[T ] Pas le choix...

vieille fic que j'ai commencée il y a un moment et que je n'ai jamais eu le temps de poster...J'espère que ça vous interressera...


La chambre 483 Tom n'avais jamais pu l'oublier, et encore moins la jeune femme qu'il y avait accueillie pour une nuit... ET qu'il n'avais jamais oubliée, jusqu'au jour ou il l'avait trouvée là, sur ce trottoir, et décidé de la sauver...

[i]

J'aime bien le bmdebut. Ça change un peu des autres histoires.
C'est agréable, sans trop de fautes!
J'attends la suite =)

Lui était un peu hésitant, cette fille faisait naître en lui des ssensation qu’il ne connaissait pas, pas seulement du désir, une envie de la choyer , d’être toujours avec elle, de vivre avec elle, de dormir, de se reveiller avec elle, mais d’abord, il faudrait la délivrer de ceux qui la retenaient dans leurs filets, les mettre en prison, pour l’instant, il ne pouvait que venir la « ramasser » sur le trottoir, tous les soirs, pour éviter que d’autres lui viennent profiter d’elle encore et encore.Il l’allongea et la couvrit, posa, doucemnt, un timide baiser sur son front et alla se coucher sur une banquette qu’il avait posée dans on coin de sa chambre a côté du lit.
« tit tit tit tit » »tit tit tit tit » »tittititititiTITITTITITITITI »
T : Scheisse !
Il sereveilla en sursaut, six heures du matin, il devait la ramener.
T : Sianna, sianna, reveille toi, faut que je te ramène.
Il posa doucment sa main sur son épaule é dégagea son visa ge de ses cheveux.
S mhmmm, oh je suis ou !
T : Chuut, tu crains rien, je suis là, c’est Tom.
S : Oh mon dieu : six heures !
T : Viens, on y va je te ramène, t’as faim ?
S : Je dois manger avec les filles et le boss pour faire un « bilan de la nuit »
T mon dieu.
Elle lui sourit, revêtit ses vêtements de la veille, puis le suivit.
Il la déposa duex rues avant la sienne.
T : Pour t’éviter les ennuis, , je changerai de voiture ce soir.
S : Merci, merci.
Il la serra dans ses bras.
T : J e reviendrai, je ne laisserai personne te toucher, c’est fini tu m’entends.Courage, a ce soir.
S : Merci.
T ; Vas y ils vont t’attendre.
Elle se retourna, après avoir poserr un baiser dans son cou et se dirigea vers le « bordel » ou son mac l’attendait, avec les autres victime de ces trafics de femmes, ses compagnes de galère.
Tom rentra chez eux , rejoindre le reste du groupe, préoccupé,inquiet, pour elle , il se sentait responsable d’elle, si il lui arrivait quelque chose, si on lui faisait du mal, il ne le supporterait pas.
Il rentra au studio, Bill était déjà levé, il était sept heures du matin.
T : Déjà levé, qu’est ce qu’il t’arrive ?
B : Je vais voir Nathalie, on va passer la matinée ensemble et elle va dormir ici pendant la durée de l’enregistrement.
T : ça faisait longtemps que t’en rêvais hein ? t’es amoureux depuis un bail petit frère et maintenant qu’elle est a toi tu peux plus la quitter.
B ; Je suis si heureux Tom, ça a l’air tellement irréel, je me sent tellement bien quand elle est dans mes bras, qunad on passe des heures ensembles, quand je m’endors près d’elle et que je me reveille a ses côtés le matin…
T : Je suis content pour toi, depuis le temps que tu la dévorais des yeux…
B / Bon ? je me prépare te j’y vais.
Il alla dans la salle de bains se doucher, Tom resta là, il prit son petit déjeuner, puis alla s’isoler et prit sa guitarre, reden, c’était SA chanson, a elle, celle qu’il avait écrite en souvenir de leur nuit.Mon dieu, elle ne méritait pas cette vie là, comment pouvait on lui faire subir cela…
La voix de Bill le sortit de sa rêverie.
B : Pti frère, j’y vais, je vais chercher nathalie.
T : Vole vers ta bien aimée pti frère.
Bill rejoignit avec enthousiasme sa voiture et se mit en route vers l’appartement de celle qu’il aiamit plus que tout. Mais il était préoccupé, Tom l’inquiétait, aller au putes, c’était pas son style, il aimait avoir une jolie fille dans son lit, mais partante, pas contrainte, pas un esclave d’un commerce répugnant celle-ci était si jeune, plus jeune qu’eux, elle n’avait pas vingt ans.
Une fois arrivé, il se gara et sonne, le cœur gonflé de bonheur, il savourait chaque minute, chaque seconde près d’elle.
N : Bill, déjà là.
B : Moi aussi suis content de te voir.
N : Bill, te vexe pas, tu t’es levé bien tôt pour venir me chercher, mon cœur.
B : Pour enlever ma princesse sur mon cheval blanc je suis prêt a tout.
Elle était tellement proche de lui, elle lui souriait avec un regard amoureu, émue ;
Il se pencha et l’embrassa passionément, elle se elle recula pour le faire entrer et ferma la porte.
N : Je t’aime.
B : Moi aussi je t’aime, je t’aime tellement.
Elle amena ses valises, dans le salon, elle était en peigneoir.
N ; Je m’habillle et je te rejoins, installe toi.
Bill était chez lui chez elle, comme elle était chez elle chez lui, il avait tellement de fois passé des semaines a vivre avec elle, depuis qu’ils étaient ensembles, ils vivaient quasiment toujours l’un avec l’autre, ils partageaient même la chambre de Bill en tournée, et elle s’éclipsait quand des journalister arrivaient dans la chambre attenante, il s’arrangeaient toujours pour que leurs chambres communiquent directement par une porte...

J'aime toujours.
Je veux savoir ce que Bill pensera de tous les trucs avec Tom.

Suite ! =D

Quand elle arriva, il était assis, il pensait a Tom et son visage était préoccupé.
N : Bill, ça va ? T’as l’air inquiet.
B : Non, je suis dans mes pensées t’inquiète.
Elle s’asit près de lui et il la prit dans ses bras, elle se blottit contre lui, il l’embrassa, enivré par le contact de son corps chaud contre lui, par son parfum, sa voix, sa peau, son souffle ses lèvres, elle le mettait dans tous ses étâts.
N : Bill, on devait pas y aller là, les autres vont nous attendre.
B : Mhmmm, oui, je suis si bien avec toi, là.
N ; C’ets vrai qu’on est bien là…
Deux heures plus tard, Elle se reveilla puis sursauta.
N : Bill, on s’est endormis, chéri, reveille toi, Georg a appelé trois fois, tom six fois, ils sont furax.Bill ?
Il dormait a poings fermé, la serrant conre lui, elle l’embrassa doucement pour le reveiller.
B : Mhhhm, quel doux réveil.
N : Bill, il est dix heures et demie.
B : Oup’s !
Ils écaltèrent de rire et se dépêchèrent de regagner la voiture pour rejoindre le groupe au studio.
B : On est lààààà.
G : Salut Bill, salut ,nattie !
N : Salut !
B : On est en retard, désolé.on s’est endormis.
T : Oh je vois (avec un petit sourire chargé de sous entendus)
B : Pfff.Nat, on t’installe ?
N : Si ça te met en retard, je peux me débrouiller tu sais.
T : Installez vous tranquilles, on a le temps,.
B ; Frangin, je t’aime.Tu viens mon ange.
T trop meugnooon.
Les amoureux montèrent a l’étage, une heure plus tard, le groupe répétait sous les yeux enthousiastes et les oreilles critiques de Nathalie, qui depuis le temps qu’elle les connaissait, en savait un rayon.
Mias tom ce jour là n’était pas dans son assiette et semblait absent, triste et préoccupé.Ce qui ne cessa de faire crître l’inquiétude de son entourage.
Après la répétition, qui avait duré assez longtemps, ils s’attablèrent,Tom tentait de composer et de rire mais on voyait bien que quelque chose le préoccupait.Bill ne disait rien, il observait son frère, le remord, peut être, le rongeait après cette nuit, avec une victime de ce système écoeurant, immonde.
Nathalie les observait, elle sentait bien que quelque chose n’allait pas, et tout cela l’inquiétait, elle caressa doucement la main de Bill, qui semblait tendu, il sarra sa main et lui sourit, en posant un baiser sur sa tempe.
Après manger, ils rangèrent la cuisine et allèrent se préparer pour la nuit, tous, sauf Tom, qui partit en voiture, plus tôt que d’habitude.
Bill soupira, pour la première fois, son frère le dégoûtait, il ne comprenait pas qu’il aime ça, ramasser des filles, toutes jeunes, qu’on avait conraintes a faire le trottoir.
B : Tom…
T : Quoi ?
B : Non rien, amuse toi bien, a demain.
T : Pti frère, c’est pas ce que tu crois.
B : Tu fais ce que tu veux Tom, t’es libre, protège toi au moins.
T : Salut.
Tom comprenait la réaction de Bill, il préférait que celui-ci ne sache rien, il ne voulait pas les mêler a ça, il le ferait seul, il la sauverait de leurs griffes.
Il conduisit, jusqu'à ce quartier mal fâmé où elle trainait, elle n’était pas là, il était trop tôt, il demanda a une de ses « collègues » qui tapinait déjà où elle était en la décrivant, dissinmulant son visage, « déguisé « pour ne pas qu’on le reconnaisse.
E : La petite, elle est pas encore là, elle fait son début de soirée elle en bave la pauvre, le boss et un salopard avec elle, elle bosse a sa boîte de strip, et elle se fait ramasser a l’entrée, sinon, il la fait bosser comme call girl ou alors, il la met dans son lit. Mais si tu es préssé, je peux accéder a tous tes désirs, a condition que tu payes…
T : Elle est où la boîte.
E : Première a droite.
Il fonça, et se posta a la sortie, il attandit là, une heure, puis il la vit, il se gara devant elle, son souteneur était a côté d’elle, il paya, l’homme la jeta dans la voiture,Tom se retint pour ne pas le frapper, le tuer, il serra les poings et démarra en trombe, il s’arrêta un peu plus loin, elle était assise derrière, a moitié nue, le regard voilé.

J'aime toujours. Sont trop chou les amoureux et Tom fait son courageux. C'est rare dans les fictions x)

suite !

T : Chuut, c’est moi.
S : Oh Tom, t’es revenu, merci, merci.
T : Met ça et attache toi, je t’amère en sécurité.
Il lui tendit une de ses immenses vestes, elle s’y blottit.
S : Merci , Merci.
T : Il t’a fait mal.
S : C’est rien.
T : Sianna, t’as un énorme bleu a l’épaule, une entaille au visage, et tu me dis que ça va ?
S : Y’a eu pire, j’ai l’habitude.
T : Faut porter plainte, faut le dénoncer, l’enfermer ce porc.
S : Non fais pas ça !
T : Tu seras en sécurité, tu seras libre, je ferai tout pour que tu puisses vivre déçamment.
S : Non il va me tuer.
T : Je vais réunir des preuves et on le fera prendre en flag par la police, d’accord, je m’occupe de toi, n’aie pas peur.
S : Tom…
T : Chuut, ne dis rien, repose toi, je vais te soigner.
Il l’emmena chez eux, la fit entrer , lui donna un de ses t shirts pour dormir et une serviette.
T : Viens, je vais soigner ton épaule, puis tu te doucheras et au dodo d’accord.
S : Oh tom , ej sais pas quoi dire..
T : Laisse toi faire et ne dis rien.
Il l’emmena dans la salle de bains, nettoya sa plaie, avec douceur, respect, il avait presque peur de la toucher, lui, il la respectait.
T : Voilà, ça va mieux ?
S : Merci, merci pour tout Tom.
T : Chuut ne me remercie pas, douche toi et viens te reposer.
Elle se doucha, rapidement, puis il la conduit a sa chambre.
T : Viens, repose toi, tu es fatiguée.
S : Et toi ?
T ; T’en fais pas pour moi.
Il la borda et posa un baiser sur son front, elle s’endormit vite, il se coucha sur sa petite banquette et s’endormit en la regardant, près d’elle, son cœur battait plus fort, mais il refusait de l’écouter, il se l’interdisait, il devait la libérer, pas la prendre pour lui, elle ne devait pas se sentir obligée de l’aimer.
Pendant ce temps, Nathalie regardait la nuit par la fenêtre, se remémoant sa conversation avec Bill, qui a présent dormait d’un profond sommeil.
N : Bill qu’est ce qu’il y a je vois bien que ça va pas, dis moi ce qui t’inquiète, c’est Tom, c’est ça ?
B : Chuut, t’en fais pas, ma chérie, viens dans mes bras.
Il était assis sur le lit, elle se mit debout face a lui.
N : Bill, je t’aime et ça m’inquiète de te voir triste et nerveux comme ça, et Tom non plus n’a pas l’air d’aller bien.
B : (les larmes aux yeux, dégoûté) il déconne complet, N athalie , il va aux putes ça fait deux soirs qu’il nous ramène la même, comment il peut faire ça comment on peut obliger une femme a …
N : Pourquoi tu lui en parles pas ?C’est ton frère, vous êtes si proche, Bill il doit y avoir un malentendu, je peux pas croire que Tom fasse ça, ça lui ressemble pas.
B : ça me dégoûte tellement.
N : Bill, je lui en parlerai moi si tu veux, il me fait confiance, puis, je suis une femme, je peux lui demander des explications, on est assez proches pour ça, puis je sais comment le prendre, je suis plus calme que toi.
B : ( la faisant se rapprocher et s’assoir sur lui, posant sa tête contre sa poitrine, pour dssimuler ses larmes de colère et d’amour.
Comment je vivrai sans toi ?
N : Tu t’en sortirait très bien, Bill.
B : Non, je serai perdu, je t’aime tellement, je suis tellement amoureux de toi, depuis si longtemps, je t’ai tellement désirée, j’ai tellement rêvé de ces moments que je vis avec toi, je respire par toi, tu es l’amour de ma vie.Nathalie…
Elle l’avait regardé, de ses beaux yeux emplis de douceur et d’amour émue aux larmes de cet aveu, de ce cri du cœur, elle aussi l’aimait depuis un bon moment, elle aussi avait rêvé de le tenir dans ses bras, de le rendre heureux ? Elle avait caressé ses cheveux, puis, pris son visage entre ses belles mains, essuyé ses larmes et posé ses lèvres sur les siennes, puis après un long moment de douceur, d’amour, il s’était endormi contre son corps, apaisé, rassuré.

J'aime toujours beaucoup. Allez Nathalie! Va parler à Tom. Mais Bill, vraiment, réflécis. Tu a raison il ne ferait pas ça, alors parles lui!

Suite!

Elle revint a la réalité vit Tom arriver, puis aider une jeune femme, enveloppée dans sa veste a sortir de la voiture, mais il semblait plus la protéger, prendre soin d’elle, la respecter, que l’emmener dans sa chambre pour assouvir ses pulsions, il était doux, protecteur avec elle, respectueux, osant a peine la toucher. Elle ne l’avait pas bien vue mais son visage lui semblait familier, rassurée, elle se rallongea près de bill, qui la prit dans ses bras dans son sommeil, posant son visage dans son cou, elle se blottit contre lui, elle aimait tellement son étreinte, elle l’aimait tant, puis elle se souvint, cette fille, elle était une fan, elle l’avait vue sortir de la chambre de Tom, la fameuse Zimmer 483, le lendemain Tom était tout chamboulé, il chantait, mais était un peu triste comme s’il regrettait de ne plus la revoir. Maintenant tout s’éclairait, elle parlerait a Tom, le lendemain matin. Rassurée, elle posa ses yeux sur le doux visage de Bill, il ressemblait a un enfant, endormi, un enfant… elle aimait tellement les enfant, elle rêvait de faire un bébé avec Bill, elle lui en parlerait, quand il serait prêt, il était encore trèe jeune, mais cela la tarabustait, elle devait lui en parler, y aller doucement, trouver les mots juste, ne pas le brusquer, le présser, lui montrer qu’elle attendrait qu’il soit prêt, puis elle sombra dans un profond sommeil, entre les bras, de celui avec qui elle voulait finir sa vie.

Dans la nuit, Sianna se reveilla, d’abord surprise, elle se rappela, Tom, Tom qui prenait soin d’elle, qui la protégeait, qu’avait elle fait, elle, une petite traînée pour mériter tant d’amour.
Elle le regarda, il frissnnait, elle le recouvrit, tendrement, il la sortait de l’enfer, et elle avait envie de le prendre dans ses bras, de l’embrasser, de le rendre heureux, mais pourquoi voudrait il d’elle, il méritait tellement mieux…

Le lendemain, il la ramena plus tôt.
T : Je reviendrai ce soir, je reviendrai.
S : Merci, quoiqu’il arrive, même si on ne se revoit plus, merci.
Elle posa un baiser au coin de ses lèvres et partit, Tom rentra, il était de plus en lus inquiet, il avait peur qu’il la batte, peur qu’il la tue, non, il ne le supporterai pas.
Quand il rentra, Nathalie l’attendait, dans la cuisine, rayonnante, après sa nuit d’amour avec Bill.
T : T’es belle Nattie, et tu rends Bill tellement heureux.
N : Merci, Tom, il faut qu’on parle.
T : Nattie, pas toi.
N : Je sais que tu ne couches pas avec cette fille, je sais que c’est une fan qui a pa ssé une nuit avec toi, je l’ai reconnue, je sais que tu cherches a la protéger.
T : Co, co…
N / Je l’avais croisée dans le couloir, c’est la fille de la chanson, t’as jamais pu l’oublier, je vous ai vu hier soir par la fenêtre.
T : Nattie , elle s’est faite avoir, ils l’ont mise sur le trottoir, elle est battue humiliée, ils vont la tuer, j’ai peur !
N : On va aller au comissariat, on va faire faire une enquête, d’accord.
T : D’accord, nattie, oh nattie je t’adore.
Il la serra dans ses bras.
N : Tom, je crois que t’es amoureux, hein ?
T : Je crois aussi.Mias je veux qu’elle soit libre.
N : T’as un garçon bien Tom.
T : Merci nattie.
N : Tu veux que je te prépare quelque chose, j’allais préparer le pti dèj a mon homme et le lui monter au lit.
T : Il a de la chance Bill.
N : A dix heures nadja ammène le bébé pour qu’on lui garde avec Bill, elle a des courses a faire et comme elle est petite, elle veut pas trop l’exposer aux microbes, et elle sait qu’on adore le petit.
T : T’en as parlé a Bill.
N : De …
T : Du bébé.
N : Je sais pas comment lui dire, comment en parler, j’ai peur que ça le fasse fuir, il est encore jeune, il a pas l’air motivé pour avoir un enfant.
T : Bill t’aime, ça fait longtemps qu’il est amoureux de toi, très amoureux, et ça fait presque un an que vous vivez ensembles, puis, il aime les enfants, y’a qu’a voir comment il est avec le petit de dunja, il est gâteux, parle en nattie.
N / Oui, je vais profiter de l’occasion pour aborder la question, t’es un amour Tom.
T : Allez , vien me faire un calinou soeurettte.
N : Pfff, arrête, Bill va être jaloux et il va faire la tête.
B : Et pourquoi ferait il la tête.
Nathalie sentit deux mains autour de sa taille, et un souffle et de douces lèvres poser de délicieux baisers dans son cou.
Elle se retourna et embrassa Bill.
N : Bonjour Bill
B : Bonjour mon amour.

Haa j'aime natalie!! j'adore !!!!!!!!!!!!
Tom est un gars bien, c'est changeant !
J'adore !! <3'

suite !

T : Hum hum.
N : Bill, la jeune fille que Tom va chercher est une fan, qui a été piégée par la prostitution , et qu’il veut sauver, en faisant arrêter son souteneur et démanteler le trafic para police.
B : Et il est un peu amoureux aussi non ?
T : Un peu.
N : Et on va l’aider et accueuillir cette demoiselle.
B : Tom, t’aurais dû m’en parler, mon frère, on fera tout pour vous aider.
T : Vou zaim’
N : Nous aussi ont’aime.
B : Mhmm, ça sent bon.
N : Je voulais te faire la surprise mais…
B : Tu sais que je t’aime toi.
N : Oui je le sais.
B : J’ai faim.
N : Tiens mon amour, attention, c’est chaud.Tiens Tom
B et T : Merchi.
N : Bon, je vous laisse je vais me doucher, le petit arrive bientôt.
B : Trop bien, j’adore ce petit ange.
Nathalie posa un baiser sur ses lèvres et monta , le sourire aux lèvres.
Bill la suivit des yeux.
T : Tu baves.
B . Hein ? pff quand tu seras amoureux, tu comprendras.
T : Alors, on va pouponner.
B / Si tu savais comme j’aime ce petit, ses gazouillis, ses petits pieds, ses petites mains, son sourire, ses rôts après le bibi, le consoler, lui raconter des histoires, et ma ptite femme, elle est belle quand elle s’occupe du bébé.
T : Envie d’être papa ?
B : Plus tard, oui, pourquoi pas, avoir un petit Nathalie et moi…
Tom sourit, les biberons et les couches culottes ne tarderaient pas a envahir la maison.Soudain il pensa a Sianna, où était elle ?
T : Bill, je vais au comissariat, j’ai des photos de l’’endroit et de ses blessures, du mac, des dégueulasses qui profitent d’elles.
B : Si tu veux, je t’accompagne.
T ; Mais nat ?
B : Je vais lui dire, elle comprendra.
Il monta et toqua a la salle de bains.
N : Entre, suis dans la douche.
Il entra et s’assit sur le lavabo.
N : Tu peux me passer ma serviette s’il te plaît.
B : Et s’il me plaît pas.
N / Je t’asperge d’eau froide.
B : Tu veux que je te rejoignes, mhmmm
N / On garde ça pour plus tard ?
B : T’as du bol que je sois préssé.
Il lui passa sa serviette, elle s’y enroula et sortit.
N : Brrr froid.
Bill sourit et la serra dans ses bras, puis posant un baiser sur ses lèvres, caressa son visage, elle était là, frissonnante, frémissante contre lui.
B : Je vais accompagner Tom au comisssariat.
N : C’est bien ce que vous faites, ce soir, on parlera, tous ensembles avec elle, on lui montrera qu’on va l’aider, qu’elle est chez elle ici.
B : T’as vraiment un ange, si tu savais comme je t’aime, nathalie.
N : je le sais bill, je ressens la même chose pour toi.
B : je vis y aller Tom est fou ‘inquiétude.
N : File a toute, je t’attend avec le bébé.
Bill l’embrassa et partit avec Tom, il regarda les photos du dossier.
B : Mon dieu, je la reconnais, c’est affreux, tu as vu ses jambes, son dos, son cou, son visage.
Tom éclata en larmes.
T : Bill, si tu avais vu commennt il l’a jetée dans la voiture, j’avais envie de le tuer.
B : Mon dieu, si un homme faisait ça a ma Nathalie, je l’aurai tué de mes mains, en le regardant droit dans les yeux.
T : Je devais me taire, la protéger avant tout.
B : ça fait longtemps que tu sais.
T : Trois mois, j’ai espionné, puis j’ai agi, je voulais éviter d’être reconnu et de la mettre en danger.
B : Prend ma voiture ce soir.
T : Merci.

Ho! Bill est mignon =)
j'adore le fait qu'il aide son Frère !!
Natalie est un ange!

Suite ? =D

Ils entrèrent au comissariat.
On les installa dans une salle, Tom commença a exposer le dossier, l’agent le regarda avec attention et interêt, pui appela le comissaire.
C : Bonjour, merci de votre témoignage, nous les pistons depuis longtemps, nous allons nous charger de l’affaire, avec les preuves on va faire intervenir un juge, puis on perquisitionnera pour la drogue, et on les prendra en flag pour le trottoir, on va infiltrer des agents, on les aura ces salopars.
T : S’il vous laît, ne le mettez pas en danger, faites attention.
C : Ne vous en faites pas. Merci beaucoup, c’est bien ce que vous faites pour cette demoiselle.
Bill et Tom partirent , Tom était tremblant.
B : Je prend le volant, t’es pas en étât de conduire.
T : Ou,oui.
B : ça va aller grand frère.On va la sauver ta bien aimée.
T : et si ça tournait mal, si elle était tuée pandant une opération.
B : Tout ira bien, tu iras la chercher ce soir, on va la choyer, ne t’inquiète pas.
Ils rentrèrent et sonnèresnt.
N : Oh mon amour, regarde qui arrive, c’est tonton Bill et tonton Tom.
Elle ouvrit souriante magnifique , tellement de douceur émanait de cette image, Bill et Tom étaient conquis, Nathalie avec cet enfant, ce bébé dans les bras, on aurait dit qu’elle était sa mère, Bill en avait le souffle coupé.
N / Entrez, je vous ai préparé de quoi vous rassasier.
B : Coucou poussin, que tu es beau, il embrassa e petit et Nathalie.
T : Coucou petit chou, il posa un baiser sur la petite main que le bébé tebdait vers lui et sur la houe de Nathalie.
Elle les installa et donna le biberon au bébé, Bill la regardait, une mère avec son enfant, comme elle serait une belle maman, elle était faite pour ça.
Le bébé but tout son biberon, en tripotant les cheveux qui s’échappaient de sa queue de cheval.
B : Dieu qu’ils sont beaux, il fit une photo, discrètement.
N : Et voilà mon cœur, tu as tout fini !
B : Je peux lui faire faire son rôt ?
N : Oui, bien sûr, tiens.
Il se leva, se rapprocha d’elle et lui passa délicatement le bébé, tiens lui bien la tête comme ça, voilà.
B : C’est si mignon, allez mon grand, on va se promener.
Il ballada le bébé, tendrement.
Nathalie rêvait imaginant que c’était leur bébé, a eux, on aurait dit que Bill était son papa tellement il était tendre et doué.
Bb : Burp !
B : Bravo mon chéri, Oh Nathalie c’est trop mignon.
Il s’assit a côté d’elle, avec le bébé, Tom, lui les laissa seuls, faisant un clin d’oeuil a Nathalie, c’était le moment de parler bébé.
Bill et Nathalie firent des papouilles au bébé, le cahngèrent, puis le couchèrent dans son landeau-lit.
N : ça donne envie.
B : T’imagines, un petit toi et moi ?
N : TU veux dire que…
B : Que j’ai envie d’un enfant de toi, que je t’aime, que je veux que tu sois la mère de mes enfants.
N : Oh Bill moi aussi, je voudrais tellement un bébé avec toi.
B : Quand toute cette histoire avec Tom sera finie, on pourra mettre un bébé en route ?
N : Oh Bill ! Elle se jeta dans ses bras comme une toute jeune fille et l’embarssa, lui était ému, le cœur débordant d’amour.
Dring !
D ; Coucou, je viens récupérer mon petit ange.
N : Il dort.
D : Merci,merci beaucoup.
B / Faut qu’on s’entraîne pour quand on aura les nôtres.
N : Tu veux boire quelque chose ?
D : Merci faut que j’y aille.
B / Voil0 le petit.
D : Aurevoir.
N : Ciao.
Bill avait les larmes aux yeux de voir le bébé partir.
N : Oh mon chéri, pleure pas, c’est pas le notre, on peut pas le lui piquer.
B : Oui, on aura bientôt notre bébé.
Il la serra dans ses bras et l’embrassa comme un fou.
Gus et georg arrivèrnt pour enregistrer, Nathalie alla chercher Tom.

N ; Tom, au boulot.
T : Alors, vous avez parlé bébé ?
N : Il a dit oui, il veut un bébé, très bientôt !
T oh, je suis tellement heureux pour vous !! je vais être tonton alors ?
N : quand on aura délivré ta princesse charmante !
T : Je deviendrai quoi sans vous.
B : On est là frérot et on va la sauver c’est tout ce qui compte.
Ils descendirent, Gustav avait amené sa charmante demoiselle.
N ; Salut ! Tu vien écouter ? C’est super, on va critiquer en semble alors.
K : Oui.
B : Et ben on n’a pas fini.
Une heures deux heures, quatre heures de travail, ils finirent crevés.
Pendant le repas, On exposa la situation de Tom.
K : On va prendre soin d’elle, on la lâchera pas Tom.
G : Je suis d’accord avec elle.
G : Moi aussi.
T : Merci, merci beaucoup, je sais pas quoi dire.
B : C’est normal Tom, qu’on te soutienne, qu’on vous soutienne.
Tout le monde acquieça.
B : Bon les copains, comme vous le savez tous, prochain award demain, il y a presuqe un an, Nathalie et moi, on s’est mis ensembles, il y a un an, en rentrant du backstage de ce même award.
N : Disons qu’en guise de bonne nuit, dors bien, il m’a embrassée, puis on est allés chacun se coucher, et dix minutes après j’ai toqué a sa chambre.
B : Et elle m’a embrassé, et on a parlé toute la nuit et on s’est endormis tout habillés, sur le canapé.
T : Oui, oui fais nous croire ça…
B : Tom, tu crois ce que tu veux.
G : Et après vous êtes sortis ensembles de ta chambre main dans la main, et depuis vous roucoulez.
G : Et vous vous engueulez entre deux roucoulements.
B : Don demain, Nathalie sera a mon bras et on va officialiser notre amour.
T : Cromignon, et vous fêterez ça en rentr…
N / Et après le sauvetage de la demoiselle de Tom, on va faire un bébé.
K : Oh c’est fantastique.
G : Félicitations, je suis tellement content pour vous.
G : Deux amoureux a la cérémonie, oh ! ça va être mignon.
B : Je vais être tellement fier de t’avoir a mon bras ma Nathalie, maintenant le monde entier va savoir que je t’aime, que je suis fou de toi et je pourrai t’embrasser si on reçoit un award.
N : Bill…
Ils s’embrassèrent.
T : Hum, dites le si on dérange.
Bet N : …
T : c’était pas pour plus tard le bébé ?
B : Faut qu’on s’entraîne.
T : Vous allez pas le faire ici quand même…
B : Nin, t’es trop jeune pour voir ça, je veux pas te traumatiser.
Il souriait, nathalie sur ses genoux, entre ses bras, leurs mains entrelacées.
N : Tom, il est neuf heures, tu devrais aller la chercher.
B : Prend ma voiture.
T : Merci tit frère.

Il fonça, son ceor battant a toute vitesse, pourvu qu’elle aille bien.





chère lectrice je pars une semaine suite a mon retour

Merci pour ces deux longues suites !!
J'adore toujours autant.
Jattendreai la suite.

Xoxo

Elle était là, Elle monta.
Il demarra en trombe comme a son habitude, et s’arrêta un peu plus loin.
Ele s’installa près de lui.
T : Tiens ma belle, couvre toi.
S : Merci, merci Tom.
IL lui mit une veste sur les épaules, comme tous les jours, avec tendresse, elle avait une tenue plus que provoquante.Il était gêné par cette vision, troublé.
Il conduit en regardant la route.
T : Ils veulent tous te voir, te parler, je leur ai tout dit, Nathalie avait deviné.
S : Elle est enfin en couple avec Bill ? Je m’en doutais, va y avoir des jalouses.
T : Si tu voyais comme ils sont beaux, comme ils s’aiment.
S : Ils ont de la chance.
T : toi aussi, tu trouveras, quelqu’un qui t’aimera, plus que tout, qui te respectera, qui voudra te choyer, te protéger.
S ; Tu sais ce que ce serait mon rêve ?
T ; Non.
S : trouver quelqu’un qui puisse m’aimer.
T : Tu trouveras.
Elle regarda par la fenêtre, comment lui dire que son rêve était a quelques centimètres d’elle et tentait de la sortir de l’enfer.
Ils arrivèrent, et entrèrent, Tom la prit par la main, rassurant.
T : Coucou, je vous présente Sianna.
S : Bonjour, merci, merci de m’accueuillir parmi vous.
Nathalie s’approcha, avec sa douceur naturelle, elle la serra dans ses bras et l’entraîna vrs le canapé.
K : Tu es chez toi ici, on va te sortir de là, je suis Katrina , la petite amie de Gustav.
N : C’est afreux ce que tu vis mais on va te protéger, tu seras bientôt libre.
Sianna émue, l’enlaça.
S : Oh merci, merci.
Les garçons s’avancèrent, doucement.
B : Nous, tu nous connaît déjà, on est contents de te rencontrer, on est tous là, autour de toi pour t’aider.
Tom s’était posé près d’elle et posait une main rassurante sur son bras, son regard était révélateur, Bill sourit, oui, Tom était amoureux.
Elle sourit, puis les regarda, tous, l’un après l’autre, les yeux pleins d’un nouvel éclat, l’espoir
S Je suis tellement émue, je sais pas quoi dire, merci, merci.
Elle les serra dans ses bras, un par un, tom était crispé, jaloux, de si peu, elle le rendait fou.Il ne se reconnaissait plus.
T : Viens te reposer, oh mon dieu, tu saignes.
Elle avit une blessure a la jambe .
N : Si tu préfères, je peux…: Si tu préfères, je peux… Je suis une femme, ce sera peut être plus facile pourttoi de…
S : 9a te fais rien Tom ?
T : Non, beinsur, je t’attend dans ma chambre hein ?
Il l’embrassa sur le front et elle monta avec Nathalie qui la soutenait, elle était vraiment faible.
B : Mon dieu, c’est afffreux.
G : Faire ça a une femme. ..
T . qu’est ec qu’ils lui ont fait subir, pourquoi je peux pas la protéger la journée.
Il pleurait.
G : bientôt ce sera fini.
B : Comment tu la regardes grand frère, t’es amoureux.
T : Oh oui.Je vais monter l’attendre.

Pendant ce temps, N thalie était dans la salle de Bains avec Sianna.Sianna se deshabilla.
N : Si tu veux que je sorte…
S : Non, ça me gêne pas.
N : Oh mon dieu !
Son corps était parsemé de bleus, elle avair une vilaine blessure a la jambe.
S : Un client soul, il voulait absolument … après le strip.
N : C’est du viol, hein, ça fait pas partie du « contrat « ça.
S ; C’était mon mac, il avait envie… Avant de me mettre dans le circuit .TU sais, c’est toujours du viol, on pourra dire que j’ai baisé plein de fois, mais j’ai jamais fait l’amour.
N : Sauf avec Tom…
S : Lui ne m’aimait pas, il voulait juste un câlin.Moi, moi j’avais le cœur qui chavirait.
Je te dégoûte hein ?
N : Non, t’as jamais voulu ça, c’est pas toi qui me dégoûte, c’est ceux qui te font ça, qui t’obligent.

Elle aida Sianna a se soigner et la laissa se douher, restant derrière la porte au cas ou elle aurait un malaise.
Sianna sortit
S : Merci Nathalie, merci.
Elle la serra dans ses bras.
N : Si t’as besoin de quoi que ce soit, je suis là.
S : T’as vraimant une fille bien, Bill a de la chance.
N : Merci, allez ma poupée, va rejoindre Tom.
S : merci, merci.
Elle alla rejoindre Tom, qui était assis sur son lit et l’attendait.
T : Allez ma grande, au dodo.
S : Ouille !
Sa jambe lui lançait.
T : Mon dieu qu’est ce qu’il y a.
Il se leva et l’aida a s’installer sur le lit.
S : C’est rien, ma blesuure, ça va passer, nathalie a des mains de fée.
T : Dis moi ce qui t’es arrivée.
S : C’est le boss, après le strip, il m’a…Enfin, il avait anvie et il avait trop bu, et…Il m’a, enfin., je me suis bléssée contre une table.
T : Ce porc ! Il t’a violée.
S : Ils me violent tous, sauf Toi, toi, tu es le seul avec qui j’avais vraiment envie.
T : ourquoi, je suis pas venu avant…
S / Tom ? t’aurais rien pu faire, c’était avant que je sorte.
T : Je viendrai a la boîte demain.
S : Non, on pourrait te reconnaître, j’ai besoin de toin en vie Tom…
Elle se blottit dans ses bras, il la serra.
T : Allez, il faut dormir, n’aie pas peur, je veille sur toi.
S : Tom ?
T : Oui ?
S / Dors avec moi, s’il te plaît.
T : D’accord, si tu veux…
Il s’allongea pès d’elle, elle se rapprocha et s’endormit au creu de lui, rassurée.
Lui était ému de l’avoir près de lui, comme ça, il n’osait pas la toucher, il contempla son visage endormi, comme il l’aimait, comme il la trouvait belle.

Désolée, j'ai pris du temps à revenir ><'
Bref, j'adore toujours et je trouve Tom trop mignon.

Suite =)

Nathalie était bouleversée en rejoignant Bill.
B : Nattie qu’est ce qu’il t’arrive, t’es toute pâle, ça va pas.
N : Bill, si tu voyais ce qu’ils lui font subir…
Bill se leva et la prit dans ses bras.
B : Ma chérie, on va la sortir de là.
N : C’est affreux, les salopars.
Bill la fit asseoir et la serra un peu plus fort contre lui.
B : Tu as fait ce que tu as pu ce soir pour elle, dort ma chérie, repose toi, viens contre moi, on va la sauver, mon amiour, on va la sauver , et après on fera notre premier bébé.
N : Bill, je t’aime ;
B / Moi aussi je t’aime, ma Nathaie, t’imagines pas.
Bill s’endormit rapidement, au chaud, tout contre elle qui ne parvenait pas a trouver le sommeil, imaginant le supplice que Sianna endurait, chaque jour.

Elle se leva doucement et se dirigea vers le salon.Sianna y était, elle non plus n’arrivait pas a dormir.
N : ça va ma chérie ?
Elle vint s’asseoir près d’élle , des larmes coulaient le long de ses joues, laissant des trainées blanches, desséchant ses joues.
Nathalie la prit dans ses bras, et caressa ses cheveux et son dos pour l’apaiser.
S : J’ai si peur qu’ils fassent du mal a Tom, s’ils découvrent que…que …
N ; Tom sait ce qu’il fait, il prend ses précautions tu sais, il ne risque rien.
S ; Je stiens tellement a lui, je crois, je crois que je l’aime.
N : ça je l’avais compris.
S : Je le dégoûte, je lui ai demandé de dormir avec moi, et il se tient a un mètre de moi.
N : Je pense plutôt qu’il ne veut pas t’effrayer, te brusquer, après ce que tu vis,il te respecte, et ne veut pas que tu croies qu’il veut profiter de ta faiblesse et te serrant contre lui.
S : Tu crois vraiment.
N : J’en suis sûre.
Elle essuya les larmes qui coulaient sur les joues de la jeune fille.
N : T’as l’air d’avoir la peau fragile.
S : Oui, dès que je pleure, c’est une catastrophe.
N : Attends, je reviens, elle alla chercher un pot de crème à la salle de bains.
Elle revint et appliqua doucement le produit sur le visage de Sianna
;N : Voilà, ça vas mieux.
S : Oui, merci.merci beaucoup.
N : Elle est pour toi, je te la garde ici, vu que tu passes tes nuits a la maison, ça t »évitera des problèmes…
S : Oh merci, je sais pas quoi dire.
N : Oh non, pleure pas, viens là, bientôt, tu seras libre.
Tom se reveilla paniqué, elle n’était plus là, on l’avait enlevée ! non, pas ça !
Il descendit, paniqué.
Quand il les vit, il tomba a côté d’elles, mort de soulagement et prit Sianna dans ses bras, la serrant contre lui.
T : Oh, Sianna, j’ai cru que tu étais partie, qu’il t’était arrivé quelque chose !
N : Tom, panique pas, je réparais la peau de cette demoiselle qui a fait un cauchemard, je vais aller rejoindre mon cher et tendre.
Elle fit un clin d’oeuil a Sianna, qui lui sourit .Entre les bras de Tom, elle était tellement rassurée, en sécurité, comme si rien autour n’existait.
T : Sianna j’ai eu si peur, je t’aime tellement, ej t’aime.
Il la lâcha comme s’il s’étaît brûlé, qu’avait il dit ? Il s’étaiit trahi.
Elle lui souit et posa doucement ses lèvres contre les siennes, se collant contre lui.
T : Je ne veux pas qu etu te sentes obligée de m’aimer, je veux juste te libérer, je ne veux rien…
Elle lui répondit par un baiser passionnée.
T : Sianna…
S : Je t’aime Tom, je t’aime, ça te vas ?

bateau pour le moment mais de grosses surprises a venir

Non, c' est pas si bateau =)
il y a des passages émouvants et ils pourraient l' être encore plus s' ils étaient décrits un peu plus. Enfin, après chacun son choix.

suite=)

Elle le fit tomber en arrière et se mit a califourchon sur lui, l’embrassant.
T / Moi aussi, je ta’ime, de tout mon cœur.
Il la prit dans ses bras et la serra fort contre lui.
T ; Viens dormir, tu as une longue journée demain.
Ils montèrent et dormirent dans les bras l’un de l’autre.elle blottie contre lui, entre ses bras chauds, protecteurs, pour la première fois elle prenait du plaisir a dormir aux côtés d’un homme, elle aimait son contact, avait envie de se sentir plus proche de lui, elle ne se sentait pas sale, et dégoûtée, comme auprès de tous ses « clients » ou de son mac.avec lui elle n’était plus un objet, elle était une femme.

Le lendemain matin Tom se reveilla a cinq heures pour la ramener, heureux, il savourait chaque instant auprès d’elle, elle l’aimait, elle l’aimait, c’était presque trop beau, si seulement elle n’était pas aussi en danger…
Il la reveilla doucement en l’embrassant, en caressant son visage.
T : Sianna, ma chérie, il faut te reveiller.
S mhmmm, Tom, elle sourit.
Ils descendirent, après un doux baiser , Nathalie les entendit et se leva pour dire aurevoir a Sianna.
Bill, la sentant bouger se reveilla.
B : Mon amour tu me quittes déjà.
N : Non, je vais dire aurevoir a Sianna.
B : T’es une perle.
N : A tte, je t’aime.
Elle desendit voir Roxanne tandis que Tom s’habillait.
N : Aurevoir ma chérie, a ce soir, tiens bon, c’est bientôt fini tout ça, on est là.
S : Oh nathalie, c’était pas la peine de te lever si tôt pour moi.
N : Je tenais a te dire aurevoir .
S : Merci, merci de tout cœur.
Elle la serra dans ses bras avant de partir avec tom.
Ils prirent la voiture de Bill pour repartir, Sianna pensait, elle les mettait tous en danger, Tom surtout, il était si amoureux…Et elle aussi l’aimmait.Elle se souvint de son amie vanessa,, vanessa qui l’aimait, sianna était bisexuelle, et Vanessa avait été l’amour de sa vie, elles vivaient main dans la main leur vie de souffrance espérant un jour s’en échapper, se cachent pour s’aimer après le « travail », loin de ceux qui pouvaient les juger, juger leur amour, si fort.
Mais un jour un client avait été trop violent avec elle, et Vanessa, voulait lui faire payer, le patron l’avait battue a mort, Sianna se souvenait encore du corps de sa femme ensanglanté dans ses bras, elle se souvenait de ses larmes de sa douleur, de la tombe de sa belle ou elle se rendait souvent,et pleurait souhaitat la rejoindre mais restait forte, Vanessa était morte pour elle, elle devait vivre, malgré sa douleur et sa solitude…
Elle le regarda et, par amour, prit la décision la plus difficile de sa vie, qui la ferait souffrir, mais le sauverait.

la suite please, j'adore ta fiction ^^

bienvenue a ma nouvelle lactrice suite ce soir en to honneur