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 [ OS ] Jeux Dangereux.

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Justineuh
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Justineuh


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MessageSujet: [ OS ] Jeux Dangereux.   [ OS ] Jeux Dangereux. EmptyMar 6 Mai 2008 - 20:47

I-

Trop. C'en était trop. Beaucoup trop même. Voilà à peu près deux heures que je les regardais, le ventre à l'agonie, danser l'un contre l'autre un béat sourire accroché aux lèvres. Et il le savait que je pourrissais de l'intérieur à la simple vue d'une nouvelle fille dans ses bras, que j'étais prête à m'arracher les yeux pour ne plus les voir heureux ensembles, pour ne plus le voir sourire comme je ne savais plus le faire. Le pire c'est qu'il exagérait ses mouvements délicats qui me rendaient folle, qu'il faisait bien attention à pincer sa lèvre inférieure quand je le regardais, parce qu'il savait que j'idolâtrais ce tic. Et je sentais ses regards insistants sur moi, lorsqu'il avait ses mains posées sur les hanches de la fille allant d'un côté à l'autre. Je le savais bien qu'il me regardait, juste pour voir ma réaction, pour savourer avec délice le résultat sur moi de ses gestes offerts à une toute autre personne. Ca lui faisait plaisir et il jouissait presque autant que quand il voyait le corps de sa partenaire se remuer avec provocation autour de lui. Il me donnait la gerbe et j'aurais voulu lui dégueuler toutes mes tripes à la gueule. Il puait la méchanceté qu'il avait bien incarné. Je ne le reconnaissais pas. Il était différent, voire même opposé au garçon que j'avais connu, au garçon qui avait partagé ma vie quelques semaines. A croire qu'il devenait Schizophrène. Je voulais absolument me répéter que j'étais dans un rêve, mais j'avais beau secouer péniblement ma tête ou encore me pincer, ils étaient toujours là. Alors je me persuadais que quelques verres en trop étaient à l'origine de telles illusions. En tous les cas, tout cela ne pouvait pas être réel. Moi qui avais terriblement hâte de cette fête, en sachant qu'il allait être là ... Bien que nous étions en froid, je me disais que j'allais pouvoir l'admirer toute la soirée. Ca oui, j'ai pu le voir, mais pas de la façon dont je voulais. A cet instant il me dégoûtait, et jamais je n'aurais pu penser avoir un jour un tel sentiment envers lui. C'en était vraiment, vraiment trop. Et puis je commençais à étouffer dans cette atmosphère festive où tout le monde s'éclatait appart moi.
Je me suis levée lourdement de ma chaise, tenant à peine sur mes deux jambes, mais bien décidée. Pourquoi était-ce toujours moi qui devais tout subir ? Et pourquoi à chaque fois fallait-il que je ferme ma gueule et que je me contente simplement de regarder ? Je voulais, moi aussi m'amuser et j'étais bien déterminée à ramener la balle dans mon camp. Il y'avait un garçon bien mignon appuyé contre le mur depuis le début de la soirée, qui consacrait son temps à observer comme je le faisais habituellement. Il a suffi d'un regard échangé pour qu'il comprenne que j'avais autant besoin que lui de me défouler une bonne fois au lieu d'attendre que le destin me prenne en mains. Alors sans parler, nous nous sommes rapprochés et avons commencé à danser ensembles sous le rythme entraînant d'une musique que je ne supportais pas. Il foutait ses mains un peu partout sur mon corps, mais je m'en moquais. J'étais comme possédée et je n'avais qu'une seule envie : Qu'il me voit et qu'il s'en morde les doigts comme je m'étais bouffée les miens. Qu'il hurle intérieurement de douleur jusqu'à déchirer tous ses organes un par un. Simplement qu'il comprenne qu'il n'était qu'un connard et que je l'aimais comme une pauvre dingue qui n'a plus rien. Parce qu'au fond de moi, je savais que notre histoire n'était pas finie, tout simplement parce que je ne pouvais pas m'y résoudre. C'était comme irréel, fictif, comme si quelqu'un avait décidé à notre place ce qui devait nous arriver. Et nous, nous qui avions jusqu'à cet instant ignoré ces invisibles malfaiteurs, nous commencions en quelques sortes à jouer avec eux. Tout marchait par provocation et jalousie, et le pire c'est que ce jeu à la con fonctionnait encore bien mieux que les autres. Parce qu'il me bouffait, moi en tous cas. Il me bouffait tellement que j'en serais facilement venue à m'éventrer pour ne plus rien sentir. Mais ça aurait été perdre la partie.
Il nous a vus. Je l'ai senti comme un courant d'air glacé dans toute la salle et ça m'a fait sourire. En ouvrant les yeux j'ai effectivement vu le vide sur son visage qu'il a de suite transformé en ignorance quand il m'a remarqué. Et c'est là qu'il est passé au degré supérieur. Pour tout dire, j'aurais préféré ne rien voir et lui dire qu'on devrait arrêter, qu'on était stupides ; Mais je suis restée pétrifiée à la vue de ses lèvres contre celles de l'autre fille. Rien que ses mains sur ses joues étaient comme des dizaines de poignards qu'on enfonçait brutalement dans mon ventre, et sa façon de l'embrasser m'envoyait un nombre interminable de poutres dans la figure. Je m'en prenais de tous les côtés, et encore plus au fur et à mesure de ses gestes doux, de ses doigts fins parcourant les courbes de son corps. Il allait vraiment trop loin. Mais j'étais incapable d'aller lui parler. Des tas de choses se mélangeaient en moi : Désespoir, haine, regret. Il venait de trouver un excellent moyen de torture. J'étais abasourdie, hors de moi, incapable de détacher mon regard de leurs deux corps enlacés. Ca avait beau sentir l'hypocrisie à plein nez, ça ne changeait absolument rien, mon point faible était atteint. Totalement inconsciente, je me suis décidée à lui reprendre la balle violemment. J'ai profité du fait que le mur soit juste en face pour pousser brusquement mon partenaire contre. Ca allait être facile, il me souriait déjà en passant sa langue sur ses lèvres. J'ai commencé à glisser mes mains sous son tee-shirt, les remontant progressivement sur ses omoplates douces et chaudes. Il était très bien fait mais je préférais encore et toujours le physique de mon adversaire. Il avait ses mains posées en bas de mes reins, prêtes à aller se réfugier plus bas mais je les lui ai prises et les ai également plaquées au mur en passant mes doigts entre les siens. Pour ne pas le faire attendre encore plus, j'ai collé mes lèvres contre les siennes tout en ouvrant ma bouche pour aller jouer avec sa langue. Au fond ça me dégoûtait presque mais je m'imaginais la réaction de mon « Ennemi » tout en ayant peur que ça aille plus loin. Et je ne m'étais pas trompée. Au moment où je me suis détachée et où j'ai tourné mon visage, je l'ai vu entraîner la fille vers une porte sur laquelle était noté « WC ».
Mon cœur s'est arrêté en même temps qu'il s'est mit à battre plus fort. Je me suis complètement retirée de l'étreinte du garçon et ai couru, bousculant tous ceux qui se présentaient sur mon passage. Arrivée devant la fameuse porte, j'ai commencé à frapper du plus fort que j'ai pu en hurlant son prénom que la fille gémissait déjà de l'autre côté. Je ne savais pas si je pleurais, ni même ce qui se passait en moi à ce moment, mais ce que je savais c'est que je devenais totalement folle avec l'horrible impression de ne pas pouvoir me contrôler. On aurait pu me placer en asile psychiatrique, j'aurais compris pourquoi ; Je faisais presque peur. Voyant que mes cris incessants ne servaient à rien, je suis sortie dehors et me suis effondrée contre le mur en dégageant tout ce que j'avais au fond de moi. Je le sentais sourire d'ici d'avoir gagné cette foutue partie, mais je ne comprenais pas comment il en était arrivé jusque là moi qui avais à peine osé embrasser le garçon. Je me disais que ses sentiments ne devaient pas être aussi forts que les miens.
En relevant la tête, je me suis aperçue qu'il pleuvait autour d'une grande silhouette fine qui se tenait au dessus de moi. J'ai sursauté tout en me relevant. Il était là, juste en face, comme pour savourer pleinement sa victoire, mais pourtant son visage était éteint et pâle. Je le haïssais de tout mon être de la même façon que je l'aimais de toute mon âme. Il était magnifique mais tellement laid après ce qu'il venait de faire. Et pourtant je crevais d'envie de l'embrasser comme à chaque fois, de le sentir me serrer fort jusqu'à m'étouffer ou même encore de l'entendre murmurer mon prénom à mon oreille comme s'il énonçait la plus belle chose. Je voulais voir réapparaître ce « Nous » qu'un dense brouillard avait commencé à engouffrer. Ses longs cheveux noirs ébouriffés dansaient au vent cachant parfaitement certaines parties de son visage pâle. Il me regardait, comme il ne l'avait pas fait depuis des semaines, et je me suis rendue compte que j'avais oublié la beauté de ses yeux soigneusement entourés de noir. Il m'hypnotisait complètement, et je me sentais à la limite débile de fondre rien qu'en le sentant m'observer.


Dernière édition par Justineuh le Mar 6 Mai 2008 - 20:50, édité 1 fois
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Justineuh
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MessageSujet: Re: [ OS ] Jeux Dangereux.   [ OS ] Jeux Dangereux. EmptyMar 6 Mai 2008 - 20:48

II-

On l'aurait pensé tout droit sorti d'un rêve, mais je ne voulais pas céder.


- Saya ... Commença t'il.
- Tu sais le pire dans cette histoire ? C'est qu'on ne sort même pas ensembles et que j'ai pas mon mot à dire !
- Je ...
- Tu dois bien être content !
- Non Saya ! Crois moi, je ne suis pas fier de ce que j'ai fait.
- Ca te regarde. Je me mêlerai plus à des jeux aussi ... Sordides.



J'ai voulu partir tout en priant intérieurement le ciel pour qu'il me retienne. Et on avait entendu mes demandes.


- Saya, écoute moi s'il te plaît ! Je ne sais vraiment pas ce qu'il s'est passé, ni même pourquoi j'ai eu ce comportement ! Je me sens nul, bas tu ne peux pas savoir ! Je m'en veux.
- Mais est-ce que tu te rends compte de l'ampleur que ça a pris ? Tu le savais que je t'aime encore !
- Non justement ! Même si ça n'excuse pas tout, j'ai voulu voir comment tu réagissais ! Je voulais m'en convaincre !
- En te tapant une autre pouffiasse sous mes yeux ?
- ...
- Y'a d'autres moyens, je sais pas moi ! T'aurais pu venir me parler ! Mais là, jusqu'à aller coucher avec une fille ...
- ...
Sans me répondre, il a écarquillé les yeux.
- Quoi ?
- Tu ... Tu penses vraiment que j'ai couché avec elle ?
- Ben ... Euh ... Je vous ... Je l'ai entendue répéter ton prénom !
- C'est parce que j'étais entrain de grimper pour sortir par la fenêtre !
- Alors vous ... Vous avez rien fait ?



Je ne pourrais pas expliquer ce qu'il s'est passé en moi. Probablement un mélange de soulagement et de joie. Un peu comme si une personne me coupait la respiration depuis le début de la soirée et qu'on me libérait enfin. Puis je me suis mise à rire, un peu nerveusement, comme après une mauvaise blague. Lui aussi rigolait, sûrement rassuré de voir mon visage sombre s'illuminer enfin.


- Comment ai-je pu penser une chose pareille ?
- Saya, je sais que j'ai complètement dérapé mais pardonne moi pour le reste. Je t'en supplie.
- J'voudrais juste que tu comprennes à quel point tu m'as fait mal, et que tu prennes conscience des choses.
- J'en ai pris conscience... Un peu tard, je sais.
- En même temps, Mieux vaut tard que jamais !
Ai-je ajouté avec un sourire.
- Et puis ... On ne sera jamais aussi heureux que l'un avec l'autre !
- Tu t'en souviens ?



J'avais les yeux remplis d'étoiles. Le fait qu'il ressorte une phrase qu'on avait énoncée au début de notre relation m'emplissait de bonheur, à un tel point que je sentais pousser des ailes dans mon dos. Les sentiments sont toujours plus forts quand tu passes de la déception au soulagement en un laps de temps.


- Tu sais Saya, quand je t'ai dit ça, c'était pas sur un coup de tête ! Je le pensais vraiment, j'en étais même ... convaincu. Tu vois, un peu comme une évidence. Voilà, une évidence.
- ...
Je me contentais de sourire et de boire ses mots comme une source d'eau fraîche. Ca me faisait un bien fou.
- C'est oublié alors ?
- Bien sur ! Mais tu ne t'en sortiras pas toujours aussi facilement !
- J'espère sincèrement que ça ne se reproduira plus.
- Moi non plus.



Nos sourires se formaient ensembles. J'ai calmement écarté une mèche noire de son visage, dégageant ainsi la moitié de son nez parfaitement retroussé. Puis j'ai touché sa peau en fermant les yeux. Ca faisait tellement longtemps. Les courbes des différentes parties de son visage défilaient sous mes doigts et j'aurais pu les dessiner encore et encore. C'était comme toucher de la soie. Il a saisi ma main en action et s'en ai servit pour jouer avec mes doigts qui l'accrochaient toujours un peu plus. Son autre main est venue se caler dans mon dos et m'a rapprochée de son corps appuyé contre le mur. Nous étions collés. Si près que son souffle chaud caressait tendrement ma nuque. J'avais l'impression de renaître sous tant de douceur qui s'infiltrait dans mes veines. Son visage entier souriait contre le mien et il fallait vite que je prenne possession de ses lèvres avant de mourir de manque. Il l'a comprit comme tout ce que je pensais. Nous ne communiquions pas oralement. Juste par le regard et les sourires. Il savait tout ce que je pensais, ce que j'envisageais, ou même encore ce que je désirais et il faisait le maximum pour me combler. Il a encore approché ses lèvres des miennes jusqu'à les capturer d'une douce violence qui m'a enivré la tête. J'aurais pu lui appartenir entièrement, et il aurait pu faire ce qu'il voulait de moi. En sa présence je ne contrôlais plus rien. Il me rendait dingue. Mais dingue de chez dingue. Dingue à tout oublier mis appart lui et moi, dingue jusqu'à penser que plus rien n'avait d'importance lorsqu'il était là, ou même encore jusqu'à être convaincue que toutes les merveilles du monde étaient nées de ses bras, puis de son sourire. Il était tout. Absolument tout pour moi. Le reste n'existait pas, non. Le reste n'était qu'une image que l'on place en fond comme décor pour donner un lieu aux personnages. Au bout d'un moment, il s'est écarté de moi et a continué à m'observer profondément, comme il avait l'habitude de faire.


- T'es magnifique.
- Dis ... Pardon de te poser cette question mais ... Tu m'aimes comme avant, ou un peu moins ?
- Beaucoup plus.
- J'veux pas que tu te sentes obligé d'inventer des choses juste pour me faire plaisir.
- ...
Sans répondre, il souriait. C'était bon signe. Puis il reprit. Ca me fait rire quand tu t'inventes des histoires comme ça!
- Mets toi à ma place, j'ai un peu peur maintenant.
- Tu devrais pas. Tu vois, je me demande même comment j'ai pu rester loin de toi aussi longtemps. J'avais oublié ce que c'était vraiment que d'être heureux.



Il ne fallait plus qu'il parle. Alors je me suis réfugiée dans ses bras, puis j'ai pleuré, sans vraiment comprendre pourquoi. Lorsqu'il l'a senti, il m'a immédiatement redressé le visage en s'aidant de mon menton. Mes larmes ruisselaient, je ne voyais presque plus rien.


- Hey, qu'est ce qu'il t'arrives ?
- Je sais pas, je ... Je t'aime tellement, si tu savais ...
- Moi aussi, Saya. Moi aussi.



Ce fut sa dernière phrase. Parce que celle qui a appuyé sur la détente n'a pas su bien viser, ou plutôt n'a pas su éviter le mouvement de son corps se placer devant moi pour me protéger. J'ai reconnu la fille qu'il avait invitée, dans l'encadrement d'une porte. Elle l'a eut en pleine poitrine. Lorsque le coup de feu est partit, et que son tee-shirt a commencé à s'imbiber de sang, j'ai cru recevoir moi-même la balle en plein cœur. Sans qu'il ait poussé un cri, son visage hurlait de douleur, et rien que le fait de savoir qu'il souffrait me torturait l'estomac. J'avais l'impression d'être dans un cauchemar. Pour moi, ça n'était jamais arrivé. Du moins ça n'aurait jamais pu. Pas lui. Pas maintenant, au moment où l'on se retrouvait enfin. J'avais mal, Horriblement mal. Je me suis jetée par terre en même temps que lui et me suis allongée dans ses bras, la tête posée sur son cœur qui avait cessé de battre. Je pleurais en silence, les yeux fermés. Il y'avait des dizaines de personnes autour de nous, mais aucune d'elle n'osait venir nous déranger, ni même me demander de m'écarter. De toutes façons, je n'en aurais écouté aucune. Je voulais qu'on me laisse seule avec lui, qu'on m'enterre vivante dans sa tombe. J'aurais tout supporté du moment qu'on était ensembles. Je ne pouvais ni physiquement, ni psychologiquement vivre sans lui. Si il s'éteignait, je sombrais de son absence. Plus rien ne me retenait sur terre en le sachant dans le ciel. Et puis comme nous savions si bien le dire, « Nous ne serons jamais aussi heureux que l'un avec l'autre ».

* FIN *


Dernière édition par Justineuh le Mar 6 Mai 2008 - 20:51, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: [ OS ] Jeux Dangereux.   [ OS ] Jeux Dangereux. EmptyMar 6 Mai 2008 - 20:50

J'aiiiiiiiiime !
Bravo miss !
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confucius
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MessageSujet: Re: [ OS ] Jeux Dangereux.   [ OS ] Jeux Dangereux. EmptyMar 6 Mai 2008 - 21:00

C'est si...

...

Enfin je trouve pas les mots...

...

Encore bravo...
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Justineuh
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MessageSujet: Re: [ OS ] Jeux Dangereux.   [ OS ] Jeux Dangereux. EmptyMar 6 Mai 2008 - 21:09

confucius a écrit:
C'est si...



...



Enfin je trouve pas les mots...



...



Encore bravo...

Mercii beaucoup, ça me fait plaisir =). Vraiment. J'peux trouver comment moi ce que t'écris ? Enfin j'suis obligée de chercher partout dans la partie Fan Fictions ou y'a d'autres moyens ? Genre un p'tit Lien =).
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MessageSujet: Re: [ OS ] Jeux Dangereux.   [ OS ] Jeux Dangereux. Empty

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