[T] Une guitare, deux guitares, trois guit... Je t'aime.

Bonjour tout le monde !!!

T'as une nouvelle lectrice complètement déjantée,perverse et sadique : moi XD (hmm, pardon)

Euh ben tout ça pour dire que ça fait déjà quelques temps que je lis ta fic mais je pensais pas à mettre un tit mess mais là j'y ai pensé alors euh voilà ^^

Ta fic est géniale.

Alors je n'ai qu'un mot à dire : suiteeeeeeeeeeeeeeeeee pour ta nouvelle lectrice ^^

J'ai rattraper tous mon retard =D
J'aime toujours autant.
Suite sil te plait

Yeah, je rentre de trois semaines de vacances et Tom et Abby sont toujours pas ensemble ?! Moi, jtrouve ça dommage, mais, au fond, ça met un peu de piquant dans l'histoire...
Bref, je vais sans doute me répéter, mais une fois de plus, je suis en surkiffage de ta fic alors je te demande une.... SUITE !! xD

Han non non, nous laisse pas comme ça !
Une suite stp =)

Ahi !!! Autaant de suite
Troooop bieeeen !!
J'veux la suite steeeuplaai
J'suis troop in love!!
Piouf s'thistoire de ouuuf
J'matendais pas a tout sa mdr

Suite

gOth_Girls* : Bin si vous m'aimez pas j'arrête de poster, c'est pas plus compliqué.

Désolée j'ai pas pu poster hier





Abby fut surprise. Elle ne voulait pas lui parler, surtout que le sujet tournerait autour de Letizia et que c’était bien la dernière personne dont elle voulait avoir des nouvelles. Quant à toutes ces histoires de sentiments qui se déroulaient en ce moment, elle en avait par-dessus la tête. Elle n’était pas sentimentale, elle n’était jamais tombée amoureuse au point d’être accro, de pleurer pour l’être cher, de tout laisser tomber, d’écrire des lettres pleines de tendresse... Non, elle n’aimait pas l’amour. Tous ces petits gestes que s’adressent les couples lui donnaient des haut-le-cœur. Et pourtant, elle avait cru avoir trouvé le bon... Clément. Elle était heureuse avec lui, appréciait sa compagnie, pensait que l’amour c’était cela. Mais non, il n’avait été qu’un ami, rien de plus. Sinon, elle aurait été beaucoup plus bouleversée par leur séparation.
Son portable se mit à sonner. Elle jeta un coup d’œil inutile sur l’écran, sachant très bien qui l’appelait. Elle posa sa main sur l’appareil, hésita à décrocher et finalement raccrocha simplement.
Elle qui pensait repartir sur de nouvelles bases, à peine était-elle rentrée que tout recommençait. Elle regrettait le temps où les gens la laissaient tranquille, où personne ne se souciait de son humeur, personne n’osait lui parler... Elle regrettait le temps où elle ne cédait pas pour tout et n’importe quoi et surtout pour n’importe qui. Elle regrettait surtout de... s’être liée d’amitié avec Tom.
« Abby, t’es par-là ? »
Elle reconnu immédiatement la voix. Andreas. Elle se pencha à sa fenêtre ouverte.
« Qu’est-ce qui t’arrive ?
- J’vais faire un tour du côté de ton appart’, tu veux que j’te dépose ?
- C’est gentil, mais j’sors ce soir. On doit venir me chercher ici donc j’irai à l’appart’ plus tard. Merci quand même, frangin.
- Ah. J’peux savoir où tu vas ?
- Pourquoi, t’as peur que j’me fasse traîner dans une vieille boîte pleine de drogués ? s’amusa-t-elle.
- Abby, j’plaisante pas. Tes parents sont pas là, j’aimerais bien que quelqu’un soit au courant de tes projets.
- J’vais au resto avec mon nouveau voisin, ça t’va ?
- Très bien.»
Il lui fit un clin d’œil et enfourcha sa moto. Abby lui fit un signe de main et ferma sa fenêtre. Elle ne l’avait même pas entendu arriver.
Son frère était très protecteur envers elle. Elle avait l’impression qu’il fonctionnait comme un boomerang. Il partait et revenait aussi vite, sans que personne ne s’en aperçoive. Chaque fois qu’elle s’était sentie seule, il apparaissait. Chaque fois qu’elle avait du chagrin, il était là. Lorsqu’elle avait besoin d’un conseil, il le lui donnait. Tout ce qu’il entreprenait, il le faisait en fonction d’Abby. Jamais quelqu’un n’avait autant pris soin d’elle, quitte à mettre son propre bonheur de côté. Et c’est ce qui l’avait changée. Elle qui pensait que les gens n’étaient que des hypocrites égoïstes, elle s’était créé un personnage, une carapace pour se protéger d’eux. Mais finalement, si elle ne se contentait pas simplement de la surface de leur personnalité, elle découvrait parfois des personnes dotées d’un grand cœur, qui ne demandaient qu’à aider ceux qui les entourent.
Elle soupira. Son portable sonnait de nouveau. Il était temps de voir ce que Tom cachait sous sa carapace.
« Allô ?
- Ah enfin ! Pourquoi tu m’as pas répondu tout à l’heure ?
- Andreas est passé à l’improviste, désolée.
- Ah, d’accord. »
Elle s’allongea sur son lit, les jambes repliées, un bras sous la tête et l’autre tenant son téléphone collé contre son oreille.
« Je t’écoute, qu’est-ce que t’avais à me dire ?
- Ah vrai dire... J’sais pas vraiment...
- Tu voulais me parler de Letizia, peut-être ?
- Oui, en partie. Et d’hier soir aussi.
- Vas-y, de toute façon ‘faudra bien qu’on mette tout ça au clair un jour. Joue-la franc jeu, j’suis prête à tout entendre et j’ai tout mon temps. »
Tom ne dit rien. Elle savait qu’il était là, car elle percevait parfois sa respiration.
« Je... je pense pas que t’aies envie d’entendre mes problèmes...
- Si, là tout d’suite, j’ai envie. Profite-en, c’est jamais arrivé encore.
- Quel honneur... »
Il soupira.
« Aller... fit Abby d’une voix douce, qui se voulait encourageante.
- J’sais pas par où commencer...
- Le groupe, peut-être ? Avant que j’parte en vacances, Bill m’a dit que ça allait pas bien. Explique.
- Ça r’monte à loin cette histoire. Le groupe, j’en ai eu marre. La célébrité, j’en pouvais plus. J’voulais plus de ces groupies, de toute cette médiatisation... Ça nous a donné la grosse tête et on a eu vraiment beaucoup d’mal à redescendre d’notre p’tit nuage. On était aigris et alcooliques, mesquins et pathétiques. On était même pas des artistes maudits, on était pas des artistes. On avait tenté de détourner l'art à notre profit : on voulait la gloire et l’pognon. C’qu’on jouait, ça m’plaisait pas. Au départ, j’me suis dit que j’pourrai faire semblant, j’ai toujours fait comme ça, pourquoi est-ce que ça marcherait pas, une fois d’plus... Et finalement, les années ont passé. Tout allait pour le mieux, j’me créais une réputation de rêve, tout l’monde tombait dans l’panneau. Même Bill s’est mit à douté. Et puis... Un jour j’ai craqué. Me demande pas pourquoi, à cause de quoi... J’ai craqué, c’est tout. Humainement, c’était à prévoir. J’aurais pas pu passer ma vie à faire croire aux gens que j’nageais dans l’bonheur, que j’étais heureux comme ça. J’ai tout lâché, le groupe, mon frère, les fans... Tout. On a disparu pendant un temps. Évidemment, on s’est pas effacés comme ça de la mémoire des gens. Des filles en particulier. Mais j’étais tellement insupportable, tu vois, genre la grosse garce quoi... personne osait m’approcher.
- Tom et ses coups d’pute, ria Abby en s’imaginant le personnage.
- Et ouais... ria-t-il à son tour. Enfin... Deux ans plus tard, on avait complètement disparu de la circulation, plus personne parlait de nous. Même si certains nous avaient traités de lâches sans vraiment chercher la raison de notre acte, j’étais plutôt satisfait. Et puis, une fois que j’me suis calmé, Bill, Gustav et Georg ont décidé de faire une « tournée d’adieu ». C’était trop facile de lâcher la scène comme ça. C’était pas moi. Alors voilà, cette année, on a fait nos adieux. Maintenant, c’est terminé.
- Tom, j’te suis pas là. J’vois pas où est l’problème si tout c’est arrangé.
- Bin tu vois, j’me suis rendu compte que j’étais... accro à la scène. Pas à la musique qu’on faisait, mais le contact avec des milliers de personnes à travers des chansons... T’imagine même pas c’que ça produit. Ton corps entier s’déchire en milliers de morceaux, ton rythme cardiaque s’accélère, ton cœur s’emballe, l’adrénaline t’envahit... T’es transporté. Rien n’est comparable à ça... Plus rien n’compte autour de toi. C’est juste parfait...
- Tu t’rends compte que tu viens d’me dire l’inverse y’a deux minutes ?
- Attend... Donc voilà, j’étais accro à la scène, et j’le suis toujours d’ailleurs. Mais maintenant, j’peux pas revenir en arrière. Surtout que, j’oublierai pas ce sentiment que j’avais pendant toutes ces années. L’impression que personne te connait pour c’que t’es, que c’est toi, mais en même temps une autre personne. C’est compliqué...
- En gros, tu voudrais recommencer, mais avec la musique qui te plaît et dévoiler ta vraie personnalité au grand jour ?
- C’est exactement ça.
- Et qu’est-ce qui t’en empêche ? Tu dois avoir plein de relations dans l’domaine !
- Oui... Mais j’arrive pas à m’lancer. Tu vois, disparaître comme ça, alors que des millions de personnes comptent sur toi... Si j’reviens, j’suis quasiment sûr que j’vais m’en prendre plein la face.
- Et alors ? Ça prouverait que t’assumes tes actes. Et puis, moi j’pense plutôt que les fans seront contents d’avoir des nouvelles, de voir que t’as changé, que t’as grandi et qu’t’es capable de faire de bons choix. Tu prendras tes propres décisions, tu vivras enfin pleinement ton bonheur, tu pourras jouir à fond de tes concerts... »
Elle se tut. Tom était silencieux, il ne semblait même plus respirer.
« Euh... Tom ?
- Oui, j’suis toujours là.
- A... alors ?
- Tu viens d’me donner des frissons. »
Abby éclata de rire. Pas un rire moqueur ; elle était heureuse pour Tom. Heureuse d’avoir pu aider quelqu’un, pour une fois.
« Mais y’a toujours un problème...
- Lequel ?
- J’vais pas partir dans une carrière solo, laisser mon frère dans l’pétrin... Il m’a suivit quand j’ai décidé de tout lâcher. Gustav et Georg aussi. Ils ont sacrifier leur carrière pour moi, j’peux pas me permettre de r’partir dans un truc comme ça... Pas sans eux.
- Tu leur en as parlé ?
- Non ! T’es folle ? Ils m’tueraient !
- Tom... »
Elle soupira.
« Comment tu veux trouver une solution si tu leur en parles pas ? Comment tu veux savoir c’qu’ils ont envie d’faire si tu partages pas tes projets avec eux ? Ils ont peut-être la même envie que toi, changer d’registre... Ou tout simplement, eux aussi ils avaient envie d’arrêter, mais ils osaient pas l’dire.
- J’ai du mal à imaginer Bill faire du rap, tu vois... ria-t-il.
- Oui bon... Vu comme ça...
- J’leur en parlerai.
- Bonne idée.
- Merci, Abby. »
Ils se turent un moment, puis Abby repris.
« T’avais plusieurs choses à m’dire, j’me trompe ?
- Je... Euh...
- Aller, Tom. J’t’ai dit que j’étais prête à tout entendre. Tu peux m’balancer tout et n’importe quoi. Même ton mariage avec Letizia si c’est l’cas ! »

mdr la derniere phrase elle et comique cette fille xd,suite stp jadore.

Mdrrr, Abby est trop forte.
Une suite, stp =)

Génial cette suite.
Mais je suis d'accord avec TomiKaulitz, on peut avoir une deuxième suite ??

(j'adore la dernière phrase xD)

...Et la Nyco debarque ^^

...nan?

Toute facon tant qu'on a pas eu la 3e guitare ils vont pas regler leurs problemes XD...


roooh t'es sadique-euh ^^ on aime ca!! lol
suite <3

suite please!

Alors là... Alors là ! BRAVO BLaST ! J'ai bien cru que personne allaity penser. '-.-
Tu viens de me mettre de super bonne humeur.
Alors pour la peine, tu as fait gagné une suite de plus. x)





Tom lâcha un rire.
« Tu sais, Abby, j’t’admire vraiment.
- Ah bon ?! s’étonna la jeune fille.
- Oui... En à peine trois mois, tu m’as montré à plusieurs reprises à quel point t’es une fille forte. Tu surmontes toujours tout, quitte à tout abandonner pour t’concentrer sur une seule chose. Tu réussis, je n’sais pas comment, à rester tellement pure dans les situations les plus dégradantes que j’ai envie de me mettre à genoux devant toi. T’as une telle maîtrise de la vie, peu importe la tournure qu’elle prend, tu t’adaptes et en même temps tu tournes les choses à ta manière. Tu prends pas tout du bon côté, c’est normal, mais t’as jamais craqué... Pas sérieusement, j’veux dire. T’avais tes moments d’faiblesse, comme tout l’monde, mais pas une seule fois t’as baissé les bras. J’te jure que parfois, j’me demande si t’es vraiment humaine... T’as un cœur en acier trempé, où peu de personnes ont l’droit d’entrer. J’aimerais bien briser cette barrière, pour que tout l’monde puisse profiter de c’plaisir que j’ressens quand tu m’parle comme maintenant. J’ai l’impression d’avoir pu forcer un peu l’passage... J’connaissais pas cette partie d’toi, à l’écoute, gentille et altruiste. T’as beau dire - parce que tu le fais sûrement - qu’on t’a changée, que cette Abby n’existait pas, on crée pas une personnalité, on en fait juste surgir les faces cachées. T’as toujours été quelqu’un de bien, Abby, j’l’ai toujours pensé, j’l’ai toujours dit, et j’maintiens. Tu viens d’m’en donner une énième preuve.
- Putain, Tom... »
Elle pleurait. Non pas de tristesse, ni de joie. Elle était émue. Simplement émue. Émue aux larmes, parce que jamais on avait réussi à la convaincre qu’elle avait des qualités. Pour elle, elle était juste Abby, la pauvre petite brune qui essaye par tous les moyens de se faire une place dans la société. Une toute petite place, bien à l’abri derrière ses jurons et son sale caractère. Maintenant, sa vision des choses avait totalement changé. Elle restait modeste, mais Tom lui avait fait prendre conscience de ses bons côtés.
« Abby ?
- Oui... Je... Désolée mais là... »
Elle renifla. Aucun mot n’était assez fort pour expliquer à Tom ce qu’il venait de provoquer en elle. Tout était chamboulé, c’était le désordre total. Le chaos.
« Abby tu... tu veux que j’te laisse ?
- Non... fit-elle entre deux sanglots. Non tu... tu m’as pas encore parlé de tes autres problèmes... »
Tom lâcha un rire bref.
« T’abandonnes jamais, hein ?
- Non...
- J’dis pas ça comme si j’voulais pas t’en parler mais... tu vois, j’crois que c’est pas l’moment.
- Oui, peut-être... J’suis désolée.
- T’as pas à l’être. En fait, j’avais peur qu’tu sois pas humaine, mais... j’viens de trouver une exception à la règle.
- Quelle règle ?
- Personne n’est parfait. »
Abby sourit.
« Alors... J’vais devoir faire gaffe à c’que j’fais maintenant.
- Pourquoi ?
- y’a un proverbe qui dit : « l’humain n’est pas parfait, l’erreur de sa part est acceptable », si, comme tu dis, j’suis parfaite j’ai pas l’droit à l’erreur. »
Tom se mit à rire.
« Bon courage ! lâcha-t-il entre deux éclats de rire.
- Merci... fit Abby, dépitée.
- Bon, j’vais te laisser te remettre de tes émotions. Andreas m’a dit qu’tu sortais ce soir, alors j’te souhaite une bonne soirée, et fais gaffe à toi.
- Oui, je sais, j’suis ton point faible...
- Quoi ? »
Abby éclata de rire et raccrocha. Elle posa son portable et bondit au pied de son lit. Tyson avait dû l’entendre, car il se mit à aboyer au rez-de-chaussée. Au même moment, on sonna à la porte.





Vos impressions ?
Ca vous a plut ?
À votre avis qu'est-ce qui va se passer ensuite ?
(Maintenant vous avez de quoi dire autre chose que "suite s'il te plaît" dans vos commentaires 8D)

Kya j'adore!
Abby qui est émue c'est trop mignon xD
Attends la suite avec impatience ^^

Mon impression : Oué, c'était cool! Tom qui fait pleurer abby...'fin bref, vlà. POURQUOI t'as pas parlé de Laeuticia!!! lol...on attendait q'ça!!! xP

Ca m'a plut! J'ai aimé cette suite, on voit que Tom il observe Abby à la loupe.xD...

Mdr, la dernière phrase d'Abby.. "oui,j'sais, j'suis ton point faible"...xDj'ai ptdr à ce moment là!

Hey mais dit moi, Andréas lui dit tout à Tom! alalala... x)

Moi j'avais déjà fait le rapprochement avec les guitares mais bon, je pensais que tout le monde savait...Mais d'après les autres com, s'était pas le cas! xP

Dans la suite et dans les prochaine suite chui sûre que Niko va relancé la carrière de Tom et les autres!! Mais bon, c'est clair qu'il y aura peut être un problème avec lui...c'est à voir!

Dommage que Clément soit plus là!! XD

EDIT : Ah oui, j'ai oublié : SUIIIIITEUH'...ce soir si possible!!! muahaha

oh tom et trop mignon de lui avoir dit tout sa,et abby qui pleure ya de quoi xd,suite stp jadore.