[T] Corps de fer, cœur humain.

Chapitre 18 : Lit le début de l’histoire.

Elle a difficilement dit « oui » mais la tout de même dit … mais elle se demande comme elle peut apprendre son passé … alors que même elle ne le connait pas.

Mélanie n’aillant pas voulu assister à ça … et rentré chez elle … pour retrouver ces parents.



Pour se qui est des chercheuses … de l’androgyne …du batteur … du guitariste … du basiste et de l’humanoïde sont installé confortablement dans les canapés … dans la main de Bill … une rose de métal à prit refuge … doucement Lu prononce quelque chose … les mais de l’humanoïde se dirige vers la rose qui se trouve dans la main de l’androgyne.

Lu : Une parti de mon passé c’est écrit dans la rose.

Doucement elle enlève ces mains … touchant doucement la peau du chanteur.

Doucement le jumeau de l’androgyne s’approche d’eux … laissant son regard se poser sur la rose de métal … voyant en même temps une sorte de texte imprimer sur tous les pétales.

Lu : Arrache chaque pétales une par une … et lit le début de l’histoire.

Bill dépose doucement la rose sur la table basse en verre … et doucement détache le premier pétale de rose … découvrant les premiers mots de l’histoire.

« Je ne me souviens pas de tout … les cinq premières années de ma vie je ne m’en souviens pas … mais je me souviens vaguement des années d’après. Quand j’ai fêté mon cinquième anniversaire … je mon père était la … à côté de moi … la main sur mon épaule … il y avait tellement de monde … mais les seul personnes que je voulais voir … du haut de mes cinq ans et quelque minutes … c’était mon père et ma mère … que je voyais que trop rarement.

Peut après … deux mois à peut près … le médecin ma longuement examiner … »

Bill n’a pas fini la rose … mais veut-il vraiment connaitre le passé de l’humanoïde … veut-il vraiment ? Il ne sait pas … mais se qui est sur c’est qu’il a fait le demande. Délicatement … du bout des doigts … il détache le prochain pétale.

« Il n’a rien découvert … pourtant je me suis évanouit quelque heure avant … il ma gentiment demander de lui d’écrire se que j’avais ressentie … mais comment expliquer que j’avais eu un mal de tête indécent … que ma vue c’est brouiller … et que à se moment là … j’avais un peut plus mal. »

La jeune fille aux yeux vert … et à la chevelure noir … a bien compris l’un des symptômes … Elle a réussi à vivre plus de 15 ans avec la maladie.


Lu n’a plus la force … elle ne peut pas terminer la rose qui est dans ça main … le passé restera emprisonner dans le bourgeon encore quelque temps … elle c’est vite décharger par la perte de métal de son corps.

Mitsuko prit doucement le bourgeon de la main de l’humanoïde … l’obligeant par la même occasion de s’arrêter … et lui ordonnant de monter dans la chambre.

Mitsuko : Val … on va devoir lui remettre du métal dans le corps … sinon elle ne survivra pas très longtemps.

La dénommé Val … a bien compris … et sans attendre … monte à la suite de la femme de fer.

Mitsuko : Savez-vous combien de rose vous avez dans vos chambres … à se que j’ai remarqué elle a perdu une quantité de métal important.
Bill : Je pense que j’en ai plus d’une vingtaine … avec toutes les roses d’excuse qu’elle a faite envers moi.
Tom : J’en ai deux peut-être trois.

Gustav et Georg répondent d’un « non » de la tête … laissant comprendre qu’ils n’en ont pas eu.

La petit rousse aux yeux bleus monte les marches allant retrouver sa collègue déjà en blouse blanche … les morceaux de fer se trouve sur une table non loin d’eux. Un hochement de tête … et tout est déjà commencer.

Lu perd doucement ça peau … laissant son corps de fer aux mains des chercheures.



Des mains travaillent au dessus d’un corps de fer … rajoutant des morceaux de métal … de remplacer des câbles … ça fait bientôt deux jours qu’ils font cette tache sans s’arrêter … oubliant de dormir … mangent et boivent seulement quand ils ont cinq minutes. Des yeux de métal sans vie son fermer … le cœur est à la vue de tout le monde … mais ne bat plus pendant l’intervention.



L’intervention vient de se terminer … les chercheures ont enfin le temps de dormir … laissant la peau de l’humanoïde se reformer autours de tout cette ferraille. Les yeux du tressé regarde l’évolution de la peau avec stupéfaction … il n’avait jamais vu Lu tout en fer … et encore moins son cœur … d’ailleurs il se demande comment il peut battre avec seulement un courant électrique.

Son jumeau lui avait gentiment demandé « Peux-tu veiller sur Lu pendant que je vais enregistrer une chanson » … Tom n’a jamais pue dire « non » à son jumeau … donc sans attendre … il était parti faire sa tache pas encore trop compliquer.



L’androgyne chante de toute ça voix laissant une douce mélodie sortir de sa bouche … se demandant à chaque parole si ce sera la bonne prise … où s’il allait devoir recommencer une troisième fois … mais se qui est sur c’est qu’il se donne à fond pour pouvoir retrouver son chez lui avec son jumeau et plein d’autre personne qui n’ont pas mie de temps à rentré dans sa vie bien trop protéger depuis le début de sa célébrité.



Au bout de six prise qui ne lui convenait pas … la septième lui convient … la chanson parler d’amour perdu … alors sans comprendre il a pensé à se qu’il a ressenti le jour où Lu est parti … et la … de toute ça voix … il a chanté.

je veux la suite je veux savoir comment va Lu

Si les chercheurses sont pas morte d'éspuisement lol


la suite

Haan *o*
C'est Trop Mignon Pour La Chanson ^^

Bon Ba Suite... Pas Lundi Prochain ? ='O

tu m'etonne qu'on veut une suite

plein de suite *tu reve là*

j'aime^^
je veux tout savoir
la suite stp

ok ^^

la suite c'est bientôt l'heure

Bill est installer dans sa chambre … allonger sur son lit … Lu est à côté de lui. La main de l’androgyne s’emmêle les doigts dans les fines dreads. Les mains de l’humanoïde sont fermées comme un cocon.

Bill : Tu te sans mieux ?

Lu regarde le chanteur dans les yeux … son cœur s’emballe … elle ne sent occupe pas … voulant à tout pris faire plaisir à Bill … et continuer à cacher son cœur.

Lu : Oui … je me sens beaucoup mieux.

Elle sa rallonge à côté de l’androgyne … le sourire aux lèvres. L’humanoïde ouvre doucement les mains … laissant apparaitre un bourgeon.

Bill : Comment tu fais ça ?

La femme de fer regarde le bourgeon logeant dans ça main.

Lu : Tu sais … je ne sais pas … le premier jour où je t’ai vue j’ai fermé les mains … je voulais t’offrir quelque chose … mais je ne savais pas quoi … à vrai dire je ne sais pas se que ça représente … quand j’ai vue que ça te plaise … j’ai continué à en faire … jusqu’au jour ou tu ma demander « Pourquoi toutes ces roses ? » et là j’ai compris se que c’est.

Lu referme ces mains l’une contre l’autre … et doucement attend qu’elle éclore doucement entre ces mains … elle ouvre doucement les mains … laissant une nouvelle rose de fer apparaitre.

Lu : Un souvenir de mon passé … le dernier que j’ai gardé en moi.

L’androgyne prend doucement la rose entre ces mains … il regarde alternativement la jeune humanoïde et la rose … se demandant s’il doit lire son passé ou si il doit lui laisser le loisir de choisir … il sait malgré lui que se souvenir date de ces quinze ans … il sait aussi comment elle est habiller … mais se qu’il ne sait pas … c’est tout se qu’il ne veut pas savoir.



Il regarde l’humanoïde dans les yeux … laissant passé quelque émotion qu’il n’aurait pas du passé … comme la peur de la découverte … doucement il prend le premier pétale … et sans savoir vraiment pourquoi il la fait glisser de ces doigts oubliant de lire les premiers mots. Lu regarde le pétale descendre doucement … s’échouant délicatement sur le sol … dans tout ces courants électriques elle ne comprend pas se geste … pourtant elle ne demande pas le pourquoi du comment.



Le pétale se décompose devant leurs yeux … laissant au final qu’un petit ta de poussière … L’humanoïde tourne le visage vers l’androgyne … demandant dans son regard se qui se passe … et pourtant tout se qui se passe … n’aurait peut-être pas du se passé à se moment.

L’androgyne s’approche de l’humanoïde … les yeux toujours plonger dans l’océan qui est tout simplement le regarde de la femme de fer. Leurs mains se touchent … propageant un léger courant électrique dans chaque corps … mais ils restent impassibles à tout ça … oubliant même les murs qui les entours.

Leurs visages se rapproche dangereusement … leurs souffles se mélange … les yeux chocolat deviennent désireux … les lèvres de l’androgyne se posent doucement sur celle de l’humanoïde … découvrant le goût noix de coco … et d’un geste de recul … décollent ces lèvre aillant peur de la prochaine découverte … comme si c’était un geste interdit … comme ces lèvres ne seront jamais toucher ... sauf par les doigts parfait de Lu.

L’humanoïde n’est pas encore habituer a sentir cette douceur se propager sur ces lèvres … et pourtant elle aime déjà cette sensation … oubliant presque qu’elle sait parler. Leurs visages restent l’un en face de l’autre … leurs regards reste l’un dans l’autre … rien ne pourrait déranger la bulle qui se forme doucement autour d’eux … la main de l’androgyne se dirige vers la joue de l’humanoïde … touchant la perfection incarner … pour toujours est à jamais cette peau sera parfaite … le pouce de l’androgyne donne des frisons électriques sous la joue de l’humanoïde.

Doucement la main de l’androgyne clisse pour arrivé dans la nuque … découvrant par inadvertance un défaut sur la peau parfaitement blanche … sur le côté droit de la nuque … mais tout ça ne l’arrête pas … son visage s’approche doucement de l’humanoïde … il veut tellement savourer la noix de coc qui à toucher seulement quelque seconde … toucher la douceur.

Leurs lèvres sont à quelque centimètre si se ne sont pas des millimètres … leurs souffles se mélange une nouvelle fois … mais d’un coup … tout s’arrête … tout se fige … mais seulement quelque seconde … le visage de Lu n’est déjà plus en fasse de celui de l’androgyne.

Lu : Désolé … j’aurais du te repousser dès le début.

En quelque minute … elle sort de la chambre … laissant la rose de métal se décomposer sur le sol … sans claquer la porte … mais avec précipitation … elle a peur de se que son cœur ressent … mais elle a peur des battement du cœur de l’androgyne qu’elle entend que trop bien … il bat tellement vite … la peur ? l’amour ? … elle ne sait pas … elle à peur de découvrir.



L’androgyne reste les bras ballants se demandant s’il a bien fait de faire se geste … de faire ressentir se sentiment qu’il a en lui à se moment là.

Le dos contre la porte de l’androgyne … elle écoute les deux cœurs qui bâtent à l’unisson … oubliant le cœur du petit chat noir qui se promène dans le couloir à se moment là … sans attendre plus longtemps … la musique des cœurs dans ces courants électriques … elle fuit dans la chambre.

J'aime je veux la suite stp

Haan *o*
J'aime *o* C'est Trop Mignon ^^
Suite =D

encore s'il te plait ^^

nouvelle lectrice j'aime suiite

c'est loin

la suite sinon je tape mon homme quel menace lol la suite

j'espère sinon fessee lol

la suite

^^ Ben c'est cool tout ça ^^

cool ^^

Okayy =D

Epilogue :

Une semaine que ça c’est passé … une semaine que l’androgyne à eu la saveur noix de coco sur les lèvres … une semaine qu’il est dans les nuages … se trompant dans les paroles de chanson … oubliant de faire certaine chose … regarde souvent l’humanoïde.



En se moment … ils sont tous dans le studio d’enregistrement … Lu n’a pas voulu y participé … comme excuse … elle veut se reposer … Vrai ? Faux ? … mais malgré tout ça … elle est là derrière la porte du studio … écoutant le cœur de l’androgyne … les mots de tout le monde … les paroles de la chanson … la mélodie des instruments … les rires.



La porte de la salle d’enregistrement s’ouvre doucement … des rires … de la joie … il avait enregistré deux chansons aujourd’hui … le sourire sur les lèvres. Ils découvrent l’humanoïde … assit contre le mur.

Georg : Lu ? Pourquoi tu n’es pas rentré dans le studio ?

Lu regarde le bassiste … puis pose le regard sur les autres.

Lu : Je ne voulais pas déranger.
Gustav : Tu n’aurais pas dérangé.

Lu regarde l’androgyne … se dernier la regarde … les yeux marron brillant par la joie de la voir. Elle se lève … regarde une nouvelle fois tout le monde … et sans attendre plus longtemps … se dirige vers la sorti … oubliant peut-être de dire où elle va.

Bill la suit du regard … pendant un certain temps ces collègues … ou plutôt amis font de même … l’androgyne se fait abandonner par ces amis … mais ne sans préoccupe pas … il commence à prendre le même chemin que la femme de fer.



Arrivé au parc … elle arrête sa course acharner … attendant que l’androgyne la rattrape … elle a bien entendu se cœur battre … elle reconnaitrait ces battements de cœur entre mille … doucement elle ferme les yeux … sentant déjà le parfum de l’androgyne lui chatouiller les circuits électriques.

Doucement l’androgyne arrive près de la jeune fille de fer … ils sont tout les deux … l’un à côté de l’autre … personne ne bouge … surtout pas eux … personne ne parle … les regards ne se croisent pas … la main droite de l’humanoïde se trouve à quelque millimètre de celle de l’homme.



Depuis trente bonne minute … ils sont resté là … regardant droit devant eux … ne bougeant pas … seulement l’eau du lac bouge doucement.

Bill : Pourquoi tu nous as emmenés jusqu’ici ?

L’humanoïde laisse un sourire s’afficher sur son doux visage. Ces yeux commence à pétiller … après tout elle ne lui a pas demandé de venir … il est venu de son plein grès … ou pas.

Lu : Pourquoi tu m’as suivit ?

L’androgyne regarde Lu … les lèvres légèrement roses par le froid qui commence à faire son apparition … doucement l’androgyne s’approche de Lu … et prononce à voix basse … personne ne peut l’entendre … sauf peut-être la femme de fer.

Bill : Parce que j’ai un truc à te demander … à propos de se qui c’est passé la semaine dernière.

Lu reste droite … écoutant l’androgyne … les oiseaux … le vent qui chante … doucement ces lèvres s’ouvre … laissant toujours le même son métallique en sortir.

Lu : Moi aussi j’ai un truc à te demander.
Bill : Je t’écoute.

Lu se retourne vert Bill … leurs regards se rencontrent enfin.

Lu : En quel honneur je parlerais la première ?
Bill : Pour mon honneur.

Un rire métallique sort des cordes vocales de fer de l’humanoïde.

Lu : Apprend moi à …

Elle ne sait pas si elle peut lui demander … tout se qui c’est passé … les lèvres de l’androgyne sur les siennes … elle a tellement aimé … mais elle ne sait pas si elle a le droit … ça se trouve il ne voudra jamais.

Lu : Apprend moi à aimé.

L’androgyne la regarde … les yeux pétillant de bonheur … sans s’en rendre vraiment compte il murmure un faible « oui »









le prologue du Tome 2 sera poster sur se Topic ... tout comme les chapitres qui suivent ... donc continuer à surveiller
kis
Mistig

je veux lire le Tome 2 please