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| [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. | |
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+24¤Ingrid-loveuzz-des-th¤ Suga'Girl Crevette_de_Bill ¤LoLi_Choup'Z¤ tomforever92 Smartiz _xh0lle Hell. xNuts Romane. *~*Cabie*~* deldel tokio_hotel_57 ZzoufriI sephrenya XTINA ~ Car0lan3_67 **Jousse** muchie Pystash. Leïla. th-fan-LOVE Spookyxcore Mαurεεn 28 participants | |
Auteur | Message |
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muchie Ich Bin Da
Nombre de messages : 2975 Age : 51 Ma localisation : ben ... cherche ! Date d'inscription : 21/08/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Sam 5 Jan 2008 - 20:22 | |
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| | | muchie Ich Bin Da
Nombre de messages : 2975 Age : 51 Ma localisation : ben ... cherche ! Date d'inscription : 21/08/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Dim 6 Jan 2008 - 17:25 | |
| toujours malade la bibiii ???
toujours avec sa bassine ????
la pôvre !! elle pourra même pas "tirer" les rois ... une ch'tite pensée pour elle alors ... | |
| | | Hell. Heilig
Nombre de messages : 7498 Age : 32 Date d'inscription : 29/03/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Dim 6 Jan 2008 - 19:10 | |
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| | | sephrenya Heilig
Nombre de messages : 6642 Age : 35 Ma localisation : 91 Date d'inscription : 22/03/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Dim 6 Jan 2008 - 19:12 | |
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| | | deldel Ich Bin Da
Nombre de messages : 2511 Age : 30 Ma localisation : chezmoi Date d'inscription : 25/03/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Dim 6 Jan 2008 - 20:33 | |
| Penses à toi bibi Et j'espère que tu seras vite de retour | |
| | | Mαurεεn Heilig
Nombre de messages : 4026 Age : 18 Ma localisation : En haut d'un building. Date d'inscription : 30/03/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Dim 6 Jan 2008 - 20:52 | |
| Je suis désolée du retard les filles. Oh, ma nétoile est là =') Merci d'être toujours fidèles au poste Voilà une longue suite pour me faire pardonner:
*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*
III Crise nocturne.
_ Oh! Et tu te souviens de la première fois où ton frère t'as parlé de moi?
Elle dit ça sur un ton surexcité, comme si elle parlait d'une journée à Disney. J'ai envie de la frapper, sa joie m'agace. Elle a pas le droit de sourire comme ça. C'est pas logique. Un sourire si beau ne devrait pas être dessiné sur les lèvres du diable. Mon regard assassin ne fait que la contenter un peu plus. Elle reprend la parole avec un air tragique sur le visage, imitant la voix de mon jumeau. _ Tom!! La laisse pas m'emmener!!
La rage me brûle le ventre. Comment peut-elle se moquer aussi impunément de cet être qu'elle m'a arraché? Elle me l'a prit, et maintenant elle se moque de lui. De nous. De notre triste histoire d'amour. Amour fraternel brisé par une maladie, et achevé par cette putain de mort. Anéanti par elle. J'ai réussis à me redresser, mon corps est raide comme un piquet. L'envie de lui écraser mon poing dans la figure me tiraille. Mais elle sait aussi bien que moi que je n'oserais pas la toucher, alors elle ne bouge pas, et se moque doucement. Mes jambes flageolent de nouveau, c'est à ma tête de heurter le sol en premier. Douleur fulgurante puis le noir. ...
Je mets quelques secondes avant de rouvrir les yeux. Mon regard fait rapidement le tour de la pièce, et s'arrête sur moi, allongé dans l'obscurité, sur mon lit, les yeux rivés vers le plafond. Pourquoi je me retrouve pas dans un vestiaire plein de nana à poil? Pourquoi ma chambre, hein? je soupire et mes yeux se fixent à leur tour au plafond, j'aperçois toutes ces petites étoiles luminescentes qu'on y avait collé tous les deux, quand on avait huit ans. Huit ans... Temps de l'innocence, temps de la gaieté, temps de l'insouciance, temps des facilités, temps de l'enfance, temps du passé, malheureusement. Lui, tourne la tête vers les véritables étoiles, et se lève avant de se diriger vers la fenêtre entre-ouverte, pour se donner l'impression de s'en imprégner encore, de les sentir brûler sa peau un peu plus. Toujours un peu plus près des étoiles, n'est-ce-pas ? On veut s'en approcher, pour les contempler de toujours plus près. Mais quand on est au plus près, on veut observer celles qui sont encore plus loin, puis plus loin, toujours plus belles... C'est ça avoir des rêves pleins les poches, quand on les atteint enfin, ils nous paraissent ridicules et pas assez grands. Alors on rêve plus grand, plus haut, jusqu'à arriver à un rêve impossible, un vrai rêve. Jusqu'à se rendre compte que la vie n'est qu'un tapis de poussière, se rendre compte qu'on n'a plus envie d'avancer, parce que rien ne va. Une vie sans rêve est une vie faussement parfaite. Les miens ne sont plus que les miettes d'un repas où je n'ai que trop mangé, trop profité, jusqu'à un point de non retour, point ou le bonheur n'est plus permis. Il jette un coup d'oeil à sa montre et fronce les sourcils, il ne pensait pas qu'il était si tard. Il sort de la chambre et se glisse dans le couloir, moi sur ses talons, je vais pas rester tout seul dans le noir... Son doigt presse l'interrupteur, sans succès. Mince, fichue coupure de courant, c'est pour ça que tout est si calme ce soir... Il a cru que le monde avait enfin décidé de nous foutre la paix. Il va jusqu'au salon et fouille dans le tiroir de la commode. Une dizaine de bougies sont rangées soigneusement par ordre de grandeur. Il sourit. Toujours aussi maniaque maman... Il attrape le paquet d'allumettes et en allume une, avant de poser l'extrémité sur la petite mèche. La bougie s'allume dans un léger crépitement, éclairant ainsi son reflet dans le grand miroir. Des cernes noires s'étendent sous ses yeux chocolats. Faudrait qu'il pense à dormir de nouveau. Comme si c'était si simple... La nuit ne lui porte plus conseil, elle ne fait que lui amener de nouveaux doutes, de nouvelles craintes. Mon reflet n'apparaît pas dans le miroir, je me sens insignifiant, perdu, je comprends pas vraiment comment c'est possible, mais c'est pas ça qui me perturbe le plus. C'est de savoir que, si je suis là, Bill est là aussi, deux trois pièce à côté, et à cette idée, mon coeur se sert. Il ouvre la porte de sa chambre, et découvre un jeune homme au teint encore plus pâle que le sien, de la fatigue désespérément accrochée à son visage fin. Mon coeur bat la chamade, les larmes perlent dans mes yeux que j'ai fermés pour ne pas les laisser s'échapper. Lui s'approche doucement du lit et caresse sa joue froide, avant de poser la bougie sur sa table de nuit. Bill ne dort pas, il fait semblant. Il a envie que je reste avec lui, il a besoin de me sentir près de lui, mais il le dira pas. Du moins, c'est ce qu'il croit. Je me regarde m'écarter et me diriger vers la sortie de la pièce. Je lui donne cinq secondes... Cinq, mouvements légers sous la couverture. Quatre, paupières qui s'ouvrent. Trois, un bras qui se tend. Deux, deux lèvres qui s'entrouvrent. Un, "me laisses pas". Zéro, me voilà sous les draps avec lui, sa tête blottie dans mon cou. Mes mains se perdent sous ses cheveux noirs de jais. Mon pouce caresse doucement sa tempe, ça a toujours eu pour effet de l'apaiser... J'aimerais sentir de nouveau sa peau sous mes mains, mais je n'ose pas essayer, de peur de gâcher ce moment si doux que j'avais tant apprécié. Sa respiration ralentit tout doucement, jusqu'à devenir régulière. Je le contemple longuement, il n'a même pas prit la peine de se démaquiller. Chaque geste devient un véritable supplice, le moindre effort le fatigue au plus haut point, et chacune de ses larmes m'enlève un peu d'espoir. L'espoir? Nous en restait-il seulement une impression? Un long soupir s'échappe de la gorge du dreadeux, un de ces soupirs incontrôlables que l'on a après avoir beaucoup pleuré. Tu sauras ce que c'est que d'avoir beaucoup pleuré, à l'instant où une joli petite infirmière incroyablement bien roulée viendra te dire, c'est fini. Tout était si simple, il y a si peu de temps. On avait tout ce dont on pouvait rêver, tout ce qu'on désirait nous tombait dans les bras. On avait oublié le goût amer des larmes. Puis tout s'écroule. Tout ce en quoi je croyais tombe en poussière, alors que je le tenais dans le creux de mes mains. Saloperie d'orgueil qui m'a laissé croire que j'avais le droit d'être heureux... Je n'aurais jamais cru un jour, que je pourrais oublier comment sourire. Mais aujourd'hui... Je sursaute, quelque chose d'étrange vient de se produire. Je suis dans les draps, mon autre moi a disparu, je suis carrément à sa place... Je comprends absolument plus rien. Mouais, en fait, je dois faire une espèce de cauchemar éveillé, je vois pas d'autre solution... Un cauchemar? Qu'est ce que je raconte? J'ai Bill dans mes bras... Mes yeux se posent sur le visage pâle juste en face du mien, et mes doigts glissent sur sa joue brûlante. Sa bouche se tord et ses sourcils se froncent.
_ Tom! La laisse pas m'emmener! Je veux pas... Pas maintenant... S'il te plaît...Son corps se tord, son visage se fige dans une grimace de douleur, les larmes perlent déjà sur ses joues. Mon coeur se sert, et c'est repartit. Le seul instant ou je pourrais profiter de sa présence, il fallait que ce soit celui là. Il se contorsionne dans tous les sens, hurlant de douleur. Je me mets à califourchon sur lui et l'empêche aussi bien que je peux de me frapper. J'essaie de lui parler mais il ne m'entend pas et me roue de coups. Je n'y prête pas attention, bien que sa force me scie le ventre. Les larmes brouillent ma vue, mais je tente de garder les idées claires. Le voir ainsi, aucune souffrance physique ne peut me faire plus mal. Il crie et se débat, mais je ne cède pas. Le marron de ses yeux a disparu sous ses paupières entre-ouverte, seul le blanc injecté de sang répond à mon regard. Un violent coup de genoux me fait basculer du lit, ma tête heurte le coin de la table de nuit dans un bruit sourd. J'ai le souffle coupé et n'arrive pas à remonter à ses cotés. J'avais oublié qu'il m'avait fait si mal le con... Je me lève finalement d'un bond, impossible de dire comment j'ai fais, mais je me replace sur lui et saisit son visage entre mes deux mains, avant d'en rapprocher tout près le mien. Ses doigts osseux se referment sur mes épaules, m'arrachant une plainte de douleur. J'arrive finalement à articuler quelques mots entre deux hurlements de sa part, les mêmes mots que je lui ai dis cette fameuse nuit, bien que ça m'écoeure de lui mentir...
_ Bill je suis là, je la laisserai pas t'emmener...
Ses mains se desserrent, il sanglote tout doucement, le visage blanc, marqué de grandes veines bleues, ressortant encore plus que d'habitude. Son torse se soulève dû à de légers spasmes, bien moins violents qu'il y a quelques secondes. Lorsqu'il reprend un peu ses esprits, ses yeux rouges me fixent avec désolation.
_ Pardon...
Sa respiration est encore saccadée. Comment peut-il s'excuser d'avoir eu aussi mal? On dit "les douleurs du coeur", mais on pense pas que ces douleurs peuvent être réelles et particulièrement... douloureuses, c'est le cas de le dire. Entendre sa voix me fait fondre en larmes, il ne comprend pas. Je souris.
_ Pourquoi tu t'excuse?
_ Ta tête, tu saigne...
Je passe ma main au dessus de mon front, là où la table a cogné, une traînée de sang passe entre mes doigts. Ma peau me brûle mais ma bouche réussit à se fendre en un nouveau sourire peu convainquant.
_ C'est pas grave Bill...
_ Si si c'est grave... Je ferais mieux de crever maintenant.
Il me regarde avec de grands yeux incrédules. Je viens de lui donner la plus grosse gifle de sa vie. Mon sang boue dans mes veines, j'ai bien envie de lui en coller une autre... Je ne te l'ai pas mise la dernière fois, mais tu n'étais pas mort à ce moment là.
_ Ne redis plus jamais ça. Jamais.
Sa bouche s'entre-ouvre, puis se referme. Il fait un petit oui de la tête, mais je sais qu'il n'en pense pas moins ce qu'il vient de dire.
_ Tu vas pas mourir! Arrêtes de dire ça! Je te laisserais pas partir Bill!
Je grimace. Comment est-ce que je peux dire ça? Je peux rien faire... Les coins de sa bouche descendent un peu plus vers son menton, je pensais même pas que c'était possible. Il passe sa main sur ma joue et attrape un mouchoir avec l'autre, puis remonte jusqu'à mon front écorché, passant le bout de ses doigts entourés du petit papier blanc sur la blessure peu profonde. Je frissonne.
_ J'arrête de le dire, mais toi arrêtes de mentir. Tu sais aussi bien que moi ce qu'il en est, c'est bientôt fini, point.
Mes yeux s'embuent de nouveau. Sa lucidité m'assomme dans ma douleur. A longueur de journée avant ta mort, chaque minute, chaque seconde, mon coeur saignait et ma tête se vidait un peu plus. Aujourd'hui, mon coeur est desséché et ma tête plus vide qu'une citrouille en période d'Haloween ... Me dire que je vais le perdre, de nouveau. Me dire que dans quelques secondes, je vais me retrouver sur le toit de cet immeuble, et qu'il ne sera plus là. Tant de projets qu'on ne pourra pas réaliser, tant de choses qu'on ne pourra plus faire ensemble... Plus rien ne sera comme avant, je ne peux même pas imaginer le futur sans lui. Peut-être est-ce parce que sans lui, il n'y a pas de futur? Tout ça est arrivé bien trop vite, beaucoup trop vite, je tiendrais pas le coup. Il ne dit pas un mot, il se contente de me fixer d'un regard perdu, attendant une quelconque réaction de ma part. Ses yeux reflètent tant de chose... la douleur, l'incompréhension, la peur, le doute, la tristesse, le malheur et la fatigue. La douleur de savoir que quand il partira, plus personne ne veillera sur moi. L'incompréhension de me voir en colère contre lui alors qu'il ne fait que dire ce qu'il pense. La peur de tout perdre. Le doute de vouloir se battre. A quoi bon? La tristesse d'avoir encore si peu à faire sur cette putain de planète. Le malheur de nous faire souffrir, tous. Le désir de vouloir en finir le plus tôt possible. J'veux pas te perdre, je veux plus te laisser partir... J'vais trouver un moyen Bill, je te le promets. J'ai compris que rien n'était impossible, comme rien n'est possible, tout se complète, et je te sauverais, t'as ma parole....
_ Tu vois que je ne suis pas le mal incarné, je t'ai laissé le revoir souffrir, n'est-ce-pas adorable?Je commence à en avoir plus qu'assez de ses remarques à la con. Je touche mon front douloureux, l'entaille a réapparu, mon visage se tord d'incompréhension. La réalité me parait comme un rêve, ça ne m'étonnerais pas que je me réveille dans quelques instants, dans mon lit, peut-être même avec lui, qui sait...
_ Bill...Une larme s'écrase sur le sol, imposant son bruit cristallin aux goûtes de pluie, remontant aux oreilles de cette fille, la faisant sourire de plus belle. Tout son être me répugne. Je hais une allégorie, une chose qui existe sans exister et qui respire le mal. Je déteste cet être qui vient me hanter après m'avoir torturé. Cette créature qui vient me narguer dans ma douleur.
_ Fous moi la paix. Qu'est ce que tu m'veux? Pourquoi tu m'fais ça? Tu m'as pas fais assez de mal comme ça?
_ Mais je ne cherche pas à te faire de mal, Tom...Elle prend une espèce de moue boudeuse. Puis elle s'assoit avec délicatesse sur le sol détrempé, sa jupe noire se plaçant parfaitement autour de ses hanches fines. Elle relève ses deux grands yeux noirs vers moi, ils semblent brouillés de larmes. Mon visage reste de marbre, je reconnais sa comédie, elle ne me l'a que trop joué. Sa solitude dans le regard ne me touche pas le moins du monde. Il m'est arrivé un nombre incalculable de fois de voir une fille pleurer, en fait, ça me ferait presque plaisir de la voir fondre en sanglots...
_ Et après tu ose me dire inhumaine, hein.Nos regards se croisent, et pour la première fois, les coins de nos lèvres se lèvent à l'unnisson.
Dernière édition par le Dim 6 Jan 2008 - 21:56, édité 1 fois | |
| | | Pystash. Automatisch
Nombre de messages : 15521 Age : 34 Ma localisation : Nowhere. Date d'inscription : 23/04/2007
| | | | Spookyxcore Heilig
Nombre de messages : 4298 Age : 31 Ma localisation : Strasbouuuuurg. Date d'inscription : 06/04/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Dim 6 Jan 2008 - 21:02 | |
| T__T Tes suites sont tellement bien ecrites pour moi,que je sais pas quoi te mettre comme remarque. Désolée,désolée pour ce com qui sert à rien. Une suite,bien evidemment.
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| | | deldel Ich Bin Da
Nombre de messages : 2511 Age : 30 Ma localisation : chezmoi Date d'inscription : 25/03/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Dim 6 Jan 2008 - 21:05 | |
| Je comprends plus rien et je comprends tout J'ai encore des putains de larmes qui coulent sans raison Et mon coeur complétement transpercé Tes mots sont trop beau tes mots sont... J'en perds les miens | |
| | | Mαurεεn Heilig
Nombre de messages : 4026 Age : 18 Ma localisation : En haut d'un building. Date d'inscription : 30/03/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Dim 6 Jan 2008 - 21:13 | |
| Sosiette -- > T'as même pas lu, j'te connais feignasse =) Coralie -- > Tes com ne servent pas à rien.. Del' -- > Merci, tu peux pas savoir comment ça me touche... Si vous comprenez vraiment pas dites le que je récapitule =) | |
| | | Pystash. Automatisch
Nombre de messages : 15521 Age : 34 Ma localisation : Nowhere. Date d'inscription : 23/04/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Dim 6 Jan 2008 - 21:22 | |
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| | | muchie Ich Bin Da
Nombre de messages : 2975 Age : 51 Ma localisation : ben ... cherche ! Date d'inscription : 21/08/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Dim 6 Jan 2008 - 21:33 | |
| non mais quel talent !!
merci pour cette giga suite !
encoooooooooooooooooooooooooooooore !
*dis ... tu penses à notre fic des fois ? ...* | |
| | | sephrenya Heilig
Nombre de messages : 6642 Age : 35 Ma localisation : 91 Date d'inscription : 22/03/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Dim 6 Jan 2008 - 21:45 | |
| Tellemnt magnifique mais tellement triste!!
Suiteuhh | |
| | | Car0lan3_67 Heilig
Nombre de messages : 7951 Age : 32 Ma localisation : Dans ton c*l, sale c*n. Date d'inscription : 19/03/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Lun 7 Jan 2008 - 18:23 | |
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| | | **Jousse** Heilig
Nombre de messages : 5750 Age : 30 Ma localisation : Dans ta poche v_v Date d'inscription : 27/12/2006
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Lun 7 Jan 2008 - 21:41 | |
| j'en ai versé une larme :O
suite stp | |
| | | Romane. Heilig
Nombre de messages : 7588 Age : 85 Ma localisation : 44 Date d'inscription : 13/03/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Mar 8 Jan 2008 - 13:32 | |
| j'aime de trop j'ai versé une ptite larme tellement que c'est beau... viiiiiiteuh une sutieuh plizz!! j'adoreuh c'est trop beau SUITEUH | |
| | | ZzoufriI Traümer
Nombre de messages : 11403 Age : 30 Date d'inscription : 27/01/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Mar 8 Jan 2008 - 18:09 | |
| WONDERFUL =D Merci pour cette suite =). | |
| | | Romane. Heilig
Nombre de messages : 7588 Age : 85 Ma localisation : 44 Date d'inscription : 13/03/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Mer 9 Jan 2008 - 16:57 | |
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| | | Hell. Heilig
Nombre de messages : 7498 Age : 32 Date d'inscription : 29/03/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Mer 9 Jan 2008 - 18:48 | |
| ... Ben j'ai pleuré. Parce que cet amour est superbement transposé. Et que la douleur se lit dans tes mots. | |
| | | Pystash. Automatisch
Nombre de messages : 15521 Age : 34 Ma localisation : Nowhere. Date d'inscription : 23/04/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Mer 9 Jan 2008 - 18:58 | |
| YOU MAKE ME SOOOOOOOO HOT .Huhu.
*Essaye de se calmer*.
...- Spoiler:
JE VEUX TE VOIR DANS UN FILM PORNOGRAPHIQUE. EN ACTION AVEC TA BITE FORME POTATOES OU BIEN FRITE. POUR TOUT SAVOIR SUR TON ANATOMIE. SUR TON COUSIN TEKI & VOS ACCESSOIRES FETICHES. CUIZI C'EST QUOI TA POSITION FAVORITE. TES PERFORMANCES OLYMPIQUES MAIS TU N'AS RIEN D'ORGASMIQUE. TU ES TOUT NU SOUS TON TABLIER. PRET A DEGAINER. MAIS J'T'AVOUE RIEN N' FAIT. *Ne se calme pas du tout*
*Sors* | |
| | | Pystash. Automatisch
Nombre de messages : 15521 Age : 34 Ma localisation : Nowhere. Date d'inscription : 23/04/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Mer 9 Jan 2008 - 19:03 | |
| *S'impatiente*
*Envie de te telephoner*
*Mange du nutella pour passer le temps* | |
| | | _xh0lle Heilig
Nombre de messages : 4099 Age : 32 Ma localisation : Ailleurs Date d'inscription : 15/12/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Mer 9 Jan 2008 - 19:05 | |
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| | | Smartiz Heilig
Nombre de messages : 6228 Age : 33 Ma localisation : Dans une boite de thon. T_T Date d'inscription : 12/11/2006
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Mer 9 Jan 2008 - 20:52 | |
| Putin de fic superbement bien écrit.
Putin de talent. Putin de phrase vrai. Oui pasque ça sonne vrai. Pas comme toute ces fic qui veulent juste raconter une histoire. Et qui se fondent dans la masse. Toi tu nous la fait ressentir. On s'y croirais. Seul quelque personnes m'ont fais ressentir c'que tu m'fais ressentir dans c'te putin de merveilleuse fic <3 Dsl pour tout ces putin mais ton talent ma tellement impressionné que j'en suis restée bouche-bé. Suite ma Belle Soeurette <333 | |
| | | deldel Ich Bin Da
Nombre de messages : 2511 Age : 30 Ma localisation : chezmoi Date d'inscription : 25/03/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Mer 9 Jan 2008 - 21:17 | |
| - Smartiz a écrit:
- Putin de fic superbement bien écrit.
Putin de talent. Putin de phrase vrai. Oui pasque ça sonne vrai. Pas comme toute ces fic qui veulent juste raconter une histoire. Et qui se fondent dans la masse. Toi tu nous la fait ressentir. On s'y croirais. Seul quelque personnes m'ont fais ressentir c'que tu m'fais ressentir dans c'te putin de merveilleuse fic <3
Dsl pour tout ces putin mais ton talent ma tellement impressionné que j'en suis restée bouche-bé.
Suite ma Belle Soeurette <333 Je suis complétement d'accord avec toi | |
| | | Mαurεεn Heilig
Nombre de messages : 4026 Age : 18 Ma localisation : En haut d'un building. Date d'inscription : 30/03/2007
| Sujet: Re: [T] Trop jeune pour mourir, trop malade pour vivre. Mer 9 Jan 2008 - 21:37 | |
| C'est assez court et plutôt bâclé, mais je ferais mieux la prochaine fois. Je vous remercie toutes, merci d'avoir posté belle soeurette =) Et sosiette, ARRÊTES DE FLOODER ALORS QUE TU LIS PAS T.T
II: Stern.
Mon ventre se contracte et une gerbe de vomis s'échappe de ma bouche pour atterrir dans la bassine à côté de mon lit. Euh..? Mon lit? Je me redresse subitement et mes yeux tournent autour de la pièce. Oui, c'est bien ma chambre, mon lit, et c'était sans doute un rêve. Nan. C'était trop réel pour être un rêve. Je l'ai revu, je l'ai touché, il m'a parlé... Une larme coule de mon oeil et s'écrase sur ma main. J'attrape un mouchoir sur ma table de nuit, et mon regard se pose sur mon bras gauche, cerné d'un hématome noir. ... C'était pas un rêve, il a bien refait une crise hier... _ Tom, lève toi c'est l'heure. Je me retourne et voit ma mère, les yeux bouffis par le manque de sommeil, se tenant dans l'encadrement de la porte. Elle fronce les sourcils et s'approche de moi, avant de saisir mon bras. _ Elle vont bientôt partir tes traces, elles revirent vers le bleu, ça se voit que ça commence à faire quelque jours. On mettra de la pommade tout à l'heure. _ Maman... _ Quoi? _ Dégage. Elle me toise, sa main est comme en suspend. Oh, me dit pas que t'avais l'intention de me gifler? Elle secoue la tête et sort en bougonnant. Elle ne m'a pas adressé un mot depuis qu'il est mort, elle n'a même as prit du temps pour s'occuper de lui quand il allait vraiment pas bien, elle était même pas là quand il est mort, elle sait à quel point je vais mal, et elle vient me parler de mes bras. Si c'était pas ma mère, je l'insulterais cette connasse. Ahah. J'entends ses pas s'éloigner dans les escaliers. Je regarde mon bras, c'est vrai qu'on dirait pas que c'est super récent... Je retire la couette d'un mouvement rageur et saute sur le sol. Un tas de vêtements jonchent le sol, ceux qui se retrouvent sur le chemin entre mon lit et ma porte ont la malheureuse chance d'être gértés à coups de pieds. J'atteins la poignée, et quand je l'ouvre, je tombe sur la tête d'une jeune fille complètement anéantie. Manquait plus qu'elle. _ Qu'est ce que tu fais là? _ Ta mère m'a dit que je pouvais monter... _ Peut pas s'occuper d'son cul celle la? Je la contourne et file dans la salle de bain. Je me passe la tête sous l'eau gelée, me remettant quelque peu les idées en place. Plus de Bill. Plus de Bill. Plus de Bill. _ Putain de bordel de vie de merde!! Je m'écroule sur le carrelage froid et me remets à sangloter. C'est finit, finit, je peux plus rien faire, je peux pas le sauver, je peux pas le protéger, je peux rien faire, et je suis seul. On tape deux petits coups contre la porte qui me font sursauter. Sterne, vas-t-en, où c'est encore toi qui va devoir subir mon humeur massacrante. _ Qu'est c'que tu veux, encore? _ Tom tu sais que t'as besoin d'aide, alors laisse moi entrer. Je détourne les yeux de la porte. Pour qui elle se prend? Elle croit pouvoir m'aider, mais personne ne le peut. Et puis si elle veut entrer elle n'a qu'à baisser la poignée et pousser la porte. Et merde. _ Oh Tom tu pleure! _ Non non, je nettoyais le dessous du lavabo, le produit me pique. Elle fronce les sourcils et plante ses grands yeux bleus clair dans les miens. Arrêtes petite étoile, tu vas me noyer. Je me relève et me place face à elle. _ Encore une fois, qu'est c'que tu fous ici. Si t'es venue voir Bill pour t'excuser, c'est un peu tard, parce que tu vois, il est un peu.. Comment dire. Mort? Ses yeux s'emplissent immédiatement de larmes, les faisant ressembler à deux petites criques d'eau turquoise. Je pousse un soupir et me tourne face au miroir. _ Désolé, Stern. Elle soupir à son tour. Mes excuses sonnent toujours aussi faux, il faut croire. _ Je viens pour assister à l'inhumation du corps. _ "L'inhumation du corps", tu peux pas dire enterrement, comme tout le monde? Faut tout le temps que tu... _ C'est rien, ce ne sont que des mots, te remets pas à me chier une pendule, j'suis pas là pour que tu me casse ce que j'ai pas, ok? Je reste bouche bée. Elle qui a un nom si bizarre, une façon d'être si réservée, alors qu'au fond elle est narcissique à souhait, elle qui m'énerve dans ces manières, à tout faire parfaitement bien ou pas du tout, elle que... Elle que Bill aimait tant. Rien que pour ça, elle a le droit à un sourire de ma part, et une faible lueur de contentement apparaît dans ses yeux. _ Pourquoi t'es pas allée directement au cimetière? _ Parce que je voulais passer te voir. _ Oh, j'en ai de la chance... Une grimace se dessine sur mes lèvres et elle, hausse les épaules. Elle me dit qu'elle descend et me demande si elle peut venir avec moi. Je dis oui à contre coeur et elle me laisse seul avec ma peine et mon caractère de merde. | |
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