[OS] Mon coeur s'emballe.

Une de mes rédactions de français un peu beaucoup a l'eau de rose, je dois l'avouer ! Vos avis ._.

Il était là, il jouait, il souriait. Quelques regardes échangés, j'étais heureuse. Il posa sa guitare, un dernier regard, une dernière note, un dernier sourire. Il s'éclipsa. J'étais a la sortit de cette salle et me retournais pour la scruter une dernière fois. Quelques mètres à peine me séparais de l'homme qui avais, dignement, pris mon cœur. Amour déchu et impossible, que je peinais à croire, je reculais & rentra à nouveau dans la salle immense, où quelques minutes plus tôt sa guitare résonnait encre.

Je m'aventurai dans les longs couloirs de « l'arrière-salle » quand soudain, j'entendis un rire. Son rire. Plus rien ne comptais à présent. J'avançais petit à petit guidée par les voix, les rires. Mon coeur ne cessait de tambouriner dans ma poitrine, ce qui me fit presque mal. Peu à peu, j'avançais, les rires se rapprochèrent.

J'étais maintenant devant la porte, ou les rires et les voix se faisaient entendre, je posai ma main sur la poignée et l'abaissa lentement. Les rires, les paroles s'arrêtèrent, un grand silence causé par mon entré dans cette petite pièce où il étais là, entourée des 3 autres. Je pus voir un léger sourire au coin de ses lèvres qui me semblait si parfaite. Mon regard se posa sur le lit, ses yeux noisettes détailla mon visage, du moins j'en avais l'impression.

Un homme, grand & musclé, appelons ça plus familièrement une « armoir à glace » me pris dans ses bras et me mis dehors. Avec son accent typiquement allemand il me dis que je n'avais rien à faire ici. Il me laissais au porte de la salle, que je n'avais toujours pas fermé. je rêvais de le voir réapparaître, et attendis plusieurs minutes mais rien ne vains.

Puis, des pas se fit entendre, il courrait. Sa guitare autour de lui, il joua.

Il est là, il joue, il souris, heureux.