[T][ Bonus - 115 ] Love Sex Death Passion Fear Obsession. °

Mais la vie est triste, Coryse, j'essaie d'vous y habituer =) Que vous sachiez déjà c'que c'est que d'être déçue, d'avoir le sentiment qu'il manque quelque chose ^^

Je respecte ton travail, tu sais bien ca, mais pourquoi tu a ete si presee de finir la fic? Je pense que la fin est totalement contre le contenu, le message est totalement different. La plus belle conclusion- l'amour est toujours le plus fort- qui on peut retenir de cette fic est en contradiction avec le final. Tu sais, la vie est peut etre triste, mais les sentiments comme ca la font supportable. Personalement, je ne veux pas me habituer avec l'idee d'une vie triste, ca ruinera tout mes reves.

J'ai réfélchi..et en fait la fic, j'aurais dû la finir à mon p'tit "The end". D'ailleurs, c'est là qu'elle finit, ou à vous d'choisir où vous voulez qu'elle se finisse..

En fait, si la fin est contradictoire comme tu dis Irina, c'est parce que j'le suis moi-même..J'voulais une happy end, et en même temps, cette idée m'insupportait..J'ai pas envie d'vous expliquer pourquoi, ca casserait tout..

Moi jpence que tu as tres bien choisis ta fin ,car elle reflette la réalité
le fait qu'il est des choses qu'on désire vraiment mais on ne sait pas pourquoi elle sont impossibles .
Alors moi jte dit encore bravo et surtout merci

moi j'aime cette fin,j'ai aimée l'histoire toute entiére
franchement bravo =D

wé sérieux bravooo on dirai une pro qui l'a écrit!!!!^^
j'ai trop trop trop aimé je pouvais plus m'en détachaer de ta fic

jviens de me farcir 36 pages, presque 2h pour tout lire, mais le blem c'est que la je trouve pas les mots pour exprimer... JADOOOOOOREUH... pk? pcke WAW c troppp beau et euh... dzl trouve pas les mots...XD

Mercii <3

J'suis en train de réécrire le texte, là, et j'viens de me rendre compte que j'ai oublié une partie ^^

Honte à moi..

Pour ceux que ça intéresse, j'ai "corrigé" jusqu'à la partie 12 =) C'est à dire juste la page 1 en fait, et maintenant, je pars à la recherche du bout manquant =)

[ Partie 12 ]

Tom revint dix minutes plus tard sans son frère, l'air pensif. Il se laissa d'abord tomber comme une masse dans le fauteuil, volant quelques notes au vol à Georg qui avait posé sa guitare sur la table basse.

" Tom ? T'as fini, là, on peut commencer ?
- Eumhh...Alexia, je te dois des excuses...Je..Je suis vraiment désolé, j'ai tout remis sur ta faute aujourd'hui alors que c'est moi qui me suis comporté comme un salop...Bill vient un peu beaucoup de me faire la morale là... *rire jaune* Mais je le méritais largement...Tu vois, après la nuit qu'on a passé, c'était géniale, hein, je dis pas le contraire! Mais on est pas fait pour sortir ensemble...On avait juste une attirance physique et puis avec l'alcool et tout..Ben voilà, quoiqu'il en soit, le lendemain j'ai un peu paniqué..et puis come un con j'ai demandé à Bill -enfin demandé, on se comprend quoi..- de te bacquer à ma place..J'ai été lâche alors que je suis sûre qu'il suffisait qu'on discute et que tout s'arrangerait...et puis Bill a vu dans quel état j'étais, alors il a organisé tout ça..Enfin parce que t'as blindé de talent aussi, tu le sais, surtout pour ça d'ailleurs mais enfin soit, il s'est dit que ce serait l'occasion idéale de se réconcilier...et donc voilà...Je..je suis désolé, vraiment...ajouta-t-il avec un regard de chien battu.
- Pas autant que moi.
- Et tu crois que tu pourras me pardonner? "

Pour toute réponse, je me jetai dans ses bras en riant. Bien sûre que je pouvais lui pardonner. Tout ce qu'il voulait même, si je pouvais encore rester avec lui. Je sais ce que vous vous disez, "elle cède facilement, elle." Je crois pas, non. C'est juste que ce que je ressentais pour Tom, c'était tellement fort et tellement bien, cette amitié, que je ça ne pouvait être que réciproque. Et il avait l'air tellement sincère dans ses explications, il avait tellement l'air de vouloir tout effacer.

" Waouw! s'exclama Tom.

- Quoi?

- C'est dingue comme ça fait du bien de pouvoir à nouveau te prendre dans les bras...J'suis trop heureux ! "

Bill entra à cet instant dans la pièce. Lorsque je le vis je lui sautai également dessus, le pris un instant dans les bras puis lui donnai un petit bisous sur la joue suivis d'un petit " Merci, je t'adore ! " mais il me repoussa gentiment.

" Bon les gars, je vais shoppiner ! annonça-t-il.Quelqu'un a besoin de quelque chose? "

Personne ne prit la peine de répondre. J'avais bien besoin de quelques trucs, mais je ne préférais pas lui demander, de peur de le faire chier. Il me donnait toujours l'air d'en avoir marre de moi déjà. Là, maintenant, aussi malgré sa promesse. Tant pis, j'allais pas me faire chier pour un type comme lui.

" Je r'viens pour 18 heures ! "

Cette fois, c'est à quatre qu'on travailla la musique : Tom, Georg, Gustav et moi. Je passais un de ces moments parfaits, qui ne devrait jamais cesser tellement il est excellent. Tom avait retrouvé ses sourires qu'il nous balançait à tout bout de champs. C'était cool de travailler avec un gars comme lui. On sentait tout de suite qu'il aimait la musique, qu'il adorait en jouer. Il se donnait à font dans ce qu'il faisait. Tout son énergie, tout son être.

Bill revint vers 18heures, comme prévu. On n'avait pas vu le temps passés, et la fatigue de la bosse nous surprit d'un coup. Le beau brun s'affala à son tour dans un canapé et lâcha un soupir de soulagement :

"Le shopping est éprouvant de nos jours.
- Fans hystériques ? comprit Tom.- Oui, répondit Bill en lançant à son frère un tube de crème. J'ai pensé que t'en aurais besoin. Et ça, ajouta-t-il à mon adresse, c'est pour toi."

J'attrapai le paquet qu'il m'avait quasi jeté à la gueule au vol, me demandant ce qu'il pouvait bien être. C'était une petite boite rectangulaire et allongée, emballée dans un Paris XL. Je pris bien soin de prendre mon temps. J'adorais défaire les cadeaux, faire durer le suspense. Mon frère me disait toujours que j'étais stupide, que je devrais être habituée à force. Moi je m'obstinais à savourer ces moments.

Il renfermait un tube de mascara. Ha ha ha, Bill, on se marre. C'est qu'il riait vraiment, le petiot. Mort de rire, qu'il était. Attendez que je vous explique :

" Je me suis dit, réussit à dire Bill entre deux gloussements, avec les tonnes de mascara que tu mets tous les jours que tu ne devais plus en avoir beaucoup.
- Et c'est toi qui me dis ça ? J'te signale, au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, que tes yeux sont plus maquillés qu'une pute de bas étage !
- Ooh sois pas vexée, c'était de l'humour. HUMOUR, tu connais ?
- J'trouve ça juste gonflé de la part d'un gars qui se maquille plus que moi.."

Tom, quant à lui, alors qu'il se serait délecté de cette scène pour le moins hilarante, était complètement absorbé par la notice du tube de crème. Ses sourcils étaient froncés, signe de concentration. Je m'approchai pour voir de quoi il s'agissait. C'était tout simplement de la crème pour les dreads. Avec le temps, certaines se défont, où les cheveux repoussent. Trop mignon comment Bill se soucie des problèmes de son frère, les tout bêtes comme ses cheveux !

Ceci n'empêche pas cela, il a beau être attentioné, il n'en a pas moins un humour de merde.

L'homme aux dreads ôta sa casquette ainsi que son espèce de foulard et s'empara d'une de ses fameuses tentacules et se mit à l'enduire de crème. Les premières étaient faciles, derrière cela se compliquait.

"Tu as du mal Tomichou ? me moquai-je gentiment.
- Humph, aide-moi au lieu dt' foutre de moi !"

En bonne fille que j'étais, je m'exécutai sans broncher, m'immiscant comme je le pouvais entre lui et le dossier du fauteuil. Je pris un des cacas (dixit Georg) en main mais il se mettait déjà à gesticuler.

"Deux minutes j'vais me laver les mains.
Deux minutes j'mets la PS histoire d'avoir de quoi faire en attendant."

Il s'installa alors confortablement dans le canapé, n'hésitant pas à m'écraser pour être à l'aise. Cela prit plus de temps que je ne pensais. Tom n'arrêtait pas de bouger, expulsant la crème un peu partout dans la pièce mais en particulier sur ma pauvre personne. La lassitude commençait à se faire sérieusement sentir :

" J'ai faiimmm ! me plaignis-je. Bill me lança un regard noir. Les deux autres ne cillèrent même pas. Tom renchérit :
- Ouais moi aussi...Bill tu peux me passer un paquet de chips, steup? Danke ! Roooh c'est le plus beau jour de ma vie. Non seulement j'te retrouve, Alex, mais en plus t'es en train de me tripoter les dreads alors que moi je suis là, peinard, avec un paquet de chips à la main, le coca que Bill va gentiment m'apporter en tant que bon frère jumeau dans l'autre main, de la bonne musique en fond pour l'ambiance et un bon jeu de Playstation qui m'attends...Le pied...Manque plus que des belles blondes qui me font un petit streap-tease, et là, je suis au summum du paradis! "

Dès que les mots "belles blondes" et "streep-tease" furent prononcés, tous les regards se tournèrent bizarrement vers moi.

" Oh ! Tom, même si j'avais voulu, je n'aurais pu accomplir ton rêve. J'suis brune.
- Peu importe, ta canonitude l'emporte sur ta couleur de cheveux."

Je finis rapidement ses cheveux, travail de temps en temps interrompu pour cause d'empiffrage de chips sous les bons soins de Tom qui me les introduisait dans la bouche gentiment. J'étais bien forcée, les chips à la crème, ça me tentait pas trop. Je me serais bien passée de l'aide de Tom, si j'avais pu.

"On sort ce soir ? !
- Pas avec c'truc dans les cheveux, protesta sans grande conviction Tom.
- J'sors pas sans toi, Tomichou, tu l'sais bien
- Humph ! Ca change rien au fait que j'ai les ch'veux tout dégueulasses..
- Genre ça t'dérange !
- Tu m'donnes quoi on échange de ma présence ?
- Je te promets de...euh..de...
- De faire c'que j'veux pour la soirée ? proposa Tom déjà excité à cette idée.
- Si tu m'promets d'être un amour.
- Comme si j'allais t'faire un sale coup." dit-il, un sourire malicieux aux lèvres.

Sur ce, je remontai dans ma chambre me préparer. je dînais avec mon frère ce soir et il fallait que je sois présentable. On allait tout bêtement au restaurant de l'hôtel, pour plus de facilités. Ce n'était pas le meilleur, mais les plats y étaient mangeables.

Excepté Kate qui disputait pathétiquement mon pauvre frère qui s'en foutait royalement, trop occupé à la contemplation d'une belle brune aux lèvres pulpeuses et aux formes généreuses à la table voisine, le repas se passa sans encombre. Moi, j'étais trop heureuse pour foutre la merde dans la vie de cette chère blonde qui se croyait déjà ma belle-soeur. Je voyais limite tout en rose. Même Kate. Il faut dire qu'avec elle la chose n'était pas bien difficile, elle était le prototype même de la poupée Barbie.

Sébastiant détournait de temps en temps le regard de la jeune femme pour échanger quelques mots. Le reste du temps, il se contentait d'hocher la tête en guise de réponse à Kate qui n'en pouvait plus. Je me délectais de chaque minutes qui passait tellement c'était merveilleusement drôle : Cela sentait la rupture à plein nez ce qui avait le don d'accroître mon bonheur. J'étais ravie ravie ravie. Je vois, je vais, je viens je suis raviie. Deux I, plus de bonheur. Aaaah la vie est merveilleuuuuuse.

Si on ne prend pas en compte l'humour dégradant de Bill.

Casses-toi, pars, pauvre merde, de mon esprit. N'empêche, il a un rire à croquer.

Non, je n'étais pas cruelle d'aimer ce moment. Juste normale. Toute personne normalement constituée aurait été ravie comme moi de voir son frère se séparer d'une fille comme Kate. Croyez-moi.

"Tu fais quelque chose de spécial ce soir ? me demanda Seb' après avoir échangé un long regard langoureux à sa dulcinée du moment.
- Mais je reste avec toi, mon coeur !" répondit à ma place la blonde.

Pathétique. Mais vraiment.

"J'vais dans une boîte muichienne, c'peut être cool." répondis-je bêtement.

Tom m'attendait devant la porte de ma chamrbre lorsque j'eus fini de manger. Il jouait avec une des baguettes de Gustav. Il entre dans la pièce à ma suite et se dirigea immédiatement vers ma garde-robe, l'ouvrit et marmonna des mots dont je pus à peine en saisir le sens : "Dingue le nombre de fringue que t'as !" Il farfouilla alors quelques temps et en ressortit un mini short en jeans suivi d'un débardeur décolleté et des cuissardes en cuir. Je faillis m'étrangler en voyant la tenue qu'il venait de me choisir avec soin.

"Taddaaa ! annonça Tom en brandissant devant lui les habits d'un air triomphant.
- Et tu crois sérieusement que je vais mettre ça ?
- Ben c'est pas comme si t'avais le choix, répondit-il d'un air entendu. Je veux que tu sois sexy ce soir...Et puis, si t'as ces fringues avec toi, c'est que tu les aimes bien, non ?
- Bien sûre, je les adore, mais pas tous ensemble...Je peux être sexy sans pour autant ressembler à une petite de bas étage, ou à une des bimbos sans intérêts tout droit tirée d'un clip de RNB... Laisses-moi choisir moi-même ma tenue et je te promets d'être sexy !
- Mets au moins le short, je l'adore !
- Si tu y tiens..."

Je mis donc le petit short comme prévu accompagné d'un haut ample et gris clair sans grand artifice mais joli sur moi. Une ceinture assez large sur la taille pour donner de la forme et en guise de chaussures, j'enfilai des simples talons. Je mis le stricte nécessaire au rayon maquillage et me fis une queue de cheval "sauvageonne", des mèches partant un peu dans tous les sens. Pour terminer, j'enfilai des lunettes Dior classiques et pris le premier sac Valentino noir qui me tombait sous la main. Simple, classe, sexy. Mes jambes étaient à tomber.

Tom enfila à son tour ses lunettes noires pour qu'on ne le reconnaisse pas même si cela ne servait strictement à rien à cause de sa coiffure et de son style. Bill et les deux autres nous attendaient dans le hall, bien protégés par leurs propres vigiles. Le grand brun, que je ne préciserai pas par fierté, était vêtu d'un tee-shirt noir avec des motifs à la rock, un jeans déchiré en plusieurs endroits comme il les aimait et de ses multiples bijoux. Il avait à peine donné du volume à ses cheveux. Je lui glissai que je le préférais comme cela mais il fit mine de m'ignorer. J'eus tout de même le temps d'apercevoir un petit sourire satisfait avant qu'il ne détourne la tête. Je me retins tout de même de lui dire qu'il était sexy à mon goût. Qu'il était à mon goût tout court, en fait.

Non mais qu'est-ce qui me prend d'écrire ça, moi ? Je m'en foutais bien, de Bill...

oups ^^ J'suis bêêêêête

Non j'me suis trompée ^^ J'ai réécrit cette partie la, c'est tout =)

[ Partie 108 ]

[ Musique d'ambiance ]

Bill et moi, ce ne sera pas parfait. Parce que cela ne peut l'être. Bill et moi, ce s'ra des tas de disputes, de malentendus, et puis du mal, aussi. Mais ce s'ra surtout de l'amour, parce qu'on sera ensemble. Et s'il y a bien une chose sur laquelle on était bien d'accord, c'était qu'on était tous les deux fous l'un de l'autre. Qu'on ne pouvait pas se passer l'un de l'autre, qu'on ne pouvait se permettre de se séparer plus d'un jour, et que personne ne pourra jamais plus se mettre entre nous parce que nous avions compris. Nous avions compris qu'il ne pouvait plus y avoir que Lui + Moi. Pas d'Estelle, ni de Eric, ni qui que ce soit.

C’est ce que nous nous disions à ce moment-là, alors qu’il me refaisait l’amour comme si ça avait été la dernière fois. La der des der.

Je ne pensais pas que ce le serait vraiment.

La semaine qui suivit fut probablement la plus belle de toute mon existence. D’lamour. Puis juste lui, moi, et la vie.

Puis Tom a fini par réapparaitre parce que c’était inévitable, et dans son bonheur, Bill n’avait pas remarqué la détresse de son frère qu’il aimait tant. Cheryl s’était détournée de lui pour consoler son grand ami, Eric, ignorant complètement Tom, le rejetant sans complexe ni état d’âme. Elle s’en foutait, depuis le début il ne voyait qu’Eric, mais il avait espéré. Et il s’était pété la gueule sur son refus.

Tom brisé, et même son frère n’était pas là pour lui. J’sais pas trop c’qui s’était passé entre eux, mais un truc s’était brisé. Bill culpabilisait, Tom lui en voulait de ne pas avoir su l’aider. On passait la plupart du temps à trois, mais Bill s’éloignait de plus en plus de nous, enfonçant son frère dans sa solitude.

Après avoir passé la journée avec Ronaldo qui restait toujours auprès de moi, je rentrai à l'appartement. Je savais très bien que Bill ne serait pas là à m'accueillir, et Tom serait sûrement avec une fille. Il avait repris depuis Cherryl, sautant la première jolie fille qui pointait son nez. Il ne nous parlait presque plus, se renfermant sur lui-même. Je ne savais pas très bien quoi faire ni comment me comporter avec lui, ce que je devais faire pour qu'il retrouve son sourire. Pas c'lui qu'il nous donnait aujourd'hui, mais le vrai, The Tom's smile*. Il me manque, terriblement.

Je ne fus pas le moins du monde étonnée de l'état de l'appartement. Cela faisait depuis quelques semaines que cela durait. Les fenêtres étaient grandes ouvertes, laissant le vent balayer toutes nos affaires. Une bouteille de Martini s'était brisée sur la table basse du salon, trempant par la même occasion le Vogue que j'avais lu ce matin. La chaîne ifi n'était pas éteinte, des cds et livres trainaient un peu partout ainsi que quelques vêtements qui appartenaient à Tom, je les reconnaissais bien. Il avait dû ramener une fille, ce qui expliquait l'étalement de vêtements dans toute la pièce.

Bizarrement, aucun bruit ne provenait de sa chambre. D'ordinaire, ils ne se gênaient pas avec ses conquêtes de s'égosiller, nous dérangeant Bill et moi. Je m'approchais doucement et collai mon oreille à la porte. Pas de bruit. Je frappai, il ne pouvait être ailleurs qu'ici. Personne ne me répondit. J'ouvris alors la porte et entrai. La lumière était éteinte et le lit défait. Tom était assis dans le coin le plus éloigné de la pièce, la tête dans les bras, son corps convulsé.

"Tom ! Qu'est-ce que tu fais par terre ?! " Je me précipitai vers lui et le pris de force dans les bras. Il m'évitait ces derniers temps. Depuis qu'on le rejet de Cherryl, en fait. Il devait mettre la responsabilité sur mon dos. Il se laissa alors tomber mollement sur moi, des larmes coulant sur mes épaules. Je ne l'avais jamais vu dans un état pareil et cela me faisait peur. J'auais voulu appeler Bill mais je n'avais aucune idée d'où il pourrait bien se trouver et il avait la fâcheuse manie de ne jamais au répondre à son portable.

Je châssai immédiatement Bill de mon esprit, je n'avais pas le temps de m'occuper de lui pour l'nstant. Je devais au contraire concentrer toute mon energie sur Tom, le Tom effondré qui paraissait si frêle et fragile dans mes bras.

"J'en peux plus, Alex, j'en peux plus..."

Il neiige

Y'a personne qui liit =( Moi j'étais toute contente d'avoir retrouvé la motivation d'écrire une véritable suite..

Si j'ai lu mais enfait j'ai pa tout compri c'est un épilogue nan ?ou tu reprend ta fix?
désolé pour mon inconpréhansion l!ol

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[ Partie 109 ]

Je serrai ses mains moites après lui avoir délicatement essuyé le visage. Il me regarda d'un air suppliant, je lui promis de ne jamais le laisser tomber. Nous étions proches. Tellement près l'un de l'autre que nos nez se frôlaient, et que je pouvais lire dans ses yeux mieux que jamais. Ses lèvres tremblaient. Il ferma soudain les yeux, respira plus profondément, se détendant peu à peu.

Je ne sais pas pourquoi, ni comment, mais nos lèvres se croisèrent et finirent par ne plus se séparer. Un baiser doux, tristement salé. Un baiser délicat contrastant avec les fougueux que nous nous étions échangés à l'époque. Je ne me posais plus de question, le soutenant plus encore, le serrant contre moi. Je n'avais plus reçu autant d'amour depuis tellement longtemps que des larmes m'en coulaient des yeux.

La porte s'ouvrit soudain, nous interrompant dans ce dérapage qui n'aurait jamais dû avoir lieu. Debout, sur le pas de la porte, se tenait la dernière personne à devoir assister à cette scène ; Bill. Bill l'absent, Bill le distant, Bill qui ne me rendait plus ce que je désirais de lui. Il m'aimait encore, je le savais, mais il y avait comme un blocage entre nous deux. Il venait de m'apparaître clairement ; Tom. Son frère allait mal, et Bill le ressentait forcément. Par sa faute, il ne pouvait plus se laisser à son bonheur.

Et moi je venais de tout faire foirer. A peine fut-il entré qu'il ressortait déjà, la fureur ayant squatté ses traits fins. Je m'empressai de me relever et de le suivre, essayant de le rattraper. Il courait, courait à n'en plus finir, jusqu'à se laisser tomber à bout de force sur un banc perdu au milieu de cette ville. Il devait être minuit, ou plus tard, je n'en savais rien.

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Oui, c'est vrai que c'est pas clair ^^ Attends, j'vais modifier ça pour que vous compreniez =)

d'accord mirci en tout cas jsuis toute happy d'avoir une suite sa fait télement de bien mirci

Voilà =) Pour que vous compreniez où ça se situe

(Bill et Alexia sont toujours ensemble, Tom vient de se faire baquer par Cherryl )

Moi aussi =) Ca m'a pris d'un coup, et j'me suis dit qu'il fallait en profiter =)