[T.] 33 Kilos d'Espoir... (2ème Topic)

Coucou Ma Killeuz'
On m'a Dit Que Les Bonnes Choses Ont Une Fin
Mais Toi Je Ne Veux Pas Que Ca S'arrete !
Oh Ca Non
Tes Mots Sont Ma Drogue
Je M'envole Dans Le Ciel où je vois Mon N'Eytoile ( Clin D'Oeil a Marie)

Stp Ma Killeuz'
Fais moi encore rêver !

Jtaime Tres Fort
<33[center]

Merci Ariane pour tes mots...
J'suis contente que tu aies pu dormir un peu quand même.

Je vais vous taper la suite maintenant. En revanche, je ne sais pas si j'aurai fini avant qu'on aille au resto pour l'annif de mon géniteur...on verra bien. Je vous préviendrai de toute manière ^^.

Bizzzzz
Milie

Ahh C'est Gentil ma Killeuz' !

Non, désolée les filles, j'aurai pas le temps. L'inspiration ne me vient que par à coups, et ma soeur me tanne pour avoir l'ordi ><...

Je vous taperai ce que j'aurai écrit demain matin, voire ce soir après le resto, mais seulement si on ne rentre pas trop tard (faut pas trop compter là-dessus quoi...)

Bonne fin de soirée tout le monde, et encore dsl.
Bizzzzzz
Milie

maurane-TH a écrit:

Coucou Ma Killeuz'
On m'a Dit Que Les Bonnes Choses Ont Une Fin
Mais Toi Je Ne Veux Pas Que Ca S'arrete !
Oh Ca Non
Tes Mots Sont Ma Drogue
Je M'envole Dans Le Ciel où je vois Mon N'Eytoile ( Clin D'Oeil a Marie)

Stp Ma Killeuz'
Fais moi encore rêver !

Jtaime Tres Fort
<33[center]

Désolée ma Bouleuz'...j't'avais pas vue...
Bah pardonne-moi de te couper de ta drogue...demain, tu auras une dose plus forte ^^ (en espérant que tu ne fasses pas d'overdose><)

Allez, je dois filer
Bizzzzz
Milie

suite stp!! =D

Re Ma Killeuz' !

Jtai ecrit Mon MP
Pas Mal , je suis fiere de moi.


J'attends de toi une Suiite !
Mais Aussi (si tu as le temps ) une reponse au MP

Jt'aime Fort B'sx

Edit: Jai fait la 50 eme Page!
Vive Moi Ptdr

<33

Suite Millienette

De la part de justine:

je t'adore j'adore trop ta fic et je veux une suite dans les prochaines minutes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

On Est Plusieurs A T'Attendre Ma Killeuz'!

Suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeee

Me revoilà.
Dsl pour ce retard...

Ariane, moi non plus je veux pas. Et je pense que personne ne le veut ici. On veut toutes qu'elle se rétablisse, qu'elle aille mieux, et qu'elle vive heureuse jusqu'à un âge avancé, toujours à tes côtés, et avec, pourquoi pas, si le ciel le permet, une ribambelle d'enfants et un homme qui l'aimera et la comblera...
Sache qu'on est toutes avec toi, et avec elle.

Allez, je vais vous taper votre suite. Elle est pas finie. Mais j'ai déjà écrit une petite partie.
Bizzzzz
Milie

Maria-Eva jeta un bref regard à l'horloge de la cuisine. 6h00.

Elle soupira, et s'accorda une courte pose, le temps de faire le tri dans ses pensées, et de mettre en route une nouvelle tournée de café. Elle en était à sa septième tasse, et pourtant la fatigue l'écrasait avec autant de poids que lorsqu'elle avait quitté Bill.

Elle avait fini ses derniers dessins, et avait légendé une bonne partie de ceux qui composaient le dossier. Mais le plus dur restait à faire. En effet, elle devait trier et choisir les dessins qu'elle mettait dans le dossier, car elle en avait fait près de 300, plus du double que ce que David lui avait demandé. Trop, définitivement trop.

Elle remplit sa tasse de café fumant, et retourna à la petite table du salon, où tous ses dessins s'enchevêtraient en plusieurs piles qui se confondaient parfois, véritable labyrinthe dont elle seule pouvait comprendre le sens, témoins extraordinaires de toutes ses semaines passées sur les routes de France, d'Allemagne, de Belgique, d'Italie et d'Israël en compagnie des Tokio Hotel.

Elle avala le contenu de sa tasse en grimaçant, et la posa contre le pied de la table. Sa pose était finie. Il ne fallait pas qu'elle s'attarde trop. Son travail n'était pas fini, et l'attendait de pied ferme.

Alors qu'elle se replongeait rapidement dans ses dessins, Véronica s'approcha et s'assit près d'elle, très pâle, l'air peu rêveillé.
- Que fais-tu debout de si bonne heure? lui demanda-t-elle, surprise de sa présence, car elle était réputée pour être une vraie marmotte, tout comme ses cousins.
- Nausées, grommela Véronica. Obligée de me lever pour courir aux toilettes...
- C'est la punition que tu reçois pour avoir fait des cochonneries un soir, trois mois plus tôt, fit Maria-Eva en souriant.
- Mais madame la juge, ce n'était pas ma faute, plaida Véronica en, lui faisant une moue. Comprenez-moi, je n'ai pas pu résister à la tentation. ça fait tellement de bien quand on se trouve dans un lit avec l'homme qu'on aime...On devient rapidement dépendant, je vous le jure...
Elles éclatèrent de rire.
- Non mais vraiment Véronica, tu abuses...Espèce de nymphomane va ! Gustav il va te fuir si tu continues comme ça...
- Nan, pas de soucis...Il est aussi nymphomane dans son genre...Jamais rassasié.
- Je me passerai des détails, fit Maria-Eva en faisant un signe de croix, ce qui déclencha de nouveau leur fou-rire.
- En parlant de détails, dit Véronica, profitant de cette perche lancée à bras ouverts, c'était comment cette première nuit avec Bill?
- Ce n'était pas la première nuit qu'on passait ensembles, répondit Maria-Eva avec un sourire.
- Tu sais très bien ce que je veux dire...Je parlais de votre première nuit en couple.
- Tu nous as entendu? demanda Maria-Eva, en rougissant très légèrement.
- Non. Disons que Gustav et moi nous étions nous aussi très occupés de notre côté, et qu'on n'a pas pensé à tendre l'oreille vers votre chambre...
- Je plains vraiment votre gosse. Il a des parents insatiables...Pire que des lapins.
- Hey, je t'interdis de nous comparer à ces trucs ! Nous au moins, on ne fait pas un gosse à chaque fois...
- Peut-être. Mais il sera traumatisé, j'en suis sûre.
- Mais non. Il sera l'amour même. Un gamin adorable, je l'espère, comme Gustav quand il était tout petit...
- Finalement, c'est un garçon ou fille? demanda Maria-Eva.
- Sais pas. Il faut attendre le cinquième mois pour connaître le sexe. J'aimerai bien une fille. Gustav lui, dit que ça n'a pas d'importance, tant qu'il ou elle apprendra à jouer de la batterie comme son père...Mais je persiste à penser qu'une fille ça serait mieux. Elles sont moins chiantes... Tu en penses quoi?
Maria-Eva regarda la table basse, plongée dans des souvenirs douloureux.
- Personnellement, pour moi une fille ou un garçon c'est la même chose. C'est...c'est une expérience que je ne pourrai plus jamais faire.
- Oh Maria-Eva, excuse-moi, fit Véronica, troublée. Je...je ne voulais pas qu'on en arrive à parler de ça...Je suis décidément spécialisée dans les boulettes...
- C'est pas grave, répondit Maria-Eva en détournant son regard de la table. ça fait aussi partie de la vie, ça. J'ai fini par m'habituer au fait que je ne ferai plus jamais d'enfants. Ne t'en fais pas.

Elle se mentait à elle-même, elle le savait. Car c'était impossible d'oublier ce petit être qui avait grandi pendant quatre mois dans son ventre, et qui commençait à lui donner des petits coups lorsqu'elle lui avait retiré la vie. C'était impossible de penser aux sensations merveilleuses qu'elle avait ressenties lorsqu'elle était enceinte, et de se dire qu'elle ne retrouverait jamais ce sentiment de bonheur, et de joie à l'idée de ce petit truc informe qui doucement se formait, chair de sa chair...C'était impossible de dire qu'elle s'y habituerait, car elle n'y arriverait jamais. Mais elle se mentit quand même. Parce qu'elle ne voulait pas que Véronica pense à cette vie arrachée, et à celles qui ne viendraient jamais. Les pensées de Véronica devaient être concentrées en ce moment sur ce présent et cet avenir qui se profilaient en elle. Pas sur le passé, ou sur un avenir qui ne lui appartenaient pas.

Il y eut un court silence, qu'aucune des deux ne voulait briser. Comme souvent, Véronica reprit cependant la parole.
- Tu es levée depuis longtemps je suppose, pour terminer ça...dit-elle en lui montrant les dessins.
- Tu supposes juste, répondit Maria-Eva, en revenant à la réalité.
- Mais tu n'as toujours pas fini?
- Je dois faire les légendes. Et puis trier.
- Pourquoi trier? lui demanda Véronica, surprise.
- Parce que j'ai fait 300 dessins, au lieu des 150 demandés. Il y en a trop.
- Tu ne vas quand même pas jeter la moitié de ton travail comme ça, par la fenêtre, juste pour remplir les consignes de David?
- Non, pas les jeter. Juste les mettre de côté.
- Je trouve que tu fais une erreur. Si tu as fait ces 300 dessins, c'est parce que chacun d'eux était nécessaire pour donner vie à cette tournée. En mettre la moitié de côté, c'est comme si tu effaçais toute une partie de la tournée...
- Que me conseilles-tu dans ce cas? lui demanda Maria-Eva, lasse.
- Rend-lui tout en l'état. Fais juste les légendes. Il se débrouillera avec. Je te parie ce que tu veux qu'il sera content, et qu'il va partager ton dossier en deux parties, pour se faire plus d'argent...
- Tu le carricatures...
- Un peu. Juste un peu. Après tout, s'il peut faire plus de profit pour lui, pour toi et pour le groupe, il saisira l'occasion...
Maria-Eva regarda ses dessins.
- Tu as peut-être raison...
- Pas peut-être, répliqua Véronica avec un sourire. J'AI raison...
Maria-Eva lui sourit. Véronica étouffa un baillement.
- Je crois que je vais aller me recoucher. Les nausées se sont calmées. Ce petit démon m'en fait voir de toutes les couleurs, dit-elle en se touchant le ventre.
- ça ne t'empêche pas de l'aimer, hein?
- Non. Je crois que je l'aimerai moins s'il ne me faisait pas tourner en bourrique comme ça...A tout à l'heure Maria-Eva. Bon courage.
- Merci. J'en aurai besoin.
Véronica retourna dans sa chambre, la laissant seule avec ses appréhensions, et son stress grandissant.
Elle regarda une énième fois la montre de l'horloge. 6h30. Dans une heure, elle sortirait de l'appartement, et prendrait le métro pour se rendre jusqu'à la maison de production de David. Une heure, même pour finir les légendes, ça serait juste. Très juste. Ses doigts qui se crispaient sur le papier au fur et à mesure qu'elle écrivait des phrases sur le papier le montraient bien.

________________________
Alors???

Je vous préviens d'avance, mais peut-être que cette suite sera la dernière du week end. Je suis vraiment débordée. J'vais trépasser de stress. Et pourtant, j'ai même pas de contrôle. Juste une saloperie de tpe qu'on est sensé avoir fini pour dans deux semaines, et qui n'avance pas...Pourquoi je sens qu'on y arrivera pas??? C'est con ces putains d'appréhensions. C'est con le stress. C'est con ce truc qui compte coef 2 au bac...

Bizzzzzous les filles, je vous aime...Contenez à me soutenir s'il-vous-plait, parce que ces temps-ci je coule...
Milie

Ki§@ a écrit:

oui mais vous ne savez pas
tout sa c'est a cause de moi
parce que je ne sais pas me fixer de limite
je crois que plus loin je serai delle
mieux elle ira
meme si on c'est fait une promesse
et qui c'est je partirai peut etre avant elle...

Tu nous avait déjà expliqué cela...que tu ne savais pas te fixer de limites...Mais permet-moi de penser que justement, plus près d'elle tu seras mieux elle ira, et non pas plus loin...

C'est quoi ce sous-entendu à la dernière phrase? Je veux pas que tu penses à ça, je ne veux même pas que tu imagines que ta mort est une solution...Car c'est faux. Archi-faux. La mort ne résout jamais rien. Je le sais, je suis une ancienne suicidaire...enfin, ya toujours des rechutes. Mais moins qu'avant.

Tu me rassures. Même si tu me balances mon putain d'égoïsme en pleine gueule (bien que je n'ai pas parlé de dvd...Mais d'autres choses. Fin bref, passons. Tu me l'as quand même balancé à la gueule, et...ça fait autant de mal que de bien) .

Tu savais que je t'aimais, Ariane, même si je ne peux pas dire qu'on se connaît, car je sais encore trop peu de chose sur toi ? Tu savais que ça me faisait du bien de lire tes coms, tout en me faisant souffrir ? Tu savais que petit à petit, t'as pris une grande place dans mon petit coeur?

Putain, encore ma putain de sensibilité qui me bouffe...faudrait qu'on me tue, parce que j'ose souiller mon clavier de mes larmes...Faudrait qu'on me tue, parce que j'ose dire que je te comprends, alors que c'est impossible, car nos situations sont extrèmement opposées... Faudrait qu'on me tue, qu'on me condamne parce que je cherche toujours à ramener l'espoir...Faudrait qu'on me tue, et ma vision positive de la vie avec. ça ferait une naïve conne de moins sur Terre...et finalement ça serait pas plus mal...

Bizzzzzz
Milie