[A] Au Bon Endroit Au Mauvais Moment...

zuiiiteee
poulette et viteeeeeeeee

Hyperaktiv Nombre de messages : 1817 Age : 30 Date d'inscription : 12/01/2007

Coucou,
J'ai tout lu !!
Sauf que je ne me souviens plus du tout de ce que j'ai lu !!
Je te vois arriver toi, ralala elle a une mémoire de poisson --' ! Et oui et alors sa te dérange ? Face de Poulpe =D !!
Non sinon je veux bien la suite, et de ce que je me souviens d'avoir lu bah j'avais bien aimé =).
Bisous et met une suite des que tu peux =).

j'aime suite §!!!!

J'essaie de vous faire ça pour demain les filles I love you

on est mercredi --"
vilaiiineeeeeee

Oui je sais mais j'ai pas du tout eu le temps :triste:

Mais j'essaie de faire ça cet aprèm =)

LOL ou celui ci xD

Oui bon hein ! xD

Je viens de finir de taper le chapitre mais je vais le rallonger parce qu'il est pas très long x(
Mais je le poste demain, promis x)

Hyperaktiv Nombre de messages : 1817 Age : 30 Date d'inscription : 12/01/2007

Alors cette suite ?!

La voilà, la voilà rhô, ce que vous pouvez être impatientes !

*se cache*

Bonne lecture Smile

_____________________________________

Pendant ce temps, Galy était dans un café avec les quatre français. Ça faisait plusieurs heures qu’ils discutaient.

Galy : … Et voilà. C’était tout con en fait.

Nicolas : Je vois ça oui ^^

Florian : Bon c’est pas tout ça mais il faut qu’on y aille nous.

Il se leva, imité par Nicolas et Fabien.

Florian : Tu nous le casse pas hein, on en a besoin.

Galy (rigolant) : T’inquiètes pas ^^

Fabien : A ce soir Roméo !

Benoit le foudroya du regard pendant qu’il partait en rigolant avec les deux autres musiciens. Galy pendant ce temps observaient le chanteur blond tout en aspirant sa boisson à l’aide de sa paille.

Galy : Roméo, hein…

Benoit : C’est pas ce que tu crois. C’est pas du tout ce que tu crois. C’est juste que… ils ne veulent pas me croire… à propos d’un truc.

Galy : Ouai… et c’est quoi alors ?

Benoit : Rien, ils se foutaient de moi c’est tout.

Galy : Bien, bien. Alors, tu voulais me parler ?

Benoit : Non, non… enfin si en fait.

Galy : Vas-y, je t’écoute.

Benoit : Je voudrais que tu me parles de… de ta famille.

Galy : Ah.

Benoit : Je sais que tu n’aimes pas en parler… mais j’ai besoin d’éclairer un truc.

La jeune fille leva la main et un serveur s’approcha. Elle lui commanda une vodka orange et il repartit chercher sa commande.

Galy : Je te réponds dès qu’elle arrive.

Benoit : Comme tu veux… je pensais pas que tu…

Galy : Que je quoi ? Que j’avais besoin de boire pour parler de ma famille ? Non c’est juste qu’elle me fait tellement pitié que j’essaie de l’oublier. Donc j’ai beaucoup de mal à en parler.

Benoit : Il ne faut pas dire ça…

Galy : Je sais. Mais je peux me le permettre. Tu ne sais pas ce qu’ils ont fait… et ce qu’ils m’ont fait…

Benoit : Ce qu’ils t’ont fait ?

Galy : Oui.

Le serveur se porta alors à son niveau et posa le verre sur la table. Elle le remercia et il fit demi-tour.

Galy : Mais y a pas de quoi s’affoler, ce n’est qu’une vodka orange.

Benoit : Surement oui.

Galy : Bon, je vais pas rentrer dans les détails hein. Mais en gros mes parents ont divorcés quand j’étais petite du coupj’ai été élevée par mon père et là il est en prison depuis 3 ans pour escroquerie.

Benoit : C’est une blague ?

Galy : Je te jure que c’est la vérité.

Benoit : Très bien je te crois. Et… tu as des frères et sœurs ?

Galy : Il va me falloir un 2ème verre là. Si tu veux que je te réponde.

Elle leva le bras une nouvelle fois et demanda la même chose au serveur.

Benoit : Tu avais un frère non ?

Galy : Oui mais tout le monde m’a… attends, comment tu sais ça ?

Benoit : Disons que j’avais une petite sœur… que j’aimais plus que tout… et elle a disparu du jour au lendemain…

Galy : Tu rigoles ?! Il m’est arrivé exactement la même chose !

Le français la regardait désormais d’un air narquois. Soit elle était naïve, soit elle avait trop bu pour voir le rapport. Quoi que, une vodka orange…

Benoit : Tu sais Galy…

Galy (lui coupant la parole) : J’vais te confier un secret. Que personne ne sait…

Le serveur revint à leur table, lui donna son verre et fit demi-tour. La jeune fille le prit et le bu d’un coup. Le chanteur la regarda avec de gros yeux et la bouche légèrement entre-ouverte. Elle fit une grimace et continua.

Galy : J’ai écrit une chanson… quand j’étais… plus jeune disons. J’espérais que si j’arrivais à la glisser ni vu ni connu dans un de nos albums… mon frère se souviendrait… et qu’il pourrait me retrouver, comme il l’avait fait cette fois-ci…

Elle se laissa tomber contre le dossier du fauteuil en fermant les yeux. Elle était en train de re-visualiser la scène… celle de cette fameuse journée où elle avait reçu une lettre d’un garçon lui disant qu’il était son frère… et dans laquelle il lui avait écrit une chanson…
Les larmes lui montaient aux yeux lentement et ses mains se tordaient dans tous les sens comme elle le fait à chaque fois qu’elle est préoccupée. Benoit continuait de la fixer attentivement. A ce moment là, il se posait des multitudes de questions. De quoi parlait-elle ? il ne comprenait pas vraiment. Puis elle ajouta d’une petite voix hésitante :

Galy : Tu veux que je te la fasse écouter ?

Benoit (surprit) : De quoi ? Ta chanson ?

Galy : Oui.

Benoit : Si tu veux.

Galy : Par contre… on est en pleine tournée et toutes mes affaires sont dans le bus… et j’ai pas très envie d’y retourner maintenant… Excuse-moi.

Benoit : T’as besoin de quoi ?

Galy : Ba, ma clé usb…

Benoit : Et tu ne peux pas me la chanter ? Si je te prête une guitare ?

Galy : Si ! Ça serait juste parfait !

Le chanteur se leva, des étoiles dans les yeux et lui tendit ma main, tout sourire.

Benoit : Alors viens, on y va.

Et elle le suivit, laissant un billet trainer sur la table.

Pendant ce temps…

pendant ce temps ?
oui ? Smile

c'est son frère c'est cool elle l'a retrouvé Wink

ahhh j'aime suite !!

zuiiiiteeee

suiteee !!!

Oui faut que je finisse de l'écrire, mais j'ai pas franchement d'inspi en ce moment, excusez-moi x')

Double post désolé mais mon ordi refuse que j'édite mon message précédent :gd-sourir:

L'émission sur TF1 tout à l'heure m'a mise en transe quand j'ai vu Kyo *excusez-moi * et m'a donné cette vague d'inspiration que j'attendais depuis longtemps !
*Ouuhh, comme c'est joliment formulé *

Je m'y remets donc immédiatement, je voulais juste vous tenir au courant !

Bisous bisous I love you

suite !

La suite arrive dans la soirée ou demain Wink

ahh yess !

Je dois vous dire que j'ai vraiment mis tout mon coeur dans ce chapitre. (enfin, dans la partie entre Benoit et Galy)
J'espère qu'elle vous plaira =)
*Je conseille vraiment d'écouter la chanson en même temps, après chacun fait comme il veut ^^*
Bonne lecture et merci d'être encore là I love you

Pendant ce temps à Lyon :

… : Putain mais j’en reviens pas quoi ! L’enc*lé !

… : Calme toi Audrey !

Audrey : Mais nan j’me calmerais pas ! L’autre connard il me dit que… il me dit qu’il m’aime putain ! Et 3 jours après il m’envoie son connard de guitariste merdeux pour me dire qu’il a rencontré une autre nana et qu’il m’envoie son calamar baiseur pour le remplacer ?! Mais qu’est-ce qu’il croit ? Que je suis une p*te ?

… : T’as qu’à lire ses messages ou décrocher quand il t’appelle ! Explique toi avec lui, c’est peut-être Tom qui vous a joué un mauvais tour !

Audrey : Je sais que cette bite sur pattes est complètement stupide et qu’elle n’a rien dans la tête à part sa queue et sa guitare mais ça serait beaucoup trop tordu et de toute façon, il n’est pas assez intelligent pour mettre en place un truc de cette taille.

… : Tu m’épuises. Penses ce que tu veux, mais laisse-moi te dire que tu fais la plus belle connerie de ta vie !

[…]

Les deux français, Benoit de Kyo et Galy des RebelleS étaient à ce moment-là assis l’un à côté de l’autre dans le taxi qui les amenait à l’hôtel du jeune homme. Quand le taxi s’arrêta, il donna un billet au chauffeur, lui disant de garder la monnaie et en descendit. Il attrapa Galy par la main et monta les marches qui menaient à l’hôtel deux à deux. A la réception, il récupéra la clé de sa suite et se dirigea vers l’ascenseur. Toujours en silence, il appuya sur le bouton « 4 ». ce n’était pas un problème de communication non, ni de la timidité. C’est juste que lui, il n’avait qu’une envie, la serrer dans ses bras et pleurer avec elle toute leur joie de s’être enfin retrouvés après tant d’années. Et elle, elle ne comprenait pas trop ce qui se passait. Elle était avec le chanteur de son groupe préféré dans un ascenseur et son cerveau lui débitait des trucs incohérents. Elle avait peur de lui dire des choses mal placées et encore plus peur de la réaction qu’il aurait si jamais les deux vodkas orange qu’elle avait avalé décidaient de remonter. Hum, très poétique.
Quand le « ding » de l’ascenseur retentit et que les portes s’ouvrirent, il lui fit signe de le suivre, et s’infiltra dans le couloir. Il s’arrêta devant la deuxième porte, passa la clé magnétique dans le boitier donc le bouton s’alluma en vert et un déclic se fit entendre, avant que le chanteur pousse la porte doucement.
Elle rentra, il referma la porte derrière lui et la conduisit vers l’espèce de salon où trainaient plusieurs guitares, des feuilles, des crayons…

Benoit : Excuse-moi pour le désordre.

Elle sourit devant son air gêné et le rouge qui lui montait légèrement aux joues.

Galy : Oh, t’inquiète pas, c’est bien pire dans notre appart. On le partage avec 4 mecs alors…

Elle se tue rapidement et porta ses mains à sa bouche. Lui ne répondit rien, pendant qu’un sourire se dessinait sur ses lèvres rosées. Il se pencha pour attraper une guitare classique aux cordes nylon et acier et au bois marron sombre. Il la lui tendit alors qu’un nouveau sourire, celui-là empreint d’une sorte d’espoir, comme s’il n’était pas encore totalement sur de ce qu’il pensait savoir, et de joie, irradiait son visage de bonheur.

Benoit : Tu veux toujours me la chanter ?

Elle le fixa quelques secondes comme si elle ne comprenait pas. Puis elle retira sa veste, la laissa tomber par terre et saisit le manche. Elle s’assit sur le fauteuil en cuir en face de lui tout en faisant glisser son pouce droit de la corde du mi grave à celle de mi aigu.

Galy : Te fous pas de moi hein… c’est qu’une démo… et encore. Et je l’ai écrite quand j’étais encore au collège alors bon…

Benoit (l’encourageant) : Ne t’inquiètes pas. Vas y, je t’écoutes.

Elle respira un grand coup et ferma les yeux pendant que ses doigts volaient de corde en corde et de cases en cases sur le manche.
Elle s’arrêta alors, reniflant fortement et reprit, entamant ce qui pourrait passer pour le refrain.

Galy : C’est ma faute si l’on est si loin l’un de l’autre, et c’est ma faute si l’on est plus rien l’un pour l’autre… les seuls mots qui me ramènent à toi, inscrits au fer rouge dans ma chair, le sang coulant comme la pluie sur les toits me réveillent et me délivrent de l’enfer… Ces seuls mots qui me retiennent à toi, toi mon grand frère, mon sang et ma chair, toi qui était tout pour moi, du jour au lendemain tu as disparu dans les airs… sans même un dernier au revoir.

Elle termina calmement sa chanson, ne voulant absolument pas rater un accord ou un arpège qui ferait s’envoler toute la magie et l’émotion qu’elle avait mise dans cette chanson. Et quand la dernière note résonna dans la pièce, elle releva la tête lentement et plongea son regard dans celui du musicien, aussi embué de larmes que le sien.

Galy : Excuse-moi, c’est ridicule…

Il se leva, prit la guitare qu’elle tenait encore entre ses mains et la posa par terre avant de s’asseoir sur l’accoudoir et de la prendre dans ses bras.

Galy : Benoit…

Benoit : Cette chanson est magnifique.

Galy : Je… merci mais… je voulais pas que tu pleure je… ça me gêne beaucoup…

Benoit : Tu n’as pas de raisons d’être gênée, c’est ton talent, tu n’y peux rien.

Elle trembla alors que son souffle cognait contre son cou.

Galy : C’est bizarre…

Benoit : Quoi ?

Galy : Personne ne sait… je ne l’ai jamais dit à personne, excepté à Gustav il y a quelques mois… je ne sais pas comment il a fait pour briser ma carapace et que je lui ouvre mon cœur… mais encore, lui je le connaissais un peu… toi je ne te connais absolument pas… et je suis ici avec toi, parce que j’ai eu la chance d’accéder à la célébrité et que tu entende ma musique… et voilà que je te déballe toute ma vie… et les parties les plus sombres que je préfère garder pour moi…

Benoit : Tu l’aimais beaucoup ton grand frère ?

Galy : Quoi ? Je… oui évidemment ! Enfin… du peu que je me souvienne… on m’a toujours dit et répété que je l’avais inventé, qu’il n’avait jamais existé… et que si je continuais d’en parler on allait m’enfermer dans un hôpital et je verrais plus jamais personne… Je sais bien que j’étais pas folle… quand je fermais les yeux et que j’y repensais, que j’essayais de m’en souvenir très fort… je me revoyais jouer avec lui le mercredi après midi dans le jardin, comme on le faisait chaque semaine… Et après, quand j’essaie de voir plus loin, j’arrive à ce jour le pire de ma vie, ce matin où je me suis réveillée… et que j’ai ouverts les yeux sur un monde où il n’existait pas… où il n’existait plus… Je sais que je ne suis pas folle… je ne l’ai pas rêvé tout ça ! Il y a certaines choses qu’à cet âge on ne peut pas inventer… quand j’y repense… là, maintenant je me revois lui piquer ses figurines bizarres qu’il aimait tant…

Benoit : Power Rangers ?

Galy : Oui… la seule qu’il voulait bien me prêter c’était la…

Benoit (la coupant) : La rose…

Galy : Parce qu’il disait que…

Benoit (terminant sa phrase) : que c’était une couleur de fille.

Galy : Ouai. Mais… Comment tu…

Il se détacha d’elle, murmurant un « chut » en posant son index sur ses lèvres et se leva. Elle resta figée à le suivre du regard. Il se pencha en avant vers une housse de guitare qui trainait par terre et en ressortit un boitier bleu transparent. Il l’ouvrit, en sortit un CD et l’inséra dans la chaîne hifi.

Benoit : Je sais pas si j’ai le droit de tout te dire… bien qu’il y a certaines choses que j’ignore moi-même…

Il posa la boite sur la table basse et s’assit sur le fauteuil en face d’elle pendant que ce qu’il y avait sur le CD se mit en lecture immédiatement.

[Chanson]

Benoit : Quand j’étais petit… j’avais une petite sœur que j’aimais plus que tout au monde. Plus que mes amis. Plus que mes parents. Plus que n’importe qui. Quand l’état de mon grand-père s’aggrava… je suis allé le voir avec mon père à l’hôpital. Pendant que elle, elle était restée avec ma mère à la maison. Et il m’a fait promettre de la protéger quel qu’en soit le prix. Alors je lui ai promis. Et dès mon retour à la maison, je ne l’ai plus quitté. Je refusai qu’elle aille faire les courses avec ma mère sans moi. Je refusai qu’elle aille regarder la télé sans moi. Je refusai qu’elle dorme sans moi. Ça a fait flipper mes parents. Ils trouvaient que ce n’était pas normal. Et un jour elle a couru sur la route pour aller chercher sa poupée qu’un idiot avait balancé. Je n’ai pas eu le temps de la retenir. Et elle s’est faite renversée. J’ai frappé le gamin qui avait fait ça. J’ai frappé la voiture qui l’avait renversée, même si ça ne faisait rien. Elle a été transportée à l’hôpital en urgence. Et moi…

Il s’arrêta dans son récit et prit une grande respiration.

Benoit : Et moi on m’a pris pour un monstre. On m’a dit que c’était de ma faute. Tout ce qui était arrivé. Que si je n’avais pas sans cesse voulu être avec elle, on ne serait jamais allé à ce parc et on aurait jamais rencontré cet imbécile. On m’a dit que c’était de ma faute qu’elle avait couru sur la rue parce que je ne l’avais pas surveillé. On m’a dit que tout était de ma faute. Et on a dit que j’étais dangereux. Beaucoup trop dangereux pour elle. Qu’elle serait beaucoup plus heureuse sans moi. Alors je suis partit. Dans un foyer d’abord. Puis une famille m’a adopté. J’ai changé de nom. Et j’ai grandi. Tout en pensant que c’était de ma faute. Tout ce qui était arrivé. Et qu’elle était bien mieux sans moi. Sauf qu’un jour… je l’ai croisé alors qu’elle sortait du collège. Je l’ai immédiatement reconnu. Elle était entourée d’amis. Mais elle avait l’air triste. Le même air qu’elle avait petite, dès qu’elle ne retrouvait pas un de ses jouets. Et elle ressemblait à ma mère… alors je l’ai suivi, discrètement. J’ai vu qu’ils avaient déménagés. Alors je lui ai écrit une lettre. Lui racontant ma vie, et comment j’espérais la sienne. Et ce que je ressentais depuis notre séparation… Je lui avais écrit une chanson. Que j’avais écrit avec tout mon cœur. Pour les mecs de mon groupe, c’était une chanson pour une énième copine qui m’aurait une fois de plus largué. J’avais joué sur les mots, histoire de laisser une ambigüité. Mais elle était pour elle. Et rien que pour elle. A la fin, je lui avais laissé ma nouvelle adresse, au cas où elle aurait voulu me répondre. Mais elle ne m’a jamais répondu… alors j’ai pensé que peut-être elle m’avait oublié et qu’elle avait cru à une blague… j’ai souffert… mais j’ai laissé tomber, croyant que c’était mieux pour elle comme ça… jusqu’à ce que…

Il s’arrêta une nouvelle fois et reprit sa respiration. Mais elle parla avant lui. Tout ce qu’il venait de lui déballer sans s’arrêter l’avait cloué sur place.

Galy : Peut-être que si elle ne t’a jamais répondu c’est que… c’est peut-être parce que son père lui a arraché la lettre des mains et qu’il l’a déchiré avant de la bruler…

Le jeune homme releva la tête lentement. Ses yeux étaient rougis par des larmes qu’il s’efforçait de ne pas laisser couler le long de ses joues.

Benoit : Galy je…

Galy : Je sais…

Elle lui sourit à travers ses larmes et éclata en sanglot. Elle était heureuse. Lui aussi. Ils se levèrent tous les deux et s’enlacèrent. Elle pleurait toutes les larmes de son corps, celles qu’elle avait caché dans un coin pendant toutes ces années parce qu’on lui interdisait de pleurer pour quelqu’un qui n’avait jamais existé.

Galy : On se quitte plus.

Benoit : Jamais.

C'est miiignoooon

Suite !

Sujet: Re: [A] Au Bon Endroit Au Mauvais Moment... Dim 4 Mar 2012 - 21:13

Hahahaha Hallo Leute ! I love you

Après plusieurs looooooongs mois d'absence, 'parait que tout redevient *plus ou moins* comme avant sur la PO !
Par conséquent, je viens vous annoncer que si certaines d'entre vous veulent toujours suivre mon histoire, je me ferais un plaisir de vous la raconter et ce, jusqu'à la fin !

J'espère avoir au moins quelques réponses, je me sentirais très seule sinon... x)

Gros bisous, je vous aime ! I love you

Et à bat Tom ! What a Face

(a)

Trash.

Sujet: Re: [A] Au Bon Endroit Au Mauvais Moment... Jeu 8 Mar 2012 - 17:41

La suite steuplé! Elle est vraiment génial ton histoire!!! :sourir:

Sujet: Re: [A] Au Bon Endroit Au Mauvais Moment... Lun 12 Mar 2012 - 21:11

Merci beaucoup ! ^.^

J'essaie de poster rapidement ! Wink

» [OS] [with °kitscy°] Notre endroit.
» [FR /Nov 209] TH: Ge. sent mauvais et B. est le mieu fringué
» [OS] Rien qu'un mauvais souvenir...
» [Os] Un si beau moment...x3
» [ OS ] > Pas de titre pour le moment.