[T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre.

Vas y, par pitié *_____*

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OH nooooooooonnnnn!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! affraid

Pourquoi tu quittes le fo? Sad

J'adore comment tu écris!
Tu es une de mes auteurs préférées!
POURQUOI????? [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. - Page 17 Sbsurpr2

J'adore trop tout ce que tu écris!!!
Mais si tel est ton choix...et bien je le respecte...=( [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. - Page 17 432

[T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. - Page 17 Pleurer

Spookyxcore a écrit:: Vas y, par pitié *_____*

Moi je préfère pas lire cette fin là.
Je vais me la finir dans la tête même si elle partira en sucette.
M'en veux pas hein.

Voici donc la fin.
Je la dédie à Coralie.
Merci à toutes celles qui ont suivi =)

XV The day of the end:

_ Tu sais, je trouve que tu leur as fait un coup de pute à ces filles… Elles sortaient ensembles, tu peux pas t’empêcher de foutre la merde dans les couples, hein ?

Je jette un regard noir à mon meilleur ami avant de me laisser tomber dans le canapé. Je pose mes pieds sur la table et baille à m’en décrocher la mâchoire.

_ T’es pas croyable, t’arrêtes pas de dormir mais t’es encore fatigué.

Il s’assoit à coté de moi et décapsule une bouteille de bière. Je tends la main, espérant en avoir un peu, mais il ne semble pas résolu.

_ Je te l’ai déjà dis, je dors pas, je suis dans le passé.

_ Oui, pendant que moi je joue des claquettes sur la plus grande scène de New-York. Je sais bien, Tom.

J’éclate de rire et lui arrache la bouteille des mains. Il ne bronche pas et allume la télévision. Comme par hasard, qui apparaît sur l’écran.. ? La personne qui nous manque le plus, plus qu’une présence féminine, plus qu’un verre de rhum extra fort, plus qu’un bon joint, plus qu’un bon moment. La seule personne qu’on pourra plus serrer dans nos bras pour de vrai.

_ Oh…

_ Nan ! Laisse…

Il tord la bouche et regarde le poste en face de nous. Elle dit des conneries, cette petite machine. Elle dit que mon frère est mort d’une overdose, j’aime pas ça. J’ai tout fais pour que ce ne soit pas le cas, alors pourquoi ils disent ça, les médias ? C’est dur à entendre, en réalité, ça fait même mal.

_ On n’est pas obligés de regarder ces conneries…

_ Mh ?

Il soupire et se contorsionne dans le fond du fauteuil, mal à l’aise de voir Bill sourire derrière le petit écran. Il détourne les yeux, puis le regarde, puis fixe de nouveaux ses ongles rongés. Et ses paupières se ferment, sûrement pour retenir quelques larmes. Moi, je reverrai Bill dans quelques heures, peut être même dans quelques minutes, alors je ne suis pas super mal. C’est ça, qui est étrange, au fond.

_ « Des centaines de lettre arrivent chez Universal, les jeunes filles sont au bord du gouffre, tiendront-elles le choc ? Le jumeau et le meilleur ami du jeune homme ont l’air eux, par contre, d’aller parfaitement bien. En effet, ils ont été vu dans une boite de nuit de leur petit quartier, en compagnie de jolies jeunes filles… C’est beau, l’amitié, et encore plus l’amour fraternel . Ca donne envie d’avoir une famille, n’est-ce pas chers auditeurs ?

_ Tom s’il te plaît…

Mon regard se tourne brusquement vers Andréas, ses joues sont trempées et rouges, et ses doigts sont fermement crispés sur ses genoux. Ses yeux semblent maudire la jeune journaliste brune qui présente l’émission. Elle rajoute dans un grand rire sonore que c’était même sûrement un complot de notre part, que ça boosterait les ventes des albums. C’est à ce moment là qu’une Van’s a défoncé la télévision dans un bruit sonore. Et que j’ai éclaté d’un rire suraigu. Il me dévisage, entre la tristesse, la haine, l’exaspération et l’incompréhension. Je pense que c’est mieux pour tout le monde Andréas, dans quelques heures, tu ne pleurera plus la mort de mon frère, mais la mienne. Je me lève, ébouriffe les cheveux de mon meilleur ami et me dirige vers le couloir. Je sors mon portable de ma poche, masque mon numéro et appelle Sherley. Une voix faible murmure dans le téléphone.

_ Je suis désolé.

_ Tom ! Non, faut pas, c’est de ma faute… J’aurais pas du te laisser m’embrasser…

_ Pardon ? C’est toi qui ...

_ Peu importe ! Elle s’est enfermée dans la salle de bain, mais je pense qu’elle sortira bientôt . On s’aime, après tout.

_ Je vois…

_ Pardon…

_ T’as pas à t’excuser, je suis content pour vous deux.

_ Tu veux pas qu’on se voit ? J’veux dire, qu’on parle de nos anges, qu’on trouve une solution… Le mien m’a dit que c’était possible. Il m’a dit que tu pouvais faire quelque chose.

_ Je sais.

_ Oh… Il a aussi dit qu’elle ne te lâcherait pas tant que t’auras pas mis fin à tes jours. Ce sera sa victoire. Vous avoir eu tous les deux...

_ Eh bien. Tant mieux.

_ Quoi tant mi…

_ Sherley, si je t’ai appelée, c’est pas pour parler de ça. Je voudrais qu’on se voit. Maintenant. Mais pas pour parler.

_ Tom je …

_ Mais on ne se verra pas. Je voulais juste que tu saches que j’avais envie de te serrer dans mes bras.

_ Mais de quoi tu …

_ Mais je ne le ferrai pas. Je suis sur que ça ira mieux avec Alayna quand je serai plus là, je vous souhaite de vivre heureuses.

_ Arrête de me couper la…

_ Salut. Je t’aime.

Mon doigt a pressé fébrilement la touche rouge, et mon cœur bat la chamade. Voilà une chose de faite, c’est presque ok. Ca sert à rien, c’est juste pour ma conscience. Je descends dans mon répertoire et m’arrête sur Stern. Comme je l’espérais, je tombe sur sa messagerie.

_ Tu n'entendras sans doute jamais ce message, c’est sûrement aussi inutile de le laisser que de te dire que tu comptes beaucoup pour moi. Je vais te rendre ton amant petite étoile… Je vous surveillerai, de là haut, je t’en fais la promesse.

Je presse de nouveau le bouton rouge, et mes yeux se lèvent sur le visage sombre et pourtant d’une pâleur extrême de Tsukiyama.

_ Non, elle l’entendra pas ton message.

Mon rythme cardiaque s’emballe. A-t-elle compris ce que j’avais l’intention de faire ? Si oui, tout est foutu…

_ Tu ne me demandes pas pourquoi ?

Non, elle ne sait pas. Elle ne peut pas savoir. Mais alors… De quoi elle parle ?

_ Pourquoi ?

Son sourire s’étire et elle enroule une mèche de cheveux noire autour de son long doigt blanc. Elle se balance d’un pied à l’autre, ricanant d’excitation. Je soupire et m'appuies contre le mur. Joue petite diablesse, joue tant que tu le peux encore. Autrement dit, plus pour longtemps. Elle s’approche tout près de moi, son nez frôle le mien et elle inspire profondément avant de parler.

_ Parce qu’à l’heure qu’il est, le petit astre n’est plus qu’un corps vidé de sa vie, étendu dans une baignoire de sang.

Je porte la main à ma bouche et réprime un haut le cœur, alors qu’elle s’écarte puis éclate de rire. Stern, pourquoi t’as lâché prise, t’avais pas le droit… Mon dos glisse le long de la tapisserie, et j’atterris brusquement sur la moquette. Son rire cruel résonne dans le long couloir qui me paraît désormais sans fin. J'appuie ma tête derrière moi et respire profondément. C’est rien, tout va changer, tout va changer, je souffrirai plus, c’est bientôt fini…

_ Tu as gagné.

Elle fronce les sourcils et sa bouche reste grande ouverte, son rire figé dans sa gorge maigre. Elle reste ainsi quelques secondes, me fixant intensément, avant de s’accroupir et de poser ses mains sur mes genoux serrés.

_ Tu veux dire que… Tu abandonnes ? Le combat est terminé ?

_On dirait oui.

Je baisse les yeux et retiens de nouveau mes larmes. C’est pas une décision facile à prendre, mais c’est sans doute la meilleure.

_Tu vas…

_ Mettre fin à mes jours. C’est bien ce que tu veux, pas vrai ? Arrête juste de toucher à ceux qui comptent pour moi, et je le ferai.

J’entendrais presque son cœur battre, d’ailleurs je crois que je l’entends. Il est bien plus puissant que le mien. L’étreinte sur mes genoux se fait plus forte et je sers les dents. Puis tout se relâche, elle semble s’être apaisée en un quart de seconde.

_ Oui, c’est bien ce que je veux.

_ Bien. Mais il y a une condition.

Elle m’interroge du regard, jamais elle ne m’a parue aussi humaine. Jamais je n’avais lu de la tristesse dans ses yeux noirs.

_ Laquelle ?

_ Je veux le revoir, une dernière fois.

Regard suspicieux, lèvres qui se pincent, once d’hésitation, puis un hochement de tête. Bingo. Elle me tend la main et m’aide à me relever.

_ Tu as une heure. C’est court, quand on s’apprête à affronter l’éternité, pas vrai ?

Je hausse les épaules et me prépare à m’écrouler comme à mon habitude, mais c’est plus lent, et plus doux. Je ne tombe même pas, le couloir tourne, tout se ressert, mais je ne bouge pas, et le malaise de m’envahit pas. Toujours ces mur, mon frère qui rivalise leur blancheur, étendu sur son lit de mort. Notre lit de mort, d’une certaine façon. Je m'appuies sur le coté de son oreiller et m’agenouille. Une infirmière rentre, me lance un faible sourire, jette un coup d’œil sur les nombreuses machines, prend deux trois notes sur une feuille, et retourne immédiatement à la porte, visiblement gênée.

_ Excusez moi ? Quel jour on est s’il vous plaît ?

Elle se retourne et balbutie une vague réponse. Je la remercie et me retourne vers mon jumeau. C’est aujourd’hui. Précisément dans 45 minutes. Je vais mourir, et elle veut que je parte en ayant bien dans la tête que mon frère est mort. Seulement, elle se trompe. Elle a cru me faire du mal en m’envoyant à ce moment précis, mais elle m’a rendu service. Je passe ma main sur son front bouillant, il ouvre deux petits yeux embués et fatigués.

_ Tom…

_ Chut…

Je pose ma tête sur son torse et entends son cœur battre faiblement. Si faiblement…

_ Je sens que je vais plus tenir longtemps, c’est de plus en plus dur…

Sa voix n’est plus qu’un râle rauque et bas. Je plonge dans son regard, pour la dernière fois, et l’angoisse m’enveloppe pour de bon, à m’en broyer les tripes, à m’en faire exploser le cœur. Je dépose un léger baiser sur son front et m’assoit à côté de lui.

_ Dis moi Bill, tu m’as demandé de vivre pour toi, pas vrai ?

Il acquiesce doucement.

_ Et pourquoi ce serait pas toi qui vivrais pour moi ? En fait, trop de gens ont besoin de toi ici. Je crois que, je suis jaloux de toi, moi. De toi et de ton putain de courage. De toi et de tous tes amis. De l’amour qu’une petite étoile te porte. De cette voix qui fait chavirer les cœurs. De cette petite Sarah qui doit éspérer revoir son sauveur. Je suis jaloux de cette personnalité qui te rend si exceptionnel. Tu sais petit frère, n’oublie jamais ça, tu seras toujours dans mon cœur, ancré dans mon âme, où que je sois, que l’infini existe ou pas, que la fin du monde te ramène à moi ou la vieillesse, t’auras toujours une place tout au fond de moi. La plus belle place. Tu sais, celle à côté du radiateur, sur les coussins moelleux ? Cette pièce où on restait les longues heures d’hiver quand on était petits ? Je t’attendrai là bas.

Sa main vient de brusquement saisir la mienne, et un cri semble s’être coincé dans sa gorge. Cette éternelle compréhension, hein frérot ? Tu as compris ce que j’allais faire. Tu aurais fais la même chose pour moi, pas vrai ? Sauf que toi, tu ne m’aurais peut-être pas laissé mourir une fois, alors que moi j’ai été incapable de comprendre plus tôt. Avec mon autre main je détache son emprise, alors que d’énormes larmes dévalent ses joues blanches.

_ Je t’en supplie...

_ Repose toi Bill, tu vas t’en sortir.

Je lui souris une dernière fois, éloigne le bouton d’alarme qu’il tente désespérément d’attraper et me dirige vers la salle de bain, au fond de sa chambre. Il n'a même pas la force de bouger pour m'empêcher de commettre l'irréparable, et pour une fois, c'est une bonne chose. De ma main gauche je fais basculer un verre d’eau à moitié plein sur le carrelage froid. Un bruit cristallin explose à mes oreilles, doux son d’une mort prochaine. Je me suis longtemps demandé comment j’allais m’y prendre, et cette solution m’a parue la meilleure. Sentir la vie partir tout doucement, et ne plus pouvoir faire marche arrière. Il tente de crier de l’autre côté du mur, j’entends sa respiration saccadée d’ici. Je griffonne mon testament sur un bout de papier et le pose bien en évidence. "Ma voiture pour Andréas et mon coeur pour Bill, brûlez le reste" Puis je m’assois sur les toilettes dont je viens d’abattre le couvercle. Je ramasse un des bouts de verre brisé et entaille profondément mon avant bras gauche, sans plus d’hésitation. Je ferme les yeux de toute mes forces et sers les dents. Mis à part la coupure, c’est pas vraiment douloureux. Je fais passer le petit morceaux dans mon autre main, et taillade mon autre poignet. Un peu moins profondément, faute de force. Un énorme soupir s’échappe de ma gorge alors que je me laisse tomber contre le mur derrière moi. Mes yeux fixés sur la marre de sang s’étalant sur le sol blanc, évoluant lentement dans toute la pièce, je suis incapable de penser à quoique se soit. Mes paupières se ferment contre mon grès, et je sens mon cœur ralentir doucement.

_ NON !

Ce cri douloureux m’empoigne les veines. Non Bill, tu dois garder un peu de force, on va bientôt te donner un nouveau cœur, un coeur on ne peut plus compatible. J’entends vaguement la porte de la salle de bain s’ouvrir à la volée, mais je sais très bien que c’est trop tard, on ne peut plus rien faire pour me sauver, c’est fini. On presse quelque chose contre mes poignets ensanglantés. Je reconnais les hurlements de ma mère. C’est vrai qu’elle était à l’hôpital elle aussi, quand Bill est mort, j’avais presque oublié. Tu sais maman, en sacrifiant ma vie, j’en ai sauvé trois. Je suis courageux moi aussi, pas vrai ? Dis moi que je suis courageux. J’aimerais l’entendre s’il te plaît. Mais ce n’est pas cette douce voix féminine que j’entends vaguement au loin. Si loin que ça me parait à une éternité, tout en étant si proche. Cette voix, elle résonne dans ma tête. Elle provient de ma tête.

_ Tom, t’avais pas le droit de faire ça, j’ai longtemps prié pour que cette idée ne te traverse pas l’esprit. Mais j’étais persuadé malgré tout que te le ferais, et que je ne pourrais pas t’en empêcher. Je sais que tu m’entends, si tu peux, reviens, je t’en supplie Tom, je pourrai pas vivre sans toi, moi, ça ne servirait à rien… Tom…

J’aimerais te répondre petit frère, mais j’en suis incapable. Tu vas souffrir un peu au début, mais tu vas vivre. Et puis tu sais, moi je suis heureux comme ça. Je n’ai jamais rien accompli de bien dans ma vie, et voilà que dans ma mort, je vous sauve toi, maman, et la petite étoile, n’est-ce pas merveilleux ? Ma plus belle satisfaction reste celle ci : ne notons pas ce jour comme celui ou Tom Kaulitz a sauvé son frère jumeau, mais notons le comme celui où un simple adolescent a vaincu la mort.

Tu...me la dedie?
J'y aurais jamais pensé.
Tu sais, cette fic m'a emmenée autre part à chaque fois que je la lisais.
Cette suite et fin est merveilleuse.
J'hesite entre les différents sentiments que l'ont peut avoir.
Tu sais, du moment où j'ai vu que tu me l'a dédiée, jusqu'à la fin, mes larmes ont coulées.
J'avais même pas remarqué.
Puis en même temps, j'aime tes mots.
Je t'aime toi.
Merci pour cette fic, merci d'être là.

Au moment où j'écris ce message mes joues sont inondées par les larmes. J'pensais pas pleurer comme ça pour une fic' j'crois que c'est l'une des rares fois que j'pleure autant pour une histoire =/. C'est tellement beau, tellement bien écrit et tellement triste aussi que c'était évident que j'innonde mon clavier, la façon dont Tom donne sa vie à Bill est maginfique mais j'ai quand même dit à ma soeur de ne pas l'faire pour moi même si j'aurais fait la même chose. Je ne sais plus quoi dire, enfin si, seulement que j'aime toujours ta fic' et que j'suis déçue que tu parte d'la PO car j'pourrais plus lire une autre fic' de toi. Enfin bref 'fin et fic' magnifique. [L']

PS : ~~A ne pas lire avec des chansons triste et des problèmes de coeur au risque de se noyée x)~~

Mon (dernier) message est ridicule mais bon ... =/

C'était merveilleux, sublime ... triste ...
Mais au fond c'était l'intention non ?

Et puis tu sais, au début, je comprenais pas grand chose,
Mais quand on commence à comprendre on le regrette d'un côté,
Car ca blesse notre coeur si fragile ...

Ta fic' a fait roulée tant de larmes sur mes joues que j'en redemanderais presque ...

La formulation de tes phrases est ...
C'est magnifique !!
Je ne sais pas comment tu fais pour écrire aussi bien,
Mais je t'envie ...

Je ne vais pas prolonger ce "message",
Mais je veux que tu saches que j'ai aimé, apprécié et pleuré ta fiction ...

Merci ...

Les larmes coulent aussi sur mes joues et les mots se sont évaporées de mon cerveau.

Simplement dire que cette fin est magnifique, à l'image de cette fiction d'ailleurs.
Tellement belle fin et la dernière phrase qui me fait verser encore plus de larmes!

Tes mots vont me manquer bibi. Tu écris tellement bien.
Depuis que je suis sur la Po, j'ai du lire une grande partie de tes fics.
Tu ma fait passer du rire aux larmes et encore du rire pour finir par des larmes.
Ca va me manquer de te lire. Tu peux pas imaginer à quel point.

Au revoir mon p'tit vampyr.
et surtout:

MERCI!!!!!
<3<3<3

Je ne m'attendait pas à une fin comme celle là.
Elle est tellement belle, mais tellement triste ...
Ta fiction est une des plus belles que j'ai lue, & surtout que j'ai finis ^o^
Tes mots vont me manquer, merci beaucoup pour cette merveilleuse fiction, merci <3

Belle fin surtout la dernière phrase.
franchement, cette fiction ferait bien en tant que scénario de film.

Oh...
Waouh!!
Cette fin est tout simplement MAGNIFIQUE!!!
Merci Bibi...
Merci d'avoir créé cette fic qui est remplie d'émotions intenses...
Merci de m'avoir fait transporté dans ce monde imaginaire, grâce à tes mots sublimes, qui m'a pourtant paru tellement réel!!
Merci, même si tu as écourté cette belle fic pour je ne sais quelle raison...
Merci pour tout Bibi...

EDIT==>Mon com est vraiment très petit et ridicule par rapport à tes mots, mais tu m'as fais perdre tout ce que je voulais dire...Désolé...

Heilig Nombre de messages : 7498 Age : 31 Date d'inscription : 29/03/2007

"Ma voiture pour Andréas et mon coeur pour Bill, brûlez le reste"

Je relève cette phrase.
Pourquoi ?
J'en sais rien.
peut-être pour éviter les sentiments.
C'est magnifique de toute façon.
Comme si j'avais besoin de le dire.
J'ai aimé.
J'ai lu ces mots et j'ai vécu la scène.
On l'a déjà dit mais c'est vrai que ça serait geil en film.

J'ai vraiment adoré cette histoire.
merci.
<3

merci

au revoir

adieu ???

Merci beaucoup pour cette magnifique fic...
j'aurai voulu dire bien plus...mais tu ma tout coupé avec ta fin là
a la fin j'avais les larmes aux yeux...et deux minutes plus tard j'étais en train de vider mon paquet de mouchoirs >_<

franchement tu écris réélement bien !! t'a une façon de décrire les actions qui est superbe
et l'histoire...c'est tellement entrainant
que je regrette presque que ta fic sois déja terminées ('=

kissoussss
et bravo et merci pour ta fic !!!

Je viens de tout lire d'une traite.
Eh bien. Je te remmercie déjà d'avoir eu la prétention d' m'envoyer ce MP.
C'était bref. Mais j'ai bû tes paroles et tout au long j'ai comme ressentit la même souffrance, j'ai comme vécu tout ça. J'ai peut-être même versé une larme. Une seule, c'est quelquechose de déjà énorme pour moi.
Mais c'était beau. Y a certains passages que j'ai particulièrement aimé,Sur les éternels et impitoyables défaults de la nature humaine.
Et cette somptueuse façon que tu as de retranscrire les pires sentiments. Du vécu peut-être? Mais Bravo.

Je n'aurais aucune critique à faire, non, pas ce soir, je n'en ai pas envie. & puis même, rien ne me vient à l'esprit. En dehors de quelques détails sur la présence des personnages mais encore dû à la courte durée de ton récit.

Enfin,

Félicitations. & Merci.

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