[T] 33 Kilos d'éspoir [3ème Topic].

J'ai presque fini, dsl j'étais partie manger...

J'essaie de trouver une chute d'enfer en fait...Histoire de vous faire péter un bon fou-rire pour la fin.

Bizzzzz
Milie

xD ne connais pas SW et fière de ça !
'fin je connais mais j'ai jamais re-gar-dé.
nia.

mdr Ez...rolalah, t'as pas manqué grand chose, à part une poussée d'adrénaline ^^

Bizzzzzz
Milie

En effet ont ne se connais pas vraiment mais moi je suis une fille qui est sociable et qui adore faire des nouvelles connaissances ^^

j'attend une suite ! =D

Milietrom a écrit:

Love-twins: Premier com: T'es sûre que ça existe une cure de désintoxication pour ma fic??? Parce que faudrait que j'm'inscrive au centre...ça me ferait pas de mal. Ma fic, sérieux, j'y pense tout le temps. Même dans mon sommeil...j'me demande comment j'pourrais écrire des passages sans trop vous choquer, ou encore comment vous faire rire pour vous redonner votre bonne humeur...Alors une cure ne serait pas de refus ^^
Deuxième com: J'ai à peu près réappris à sourire...je peux poster maintenant? pour vous faire sourire vous aussi ^^
Troisième com: Ta cure n'a pas marché? Ben merde alors...elle marchera pas non plus pour moi ^^

La cure existe mais elle ne pas marcher je suis toujours autant accro .. Quand je viens c'est pour voir si tu nous a mis une suite et maintenant que tu réapris à sourire tu peut nous mettre une suite ..
Je suis trop en manque de tes mots là ..
Bisous

Une suite viiite !! Je suis en manque !!

Je tape, je tape...

Bizzzzzz
Milie

Cela faisait trois heures qu'elle tournait en rond dans ce couloir à la blancheur cadavérique, cherchant en vain des réponses au sol et sur les murs.

Elle avait fini par s'asseoir sur une chaise, tremblante d'anxiété et de peur, mais n'en profitait pas moins pour se ronger les ongles jusqu'au sang. Elle ne pouvait s'empêcher de regarder l'horloge murale toutes les deux minutes, détestant plus que tout ces aiguilles qui semblaient ralentir le temps à l'aide de leur tic tac oppressant. Elle aurait aimé s'enfouir six pieds sous terre, pour ne plus penser à ces remords et à ces souvenirs qui la dévoraient, fauves invisibles qui prenaient son coeur en otage. Mais elle restait malgré tout là, le regard fixé sur l'horloge maudite, la tête comme chauffée à blanc par toutes les pensées qui y défilaient.

Son téléphone sonna soudainement, la faisant sursauter. Fébrile, elle ouvrit le clapet, craignant plus que tout cet appel, qu'elle attendait tout en ne souhaitant pas qu'il vienne.
- Allô? fit-elle d'une voix qui l'étonna elle-même par sa faiblesse.
- Où es-tu? lui demanda Tom, très anxieux. Véro est-elle avec toi?
- Elle était avec moi il y a encore trois heures. Mais là, elle est au bloc.
- Au bloc? Quel bloc? Où êtes-vous?
Ces réponses vagues qui disaient tout en ne disant rien l'inquiétaient de plus en plus.
- On est à l'hôpital. Véro a eu un... problème avec le bébé. Elle est au bloc opératoire.
- Et merde... C'est grave? Ils pourront le sauver? demanda-t-il, espérant une réponse pas trop pessimiste.
- Je n'en sais rien, Tom. Les médecins n'ont rien voulu me dire. ça fait trois heures qu'ils essaient d'arranger les choses, en tout cas.
- ... On arrive tout de suite.
Elle aurait voulu lui dire que ce n'était pas la peine, et qu'elle pourrait les appeler quand ils auraient du nouveau. Mais il avait déjà raccroché. Elle devrait affronter leurs regards et leurs mots, qu'elle le veuille ou non.

[...]

Elle fut surprise de voir Gustav et Tom arriver seuls.
- Où est Bill? demanda-t-elle
Elle maudit sa langue d'avoir fait sortir cette phrase sans qu'elle ne puisse l'en empêcher. Mais voilà, ce qui était fait était fait. Elle ne pouvait rien y changer.

Tom jeta un bref coup d'oeil à Gustav, puis se décida à répondre.
- A la maison de disques. Il règle ses comptes avec la presse dans une conférence… improvisée. Georg est resté avec lui, pour le calmer si besoin est.

Ils s’assirent à côté d’elle, l’encadrant entre eux deux. Elle se sentait tellement mal maintenant qu'il avait parlé de conférence... Car c'était elle la raison de toutes ces emmerdes, elle le savait bien. Et ça la tuait à petit feu, ça lui déchirait le coeur. C'était comme des coups de poignards qui pénétraient chaque centimètre carré de son corps. Elle étouffait à cause de cette boule qui lui comprimait la gorge. Elle allait fondre en larmes si elle ne se contenait pas, elle le sentait.

Soudainement, une main vint prendre la sienne, et la serra. Elle tourna la tête. C’était Gustav qui lui serrait la main ainsi. Il avait la tête baissée et les yeux fermés. Son visage, encore une fois, était inexpressif, mais sa poigne témoignait bien des sentiments qui le tiraillaient. Il était horriblement inquiet pour Véro et le bébé. Il savait que les médecins pouvaient à tout moment leur dire que c’était fini, et qu’ils étaient partis dans le monde d’en haut. Cette pensée lui donnait envie de vomir.

Bien sûr qu’il avait envie de hurler. Bien sûr qu’il voulait se lâcher, et pleurer pour atténuer la peur… Mais il ne pouvait pas. Tout restait en lui, comme un feu intérieur qui brûlait tout. Il ne pouvait pas se laisser aller. Il fallait qu’il reste fort. Après tout, il restait encore de l’espoir. Voilà pourquoi il serrait la main de Maria-Eva. Au fur et à mesure que les aiguilles de l’horloge tournaient, il serrait de plus en plus fort, inconsciemment. Et cette poigne douloureuse, Maria-Eva la comprenait. Elle se mit elle aussi à serrer. Et mine de rien, ça faisait du bien. Ça remplaçait tous les cris silencieux.

Après une attente qui leur semblait interminable, où ils ne pipèrent mot, un monsieur en blouse blanche sortit enfin du bloc. Ils se levèrent tous d’un même geste.
- Elle va bien, dit le docteur, coupant court à leurs questions. Et le bébé aussi. Mais ce n’est pas passé loin. Il lui faudra beaucoup de repos, et surtout pas de source de stress. C’est son agitation qui est à l’origine de son début de fausse couche. Ménagez-là donc, et empêchez-là de se faire trop de soucis, et de rester debout trop longtemps quand elle sortira.
- Puisque vous en parlez, quand est-ce qu’elle sortira de l’hôpital ? demanda Tom.
- D’ici deux ou trois jours, le temps qu’elle reprenne des forces.
- Je peux la voir ? fit Gustav, soucieux.
- Vous êtes le père?
- Oui.
Le médecin le regarda, hésitant.
- Allez-y, dit-il finalement. Mais elle est encore en réanimation. Elle ne se réveillera pas avant demain.
- Ce n’est pas grave…Merci. Merci pour tout.
- Pas de quoi.
Le médecin partit, les laissant seuls tous les trois. Tom prit Maria-Eva par la main.
- Bon Gustav, on va te laisser, dit-il. Tu dois la voir seule, on ne veut pas la fatiguer encore plus…
- Ok. Je lui dirai bonjour de votre part.
- Au revoir Gustav.
Maria-Eva lui fit la bise, les larmes aux yeux. Gustav lui caressa la joue, puis il salua Tom, et alla vers la salle de réanimation sans faire de bruit. Les deux autres prirent le chemin du retour.
- Viens, on va rentrer à pied Maria-Eva, dit Tom. Ce n’est pas très loin de chez nous, et puis à cette heure, il n’y a personne dans les rues.
Elle acquiesça sans rien dire. Ils marchèrent dans les rues pluvieuses, côte à côte, un silence gêné au bout des lèvres.
- Tu sais, dit Tom finalement, Bill s’en veut de t’avoir emmenée te balader à Loistche hier. Il dit que tout est de sa faute.
- Ce n’est pas vrai. Il n’a rien à voir là-dedans…Il n’a pas à s’en vouloir si mes erreurs du passé se sont retrouvées dans un journal. Ce n’est pas lui qui les as crées, ces erreurs…C’est moi, et moi seule.
- Tu n’arrêteras donc jamais de te flageller pour te punir d’avoir pris un jour un mauvais chemin? Tout le monde fait des détours hasardeux avant de trouver la route du bonheur…
- J’en ai fait trop, des détours.
- Je ne crois pas tout ce que dit ce journaliste.
- Tout n’est pas vrai. Mais une grande partie l’est. Je te l’ai déjà dit, il ne faut pas se fier à mon air fébrile. Si je suis comme je le suis aujourd’hui, c’est que je l’ai cherché.
- Arrête. S’il te plait, arrête de te faire du mal comme ça…ça ne te mènera à rien.
- Qu’est-ce que je dois faire dans ce cas ?
- Ne pas prendre le large, déjà. Parce que je sais que tu veux partir.
Elle ne nia pas, mais ne dit pas que c’était vrai non plus.
- Et puis…Parle, pleure, crie, fais tout ce que tu veux, mais laisse tes mauvais souvenirs et ta honte partir. Ne laisse pas tout à l’intérieur de toi. Bill…Bill est malade de te voir refouler tout ça en toi…Il ne dit rien, mais je suis son jumeau, je sais qu’il souffre. Il a besoin que tu laisses ton passé derrière toi, il a besoin que tu ailles de l’avant pour qu’il aille de l’avant lui aussi… Parce que tu as beau penser le contraire, ce n’est pas un article qui va creuser un fossé entre vous, qui va briser l‘amour qu‘il te porte. Il t’aime, et il t’aimera quels que soient les combats que vous aurez à affronter…Alors s’il te plait, ne le laisse pas tomber. Ne sombre pas. Arrête de penser qu’il ne pourra pas supporter les révélations que tu as encore à lui faire. Il est costaud mon frangin…Pire que de la mauvaise herbe…On a beau lui foutre un tas de merde sur les épaules, il repousse toujours, plus fort encore que ce qu’il n’était avant. Je pense que te confier à lui vous fera du bien à tous les deux. Alors lâche ton sac, petite puce…Lâche. Pour lui, pour toi, pour vous deux.
Elle pleurait. Ce n’était que maintenant qu’il s’en rendait compte. Il s’arrêta alors, et la prit dans ses bras. Elle s’agrippa, et pleura encore. Jusqu’à ce qu’elle ne le puisse plus.

[…]

Ils étaient de retour à l’appartement. Ils furent surpris de voir Franziska, assise sur une chaise.
- Qu’est-ce que tu fais là ? demanda Tom.
- Je suis venue aux nouvelles…Comment va Véro?
- Le bébé et elle sont hors de danger.
Elle soupira.
- Ils nous ont fait une sacré frayeur…Et toi, ça va? demanda-t-elle à Maria-Eva.
- ça pourrait aller mieux…
- Simone est venue chez mes parents. Elle m’a demandé de te dire qu’on vous soutenait, Bill et toi, et qu’elle se fichait bien de ce qu’un journaliste minable pouvait raconter sur toi, que ce soit vrai ou pas. D’ailleurs, vu l’entrain qu’elle avait, je parie qu’elle l’aurait découpé en rondelles s‘il s‘était tenu devant elle, ce journaliste. Une chose est sûre, faut pas s’attaquer à sa famille, que ce soit directement ou indirectement…
- Merci Franziska…
- De rien, répondit-elle en souriant.
- Bill et Georg ne sont pas encore rentrés? demanda Tom.
- Je ne les ai pas vus en tout cas…
- Ok.
- Je crois que je vais aller me coucher, dit Maria-Eva au bout d’un moment de silence.
- Tu as raison, dormir te fera le plus grand bien, fit Franziska. Bonne nuit Maria-Eva.
- Bonne nuit.
- Fais pas de bêtises hein? lui souffla Tom à l’oreille quand elle lui fit la bise. Pas envie qu’il t’arrive quelque chose…
- T’inquiète.
Elle passa dans le couloir, et ferma la porte.

[…]

Tom et Franziska regardaient la télé tranquillement quand Bill et Georg rentrèrent.
- Tiens, t’es là toi, fit Bill en embrassant Franziska sur la joue. Ça va?
- ça va, oui. Toi en revanche tu fais une sale tête. Vous faites une sale tête en fait…
- Pff…Quatre heures dans la fosse aux lions…Une horreur, je te dis pas, fit Georg. Ils étaient bien décidé à nous en faire voir de toutes les couleurs. Et encore moi ça va. C’est Bill qui s’est tout prit à la gueule…Mais il a quand même réussi à les remettre à leur place après quatre heures de discussion houleuse. Je sais toujours pas comment il a fait, mais je suis fier de lui.
Il y eut un court silence.
- Où sont Gustav et Véro? demanda finalement Bill.
- Ah c’est vrai, on n’a pas pu vous mettre au courant…Ils sont à l’hôpital.
- Quoi ? s’écria Georg. Pourquoi ?
- Elle a failli faire une fausse couche.
- Putain…
- Mais elle et le petit vont bien, rassurez-vous… Gustav est resté là-bas pour qu’elle ait un peu de compagnie. Elle dort encore là.
- Tant mieux…
- Hé mais merde, il y a vraiment tout qui nous tombe dessus en ce moment…fit remarquer Georg.
Bill acquiesça doucement.
- Elle dort? demanda-t-il à son frère.
- Je crois. Elle est allée se coucher, en tout cas, d‘après ce qu‘elle nous a dit.
Bill hocha la tête, leur souhaita bonne nuit et rentra dans leur chambre.
- Bon, je vous laisse, dit Georg après quelques instants. Je vais prendre une douche.
- Ok. fit Tom. Bonne nuit Georg.
- Bonne nuit.

Il se passa un moment de silence. Tom s’était assis derrière Franziska et lui massait doucement ses épaules quelque peu tendues. Cette dernière fermait les yeux, profitant de chaque sensation. Au bout d’un moment, il se mit à côté d’elle, jugeant qu’elle était moins tendue. Elle posa sa main sur la sienne, tout en douceur.
- Dis Tom, tu me fais un gosse?
- Quoi ?
Il s’était relevé précipitamment, extrêmement surpris.
- Pardon? demanda-t-il, un peu moins brusquement, et en se rasseyant.
- Tu me fais un gosse? répéta-t-elle, se retenant d'éclater de rire devant son air stupéfait.
- ... Là, maintenant, tu veux un gosse? Ça t’es venu comme ça? dit-il doucement, pas encore remis de sa surprise.
- Ben écoute, fit-elle en souriant, oui…
- En quel honneur ?
- Il faut une raison pour faire un gosse? fit-elle en l’entraînant dans sa chambre.
- Non, fit-il en souriant légèrement. C’est juste que je suis étonné par une telle ... revendication...
- C’est ma manière à moi de dire aux journalistes que je les emmerde, et que leurs mots ne m’atteindront jamais…
- Et ben si on doit faire un gosse à chaque fois que tu les emmerdes, fit Tom en fermant la porte, on a pas fini…
- Et ça te déplait? répliqua-t-elle en souriant.
- Pas le moins du monde, répondit-il en l’embrassant avec ardeur.

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Je termine là, parce que je pense que ce qui se passe après ne regarde qu’eux ^^
Après, je vais retourner au point de vue de Bill. Petit retour en arrière donc.

Sinon, ça vous a plu? Ma chute était-elle vraiment bien? Je doute, mdr, c’est horrible, vous allez me taper sur les doigts.
Bizzz
Milie

aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah
tu as postééééééé ^^


xD le coup de la mauvaise herbe, pas mal du tout
et ta chute est en effet torride xD terrrrrrrrrrrrible !!!!

chtayme ma doc, et j'aime ce que tu postes x)

aaaah c'est trop bien !! on peut en avoir une autre STP ????

Une autre suite? Euh...désolée, mon inspiration là...l'est capoute.

En plus faut que je termine de recopier mes devoirs (et réviser pour les contrôles ><) donc ça sera un peu chaud pour poster...

Mais je posterai mercredi, si je ne dois pas travailler sur mon tpe. Promis.

Torride Ez, hein??? pas autant que certains trucs que je lis, mdr.

Bizzzz
Milie

Haaa j'aime
Heuresement qu'elle na pas perdu son béné ^^

et oui je le pense vraiment pour mon poste précédent ^-^

Tes suiites sont toujours geniiales ! franchement c'est un talent chez toii d'ecriire non ? siinon ta fiic et super c'est la meiilleure que je liis même la miienne, n'est pas a la hauteur !!!! allez je te demande une suiite !!!

hey trop bien
swite <3

trop bien miisS' !!
suite stp !!
j'adore !!!
il faut une réson pour aimer quelqu'un ??
( parseque moi nn plus je sais pas pour quoi !! ) XD
<3

c'etaiit ma facon de te souhaiiter de bOnne vacances =)

tu l'as mal priis ??

Hey, me voilà de retour...J'ai profité d'une petite pose entre mes révisions pour venir, parce que si je restais encore deux minutes de plus sur la régulation de la glycémie, j'allais péter un câble ^^

J'ai modifié un peu la dernière suite, vous regarderez...Je la trouve mieux comme ça. M'enfin, c'est mon avis. A vous de voir si ça vous plait comme ça aussi.

Ma Nouille, non je connais pas d'autres mots pour remplacer ce "parfait" qui m'horripile...Mais tu sais pourquoi j'aime pas ce mot? Parce que quand on dit qu'un truc est parfait, ça sous-entend qu'il est tellement bien qu'on ne peux plus rien faire pour le rendre plus beau encore, ou qu'on a plus rien à lui apprendre...Et comme je pense qu'on peut toujours s'améliorer, ben voilà, j'ai fait de ce mot ma bête noire^^
Au fait, dis, c'est ta bouille qu'on voit sur ton avatar? ça fait trois jours que je me pose cette question XD

Laurene, tu croyais sincèrement que je voulais qu'elle perde le gosse? ^^ J'suis sadique, peut-être...mais en ce qui concerne les bébés, j'peux vraiment pas faire preuve de sadisme...

Merci Rockly, merci. Un don? mmh...ça m'étonnerai. Ceux qui sont là-haut m'aiment pas assez pour me faire des dons ^^

Sophie...Contente que ça t'ait plus. Sérieux.

Agathe, je dois être débile, mais j'ai pas compris les dernières phrases de ton com ><

Ariane, toi aussi tu dis ce que tu ressens...D'accord, je ne le dirai plus...mais je le penserai toujours, quoi que tu dises (ou écrives plutôt) Bref. Prends soin de toi hein? Lache ces verres, lache c'te pillule...ça ne pourra te faire que du bien (au niveau du corps j'entends...pour ton âme, je ne peux rien prétendre...J'en connais pas grand chose.)

July, ouais ouais tu l'as déjà dit. A chaque com qui suit une suite, presque (non non, je n'oserai jamais prétendre que tu radotes, jamais ptdr)

Love-twins, moi aussi j'ai vraiment l'impression d'être Maria-Eva parfois...Dis, tu parles de quelles réflexions de Tom en particulier?

Dis donc, *love de Tom*, t'es enthousiaste le soir...mdr.

Nan nan Mathilde, je l'ai pas mal pris. Je l'ai pas pris du tout en fait, vu que j'avais rien capté ^^ (trop pas douée la fille) Pis tu sais, j'ai bien aimé ta manière de me souhaiter bonnes vacances...ça changeait de l'ordinaire (en plus j'adore les bestioles ^^)


Bon..Les filles, j'ai un mauvaise, mais alors vraiment mauvaise nouvelle à vous annoncer. Comme vous vous en doutez, ça concerne les suites à venir.

Voilà. On doit rendre notre TPE dans 10 jours. Je crois que je vous ai assez bassiné avec ça pour que vous sachiez que le TPE, c'est LE gros truc en 1ère, avec le bac français...

Mais voilà, plus que 10 jours, ça veut dire boulot intensif. Mercredi, samedi, dimanche et mercredi prochains, je vais bosser avec Cam et Amélie tout l'après-midi. Or, c'est les jours où je poste d'habitude...

Je posterai quand même, vous inquiétez pas. Vendredi soir, en rentrant de la classe guitare, et peut-être samedi soir. Et puis le vendredi d'après. Ensuite, on devrait retrouver le rythme de postage habituel...


Voilà, je voulais vous prévenir de ce gros chamboulement, histoire que vous poireautiez pas devant votre ordi à attendre une suite qui ne veindrait pas...J'casse le moral des gens, hein? Pas ma faute...Si vous saviez comme j'aimerai pouvoir vous écrire des suites aux dates prévues...

Bizou tout le monde, et puis encore dizouley...

Milie

*love de Tom*, tu dis super parce que j'essaierai quand même de suiter? ^^ Merci pour ton "Merde". J'en aurai besoin, j'le sens.

Et ouais ma Nouille, c'est chiant les ordis... Je compatis, même si j'ai pas de X-Box.
Tiens, moi aussi j'ai envie d'effacer quand je relis mes anciennes fics sur harry potter...Un point commun ! mdr.
J'adore ta Bouille. Sérieux. Même que j'te jalouse tes bouclettes ^^
Normal qu'elle était magnifique la bête, c'était une femelle (genre j'suis pas anti-mec du tout quoi...mdr)
Tiens, c'est un truc que je me dis souvent ça...on le retrouve ensembles ce con? comme ça il sera deux fois plus explosé ^^
MERDE à toi aussi (parce que je suppose que tu vas bientôt le rendre toi aussi?)

Bizzzzzz
Milie