[T] 33 Kilos d'éspoir [3ème Topic].

tokio_hotel_57, espère, espère...qui sait, peut-être qu'un ange entendra ton appel ^^

Billirina, j'hallucine toujours quand je vois en dessous de ton avatar que tu viens de Roumanie... J'pensais pas que j'touchais des gens qui habitent aussi loin de chez moi...T'as raison, c'est une bonne idée que tu as trouvée... J'y ai pensé, t'inquiète XD

Gin', putain, haïs-moi...ça me fais tellement de bien que tu le fasses... J'te jure. J'ai besoin d'être haïe et détestée ces temps-ci, pour m'enfoncer encore plus dans ce tourbillon de nullité qui me compose.

Love de Tom, elle va partir quand même un bon bout de temps...

Agathe, tu devrais pas m'aimer, bien au contraire...mais tant pis. ça se contrôle pas ces choses, n'est-ce pas?

UCN, on se ressemble tu sais? J'suis aussi très réservée quand je côtoie des gens que je connais pas... Soigne bien ta migraine, et reviens avec une tension plus élevée stp ^^

Ma Perv'EZ, je savais que tu allais faire preuve de générosité et que tu allais t'occuper de notre cher Billou... Allez viens, j't'aide à ramasser tes miettes. Et si le caniveau est possessif et veut pas nous les rendre, ben j'lui filerai mes miettes à moi en échange. Quoi que, je sais pas s'il les acceptera. ça doit être un bon concentré de dégueulassité. Bref.

Tomforever92, plusieurs choses. D'abord, arrête de t'excuser, sinon je sens que je vais faire un malheur ^^. Ensuite...Tom est bien malheureux en effet. Voir Maria-Eva dans cet état, ça l'a traumatisé.
Tu as tout à fait raison par rapport à tes histoires de vaisselle. Et je m'en étais pas vraiment rendu compte, mais c'est vrai que sur le coup, on les sens déjà vachement plus normaux.
J'ai a-do-ré la façon dont Bill a haché sa phrase moi aussi. ça m'est venu comme ça en plus, sur un coup de tête. Comme quoi, les bonnes idées sont pas forcément celles qu'on a prévues à l'avance...
Ah, ça t'a surprise que Franziska soit enceinte...super. Perso, j'étais pétée de rire en écrivant ce passage assez léger. Et puis, c'était du bonheur, ça pouvait pas vous faire de mal...
Tu as raison, je crois que j'ai fait du contrastre entre les jumeaux ma spécialité. Est-ce une bonne chose? Je ne sais pas, sincèrement.

Ma Radoteuz', t'es sado-maso. Sado parce que tu vas m'éclater la gueule sur les trottoirs de Paris si jamais tu me croises un jour (et tu aurais bien raison...je te tendrai ma sale face sans résister tiens, si un jour ça se réalisait...pour te faciliter la tâche). Et maso parce que tu en veux encore. Merde, arrête de te faire souffrir. J'suis pas la sado qu'il te faut, sérieux...

Neytwale, je t'aime. Haïs moi encore, je t'en conjure...

Laurene, tu as bien fait de ne pas pleurer. Garde tes larmes pour une prochaine fois. (Merci pour le compliment)


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Bon les filles, j'suis désolée de vous apprendre ça, mais je ne pense pas que je serai en mesure de vous mettre une suite ce soir. J'suis vraiment pas bien, parce que j'viens de me rendre compte que je reprennais les cours dans 6 jours, et que j'avais presque rien foutu pendant mes vacances.

Encore, ça ça aurait pu aller. Mais j'ai eu l'immense connerie de demander à une amie de m'envoyer 1000Meere, parce que je n'avais encore jamais pu l'écouter jusqu'à présent [je suis un boulet, on est bien d'accord]. Et là, j'me suis rendue compte de la chose que j'avais manqué. Putain, ça me fout encore plus les boules de pas être en France.

En plus j'ai aidé ma soeur à résumer son résumé d'un bouquin (qui faisait une feuille simple plus un recto quand même...super résumé ^^) Alors là j'ai plus le temps. Juste envie de dormir, car demain j'ai du boulot. ( Ma Perv'Ez, demain j'irai pas sur l'autre fofo. on fera notre topic un autre jour)

Bref, je vous ferai votre suite demain après-midi.
Gros bisous.
Milie, votre auteure indigne ^^

Je Te Hais.
Du Plus Profond De Moi.
Mais Emilie.
T'es Détestable Quand Tu écris Des choses pareilles.
Il est 7h05, je vais aller au lycée le maquillage qui coule.
Jmen tape.
C'était Merveilleu
je t'aime.
<3

Waaaaaaaaaw ! Super ! C'est trop émouvant. J'adore. Suite s'il te plait =)

Je poste maintenant la deuxième partie que je n'ai pas pu poster hier, faute de temps... >.<
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Tu commences directement par un contraste...(décidemment, tu ADORES les contrastes, ou bien c'est moi qui devient obsédée car je vois des contrastes partout chez toi! *mais j'adore ça! ça produit un bel effet... =)*) Mais cette fois-ci ce n'est pas sur les jumeaux, mais sur un couple...^^
***
"J’ai beaucoup réfléchi pendant cette semaine" c'est à partir de cette phrase que je me suis dis *mais qu'est-ce-qu'elle va encore faire?*
Et, quand j'ai lu la suite, j'ai été assez étonné... (Peut-être car j'ai lu les 2 suites d'un seul coup et je n'avais pas le temps de me remettre des émotions de la suite précédente...) Donc, je n'ai sûrement pas eu le temps d'avoir un horizon d'attente...
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En plus, ce que tu écris comme, par exemple, "s’étrangla-t-elle."ou "lui murmura-t-il avant de l’embrasser tendrement"; nous laisse encore plus imaginer le son de leur voix et puis tout... C'est vraiment émouvant...
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Mais, malgré ce moment triste, tu arrives toujours à me faire sourire ou rigoler==>"Bill la regarda faire sa valise en silence, se retenant de balancer cette dernière par la fenêtre" c'est pas très marrant, mais je trouve que ça un côté comique... *je suis bizare sûrement... ^^*
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"elle laissa enfin ses sanglots se frayer un chemin dans ses cordes vocales"j'aime bien la manière comment tu l'a dite.
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Voilà, c'est un peu court, mais je dois le poster car je dois partir... *eh oui! c'est ça d'avoir de nombreuses activitées!^^*

Bizzz

suite!

Milietrom a écrit:

Ma Perv'EZ, je savais que tu allais faire preuve de générosité et que tu allais t'occuper de notre cher Billou...

Que veux-tu, je suis trop bonne

Milietrom a écrit:

Et si le caniveau est possessif et veut pas nous les rendre, ben j'lui filerai mes miettes à moi en échange. Quoi que, je sais pas s'il les acceptera. ça doit être un bon concentré de dégueulassité. Bref.

Docki ? Taggle.
Je te veux.
Toutes les miettes de toua.
Pis la suite aussi, tant qu'on y est

JTM <3

Citation :

UCN, on se ressemble tu sais?
J'suis aussi très réservée quand je côtoie des gens que je connais
pas... Soigne bien ta migraine, et reviens avec une tension plus élevée
stp ^^

chui relàààààà !!! en pleine forme !!! malgré avoir passé mon bac de sport ce matin !! pfiou crevant !! merci pour la suite miss ... j'aime toujours autant ta manière d'écrire !!
jte préviens ce soir je reprends mon rôle de chien de garde (si j'ai pas d'empêchement !)

c'est toujours aussi bien,
j'espère qu'elle va revenir

Intéréssant ce chapitre!

Je me demande ce qu'elle compte faire ensuite!

C'est magnifik
Comme toujours
Suite!

Je ne te lancerais jamais un pavet à la gueule voyons...
Jsuis pas comme ça
Et même si ta fic me fait pleurer
Je l'aime...

Bon, je vous tape une autre suite (j'me suis fait une promesse intérieure alors j'vais la tenir hein? ^^)

Vous êtes gâtées ce soir.

A tout de suite.
Milie

Waaw ! Supper !
Je veux une suite stp ! =)

Gniuaaaaah trop bien
oui oui ouiiii suiiite =)

Merci

Tu tape encore une suite? T'est bien gentil ce soir

*pense qu'elle est en retard de 3 jour pour le postage de la suite de sa fic =O, moi aussi j'vais écrire xD*

J'espère que tout son "vayage" va bien sa passer...
Vraiment impatiente de lire la suite!!!

j'adore
swite <3
dommage qu'elle parte mais bon si c'est pour son bien

Elle était dans le train en direction de Leipzig, en train de contempler le paysage qui défilait sous ses yeux. Elle était seule dans le compartiment. Midi avait sonné depuis belle lurette, mais elle n'avait pas faim. Elle avait l'impression d'avoir des noeuds dans l'estomac.

Elle sortit de sa poche une petite carte bleue marine, et la tourna entre ses doigts. Il lui restait à peu près deux mille euros sur son compte. Elle arriverait à tenir quelques temps avec ça, mais sûrement pas plus de deux mois en se serrant les coudes. Il faudrait donc qu'elle se trouve un petit boulot si elle devait rester plus longtemps en France. Enfin, elle aurait le temps d'y réfléchir d'ici là.

Leipzig...Elle n'avait vraiment pas envie d'y aller - ou peut-être avait-elle peur de le faire -, mais il le fallait. Elle devait passer par là pour en finir définitivement avec les affaires qui la retenaient en Allemagne. Et puis ça serait sans doute la première et dernière fois qu'elle lui parlerai véritablement, alors elle n'allait pas chipoter.

[...]

Les rues étaient calmes. La chaleur avait poussé les gens à rentrer chez eux pour profiter de la fraicheur de leurs habitations. Elle avait l'impression de marcher dans une ville fantôme. Son pas s'était fait plus pressant.

Au bout d'un long moment de marche, elle arriva devant une grande maison un peu isolée. Elle regarda la boîte aux lettres. Oui, c'était bien le bon nom de famille. Elle posa un bout de papier sur devant la porte, et appuya plusieurs fois sur la sonnette. Un voix d'homme se fit entendre.
- Oui oui, j'arrive, deux minutes!
Elle soupira, puis partit rapidement. Elle ne voulait pas se faire voir. Pas encore.

Un homme d'une soixantaine d'années ouvrit la porte, et leva les yeux en ne voyant personne à l'entrée. Vraiment, kes gens de nos jours...toujours trop pressés.

Son regard tomba sur le bout de papierà ses pieds. Il se baissa et ramassa ce qui se trouvait être une photo. Il blêmit, et lut ce qui se trouvait au dos de cette dernière.

"RDV au parc dans une demi-heure"

- Qui c'était Mäx ? demanda une vieille femme qui lisait dans un fauteuil
- Quelqu'un qui a pris la poudre d'escampette ma chérie, répondit ce dernier en mettant la photo dans sa poche.
- Un gamin qui a voulu plaisanter sans doute.
- Oui, tu dois avoir raison.
Il fit la bise à sa femme.
- Je vais me promener, j'ai des fourmis dans les jambes. Je reviens au plus tard à 18h, ok?
- Tu vas faire une grande promenade alors, fit sa femme en souriant.
- Oui, j'ai vraiment envie de marcher. A plus tard ma douce.

[...]

Il se trouvait dans le parc depuis bien une quinzaine de minutes. Fatigué, il s'était assis sur un banc abrité par un vieux chêne.
Il la vit s'avancer à pas lents vers lui. Elle s'arrêta à une distance acceptable. Ils se jaugèrent du regard.
- Je me disais aussi que ton visage m'était trop familier pour être inconnu... Tu es le portrait craché de ta mère.
Elle détourna les yeux.
- On me l'a assez dit...
Il se tut, ne sachant pas quoi répondre.
- Parlons franchement. J'suis venue ici juste pour que tu saches qui je suis réellement. Après, tu peux me renier, tu peux me considérer comme ta fille ou non, j'en ai rien à battre. J'ai vécu 17 ans sans père, je peux vivre sans le reste de ma vie.
- Je comprends.
Elle lui lança un regard étrange.
- Pourquoi t'as abandonné maman? Pourquoi tu l'as laissée crever?
- Parce que j'avais peur. Je ne voulais pas quitter ma femme, et je ne voulais pas admettre que j'aurai un enfant plus jeune que mes propres petits-fils.
- Je vois, répondit Maria-Eva, le coeur douloureux et déçu. Ma mère n'était qu'une putain à tes yeux, et c'est tout.
- C'est faux. J'ai regretté le départ de ta mère de longs mois. J'en suis même devenu malade. Quand j'avais quarante ans, ce n'était pas la joie dans mon couple. Je ne supportait plus ma femme, et c'était réciproque. L'ambiance était invivable à la maison.
- Tu t'es donc entichée d'une prostituée qui était disponible à tes caresses à tout moment...
- Voyons, ce n'est pas vrai ! Pas tout à fait, en tout les cas... Je m'étais attachée à ta mère. Elle avait cessé à mes yeux d'être une fille de joie pour devenir une femme à part entière. Je l'ai aimée, à ma façon. J'ai même essayé de la sortir de la merde où elle était plongée... C'est ton arrivée qui a tout fait basculer.
- Notre arrivée.
- Pardon?
- Maman a fait des jumelles. Laïla, ma soeur, est morte à 10 ans, renversée par un chauffard.
- Je suis désolé.
- ça ne serait pas arrivé si tu avais été là.
Le reproche était trop fort pour que Mäx n'en sente pas la puissance. Il soupira.
- Tu m'en veux, n'est-ce pas?
Elle ne répondit pas, et détourna le regard.
- Tu as bien raison de le faire, continua-t-il. Si je pouvais revenir en arrière, crois bien que je le ferai.
- Paroles en l'air, marmonna Maria-Eva.
- Non, ce ne sont pas des paroles en l'air. J'ai brisé trois vies par égoïsme. Celle de ta mère, de ta soeur, et la tienne. Je m'en repends sincèrement.
Il se leva, croisant son regard.
- Est-ce trop tard pour me racheter? N'y a-t-il pas un moyen d'obtenir ton pardon?
Elle le regarda, fixant ses yeux bleus dans ceux de Mäx.
- Quoi que je dise, tu es et resteras mon géniteur. Mais il faut plus qu'avoir fécondé un ovule pour être un père. Je ne ressens nul amour, nul sentiment envers toi. Tu ne m'as pas appris à dire papa. Tu ne m'as pas appris à t'apprécier, ni à t'aimer. Tu ne m'as pas appris à rire, ni à faire des ricochets dans l'eau ou à prendre soin d'un petit oiseau bléssé, tu ne m'as pas appris à être forte face à la vie qui ne fait pas de cadeau, tu ne m'as pas appris à résister à cette maladie qui me ronge, pas plus que tu ne m'as appris à continuer à vivre après un avortement. Tout ça, je l'ai appris seule comme une grande, avec Laïla, et sans elle lorsqu'elle me fut enlevée. Tu n'es rien pour moi.
Il baissa les yeux.
- Mais tu peux encore te racheter. Tu peux monter dans mon estime, en reconnaissant que je suis bien de ton sang. Je pourrai peut-être commencer à vouloir te connaître à partir de là.
- Tu me demandes de te reconnaître comme ma fille?
- Je te demande surtout d'avouer la vérité à Katrin, ta pauvre femme, qui n'a pas mérité d'être trahie comme elle l'a été.

Il resta sceptique.
- C'est beaucoup ce que tu demandes...
- C'est beaucoup la souffrance qu'a occasionnée ton absence pendant 17 ans, répliqua-t-elle, lui lançant un regard noir.
Il soupira.
- C'est vrai.
- C'est le mensonge qui fait souffrir, pas le fait de découvrir la vérité, lui dit-elle plus posément.
Elle regarda sa montre. 17h.
- Je dois partir, fit-elle. Mon train ne va pas m'attendre.
Il hocha la tête.
- A une autre fois?
- Peut-être, répondit-elle. Cela dépend de toi.
- Tu es bien la fille de ta mère, manipulatrice comme c'est pas permis. Une main de fer dans un gant de soie. Comment résister?
Elle lui sourit franchement, peut-être pour la première fois depuis le début de leur conversation. Il lui rendit son sourire.
- Bon voyage Maria-Eva.
- Merci, fit-elle avant de lui tourner le dos et de retourner vers la ville, bagages en main.

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Ouaouh...J'me suis vraiment lâchée sur ce coup !!!

ça vous a plus?

Bizzzzzz
Milie

F-O-R-M-I-D-A-B-L-E comme toujours

Bonne nuit justine ^^

Bizzzzz
Milie

Han
Mon Dieu
Tu as bien fait de te lacher
C'est génial
Continue.

Radoteuz'

Merci July, ta sadique préférée prend ton compliment comme une invitation à faire une suite XD

Nan, plus de suite ce soir...mais une surprise ^^

Bizzzzz
Milie