[T][ Bonus - 115 ] Love Sex Death Passion Fear Obsession. °

Mdr quand l'inspi vien faut surtout pas l'arreter en tout cas encore mille fois merci ^^

c'est cool ca,mais tu continue ta fic?

Disons plutôt que je réécris la fin =)

ha okkkkk

"Tom ne vas pas bien en ce moment..

- Ah vraiment, tu crois ? répondit Bill avec arrogance.

encore la suite stp c'est trop bien

^^

J'vous écrire la suite ce soir, pour ceux que ça intéresse =)

ha oukiiii
moi ca m'interesse XD

iiiiiiiiiiiiiiiiih
super que ça continu ^^
et que ça dure


suiiiite <3

suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite suite suite

suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite
(y'a th sur nrj 12)

Désolé, ça m'est sorti de la tête, et j'ai oublié d'vous mettre la suite

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[ Partie 110 ]

Et moi je venais de tout faire foirer. A peine fut-il entré qu'il ressortait déjà, la fureur ayant squatté ses traits fins. Je m'empressai de me relever et de le suivre, essayant de le rattraper. Il courait, courait à n'en plus finir, jusqu'à se laisser tomber à bout de force sur un banc perdu au milieu de cette ville. Il devait être minuit, ou plus tard, je n'en savais absolument rien.

« C'était quoi, ça ? » Bill ! Je n'en avais aucune idée. Juste un baiser. Un égarement. Un geste qui n'aurait jamais dû arriver.

« Tom n'va pas bien.
- Et quoi, tu crois que je n'avais pas remarqué ? Et c'était une raison pour...
- Alors y'a que ça que tu trouves à dire ? Ton frère, ta moitié va mal, t'es même pas capable de t'occuper de lui, et tout c'que tu trouves à faire, c'est m'engueuler pour un ridicule baiser ? !
- Je...
- Non, Bill ! l'interrompai-je, si t'avais été présent, ce baiser, ça aurait été à toi que je l'aurais adressé. Pas à Tom. C'est toi que j'aime, mais t'es jamais là. Ni pour moi, ni pour ton frère. »

Bill n'essaya plus de se justifier, préférant me regarder parler. God, que je le haissais. A se tenir là, devant moi, sans mouvement, presque sans émotion si ce n'était une froideur qui s'installait peu à peu à lui, en son regard.

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suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite <3

j'adore trop
la suite stp

[ Partie 111 ]

Bill n'essaya plus de se justifier, préférant me regarder parler. God, que je le haïssais. A se tenir là, devant moi, sans mouvement, presque sans émotion si ce n'était une froideur qui s'installait peu à peu à lui, en son regard. Il m'écoutait débiter tout ce que j'avais sur le cœur, sans bouger, plus dur et distant que je ne l'avais jamais vu. Les larmes me montaient aux yeux. Mais qu'est-ce qu'il nous arrivait ? Comment en étions-nous arrivés là ?

« J’vais prendre des vacances. B’soin de changer d’air. D’me remettre en question. J’m’en fais pas pour Tom, j’sais qu’il s’en sortira, qu’il comprendra.

- M’laisse pas, Bill, mais laisse pas encore une fois, le suppliai-je. En vain. Bill m’avait déjà laissé tomber, il avait la tête ailleurs.

- J’suis désolé. J’ai b’soin de réfléchir. Y’a un truc qui va pas. »

Puis il est parti. Comme ça, sans rien ajouter. Sans me donner une explication convaincante, suffisante. J’aurais aimé qu’il pleuve histoire d’accentuer ma douleur. Ciel gris, larmes du ciel. Douleur lavée. Harder, faster. Il faisait chaud, beaucoup trop chaud, et je m’étouffais dans ma douleur. Bill, mon seul, le seul, venait de me laisser tomber une seconde fois. Un troisième fois, en fait. On ne m’avait jamais laissée tomber, jamais. J’avais toujours quelqu’un sur qui me raccrocher, que ce soit Bill, Tom, mon frère, ou autre, et c’était moi qui les lâchais pour quelques temps après qu’ils m’aient lassée.

Bill. Enfoiré.

« Viens, Tom, on part d’ici, de cet endroit, de cette immonde ville. On va partir loin, oublier.

- Et Bill ? » Ne rien dire. Ne rien laisser paraître. Ne pas laisser entendre qu’il l’a laissé tombé, trop égoïste pour se soucier de son propre frère.

« Bill s’en sortira tout seul. Ca va aller, j’te promets. J’t’emmène sur une île aux Caraïbes. Tu vas voir, tu vas adorer.

- Comme dans les Pirates des Caraïbes ? » Il est super chou, Tom, quand il est triste. Un p’tit gosse perdu dans un monde d’adulte.

« Mieux encore. »

Oui, ce sera mieux que je ne le pense. On sera à deux, sans les autres enflures pour nous pourrir l’existence. Sans les Bill pour nous lâcher, les Sébastian pour nous rappeler que je dois bien me comporter, sans les David pour donner un emploi du temps trop chargé pour y survivre. Sans les moutons qui nous poursuivent en quête d’un autographe, sans les paparazzis à la recherche de la moindre lueur de décadence.

cool XD suiiiiiiiite

alala comment j'adore trop la suite stp

suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiteeeeeeeeeeeeeeeeee!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!