[T.] 33 Kilos d'Espoir... (2ème Topic)

Olala!
Alors j'ai hate moi ^^
S - 9, c'est ça? xD! Je m'y met !!!

T'as raison trop crevant, on fait plus attention à ce qu'il y a autour! ^^

OKAY =D
c'ey coule tout ca
xD

- Vous ferez gaffe les gars, fit Saki tandis qu'ils s'avançaient sur la scène pour aider les techniciens à installer le matériel. ça glisse comme sur de la glace à certains endroits.
- Pourquoi? demanda Gustav.
- D'après ce que m'a dit David, il y a eu un spectacle de danse quelques jours auparavant, et comme la scène était un peu vieillote et qu'elle ralentissait les mouvements, les propriétaires ont rajouté une couche de cire sur le parquet. La scène en avait bien besoin, mais maintenant, il y a toujours des risques de "cascades"...
- Bon Bill, ce soir tu ne fais pas le fou comme tu en as l'habitude ok? Pas envie de te ramasser à la petite cuillère...
- Tom, j'suis peut-être énergique, mais pas complètement inconscient et débile...Je ferai attention.

C'était le début de l'après-midi. Comme à leur habitude, les garçons installaient leurs instruments, histoire de se mettre petit à petit dans l'ambiance du concert.

Bill chantait quelques bouts de morceaux, aidant ainsi les techniciens à améliorer le son qui sortait du micro. Georg et Tom s'échauffaient sur leurs manches, ce qui permettait également aux techniciens de modifier quelque peu le son pour qu'il soit plus net. Quant à Gustav, il installait sa batterie. C'était de loin celui qui avait le plus de travail, car le montage était toujours délicat. Il fallait faire attention à ne pas trouer les caisses, et à ne pas les échanger de place par mégarde, car les caisses claires se ressemblaient.

Très occupés, les garçons en avaient oublié que cette scène était quelque peu glissante.

Georg avait terminé. Il observait donc maintenant les autres, prêt à les aider en cas de problème. C'est ainsi qu'il remarqua que Gustav était en difficulté, et qu'une de ses caisses était sur le point de tomber.
- Attend Gus, j'arrive, ne bouge pas !
- Georg, NE COURS PAS ! s'écria Maria-Eva.
Trop tard. Georg avait dérapé, et s'était rétamé sur le sol, dans un bruit amplifié par les cordes de sa basse, qui résonnaient à cause du choc.
- Et merde, s'écria Saki en s'approchant. Georg, ça va?
- La basse va bien, répondit-il en se relevant rapidement. J'ai limité les casses. Moi, j'ai dû me fouler le poignet en essayant de me rattraper.
Il retint une grimace, et lui montra son bras gauche. Le poignet formait un angle bizarre, qui aurait pu paraître comique si la situation n'était pas aussi tendue.
- Georg, répliqua Saki, ça m'a l'air d'être plus qu'un simple poignet foulé. Essaie de le bouger.
- Impossible, répondit Georg. ça fait trop mal.
- Bon, tu viens avec moi, on file à l'hosto. Je suppose que vous voulez venir les gars?
Bill, Tom et Gustav acquiescèrent.
- Moi aussi je veux venir, dit Maria-Eva.
- Ok. On doit faire vite.
Il soupira.
- David va me tuer...
- Non, il va plutôt me tuer moi, répondit Georg.
- C'est moi qui suis responsable de vous. Il va me passer un savon parce que je n'aurai pas su t'empêcher de te casser la figure.

[...]

Deux heures plus tard, ils étaient revenus à leur hôtel, une mine fatiguée et inquiète sur leurs visages. Georg s'était cassé le poignet et deux doigts dans sa chute. Impossible dans ses conditions d'assurer le concert.
- Non, on ne peut pas faire ça aux fans, répliqua Georg. On a déjà annulé deux dates. Ils vont véritablement nous détester si on annule la fin de la tournée !
- Avec ton poignet dans le plâtre, je te vois mal jouer les accords sur scène, dit David d'une voix patiente. Georg, ça me pèse de dire ça, mais on doit annuler. Tu en as pour au moins un mois de repos, avec ce plâtre.
- On ne peut pas trouver un bassiste remplaçant? demanda Tom, une lueur d'espoir encore présente dans les yeux.
- Tom, un bassiste qui connaît sur le bout des doigts tous vos morceaux, ça ne se trouve pas à tous les coins de rue. De plus, il faudrait qu'il ait répété au moins une fois avec vous, qu'il connaisse bien vos rythmes, et surtout qu'il soit disponible jusqu'à la fin de la tournée. Tu peux toujours essayer de me trouver cette perle rare, mais pour l'instant je ne vois personne capable de remplacer Georg.
Georg, pendant ce temps, s'était tourné vers Maria-Eva, et la regardait dans les yeux. La perle rare, celle que décrivait David, il l'avait trouvée depuis longtemps.
- Non Georg, n'y pense même pas ! s'écria-t-elle.
Tous tournèrent la tête vers elle.
- Je ne peux pas faire ce que tu vas me demander. Je ne te remplacerai pas pendant les concerts ! C'est au-dessus de mes moyens. Trouvez quelqu'un d'autre.
- Mais Maria-Eva, Georg a raison, tenta Gustav. Il n'y a personne d'autre qui en soit capable.
- S'il-te-plait Maria-Eva, fit Bill.
- J'ai dit non !
Elle leur tourna le dos. Les garçons et David sortirent, comprenant que Georg devait être seul avec elle pour lui parler.
- De quoi as-tu peur? lui demanda Georg.
- De devenir tout d'un coup la proie des journalistes, parce qu'ils se demanderont où vous m'avez trouvée, et pourquoi vous m'avez choisie. De me mettre sous les projecteurs, et de montrer aux fans qu'on a remplacé Georg par un squelette ambulant sans grand talent. De...de tomber sur scène, parce que je n'aurai pas eu la force de tenir jusqu'au bout. De faire foirer les morceaux.
- Arrête. Tu ne feras rien foirer. Tu arriveras à tenir, je te fais confiance là-dessus. Quant aux journalistes, on les remettra gentiment à leur place s'il le faut.
Maria-Eva ne répondit rien. Georg soupira.
- Tu sais, si j'ai décidé un jour de t'apprendre à jouer de la basse, c'est parce que ma plus grande peur, c'était justement de ne plus pouvoir jouer, et de devoir laisser les fans sur leur faim. C'était une idée qui me paraissait insupportable. Je t'ai enseigné ce que je savais, pour que, justement, il y ait une relève au cas où je sois un jour dans l'incapacité de jouer. Et tu m'as même surprise quelques fois. Tu as quelque chose en toi qui fait que tu comprends la basse, et que tu joues avec elle comme si...comme si elle était la chose la plus importante au monde. Comme si plus rien n'existait, hormis vous deux entrain de vous lier par la musique que vous créez ensembles. Comment te dire...Tu as l'âme d'une bassiste, ce que j'avais senti depuis le début, même si parfois, tu cachais tout au fond de toi. S'il-te-plait Maria-Eva. Accepte. Fais en sorte qu'on n'annule pas la tournée. Fais-le pour le groupe, mais surtout, fais-le pour moi. Je t'en prie.
Maria-Eva se retourna. Elle avait les larmes aux yeux.
- Je...Oh d'accord, espèce de manipulateur, j'accepte ! J'accepte !
Georg sourit.
- Allez, sèche tes larmes. Viens me faire un câlin.
Elle le serra dans ses bras de toutes ses forces, essayant d'empêcher les autres larmes de couler. Georg lui caressa doucement le dos pour l'appaiser, puis lui murmura un faible "merci". C'était tout ce qu'il avait réussi à lui sortir pour lui montrer à quel point ce qu'elle avait choisit le soulageait. Tout le poids qu'il portait dans son coeur semblait s'être volatilisé d'un coup. Il regrettait juste que ce soit elle qui désormais portait ce poids supplémentaire.

_____________________
Alors?
Moi j'ai envie de traiter Georg d'abruti, mais bon...C'est pas entièrement de sa faute s'il s'est cassé la main (c'est surtout de la mienne niark niark !!! mdr)

Elle vous a plu cette suite? Si c'est le cas, tant mieux, parce que vous n'en aurez pas avant ce soir ^^

Bizzz
Milie

Eh bien eh bien Georg sur ce coup c'est toi le boulet xD mais c'est pas de sa faute pauvre choupinou il a voulut aidé et résultat il est handicapée des doigts mdr

Bref merci Millie et je suis impatiente de voir ce que le concert donnera ce soir

Bisous

Bordel de merde
Muahaha, j'aime quoi. =)
C'est vraiment superbe. <3

Merci Marie, merci Justine, merci Agathe !!!! lol

Bah...ouais, tu as raison Justine. Je n'avais pas vu ça sur cet angle, mais Georg est bien un boulet sur ce coup-là ^^

Marie, j'suis contente que ça t'aie plu ^^
(Sinon, j'aimerai avoir le lien de ta fic stp, tu me l'avais déjà donné mais j'l'ai perdu >< Merci d'avance ^^)

Agathe, je trouve ça super ce que tu m'apprends. Je ne pensais pas pouvoir encore vous surprendre ^^

Bizzz
Milie

C'est un ti boulet mais mignon comme tout lol !!!!

Je suis en train de lire ta fic sur HP c'est trop bien mais sa ne t'empche pas de suiter hein Millie car S-8!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je suis trop fière de moi j'ai fini ta 1ere partie de fic et j'ai termie l'autre aussi franchement je te dis chapeau même si par moment tu es une vraie sadique !!!!

Allez suite Millie sur tes deux fics viteeeeeeeeeeeeeeeeee avant que je me meurs xD

Hey !! Enfin le new tOpic lOl ! En 1 jOurnée j'ai tOut rattrapé xD !! TOujours aussi bien ta fic <3

Vite la suiteuh stp !!

Crotte crotte crotte, chez toi il est a peine 16h :'(
A nan, il va être 17h!
Mais bon c'est la même chose...Je vais devoir dodoter dans moin d'une heure alors...
La suite, pour moi, sa sera demain!!!
Bisous j'adore touours autant ta fic'!!!

Haha, j'suis de retour...mais putain, qu'est-ce qu'on a fait les cons dans cette décharge Claude, Camille et moi...j'ai même du grimper sur un papayer pour récupérer les papayes (elles avaient une tronche bizarre, alors on s'est dit que ça nous aiderait peut-être à expliquer que la décharge avait un effet nocif sur l'environnement...en attendant qui c'est qui s'est chargé de grimper tout là-haut comme un petit singe? Bah c'est mimi >< mdr)

F'in bref, c'était bien. On a joué les petits chimistes mit explorateurs ^^ Et notre tpe avance.

Aloreuh...je vais suiter moi peut-être ^^

Justine, j'ai arrêté ma fic depuis que le site avait été "supprimé"... je pourrais continuer, mais j'ai été trop dégoûtée. Donc pour l'instant, je laisse passer un peu de temps, puis je m'y remettrai. Je sais que je m'y remettrai, parce que je déteste abandonner quelque chose qui ne doit pas l'être ^^.

Ariane, j'suis touchée qu'elle l'ait lue. Elle en a pensé quoi?
Pis ben désolée si c'est mes mots qui vous ont fait pleurer toutes les deux...j'voulais pas rendre triste mes lectrices à l'origine.

Je suite. Laissez-moi juste le temps de me remettre de mes émotions.

Bizzz
Milie

Ok Millie j'attendrais en tout les cas !!!!

Merci
Bisous

- Pourquoi diable ai-je cédé ? J'aurai pu rester dans les coulisses à dessiner, comme d'habitude ! Expliquez-moi pourquoi j'ai dit oui !
Maria-Eva était entrain de tourner en rond dans la loge, stressée comme pas possible.
- Parce qu'au fond, tu sais très bien que tu n'allais pas nous laisser tomber, fit Tom. Parce que t'es une fille bien.
- Ouais ben elle s'est mise dans un sacré pétrin la fille bien, répliqua Maria-Eva en s'asseyant. Les fans veulent me lyncher depuis que Georg a expliqué dans un bref communiqué que j'allais le remplacer à cause de son poignet cassé. Ils disent que pour protester, ils ne viendront pas aux concerts.
- Ceux qui disent ça sont stupides et ingrats, fit Gustav. Tu n'as rien à leur dire, parce que tu fais tout pour qu'ils puissent assister aux concerts. Ils seraient vraiment des abrutis s'ils ne saisissaient pas ce compromis.
- Calme-toi, continua Bill. Ou tu vas nous faire une crise d'asthme avant même d'avoir commencé à jouer...
Maria-Eva inspira profondément, pour tenter en vain de chasser la peur qui lui comprimait le coeur. Elle comprenait désormais le stress que les garçons affichaient avant les concerts.
- Les gars - et la fille, pardon - on ne va pas tarder à y aller, fit Saki en passant sa tête par la porte entrebaillée.
Maria-Eva perdit le peu de couleurs qu'il lui restait. Les garçons sortirent les premiers. Georg, qui était resté sur le canapé, fit soudain signe à Maria-Eva d'attendre.
- Prend ça pour jouer, lui murmura-t-il.
Maria-Eva regarda la main de Georg, celle qui n'était pas emprisonnée par le plâtre. Au creux de celle-ci, il y avait son médiator fétiche, celui qu'il prenait uniquement pour les répétitions. Celui qu'il ne lancerait jamais dans la foule, car c'était le premier qu'il avait acheté, quand il avait à peine huit ans. Un médiator noir, avec un dégradé à peine perceptible. Et au centre, une fleur de lys d'une blancheur éclatante. On sentait dans ce médiator toute la puissance du jeu de Georg, car c'était avec lui qu'il avait progressé pas à pas jusqu'à présent.
- Non Georg, je ne peux pas, bredouilla-t-elle C'est...enfin, c'est ton premier médiator ! Je ne mérite pas tant d'honneurs.
- J'insiste. Il te donnera confiance en toi. Et tu as tort. Tu as mérité le droit de t'en servir en acceptant le projet persque kamikaze que je t'ai proposé. Prend-le maintenant...
Elle le prit déliatement entre ses doigts. Georg avait raison. Elle sentait moins son stress maintenant qu'elle avait ce petit onglet dans la main.
- Merci, murmura-t-elle.
- De rien.
Il y eut un petit silence entre eux.
- Pourras-tu me rendre un service pendant les jours qui viennent? lui demanda-t-elle finalement.
- Dis toujours.
Elle lui tendit son appareil photo.
- Puisque je serai la bassiste, tu seras le dessinateur. Tu pourras prendre des photos pour moi, pour que je puisse quand même finir mon dossier?
- Sans soucis ma puce. Prendre une photo ne demande pas trop d'efforts à ma main en morceaux, répondit-il avec un sourire.
- Maria-Eva, tu viens? s'écria Tom.
- J'arrive !
Elle s'avança vers la porte.
- Au fait Maria-Eva? fit Georg avant qu'elle ne ferme la porte.
- Oui Georg?
- Quand tu seras sur scène, fais-moi plaisir. Défonce-toi. Démerde-toi pour que les mauvaises langues s'étranglent en t'entendant jouer.
Maria-Eva lui fit un sourire minuscule. Cela ne l'empêcha pas d'être heureux. Elle avait sourit, même si elle l'avait fait avec moins de conviction que d'habitude.

[...]

La salle était plongée dans le noir. Tom entonna les premiers accords de Schrei, pour bien commencer. Maria-Eva le suivit rapidement. Elle avait décidé de se jeter à l'eau. Elle ne remarqua pas le sourire de fierté qu'affichaient les garçons. En revanche, elle vit sans peine les banderoles couvertes de mots pas très gentils qui lui étaient destinées.

Tom lança un regard noir aux jeunes filles qui brandissaient à bras ouverts et avec une mesquinerie non dissimulée les grands draps blancs où l'on pouvait lire à l'encre rouge des phrases telles que "Tu ne seras jamais Georg" ou encore "comment arrives-tu à porter la basse sans tomber, mademoiselle maigre-comme-un-pouce?". Maria-Eva, elle, eut juste un sourire qui étonna les garçons. Avec le cadeau de Georg dans sa main, elle avait l'impression que plus rien ne pourrait l'atteindre.

Les lumières s'allumèrent progressivement au fur et à mesure qu'ils jouaien, pour finalement illuminer la salle brusquement lors du refrain.

Si dessiner un concert provoquait des sensations, y participer en tant que bassiste en provoquait d'autres plus euphorisantes, plus puissantes aussi, car les fans ne faisaient qu'un avec le groupe, grâce à la musique qu'ils partageaient.

Maria-Eva avait fini par oublier où elle se trouvait. Tout ce qui lui importait, c'était jouer, jouer, encore et encore, et apprécier chaque note jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus être capable de tenir debout. Plus rien n'existait, hormis sa basse, le groupe, et la musique.Georg avait raison. Elle avait l'âme d'une bassiste, même si cette âme était quelque peu refoulée.

Les fans aussi sentaient cette énergie qu'elle dégageait, puisqu'ils avaient arrêté de siffler et de huer, pour se laisser emporter par la musique. Et lorsque Maria-Eva, au milieu du concert, profita d'une pause entre deux chansons pour prendre trois ou quatre bouffées de ventoline, elle s'apperçut en revenant sur la scène que les banderoles rouges et blanches avaient disparu. Les fans s'étaient inclinés devant son jeu, ne voyant plus de raisons de l'accuser d'être une imposteure. C'était une petite victoire pour elle. Ils l'avaient acceptée.

Le concert sembla durer une éternité. Pourtant, toutes les bonnes choses ont une fin. Celle-ci se traduisit par un lancé de paillettes, comme d'habitude. Puis, les garçons saluèrent, en insistant bien pour que Maria-Eva soit entre eux. Elle avait bien mérité la place d'honneur. Et les applaudissements des fans ne faisaient que confirmer cette pensée.

[...]

Maria-Eva n'arrivait pas à dormir. Les émotions du concert étaient encore trop présentes en elle pour qu'elle arrive à fermer l'oeil. Elle profita donc du fait qu'elle n'allait pas dormir avant un petit moment pour descendre de la chambre commune du bus avec son bloc-notes et sa petite boîte remplie de photos. Elle voulait s'avancer au maximum, pressentant que ces prochains jours seraient chargés au niveau du dessin, et ce jusqu'au jour où elle devrait rendre le dossier à David, soit le six novembre, à huit heures précises.

Elle dut cependant s'avouer vaincue une heure plus tard. Le sommeil avait finalement reprit le dessus, alors elle s'empressa de se mettre au lit avant qu'il ne parte à nouveau. Elle s'endormit comme une masse, épuisée par cette journée riche en émotions, et qui avait commencé très tôt.
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Dsl pour cette longue attente!!!!! J'ai dû aider ma mère à préparer l'appéro pour les invités.

ça vous a plu?
Bizzz
Milie

C'est bizarre cette sensation que j'ai maintenant j'en ai eu des frissons en lisant ce passage !!!! C'est incroyable j'avais l'impression d'être présente !!!!!!!!!!

Qu'est ce que j'adore mais tu n'as pas le droit de t'arrêter la mais m'en fiche car S-7!!!!!!!!!!!!!!!!! lol

Suite ma belle !!!!!!!!!!!!

Bon, je peux pas plus attendre que ça. x] Je tombe, là.
J'ai hâte de voir ce que ça va donner, cette histoire de remplacement.
C'est génial, et j'envie ton imagination. =)

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Ok, le temps que je poste ce truc, la suite est arrivée. Je lis. (L)

(L)
J'adore.
Je savais qu'elle allait maîtriser, huhu.
Sur ce je vais au dodo, moi n_n.
Merci =)

Mimi
Mon dieu
C magnifique
Tu arrives à décrire les situations comme si tu y avais vraiment assister
Jai l'impression de te prendre pour Maria-Eva
Je suis completement perdu
J'arrete pas de pleurer et je ne sais pas pourquoi
pfffff T'a fic me donne un mal de ventre pas possible j'ai un peur que quelque chose n'arrive à Maria-eva pendant le concert mais elle était protégé
Par le gri-gri de Georg.
Le petit saint-Georg.
Breff
Suite
S'il te plait
Kiss