[T]La fée Clochette

J'suiis désolée pour cette mini-pause.
En faiit j'le suiis pas maiis bon XD.
Si j'ai pris du temps c'est pour améliorer ma fic' donc bon
Vouala. J'espere que vous m'avez pas abandonnée. Kuusss.

¤¤¤¤

Premier septembre. Quelqu'un dévale les escaliers avec fracas. Tom a enfin dix ans, c'est un évènement pour lui. Il court dans le salon: pesonne. Il s'arrete donc de courir et marche d'un pas lent dans la cuisine. Son père maladif est encore assis sur cette chaise ,devant le même journal. Son sourire s'efface aussitot en voyant la mine sombre de son père. Il a énormément vieilli en quelques jours. Des cernes énormes couvres son visage et il n'a plus que la peau sur les os. Ses magnifiques cheveux noirs sont devenus blanc de chagrin et des rides se sont empreinte sur ce visage autrefois chaleureux.

-Papa...on fait quoi aujourd'hui?

Il reçu pour seule réponse le "dong" de l'horloge de grand-mère qui lui avait brisé les timpans. Déçu, il remonte les escaliers avec lenteur et frappe à la porte de Bill. A sa grande surprise, celle-ci s'ouvre en gémissant. Bill lui sourit et lui tend un petit paquet grossièrement emballé. Ils entrent dans la chambre et s'assoient sur le lit. Tom déballe son cadeau avec enthousiasme et saute de joie en découvrant l'album souvenirs que son jumeau vient de lui offrir. A côté de chaque photo se trouve un commentaire, écrit avec soin, laissé par Bill. La plus belle est celle collée à la fin: leur famille au complet devant un immense lac. Leur mère sourit en portant ses eux enfants dans chacun de ses bras et leur père les regardant affectueseument. Omnibulée par le bonheur qui s'était figé depuis des mois déjà, ils oublien, l'espace de quelques secondes, le malheur qui les rongent chaque jour.

O___O

c'est....
magnifique !!!!

marchiiiiiiiiiiiiii

(L)

Oo C'est trop tristounet cette histoire T.T

Il me faut une suite là T.T

(ausecour je vais ma noyer dans mes larmes T.T)

tro beau la suite stp!

magnifique

C'est tellement...
Tellement magnifique.

Tu sais ce que j'en pense.
Alors suite.
Very Happy

Oh c'est magnifique tu sais.
Et dire que j'ai manquée ça.
honte a moi.
Suite ma Yume.
Je t'aime <3

Bonsoiiir.
La suite biientôt.
C'est à diire, quand le monde a la maison sera parti.
En attendant j'vous faiit de gros bisous.

=D
J'me réjouie de la lire <3

suite T.T

Bill finit par fermer l'album d'un coup sec sans accorder la moindre attention au sursaut de son jumeau. Il pousse son frère hors de la chambre avec un sourire innondé de désespoir et lui tourne le dos bien que cela lui fasse mal au plus profond de son être. Tom le regarde bouche bée et après un long moment de réflexion, il décide de laisser Bill si c'était son souhait. Il s'assoit dans les escaliers qui émettent un gémissement et prend sa tête entre se smains tremblantes. Il se demande pourquoi tout cela arrivait et pourquoi il ne pouvait pas vivre comme avant ou presque. Son père ne devait pas se laisser aller, non. Il devait s'occuper de ses enfants. Bill, ne devait pas s'enfermer pendant des heures! Ils devaient rester une famille unie et pourtant c'était l'inverse qui se produisait. Si Tom avait bien compris une chose, du haut des ses dix ans, c'était que l'être humain était vraiment étrange et plein de mystère.

La nuit tombe sur la maison endormie et la Lune observe le jeune Tom d'un regard de compassion. Il s'éveille et s'étire puis observe. Il s'est endormit dans les escaliers. Le petit garçon tourne instinctivement la tête vers le plancher et sourit faiblement. Il avait senti qu'on l'observait.

Oo !!!!!!!!!

SUITE !!!! <3 !!!

la suite stp
c'était petit

Oui j'avoue que c'étaait trOp petit làà.
XD.
J'arrive j'arrive.

un peu court x]]
mais j'aime

Ma Yume c'est beau, simple <3
Tournant désastreux que prenne leur vie =(

Il avait senti qu'on l'observait. En effet, Clochette était assise et le regardait plongées dans ses pensées. Il lui tendit la main et la petite Fée s’y installa tranquillement. Tom était furieux mais il n’osait lui dire. Il était furieux qu’elle l’est laissé attendre ainsi des jours durant. Ces derniers jours avait été atrocement ennuyants. Elle qui était son amie n’avait aucunement le droit de le laisser. Alors pourquoi l’avait-elle fait ? Ils auraient pu s’amuser, profiter du soleil qui était apparu et même encore fêter son anniversaire. Mais rien de tout cela n’avait été au programme. Rien.

-Je suis désolée Tom. J’étais obligée de partir. Je te voyais d’où j’étais.
-A ouai ? Et tu étais pendant qu’on vrevait tous dans cette maison ? hein t’étais où clochette ?
-J’étais chez moi, Tom. Je devais apprendre.
-Mais apprendre quoi ?
-Je ne peux pas te le dire.
-Menteuse !
-Non , TOM ! Je ne peux pas, pas , pas !

Furieux, il courut dans sa chambre en claquant si violemment la porte que le cadre qui y était accroché tomba avec fracas. Pleurant à chaudes larmes, il s’était allongé sur son lit, la tête étouffée par son oreiller. Clochette avait beau lui parler, il ne répondait plus. Elle resta alors ainsi plongée de sheures dans le noir à méditer. Son cœur lui faisait mal de voir ainsi son ami. Elle s’était tant lié d’amitié avec ce garçon que ses sentiments troublaient ses plans. Elle ne voulait pas échouer. C’était son rôle de Fée de les guider jusqu’à leurs destins. Mais aussi parce qu’elle aimait Tom. Aimer Tom ? Cela devenait un problème. Les fées et les humains ne devaient pas s’aimer. Ce n’était pas dans l’odre des choses. Laissant de côté ces pensées, elle décida de tenter une nouvelle approche.

-C’est quoi ton rêve Tom déjà ?
-De jou…jouer ! s’exclama-t-il entre deux sanglots.
-Et celui de Bill ?
-Chan…chan…ter.
-Oui, voilà.
-Mais pourquoi demandes-tu ça ?
-Tu voulais savoir pourquoi j’étais partie non ?
-Oui mais…
-Et bien je suis partie pour sauver beaucoup de gens. Bill, surtout.

Tom la regarda un instant sans rien dire. On voyait nettement qu’il n’avait pas tout saisi mais la fatigue l’emporta dans les bras de Morphée avant même qu’il n’ait pu poser la question qui lui brûlait les lèvres. Clochette s’endormit elle aussi avec un sourire satisfait aux lèvres. Elle avait parfaitement bien répondu à la question de son ami sans pour autant tout lui dévoiler ce qui aurait était une véritable catastrophe.

Le lendemain, le réveil sonna à 7h00. C’était leur premier jour d’école. Les deux jumeaux se levèrent sans s’adresser un mot puis prirent le déjeuner avec leur père qui était tout aussi muet qu’une carpe. La seule phrase qui fut prononcée ( « amusez-vous bien ») par leur père étonna les deux jeunes garçons qui étant surpris, n’avait guère répondu. Leur premier jour d’école se passa plutôt bien ormi les cartables que Bill avait pris dans la tête car il avait, disait-on, un visage de fille. Le garçon n’avait rien répliqué s’abandonnant à lire son livre préféré. Tom qui avait assisté à la scène s’était immédiatement jetée sur le costaud de la bande pour le ruer de coup. Cela lui avait attiré pas mal d’ennuis et il avait même eu la chance d’entrer dans le bureau de leur nouveau directeur qui sentait aussi bon que le local à poubelle de l’école. Les journée avaient ainsi défilées, se ressemblants toutes. Clochette avaient expliqués à Tom que pour le bien de Bill, il ne devait plus s’occuper de ses affaires. Bill devait se défendre tout seul. Le problème était que Bill n’en avait pas envie comme lui avait fait remarquer Tom. Nous étions au mois d’avril et Bill était autant persécuté par les autres qu’à la rentrée.

-Pourquoi je devrais laisser mon frere se faire tabasser ? Ce que tu peux être idiote parfois !
-Mais si tu ne le fais son inspiration sera limitée et il n’écrir…

Elle avait plaquée sa contre sa bouche. Tom la poussait tellement à bout qu’elle manquait souvent de révéler au garçon ce qu’elle ne devait absoluement pas dire. Comment expliquer à Tom que son frère avait besoin de ses propres expériences pour écrire ses chansons ? Comment lui expliquer que Bill devait crier et se révolter ? Bill ne devait pas faire comme tout le monde. Bill n’était pas comme tout le monde ! Bill était une personne qui refusait de se plier aux règles imposées par les autres ! C’était ce qu’elle avait vu et elle ferait tout pour que cela soit ainsi.

J'suis lov' ma Yume.
Le tournant que prend l'histoire est magnifique <3

Je t'aimmme. [T]La fée Clochette - Page 4 Pixel234

-Tom, fais moi confiance !

Trois ans avait passé. Tom parcourait les rues à la recherche de Bill. Il faisait froid et la pluie qui tombait était glaciale. Le tonerre grondait et les éclairs frappaient à l’aveuglette. Clochette avait du mal à volet par un temps pareil mais elle voulait rattrapper l’adolescent de 14 ans qui couraient à vive allure. Elle parvint à le rattrapper dans une impasse. La respiration haletante il criait le nom de son jumeau à s’en déchirer les poumons.

-BIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIILL !
-Tu vois bien qu’il n’est pas là rentrons maintenant, Tom !
-Il est dehors et je le trouverais tu entends ?
-Tu ne peux pas ! Fais moi confiance, je t’en prie !
-Mais je ne fais que ça Clochette ! Te faire confiance ! Depuis que tu es apparue dans ma vie, il m’arrive que des problemes ! Tu es la source de mes EMMERDES tu le comprends ça ?
-Je croyais que tu m’aimais, Tom ! Ne parles pas comme ça ! C’est pour vous que je fais tout ça ! C’est mon devoir et tu gaches tout, tout , tout !
- Ca fait quatre ans que tu essaies et tu ECHOUES alors avoue-le !
-Je…je… balabutia-t-elle.
-Voilà ! Tu le sais très bien au fond de toi ! Si tu avais reussis tu ne serais plus là depuis longtemps et mon frère ne serait pas je ne sais où en train de se droguer et de crever de l’intérieur !
-Tu MENS ! tu mens tu mens tu mens ! s’énerva la petite Fée.
-Vois la réalité en face, tu as échoué, et maintenant vas-t-en !
-Quoi ?!
- Pars ! C’est nous à seuls de nous débrouiller! SEULS!
-Seuls ? Mais Tom, voyons tu ne…
-Seuls c’est à dire sans toi ! DISPARAIT DE NOTRE VIE ! ajouta Tom en s’agenouillant sur le sol.
Disparaît, DISPARAIT , DISPARAIT !

Il frappait le sol de ses mains si fort qu’il s emit à saigner. Clochette versa une larme qui se mêla à l’averse torrentielle et avait qu’elle ne s’envole il lança dans un murmure de chagrin :

-Je ne te hais pas.

Sans répondre, Clochette s’éleva dans les airs le cœur en cendres. Les mots cruels de Tom résonnaient encore dans sa tête qui allait exploser tant elle était lourdes en souvenirs. Elle avait beau chercher, chercher, et chercher encore, elle en arrivait toujours à la même conclusion si dure et si difficile à admettre. Tom avait eu raison sur toute la ligne. Elle s’était trompée, elle avait bel et bien échoué. Bill ne chantait pas, Tom ne jouait pas. Gustav et Georg n’avait pas encore croisé leur route et ils ne le feraient probablement jamais. C’était pitoyable. Comme elle, princesse avait-elle pu échouer aussi lamentablement ? Elle s’était juré d’y parvenir, elle avait donné de tout son être mais rien n’y avait fait. Je ne te hais pas. Cela signifiait qu’il l’aimait encore ? Non. Il la détestait. Il la déstestait du plus profond de son être et elle l’avait ressenti. Elle l’avait même lu dans ses pensées. Alors pourquoi elle avait ressenti ce pinsement effroyable lorsqu’il avait prononcé cette phrase mystérieuse ? Sans doute parce qu’ils avaient trop vécu ensemble pour l’effacer entièrement de sa vie. Clochette savait qu’elle pensait vrai et la douleur qu’elle ressentait redoubla d’intensité. Elle ne souhaitait qu’une chose : c’était de se laisser mourir sous cette pluie diabolique et de se laisser emporter par le vent dans l’enfer de la honte. Elle ferma donc les yeux, et s’allongea sur le rebord d’une fenêtre. Son corps trésaillit sous le froid et sa tête bascula sur le côté.

la suite stp!!!

Oh, clochette =(
Bah abominable ce qui lui arrive OO.

Oo T.T SUITE c'est tellement beau T.T

Suiteee *___*

Ohhh
le beau cadeau =DDD

c'est génial !!! la suite s'il te plaiiiit

J'ai rattrapé mon retard, et j'en suis pas déàue. Tu écris... Vache j'aime quoi. vas y continue comme ça. Tu m'tues le coeur mais bordel ce que j'aime ça. Tes mots. Toi. Encore. Suite.

[ La parole est d'argent, le silence est d'or ]

¤¤¤

Elle restait là, se laissant mourir de chagrin et de honte sans lutter contre la tempête effroyable. Ses forces l’abandonnaient et ses ailes fragiles étaient prêtes à tomber tant elles étaient gelées. Sa peau habituellement étincelante était devenue translucide et ses cheveux blonds prenaient une teinte blanchâtre. C’était la fin. Elle mourait sans connaitre le bonheur d’avoir réussi sa mission. Elle ouvrit une dernière fois les yeux comme pour dire au revoir au Monde endormit. Oui, c’était bel et bien la fin. Le déluge n’était pas prêt de s’arrêter. La force de l’orage avait triplé et la pluie était s’était transformée en de gros grêlons aussi durs que du béton.

Clochette s’apprêta à fermer pour la dernière fois ses petits yeux verts émeraude quand soudain, dans le silence de la nuit, des voix d’hommes retentirent. Des silhouettes se dessinèrent sous ses yeux fatigués. Un groupe de cinq jeunes hommes se dirigeait vers l’impasse dont un qu’elle connaissait bien. Maigre, grand, les cheveux longs et noirs, la mine fatiguée, des cernes à faire froid dans le dos. Bill marchait en silence, accompagnant ses nouveaux « amis » qui ne devait pas être à leur première bouteille de whisky. Ils prononçaient des paroles incompréhensibles et enchainèrent une discussion incroyable. Ils parlaient du futur. Le futur ! Mais oui bien sûr ! Si clochette arrivait à ouvrir les yeux de Bill face au futur, il prendrait conscience que tout ne serait pas perdu ! Dans un effort titanesque, la petite Fée se releva, vacillant un peu et commença à battre des ailes quand, une pensée lui traversa l’esprit : Bill ne croyait pas aux Fées. Bill ne la verrait pas, et même si elle utilisait la magie pour qu’il la voit, ce qui était fortement interdit, il ne serait pas forcé de la croire. Il lui fallait un autre plan.

[Flash Back]

-Dis, clochette ? Y’a un truc qui m’intrigue.
- Vas-y je t’écoute.
-C’est idiot comme question.
-Ce qui serait idiot serait que tu ne connaisses jamais la réponse.
- Pourquoi, quand je t’ai connue. Enfin, tu sais Bill a dis que les Fées n’existaient pas. Alors pourquoi tu n’es pas…
-Morte ?
-Ouai.
-Tu as de drôles de questions.
-Pardon.
- Une Fée ne peut mourir que si son protégé le souhaite ou si elle enfreint les règles de la Communauté.
- C’est horrible ! Jamais je ne ferais une chose pareille tu m’entends ? Jamais Clochette ! Je t’aime trop pour ça !
- C’est ce qu’ils disent tous, tu sais.
- Jamais, tu m’entends ?

[Fin du Flash Back]

Une larme perla sur la joue du petit être. « Disparais ! ». La voix de Tom la fit frissonner. Ses paroles envahissaient toutes les pensées de Clochette. C’était le destin des Fées de mourir sur les ordres de leur protégé car en grandissant la quasi totalité des êtres humains n’y croyait plus. Mais jamais elle n’aurait que cela se produise aussi tôt pour elle. Elle n’y avait même jamais songé. Et pourtant c’était ce qui venait de se produire et il fallait qu’elle agisse avant que son corps ne dépérisse. Elle devait accomplir sa mission avant de disparaitre à tout jamais de la vie de ces deux adolescents. Clochette désirait que Tom voie à quel point elle avait voulu les aider, même si pour cela elle devait y perdre la vie. Quand un protégé ne voulait plus de sa Fée, celle-ci avait deux solutions : se laisser mourir pour exécuter sa volonté où se laisser emporter dans le « Recyclage ». C’était un endroit où se retrouvaient les Fées qui avaient échouées et qui était beaucoup trop rattacher à la vie pour disparaitre. Elles y étaient nombreuses. C’est surement là-bas que clochette aurait continué son existence si elle n’avait pas décidé d’opter pour une autre option. Et même si cela devait lui couter la vie, même si cela lui vaudrait le déshonneur le plus total dans l’histoire des princesses de la Communauté, elle le ferait. Elle était prête.

-Akléshlariia ! murmura-t-elle.

Bill se retourna précipitamment.Il avait entendu une voix s’élever du balcon. Il scruta l’horizon sans trouver qui avait parlé. Il fit alors demi-tour, laissant ses camarades à leurs occupations. Quelqu’un l’observait et il voulait savoir qui était cette personne. Mais il avait beau cherché, il ne voyait rien. La nuit était beaucoup trop noire et ses cheveux trempés qui lui tombaient sur le visage n’arrangeaient en rien sa visibilité. Puis soudain, à quelques mètres d élu, sur la barrière du balcon il vit la petite Fée qui avait repris un peu de sa couleur or. Il cru d’abord rêver puis après avoir secoué sa tête à plusieurs reprises et s’être pincé une vingtaine de fois, il dut admettre qu’il ne rêvait pas ou du moins que l’hallucination était tout de même forte.

-Bonsoir Bill ! lança la petite Fée.
- Qui qui..qui es-tu ? Comment connais-tu mon nom ? Hein je deviens fou c’est ça ? J’suis fou ?
- Moi c’est clochette. Mais Tom t’as déjà parlé de moi, tu t’souviens ? Tu n’es pas fou, Bill. Pas encore et cela tu peux le changer.
-Clochette ? La fée qui…oh mon dieu je suis dans une rue et je parle à une Fée… J’deviens cinglé, faut que je reprenne ma dose ça ne va pas, j’perds la boule… Hallucination. Les fées ça n’existe pas, pas, pas ! Bill ça n’existe pas !
- Bill écoutes moi. Ton frère me voit lui aussi et tu n’es pas fou. Je suis ici pour te sauver. Alors suis-moi.
-Me sauver ? Je n’ai pas besoin d’être sauver. J’peux plus être sauvé.
-Si tu le peux. C’est ce soir que tout se joue ! Bill tu peux changer ça ! il faut garder espoir ! Répète après moi : Tempus Ayra.
- Qu’est ce que tu racontes ! C’est quoi ça d’la magie hein ?! J’deviens fou, fou, fou.
-Bill ! Tu vas crever ! C’est ça que tu veux ?! Tu vas mourir complètement tué par ta drogue ! Tu vas devenir barjo et personne viendras sur ta tombe c’est ça que tu veux ? Alors putain de merde répète ce foutu mot après moi !
-Je…Okay.
-Touches ma main. Tempus Ayra.
-Tempus Ayra.

Il se produit alors quelque chose de fantastique.