert, des lunettes pour changer un peut mon visage … les deuxième mois, j’ai continué à travailler dans la librairie. Aurélien, mon patron, ma accepter malgré mon statue. J’ai appris à parler le français … J’ai vue maman une fois aussi, mais elle ne m’a pas reconnu, mais en même temps je me suis vite cacher dans l’arrière boutique, préfèrent qu’elle ne me voit pas … tu ne l’as pas mie au courant ?

En posant ma question j’ai regardé Tom, lui posant la question à lui seul.

Tom : Personne n’est au courant, les médias croient que nous fessons une pause … tout comme les fans … pour maman, je lui ai dit qu’on allait partir en vacance pendant quelque temps, sans vraiment leurs donner de date précise.
Bill : Merci.

Sans m’en rendre compte, Mistig se rentre dans mes bras, pleurant … Joie ? Tristesse ? J’entours mes bras autours de sa taille, voulant l’avoir contre moi, découvrant qu’elle m’avait manqué plus que je le penser.

Bill : Ne pleure pas.

J’avais murmuré les mots dans son oreille, me demandant tout de même si elle les a entendues.

Mistig : Pourquoi … pourquoi tu as … de nouveaux écrit … « Je t’aime » … à la fin de ta lettre ?

A vrai dire, je ne sais pas … avant de partir, je me disais que c’était pour notre amitié … maintenant je ne sais plus … tout es devenu flou, me laissant dans le vague.

Bill : Je ne sais pas … désoler.

Je la garde dans mes bras.

aller encore la suite

La suite stp !!

Wai la suite stp, stp stp, stp

La Suite Stp =D

la suite please ^^

la suite stp

Okay =)

pourquoi elle ne serait pas potable ?