[T][ Bonus - 115 ] Love Sex Death Passion Fear Obsession. °

Oh oh, la suiiite, stp, j'veux savoir, j'meurs d'impatience là !

Suite pour demain =)

Non pas demaiin, ce soiir =)

suiiiiiiiiiiiiiiiiiiite il me faut la suite, j'adore tro ton histoire !!!

est-ce que ce serait possible alexia que tu me fasses un ti résumé d listoire pck g la flemme d lir enfin du moin si tu mfé un ,ti résumé é ke ca mplai jle lirai surmen mé la .... dc stp rep envoi moi un mess é fé un résumé miki davance en tt ca ta fic' a lair bien..

TokioZikGirl : il s'est passé tellement de chose, que j'pense pas qu'Alexiia pourra t faire un résumé !
Même si c'est long, lis, parce que ça vaut vraiment le coup !

La suite stpppppppppppp !!!
e suis accros a ta fic' !!!
elle est Tellement belle ....

La suiiiteuuh =)

ahh trop bien je suis nouvelle sur ta fic met nosu la suite !!!

J'ai commencé a lire hier, j'étais tout de suite dedans, trop accro qe j'ai du y mettre de la volonté pour partir de mon ordi et je veiens definir de lire tout cela à présent. Que dire? hier soir j'étais tellement emporté que l'émotion a gagné sur moi, sa faisait longtemps et sa fait du bien parfois. J'ai plus qu'a te dire merci, merci de m'avoir fait rever meme si certaines parties de cette fic m'ont fait mal, mal au coeur car je les ressentais ces mots je me suis meme surprise à une partie je sais plus laquelle a si ou ya tous les putin j'avais une impression d'accélération puis quand elle était dans les bras de Bill sa s'adoucissait et tout et quand on regardait le contexte quand cela saccélérait elle courait et autrement c'est quand elle sentait le calme en elle que sa ralentissait. T'arrive a nous faire ressentir les choses en tout cas pour moi. J'ai rien d'autre à dir à part merci. Merci pur cette fic, merci pour ses mots...

T'as réussi à me faire rire, à me faire pleurer, à m'emporter dans l'hitire et tout et crois le peu de personnes ont réussi alors juste pour sa merci...

ahhh stp la suite ... !!!!!

une suite!!!!! je suis tellement contente que tu là continue ta fic!!!! Very Happy

teplé teplé jladore

MaiisTH a écrit:: J'ai commencé a lire hier, j'étais tout de suite dedans, trop accro qe j'ai du y mettre de la volonté pour partir de mon ordi et je veiens definir de lire tout cela à présent. Que dire? hier soir j'étais tellement emporté que l'émotion a gagné sur moi, sa faisait longtemps et sa fait du bien parfois. J'ai plus qu'a te dire merci, merci de m'avoir fait rever meme si certaines parties de cette fic m'ont fait mal, mal au coeur car je les ressentais ces mots je me suis meme surprise à une partie je sais plus laquelle a si ou ya tous les putin j'avais une impression d'accélération puis quand elle était dans les bras de Bill sa s'adoucissait et tout et quand on regardait le contexte quand cela saccélérait elle courait et autrement c'est quand elle sentait le calme en elle que sa ralentissait. T'arrive a nous faire ressentir les choses en tout cas pour moi. J'ai rien d'autre à dir à part merci. Merci pur cette fic, merci pour ses mots...

T'as réussi à me faire rire, à me faire pleurer, à m'emporter dans l'hitire et tout et crois le peu de personnes ont réussi alors juste pour sa merci...

Ouah. J'sais pas quoi dire tellement ça m'fait...Tellement ça m'fait tout c'que tu dis là..Les mots m'perdent, j'les retrouve plus...

Bah, banalement merci. Même si ça m'tue d'utiliser un mot aussi bête et aussi court..

Merci à toutes en fait, j'le dis jamais assez mais j'vous adoore juste de laisser des mots =)

J'ai déjà écrit le brouillon de la suite, il faut juste que je le retriouve et j'vous la tape =)

J'écrirai la suite demain, pour ceux que ça intéresse...

alexiia a écrit:: J'écrirai la suite demain, pour ceux que ça intéresse...

WAouhhhh merci !!
Tout les jour, tout les heures presque defois je regarde si y'a rien de nouveua !!
Tu écris tellement bien ...
Je sais vraiment pas comment tu fais, je ressent tout de ton histoire ....
J'adoreeeee ton histoire, une de mes préféré ( avec celle de babou surtout !! )

Vivement la suite !!

Pas besoin d emots pour cette fois...je crois...Mot abnale mais avec son importance parfois... De rien...

Hate à cette suite, hte de lire t de replonger dedans...

^^ Mercii Adeline <3

J'suis en train d'écrire la suite, vous l'aurez dans maximum 20 minutes si tout s'passe bien =)

[ Partie 112 ]

La Chevrolet. L'avion. L'hélicoptère. Puis Kabjuana, ma petite île rien qu'à moi. Les seules habitations qui s'y trouvaient étaient notre villa aux baies vitrées qui la recouvraient sur chaque façade, ainsi que le Souvier, bâtiment destiné au personnel de l'entretien. Une pure merveille, lieu rêvé pour quelques temps de repos.

« Bill nous rejoindra ?
- Bientôt. »

Bientôt quand ? Je n’en avais pas la moindre idée. Pas moyen d’entrer en contact avec lui, aucune réponse à mes messages que je lui laissais. Assez pour qu’il comprenne que je pensais encore à lui, et que son frère avait besoin de lui, pas trop pour qu’il ne me trouve pas oppressante. Je lui avais de toute façon laissé toutes les indications dont il aurait besoin pour nous rejoindre. Un appel, et on s’occuperait de lui.

L’espoir fait vivre.

« Tom ! m’exclamais-je pour la énième fois ce jour-là. Relâche cette bouteille, t’as assez bu comme ça ! »

Quatre jours. Quatre jours qu’on se noie dans ce lagon, cette déchirure du paradis, avec notre précieux alcool à essayer d’oublier, oublier qu’on attend un connard qui ne viendra pas. Tom s’était complètement lâché. Plus de casquette ni même de vêtements, juste un cal’but et un bout de tissu pour accrocher ses dreads ensemble. Moi je restais en simple culotte et débardeur, le temps étant trop chaud pour mieux se couvrir.

Il passait ses journées dans l’eau, à observer les alentours, tourner en rond en marmonnant pour lui-même, une bouteille de Bailey ou Martini à la main, selon son humeur. Aujourd’hui, il avait opté pour une Tequila dont je ne connaissais même pas le nom, et qui ne semblait pas bien fameuse. Assise en tailleur dans le sable chaud, je l’observais, le surveillais. Il était dans un piteux état, et malgré que l’eau à cet endroit était peu profonde, j’avais peur qu’il se noie.

« Votre déjeuner, mademoiselle. » Deux simples sandwichs bien garnis sur un simple plateau en bois, ainsi que des boissons bien fraîches non-alcoolisées, pour changer. Se soucierait-elle de notre santé ? Je la rappelai in-extremis histoire qu’elle nous apporte quelque chose de plus fort ainsi que quelques glaçons en plus. Je mourais de chaud, là, exposée à ce soleil mortel, et ma peau criait réconfort. J’appelai ensuite Tom qui ne vint pas, se contentant de me faire un signe de la main de la où il se tenait.

« Tom ne jette pas la bouteille dans l’…Trop tard. »

J’abandonnai alors notre repas au sable et partis à sa rencontre. Quelqu’un viendrait de toute façon les récupérer avant qu’ils ne pourrissent. Je pénétrais dans l’eau, savourant la douceur qu’elle me procurait. Lui, il dansait, tournoyait les bras en l’air, offrant sa peau aux coups de soleil. Seul son visage était épargné de ces brûlures douloureuses, rembruni et sombre. Puis il y avait son éternel sourire à nouveau accroché aux coins des lèvres. Dû à l’alcool. Si seulement il pouvait être bien réel, si seulement il m’offrait un sourire venu de lui et non d’un abominable liquide.

Je lui pris par le bras pour l’arrêter ce qui faillit le faire tomber mais il se rattrapa de justesse dans mes bras, s’accrochant comme il le pouvait à mon petit corps devenu maigre.

« Tom, viens, on rentre à l’ombre.
- Non ! Le soleil veut encore danser.
- J’t’en prie, Tom, viens ! » le suppliai-je. Je n’avais pas la force de le tirer jusqu’à la villa, il fallait qu’il donne du sien. Il me regarda un instant, hésitant, avant de s’effondrer dans mes bras. Je le soutins du mieux que je pus, le laissant enfouir sa tête dans le creux de mon cou. Ses lèvres sèches râpaient ma peau déjà irritée, mais je m’efforçais de ne rien laisser paraître.

« Tu as appelé Bill ? réussit-il à demander.

- Il était occupé, je réessayerai plus tard. »

Mensonge. Je n’avais pas osé m’approcher du téléphone aujourd’hui. L’idée d’entendre sa voix à nouveau me terrifiait. Puis j’avais peur qu’il découvre notre état, aussi, il m’en voudrait mortellement. Je rattachai une dreads qui s’était échappée de son espèce de chignon, récupérai la bouteille vide qui avait glissé à quelque mètre de là et le guidai jusqu’à la villa dans un effort colossal.

Je le laissai alors dans le salon pour qu’il puisse encore admirer l’horizon que sa vue nous offrait. Une des servantes s’attela à le nourrir tandis que je cherchais une crème pour ses blessures qui devaient être douloureuses même s’il ne s’en souciait pas. Tom était en train de draguer la pauvre servante, multipliant de pitoyables clin d’œil et sourires lorsque je revins dans la pièce armée de la meilleure crème. Une spécialement conçue pour moi, avec mon parfum préféré inclus. Tant pis, Tom était trop saoul pour s’en rendre compte.

« Jeune homme, retirez votre main de mon décolleté ! » La bonne femme ne semblait guère apprécier les mains baladeuses du beau gosse. Etait-ce sa jeunesse qui l’effrayait ou le regard inquisiteur de son mari en train de travailler dans le jardin ? Ces gosses sont malsains. Il faut dire aussi qu’elle n’était pas toute jeune et, à cet âge là, on est aussi sec que coincé. Heureusement pour elle, Tom s’était soudainement désintéressé de sa petite personne à la vue d’un Bailey à moitié vide. Je le rattrapai de justesse avant qu’il ne s’en empare.

Je le tartinais de crème avec délicatesse, lui faisant en même temps quelques massages, ce qui semblait le détendre. Pendant ce temps, il se perdait dans le paysage qu’on pouvait apercevoir de là où on se tenait. La baie vitrée donnait sur la terrasse, puis sur la piscine qui semblait se prolonger avec le bleu pure de la mer, brièvement interrompu par une ligne beige claire virant au blanc. C’était un peu ça, ma vie, superficiellement. Luxe, merveilles, et espaces. Gigantesques étendues rien qu’à moi.

« Bill a appelé ? » Cela en devenait presque insupportable. Alors que je m’efforçais de l’oublier - comme si cela pouvait être concevable -, il ne faisait que mendier sa présence, me rappelant son cesse de son existence à lui. Lui, l’autre. Lui, le salaud, l’enflure. Le connard qui ne venait pas.

J’allais répondre quand une sonnerie se fit entendre. Le téléphone. Enfin ? Je me précipitai jusqu’au combiné, empêchant Tom de me suivre et regardai le numéro qui s’affichait sur l’écran. Numéro inconnu.

« C’est Bill ? » demanda Tom, comme à chaque fois que ce téléphone sonnait.
« N...Non, c’est mon frère. »

Suiteuhh c'est trop court....Beosin de plus...des mots...encore et encore...s'il te palit...XD

<33
la suite stp

Je sais pas encore c'que j'vais faire comme suite, en fait bbbb

Fait venir Bill....
DE toute fasson quoi que tu fasse t'aura fais le bon choix xD

Aller la suite stp

Waouhhhh....
Je sais vrmt pas comment tu fais...
C'est tellement beau....
Je suis acros a ton histoire et a ta facon d'écrire....

Personne ne lit, ça sert à rien que j'mette une suite é_è

alexiia a écrit:: Personne ne lit, ça sert à rien que j'mette une suite é_è

Ohhh nonn
Stpppppp met la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !!!

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