[T] S'oublier dans l'infini.

Ouais, y a du laissé aller.

Han.
NE REJETTE PAS LA FAUTE SUR MOI.

"FIOUFIOUFIOUBAM."


Je vais l'avoir longtemps dans la tête ça. xD

xD. Moi j'ai la chanson des Bisounours en tête.
Merci qui ?
Merci Bill.

Carmen vira rapidement les deux jeunes hommes prétextant un mal de tête et une forte envie de dormir. C'était plutôt une envie de se retrouver seule. De faire le point.
De réfléchir à ce que lui avait proposé Lukas. Travailler.
Elle ne s'en sentait pas le courage pour l'instant.
Mais elle allait essayer de reprendre ses études.
Carmen savait que ça allait être un choc, mais tant pis.
Elle fouilla du regard la pièce pour essayer de retrouver ses affaires de lycée qui n'avaient pas bougé depuis le soir du lendemain de la rentrée scolaire.
Son sac noir Chanel était échoué sur un canapé. Les livres et papiers administratifs étaient sans doute encore dedans.
La jeune fille appela le service d'hôtel, lui demandant de venir la réveiller à 6 heures le lendemain matin, et tomba dans un profond sommeil.


***

Carmen regarda une énième fois sa montre. Ce premier cours n'avançait pas. Un papier atterrit sur sa table. Elle se retourna et se retrouva face à un garçon qui lui fit un clin d'oeil.
Sa moue exaspérée déconcerta le jeune homme.

"Mademoiselle Conacida ! Je vois que richesse n'est pas mère d'écoute !"
Carmen se retourna et leva des yeux foudroyants sur son prof de français.

"Monsieur... (elle parcourut des yeux son emploi du temps) Durnet. J'aurais du me rappeler que tête de con entraîne caractère de con."

"Cela me concerne-t-il jeune insolente ? "

"A vous de voir..."

L'air enjoué de la demoiselle fit rougir le professeur d'âge mur.
Elle les attrapait tous. Sans exception. Cependant le professeur reprit rapidement contenance.

"Dehors ! Et plus vite que ça ! "

"Avec plaisir. Et cher...(elle jeta un oeil au papier atterri sur sa table quelques minutes plus tôt) Quentin, je n'ai aucune que mes dents blanches te fassent comme tu le dis un collier pour ton intimité."

Le concerné prit une teinte rouge pivoine.
Carmen quitta la classe sous les éclats de rire.

Les courants d'air du couloir la firent frissonner.
Son slim était fin, et laissait le vent froid lui caresser les jambes.

Elle se dirigea vers le bureau du principal, l'air absent.

Quelques heures et une remontrance plus tard, elle se dirigeait vers la sortie de l'établissement.
Un attroupement aux grilles du lycée attira son attention.


"Oh c'est luiiiii !! Bill Kauliiitz !!"

La stupeur fit s'arrêter Carmen un instant.
Cependant, une voix surgit de la masse de jeunes filles et l'interpella.
Bill fendit la foule en direction de la jeune femme.

"Carmen. Bitte rette mich."
Les yeux de chien battu du chanteur firent craquer la blonde.

Avec un éclat de rire, elle entraîna son ami en poussant toutes les petites groupies et ils se retrouvèrent rapidement à l'air libre.

"Danke sehr."




__________

J'aime pas ce que j'ai écrit. C'nul ><

Darling.
Si c'est nul, moi je suis aussi conne que Bill.

xD.
Donc c'est pas nul, hein ? xD
Rassure moi sur ton avis.
Nan parce que c'est génial (L)

Non c'est pas nul, j'aime, j'aime *__*
Je repondrais sa a mon prof la prochaine fois x'D
Suite encore

nouvelle lectrice!!!
jaime bien ta fict!
une suite stp!!!

J'ai -ENFIN- réussi à m'arrêter de rire.


xD

Bravo.
On applaudit Liv.

La suite ? xD

On est toute fiere de toi
Pour la peine... La suite ? :p

La suite ce week-end. =)

M*rde j'avais oublié. Je vais essayer de l'écrire ce soir. =)

Pour une interne, le week end sa s'oublie pas
Suiiite

Tu métonnes

Le cable de la batterie pour l'ordi' de Liv est mort [Amen]
Je sais pas quand on aura la suite. n__n

Oh non Y__Y

Ils étaient tous les deux, serrés l'un contre l'autre, à observer les lumières de la ville.
La butte Montmartre était le meilleur endroit pour cela.
La main de Bill pressait doucement celle de Carmen.
Tout n'était que douceur à cet instant, et rien ne venait troubler cette quiétude dont tous les deux n'avaient pas goûté depuis longtemps.
Minuit était passé, cela faisait maintenant plus de 6 heures que les deux jeunes gens avaient disparu de la vie active qu'ils menaient chaque jour.
6 longues heures pour leurs familles et amis, 6 courtes heures pour les deux amis. Car oui, il n'y avait que de l'amitié ce soir-là. Mais une forte amitié. Que les gens avaient trop souvent tendance à confondre avec de l'amour.
L'inquiétude de leurs proches se traduisait par les nombreux gyrophares bleus qu'ils voyaient passer dans les rues de Paris.
On les recherchait.
Mais ils n'avaient pas envie d'être trouvés.

La butte Montmartre était le meilleur endroit pour cela.

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Oui mon ordi est mort, j'ai tapé cette suite directement sur le fo'.
Je squatte l'ordi de ma mère. n_n
Bon bah j'espère que ça vous plaira...
Bisous (L)