[T] Nous étions.

Ouah elle est génial cette suite! Vivement les autres!!! Rien à dire de plus! J'aime toujours autant!

Suite!

XxLenaxX- a écrit:

J'avoue Ne pas tout comprendre mais une chose et sure,je veux une suite. x3

C'est quoi que t comprends pas?

salut c'est Laureline elle est trop bien ta fic ca change des fics habituelles ou l'heroine veut juste sortir avec un des TH lol bon je crois que je vais suivre ta fic lol en plus en general j'en suis pas beaucoup donc c'est que la tienne me plait vraiment^^ suite!

Hey merci à moi lol!

justetokiohotel a écrit:

Hey merci à moi lol!

mdr bouffone

J'en ai le coeur tout retourné.

Quand je lis j'ai des étoiles dans les yeux. J'te jure j'les vois ces putains d'étoiles qui sont pourtant trop loins pour que je les attrape. Alors une foix qu'elle sont plus là, je comprend que c'est ta façon d'écrire qui me les fait voir ses étoiles.

Des histoires sur ce forum j'en ai lues. Et les meilleurs de ces histoires, leurs auteur(e)s lisent la tienne. Alors profites-en et fait nous rêver avec tes mots.

J'veux revoir les étoiles.

Une suite arrivera demain.
Juste le temps de me poser un peu.
De bien commencer la semaine.

MERCI encore à tous...
J'sais pas quoi vous dire, c'est horrible ôO

Cinquième partie.
La fin peut paraître surprenante, peut-être mal écrite, difficile à imaginer (?) mais moi, je l'aime comme ça. Juste. Comme ça. En espérant ne pas vous décevoir.

Et la pluie frappe contre la vitre.

Dans la voiture, ça sent les beignets frits et la transpiration. Un type au visage de gobelin lui pose des questions, le tiraille de regards obliques, de sifflotements supposés innocents. Mais son visage ne se décolle pas de la vitre, et son nez commence à s’y coller doucement. Il sent le froid s’infiltrer dans ses narines, entrer en lui, faire le tour de son cerveau et ressortir par où il était entré. Ses cheveux sont trempés et ses lèvres gercées commencent à peine à cicatriser. Dans la poche, un paquet de cigarette à peine commencé, un briquet qui ne fonctionnait plus, et un numéro. 09-12-81. Ce papier, c’était la base de toute sa vie. Gabriel le froissa, et essaya de ne plus y penser.

Gustav est à ses côtés, les autres n’ont pas pu venir. Celui-ci lui a apprit qu’ils formaient un groupe, avec un autre garçon, nommé Georg, qu’il n’avait pas encore rencontré. Ils se faisaient appeler les Tokio Hotel. Gabriel l’avait regardé en biais, pour dire que c’était un nom bizarre, pour un groupe, qu’il n’avait jamais vu Tokyo, mais que sur les photos, ça le faisait rêver. Même si la bouffe japonaise le faisait gerber tripes et boyaux.

Ce soir, tout New-York était de sortie, et alors que les deux jeunes hommes entretenaient un silence qui ne gênait ni l’un, ni l’autre, une dizaine de taxis jaunes semblaient presque flotter au dessus des rues. Les bars se remplissaient, et il tuerait pour être bourré. Le flic est moche. Gabriel avait l’habitude d’être interpellé par la police, mais il avait toujours eu la chance de tomber sur des jeunes officiers, avec qui les interrogatoires n’avaient été qu’une suite de soupirs et de courbatures. Mais aujourd’hui, rien n’était plus pareil.

- Avec qui parlais-tu dans la salle de bain ?

La voix de Gustav lui titilla l'échine.
Un choix s'imposait. Devait-il lui mentir ? Lui dire qu'il s'était endormi, prétendre le cauchemar, la crise de somnambulisme ? Ou devait-il lui dire la vérité, la brute, celle qui dit que Gabriel a des accès de schyzophrénie profond et des hallucinations plus vraies que n'importes quelles peaux qu'il avait pu toucher ?

Le jeune homme regarda son interlocuteur intensément. Toujours se donner cet air serieux, de celui qui a tout vu, et qui n'a peur de rien ni de personne. Il était le Dom Juan de New-York. Et son Enfer, c'était son autre lui qui sommeillait quelque part.

- C'était Johan. Enfin, non, il était pas vraiment là. Mais dans ma tête, si, tu comprends ? J'ai pu sentir son corps, et... son coeur, battre, c'était, oui il était près de moi, et j'avais cette envie terrible de le toucher, comme j'ai envie de te prendre la main maintenant, parce que j'ai peur, que je me pêle, et que j'ai besoin de la main de quelqu'un, maintenant tout de suite, mais non, je ne le ferais pas, parce que je risquerais de la serrer bien trop fort pour toi, oui, on m'a toujours dit que je n'avais aucune conscience de ma force.
- Il y'a un truc qui permet de rester en vie et qui s'appelle respirer. Tu devrais essayer, ça marche parfois.
- Tu sais, tout ça, notre horloge biologique et tous ces trucs, je crois que je la sens tourner à l'intérieur de moi, et elle va trop vite, et Gustav, je crois bien que je me perds, et que j'en ai marre d'être un mécanisme. Parfois, il serait bon d'arrêter de respirer, d'ouvrir les yeux, et de voir que le monde ne change pas quand on essaie pas de l'ingérer. Le monde n'a pas besoin de nous, il vit parfaitement bien sans nos présences. Alors pourquoi on se borne à continuer d'y vivre, tu peux me le dire ?

Sans s'en aperçevoir, Gustav jouait de la batterie avec ses doigts sur son jean rapiécé aux genoux. Il avait l'air tellement concentré que Gabriel en était admiratif. Et il regardait son épaule qui semblait si solide, et le jeune homme eut soudain envie d'être l'un de ses os pour être en sécurité. Le batteur réajusta sa casquette sur sa tête, et, dans un long soupir, regarda le nouveau venu.

- On doit vivre parce que tous les masques finissent par devenir obsolètes.

Alors, les deux mains de Gustav se posèrent sur les yeux du policier qui conduisait. Celui-ci se confondit en insultes, l'appelant par tous les noms possibles. Et là, Gabriel eut envie de rire, parce qu'il savait qu'il allait mourir, que tout était fini, enfin. Le flic perdit le contrôle du véhicule de fonction, et lorsqu'il entra dans un épais camion de livraison, sa tête se fracassa sur le volant. Derrière lui, deux corps sans ceintures s'entremêlaient sans mots.

J'aime. Ils vont pas mourrir, hein ?

Mais j'ai pas pu m'en empêcher alors...
ligne 14, t'as dit bouffe chinoise et Tokyo c'est au japon.
Et ligne 49, t'as écrit bassiste mais Gustav est la batteur.

Je suis chiante, n'est ce pas ? x)

haaannn choquée je m'y attendait pas du tout lol en tout cas je trouve ca toujours aussi bien^^

Ou pareil choquée de la fin de la suite pitié ne me dit pas que c'est aussi la fon de ta fic hein????

Bon suite et oui Gustav et le batteur! Arg mes yeux on sauté se passage parce qu'ils n'aiment pas lire des trucs comme ça mdr honte à toi Micka de les confondre lol

Citation :

ligne 14, t'as dit bouffe chinoise et Tokyo c'est au japon.
Et ligne 49, t'as écrit bassiste mais Gustav est la batteur.

Bon suite et oui Gustav et le batteur! Arg mes yeux on sauté se passage parce qu'ils n'aiment pas lire des trucs comme ça mdr honte à toi Micka de les confondre lol

Rassurez-vous, je ne confonds pas les membres du groupe, seulement les mots " batteur " et " bassiste ", c'est un daltonisme des mots

Tu sais, là, c'est un des moments ou le silence devrait être maître. Mais voilà. Je marque juste ma présence.
Je suis bluffée, anéantie.
Mais chut.

[...]

Oui suite Micka!