Ils n'ont pas vraiment de rapport avec Tokio Hotel, mais il me semble qu'il n'y a pas de topics pour les laisser. Excusez moi si ce n'est pas le bon endroit.
~
Laisse moi te regarder me nourrir de tes désirs inassouvis, je m'approche te dévorant du regard mes mains en tremblent et brulent au futur contact de ta peau sous emprise, elles t'effleurent de haut en bas, du bout de mes doigts, reste avec moi ne fonds pas...
Je continue attiré par ton bas ventre remontant jusqu'à ton torse l'effleurant doucement pour ne pas te sentir troublé ou effarouché, t'as le choix.
Je te serre contre moi, empoignant tes fesses délicatement pour te sentir de long avec moi, remontant le long de ton dos sortant les griffes histoires d'y mettre un peu de passion et de douleur.
Il n'y'a plus de choix a faire, tu ne peut plus, tu est déjà sur le sofa, je suis déjà entre tes cuisses, j'ai déjà eu mes lèvres dans ton cou empêchant toute résistance de ta part, j'ai déjà gouté a tes lèvres.
Tu ferme les yeux, priant pour qui veut, jusqu'à ton réveil en sueur dans un monde que tu connait bien, dans la réalité.
~
Ne m'en veux pas si je t'aime toujours comme avant. Ne m'en veux pas si j'pense encore à toi souvent. Ne m'en veux pas quand j'ai le cœur dans le brouillard. Si certains soirs je ne pense qu'a toi. Ne m'en veux pas c'est dur de tout recommencer. Ne m'en veux pas tu verras j'y arriverai. Ne m'en veux pas il faut du temps pour oublier. Pour t'oublier. Il faut du temps pour effacer. Tout effacer... Tout cet amour que j'ai bâti jour après jour. Tout cet amour je sais qu'il est mort entre nous. Mais cet amour il colle à ma peau chaque jour. Ne m'en veux pas. Tout cet amour que j'ai vécu jour après jour. Tout cet amour je sais qu'il est mort entre nous. Mais cet amour pour moi il durera toujours. Ne m'en veux pas. Si je suis toujours amoureuse. Si tu me trouves trop curieuse. Si j'en envie de te revoir. Ne m'en veux pas. Ce n'est rien qu'un peu de cafards. Si je ne peux pas te détester. Je voulais dire que je t'attendrai. Si je ne peux pas t'oublier. T'oublier.
~
Il est tard dans la douce nuit d’été, il doit être 3h du matin et on peut entendre les sanglots d’une personne, une fille pour être précis. Le vent qui balaie son visage et essaie désespérément de sécher ses larmes qui coulent de plus en plus ne lui procure aucune réaction. Elle est assise près de la mer, elle sent les embruns se déposer sur son corps légèrement vêtue. Son regard noisette emplis de larmes se perd au loin, on peut deviner qu’elle n’a pas dormie au vu de ses cernes… Elle est adolescente on le voit a sa silhouette féminine mais pas encore finie. Elle tient une lettre dans sa main, n’osant plus la lire de peur de pleurer plus qu’elle ne le fait déjà si c’est possible. Un autre adolescent affolé prononce son prénom dans la pénombre non loin d’où elle se trouve mais elle ne se retourne pas pour répondre a l’appel suppliant du jeune homme, il finira par la trouver. Et en effet il l’a trouva, assise les jambes ballantes dans le vide peu profond. Il l’a rejoint sans difficulté, mais n’osant pas la toucher de peur qu’elle soit effrayer. « Je… pourquoi es-tu sortie cette nuit ? » . Elle se retourna, et il découvre les traits de son visage si beau mouillé par ces larmes, la lune lui rendant son teint pâle d’hiver. La voix de cette fille est aussi cristalline alors que sa gorge est nouée. « Tu le sais très bien. C’était son endroit préféré… Je voulais venir. » Le jeune homme l’a pris dans ses bras, comprenant ses paroles et il laissa l’adolescente souffrir la perte qu’elle a subi en pleurant. Il voyait qu’elle était au bord de la fin, il l’a regarda un moment, et captura ses lèvres salés, c’était dû aux embruns et aux larmes. Elle se laissa faire sachant qu’au fond d’elle-même, elle l’aimait toujours, ferma les yeux et il passa la main dans ses cheveux secs. La lune éclairait sa lettre qu’elle tenait dans sa paume. On pouvait lire quelques mots ‘’
Tu le sais très bien […] Tu es et restera mon amie la plus importante, la meilleure […] Le jour où je mourrai tu auras cette lettre […] La maladie m'aura emporté, connasse de tumeur [...] Sache que même de la-haut je te surveillerai, je t’adore […] mais je dois te l'avouer, combien de fois j'ai pensé a t'embrasser [...] Si seulement tu le savais, je t'aime Chloé, je t'aime.’’ Elle se laissa porter par le jeune homme où elle accrocha ses bras a sa nuque et continua de pleurer dans une nuit d’été. Elle dormira là où il l’emmènera, elle avait plus la force de le contredire, plus rien ne comptait depuis qu’il est parti… Elle n’y arrivera pas sans lui. Cette fille c’est moi. Cette histoire est mon cauchemar.[/center]
~
Un long mois. Voir plus que l’on se courait après tous les deux. Ces grands sourires torrides que l’on se donnait à tour de rôle. Ta main près de la mienne. Mon regard ravageur te dévisageant. Soufflant la fumée de ma cigarette sur ton visage bronzé. Et nos amis –les mêmes, savaient que l’un voulait l’autre. Non pas pour une seule nuit, mais ils ne comprenaient pas ce jeu de séduction que l’on avait. Surement qu’on ne pensait pas que sa pourrait durer, lorsqu’on se voyait on ne pensait plus. Les actes étaient au premier plan. Ce soir là, on avaient un peu trop bu. Je dansais dans le salon. Et tu dansais collé derrière moi. Et ils nous regardaient, ébahis. Sauf que notre jeu y était toujours. N’en as-tu pas marre de jouer ? Plus loin, dans le couloir tu es arrivé devant moi. Je pouvais sentir ton souffle sur mon visage mais aucun de nous deux bougeaient. Statique. Tes yeux bleus me fixant. Tu m’as devancé. M’a plaqué contre le mur et j’ai senti des lèvres contre les miennes. Je ferme les yeux. Bordel que c’était bon, mieux que l’alcool ou n’importe quelle drogue. Fin du jeu. Un frisson qui nous parcourent, un baiser plus torride. Retour à la réalité. C’est a ce moment la qu’on a compris que l’un ne pouvait plus vivre sans l’autre.
Accueil 
Dernières images 
