[T ] Pas le choix...

La suite please
je sais pas mais je sans la fin ??
non ??

ou pas...^^

bah si ^^

oui la suite à l'air triste !!
zuiiiiiiteeeeeeeee

Boum !
La police entra, il serra, on tira, l’homme fut immobilisé, elle gisait sur le sol, nue dans une peignoir de satin rouge, meurtrie, baignant dans son propre sang, Il l’avait poignardée, dans un acte désespéré de vengeance .dehors, on avait arrêté les responsable de ce trafic, elle était dans un état de demi, conscience, entre deux mondes
Tom, entra, poussant les secours, il avait été prévenu par Georg qu’elle n’était pas dehors, qu on la cherchait , tout le monde était venu participer, Gustav, Bill, Nathalie,elle avait contacté les urgences et l’hôpital, Bill l’avait suppliée de rester a l’écart, qu’il ne survivrait pas a sa perte .
T : Poussez, vous laissez moi la voir.
Secours : monsieur, doucement, elle ne doit pas dormir, maintenez la reveillée.
Il la prit délicatement contre lui et la couvrit de sa veste,qui se couvrit de sang, sa respiration était si faible, a peine perceptible.
T : Ma chérie, Sianna, je t’aime, je t’en supplie reste éveillée, on va s’occuper de toi
IL était là, Tom, l’homme qu’elle aimait, Il était là, ou alors c’était juste un rêve, un doux rêve, pourtant, il lui semblait sentir son odeur,sa chaleur, la sécurité de ses bras, entendre sa voix,
T : C’est fini, on va les coffrer, c’ets fini, tu es libre, s’il te plait, reste en vie, reste avec nous, ne cède pas, je t’en supplie…
Rester en état de semi conscience, même si tout cela n’était qu’un rêve, pourtant, si c’était un rêve, pourquoi tout son corps la faisait il a ce point souffrir ?
On la mit sur un brancard, Tom, après avoir donné du fil a retordre aux secours a ne pas vouloir la lâcher monta dans l’ambulance, au supplice, Nathalie l’accompagna, livide, les mains tremblantes.
N : Tiens bon ma douce, tiens bon.On est là, on va te soigner, tu vas guérir et être libre, bats toi, reste avec nous.
T : Reste avec nous, reste avec moi, je t’en prie, tu seras heureuse, tu verras.
On la transporta dans l’hopital, le médecin la prit en charge de suite, elle était a l’agonie, et ses chances de survie étaient faibles…
N : Elle a été droguée, torturée, violée, depuis plusieurs jours.Hier, elle était malade.
D : Nous savons, une de ses « collègues » nous a informé de tout, pauvre petite.
Tom souffrait trop pour parler, mais ne lâchait pas sa main, son visage était beau,malgré les contusions, et sa lèvres entaillée, et gonflée.
D ; Il faut la laisser maintenent, je m’en occupe, on va la mettre aux soins intensifs, et l’endormir pour ne pas qu’elle souffre.Monsieur, je comprend votre inquiétude mais elle a besoin de soins, immédiatement, il est peut être déjà trop tard, chaque minute est vitale…
N / Tom. , viens.
T ; On va devoir rester là, derrière une vitre, au lieu d’être auprès, d’elle, de la câliner, de la rassurer, de l’entourer d’amour, on va la regarder derrière une vitre, si au moins je pouvais aller tuer ce porc, a mains nues…
Il serrait tant les poings que ses phalanges en étaient blanches, ses traits étaient déformés de rage et d’inquiétude, il avait vieilli en quelques heures …
Bill arriva, ainsi que Simone Gordon, Georg, Gustav, Kathrina
N : Il l’ont misse en soins intensifs, ils l’ont endormie, quelques secondes de plus, et ce salaud la tuait.
Bill la prit contre lui, elle semblait forte, mais elle avait du chagrin, elle avait peur, elle ressentait quelque chose de si fort pour Sianna, si fort…

Encore ^^
la suite please

zuiiiiiiiteeeeeeeeeeee

B : Ils vont la sauver.
G : Tom, mon vieux, on est là.
G : Ils vont la sauver ta belle, elle est entre de bonnes mains.
T ; Je pourrais accepter qu’elle parte, loin de ne jamais la revoir, mais pitié, je veux qu’elle vive, je l’aime.
Bill et Nathalie, l’entourèrent pour le réconforter , il s’écroula entre leurs bras… Quelques minutes plus tard, Simone arriva, pour consoler son fils…
S : mon chéri, mon bébé, calme toi, calme toi, ils vont la sauver.
T : Maman, maman, je ne supporterai pas que, que…
S / Elle va s’en sortir
N ; J’ai pris quelques affaires pour tout le monde dans le coffre, je m’étais dit qu’au cas ou…
T / Nattie , tu es une perle, on serait tellement perdus sans toi.
N : Oh Tom, allons, Tom, ressaisis toi, pour elle.
Bill, Tom et Nathalie restèrent, toute la nuit, a attendre q’on la transporte dans une chambre d’hopital, après plusieurs opérations, a attendre de pouvoir la voir, lui parler.
T : Mais qu’est ce qu’ils lui font ?
B : Tom, elle va très mal tu sais, et ses blessures…
D / Peuvent lui être fatales, elle est entre la vie et la mort, entre la drogue, le stress, la maladie, les sévices subis, depuis de longs mois, elle est très faible, anémiée, elle mange ?
N : On n’a pu que la faire boire, elle refusait de manger, on lui donnait des boissons sucrées, mais elle y touchait peu…Et elle était si malade ces derniers jours, si faible, si personne ne s’occupait d’elle dans la journée.
T : Elle avait de la fièvre, pleurait, criaiat, non, non, arrête, non !dans son sommeil…
D / Elle a subi des injections de fortes doses d’héroïne dans la journée…
T : Docteur, sauvez là, pitié…
B : On peut la voir ?
D : Seulement a travers cette vitre
Ils regardèrent la jeune fille, endormie, jolie malgré ses blessures, cheveux épars sur son oreiller, elle était très pâle, même si sa peau était naturellement diaphane.
T : Est _ce qu’elle souffre ?
D : Nous l’avons endormie pour ne pas qu’elle ait mal, les prochaines quarante huit heures seront décisives. Nous allons la transférer en chambre, toujours dans ce service.
Une heure plus tard, elle était installée, avec des tas de machine autours d’elle, des capteurs sur son corps, recouvert d’une blouse de l’hôpital,des aiguilles dans ses veines, déversant des médicaments, afin de la sauver, et de quoi procurer a son corps, un sommeil artificiel.
T : Docteur, on peut la voir ?
D : Oui, parlez lui, elle a besoin qu’on lui parle, qu’on la réconforte.mais ne la fatiguez pas et restez calmes…
Tom entra, suivi de Nathalie et de Bill .
Il s’assit auprès d’elle, les larmes aux yeux, prit sa main glacée, l’embrassa, doucement, avec adoration, il caressa ses cheveux étalés sur l’oreiller, tremblant.
T ; Je t’en supplie, Sianna, il faut que tu t’en sortes, je t’aime tellement, je , je ne supporterai pas de te perdre, Sianna, je t’en prie, reste, reste avec nous.
Tom se tut, étouffé de sanglots, laissant couler ses larmes sur sa main, qu’il ne lâchait pas
Nathalie, lui prit doucement l’autre main, et lui parla de sa voix douce, apaisante.
N : Bats toi ma douce, on t’aime, on est tous là autour de toi, je t’ai aménagé une chambre a la maison, tu pourras rester autant de temps que tu voudras, avec nous, et si tu veux partir, être indépendante, je te laisserai mon apparement’, maintenant, je vis avec Bill, s’il te plaît, reste, pour connaître notre futur petit ange, on a besoin de toi avec nous, on t’aime.
B : Reste avec nous poupette, reste, je t’en prie.
Cela dura pendant deux jours, deux jours durant lesquels, un combat était mené dans ce corps que la mort menaçait d’enlevait et dont la vie refusait de s’échapper.
Tom dormit avec elle la nuit, la veillait tout le jour, en compagnie de Nathalie et de Bill.
Le médecin venait tous les jours, contrôlant son étât de santé, des infirmières passaient toutes les demi heurs cela rendait Tom fou, q’on la pique, qu’on verse des produits dans son corps, qu’on touche a sa bien aimée, alors que lui ne pouvait rien faire.

zuiteeee
elle va vivre je le sens !!

Enfin, deux jours plus tard le médecin déclara.
D : On va la débrancher, elle peut respirer seule, et on va la laisser tout doucement se reveiller, elle n’est pas tout a fait hors de danger, mais elle est en très bonne voie, ménagez la, son état est encore précaire et elle est exténuée…
T ; Merci, merci, on va rester, pour va voir, se reveiller.
N : Elle est presque sauvée, c’est fantastique, on va la dorloter, et elle se remettra.
B : On va gagner.
D : Vous êtes de la famille ? Elle est très bien entourée.
Si ils étaient de la famille ? Oui, ils étaient devenu sa famille, ils l’aimaient.
T : Oui, on est de sa famille, on l’aime comme tel.
D : Ses parents ?
N : On ne sait pas, on ne sait rien d’eux, on sait juste qu’on la connaissait et qu’on l’aime et qu’on veut la sortir de là, elle a sa place a la maison.
D / Très bien…
Il partit, les laissant tous les trois, avec Sianna et l’infirmière qui la débrancha, tout le monde retint son souffle, elle respirait, seule ;
T / Elle respire, regardez, elle respire.
Il se précipita a son chevet prit tout doucement cette main qu’il n’avait presque pas lâchée depuis deux jours et deux nuits.
Elle était là, endormie, sous leurs yeux, elle était en sursis, mais elle s’accrochait a la vie, et son cœur battait, timidement, mais il battait, Tom posa sa main a elle, seur son propre coeur cœur, pour qu’elle sente la vie battre en lui, pour que son cœur s’accroche, parce qu’il se sentait tellement impuissant et frustré.
A force de lutter contre le sommeil a son chevet, il s’endormit.
Bill et Nathalie les laissèrent un moment, en mettant un mot a Tom comme quoi ils étaient en bas.
N : Elle est forte, elle va s’en sortir
B : On fera tout pour ça.
Elle frémit, il posa sa main, elle ne devait pas savoir, qu’il l’aimait, qu’il tremblait commme un fou pour elle, qu’il aurait donné sa vie pour qu’elle s’en sorte.
Il la veilla ainsi pendant une semaine encore ; Nathalie était souvent a ses côtés, elle était un peu égarée, avoir failli perdre la jeune fille avait été un déchirement a la hauteur de celui qu’elle aurait ressenti pour Bill, elle dormait mal, et avait l’estomac noué, et son cœur au contact de sa peau redevenue chaude battait tout rompre.Mais elle dissimulait ce trouble, elle était a Tom, a Tom…

oui oui elle est a tom !!!!!!!
mdr pas nathalie !!
toooooom
mdr
allez elle se réveille ou quoi ? mdr
zuiiiiteeeeeee

oui oui la suite please ^^

une suite?

Enfin, le grand jour arriva, il était tant de permettre a la belle de sortir de son sommeil artificiel…
Une infirmière entra, défit ses pansements au visage, Nathalie fit sa toilette et la maquilla légèrement, puis on ôta la pefusion…Chacu retint son souffle derrière la porte, tandis que Tom restait dans la chambre…
Elle ouvrit les yeux, lentement, le cœur de Tom fit un bond, ces yeux, qu’il aimait tant, qu’il avait décidé de libérer.
Elle regarda autour d’elle, arrêta ses yeux sur Tom.
S : Tom …
T : Chut, tu es encore fragile.
Il s’assit près d’elle et prit sa main.
T :C’est fini, tu ne risques plus rien, tu es libre repose toi.
S : Merci Tom, je ne mérite pas tout ce que tu as fait pour moi je sais que je t’ai brisé le cœur.
Elle s’apprêtait, a tout lui dire, lui dire qu’elle avait fait tout ça pour le protéger.
T : Mais, tu m’as porté bonheur Sianna.
S : Tom….
T / j’ai rencontré quelqu’un, une fille fantastique, et je l’aime, on s’aime.
Comment pouvait il savoir ?Bill ou Nathalie avaient ils parlé ?
T ; Elle s’appelle Imke, on s’est rencontrés a la cérémonie, on va officialiser notre relation bientôt, j’ai eu un coup de foudre, j’avais jamais aimé comme ça.
Tom baissa les yeux, dissimulant l’amour qu’il lui portait pour lui mentir a ce point.
Sianna sentit son âme se briser, elle ne voulait plus vivre, pourquoi ? pourquoi vivre sans lui ? C’était pour lui, qu’elle voulait vivre.
S / Je suis heureuse pour toi, tu vaux mieux qu’une petite traînée comme moi.
T : TU es une femme libre, je te respecterai toujours.
Nathalie et Bill arrivèrent, il embrassa sa main et sortit pour les laisser parler.
T : Je lui ai menti, ne me trahissaient pas, je veux qu’elle soit libre.Je l’aime .
Ils entrèrent catastrophés, mon dieu, elle devait souffrir, elle était si amoureuse, elle voulait s’en sortir pour lui.Qu’avait il fait ?
Elle était étrangement calme, pâle, si pâle, sa lèvres avait dégonflé et ses bleus laissaient encore des traces violacées autour de son cou, sur ses bras, ses jambes, son dos, son poignet avait été fracturé , en se potégeant, on avait prélevé son sang pour l’analyser, on analysait également le sang de ses bourreaux, pour savoir, savoir si elle était contaminée par le sida, mais cela n’avait plus d’importance pour elle, car elle avait renoncé a sa raison de vivre.
Elle tourna les yeux vers eux, et sourit faiblement, son regard semblait mort, la flamme dans ses yeux éteinte.
N / Ma douce…
Elle lui prit la main, doucement et s’asit près d’elle.
S : Je suis contente qu’il ait oublié, qu’il soit heureux.
Bill et Nathalie se regardèrent, incapables de dire un mot.
N : Je ‘t’ai aménagé mon appartement, c’est pas loin de chez nous, je viendrai te voir tous les jours.
B / Tu fais partie de cette famille, ne l’oublie jamais.
Leurs voix étaient étranglées par les sanglots qu’ils cherchaient a refouler, la voir ainsi leur faisait mal.
S : Merci, merci.
Elle les serra dans ses bras. Soudain elle ressentit une douleur violente a la tête, et ette fatigue exéssive la clouait au lit, le médecin arriva, inquiet, pour l’ausculter, il fit signe a une infirmière qui perfusa doucement la jeune fille « pour la soulager »
En fait il s’agissait d’un anesthésique puissant, un anévrisme s’était produit près du cœur et risquat d’exploser a tout moment, provoquant une hémorragie fatale, il fallait inervenir de suite, opération a cœur ouvert…et très très risquée…
Il l’emmenèrent immédiatement au bloc sous les yeux surpris et inquiets de ceux qui veillaient sur elle, une infirmière vint leur expliquer la situation, Nathalie vacilla, Bill la retint, Tom,lui était devenu pâle comme un revenant c’était plus qu’il ne pouvait en supporter, la mort ne cesserait elle donc jamais de planer au dessus de la première femme qui avait fait battre son cœur ? Ils étaient tous sous le choc, effrayés…
Des heures, des heures interminables a attendre dans ce couloir des nouvelles de cette jeune femme, enfin, le médecin sortit, pâle …

oh la suite tu peut pas nous laisser comme ça !!!
la suite please

a mais non elle doit vivre !!
zuiiiiiteeeeeeeee

De retour.
J'ai tout rattrapé, et j'attends la suite

- Quelques minutes de plus et elle quittait ce monde…
T – Co comment vas t’elle ?
D- elle est très affaiblie il faut la ménager, elle a subi des épreuves tellement difficiles, c’est une miraculée …
T – On peut aller la voir ?
D – Attendez son reveil, puis on la mènera dans sa chambre pas plus d’un visiteur a la fois …
Elle était allongée dans ce lit, très pâle, un très large pansement sur la poitrine, dissinulé par sa blouse, un tube l’oxygénait mais elle respirait seule, cette vision brisa le cœur a Tom et a Natalie, ils allèrent la voir, a tour de rôle, lui donner la main, lui parler doucement dans son demi sommeil, elle était épuisée, il lui faudrait un mois encore avant d’espérer pouvoir sortir…
Un mois passa ainsi, les soins, les visites .
Sianna semblait éteinte, même si elle composait pour les rassurer, eux, et Tom.
Tom, lui, souffrait, il lui avait menti par amour, et souffrait , elle allait vivre ailleurs, il ne pourrait plius la serres dans ses bras, la protéger, veiller sur ses nuits.
Nathalie traitait Sianna comme une amie et une sœur, cette tendresse étrange toujours en elle , ce besoin de la protéger, de la prendre dans ses bras, elles partageaient une histoire muette secrète, échangeant des moments de douceur et des baisers dont personne ne saurait jamais rien le regard de Sianna ne s’illuminait qu’en présence de Nathalie…
Sianna sortit de l’hôpital et emménagea dans l’ancien appartement de Nathalie, qui passait beaucoup de temps avec elle, la faisait sortir, la faisait rire, elle était en souffrance, mais les bras, la chaleur de Nathalie la réconfortaient, elle se sentait si bien avec elle, mais elle s’interdisait ces sentiments, Nathalie était la petite amie de Bill, elle ne serait jamais a elle, mêe si elle avait chaque jour envie d’être plus proche d’elle…Elle se sentait coupable de cette histoire d’amour secrète qu’elles vivaient, de ces matins ou elle se réveillait, tellement bien dans les bras de cette femme, qui ne savait plus non plus ou elle en était, entre son amour sans limites pour bill et la passion qu’elle nourrissait pour Sianna.

Nan, bordel. Sianna/ Tom et Nath/bill. pas Nath/bill, Nath/Sianna et Tom/ personne.

Non, non, non. Tom avoue ta connerie et Sianna pareil, merde!

veut la suite please ^^

tokio-hotelfan a écrit:

Nan, bordel. Sianna/ Tom et Nath/bill. pas Nath/bill, Nath/Sianna et Tom/ personne.

Non, non, non. Tom avoue ta connerie et Sianna pareil, merde!

rien à dire de plus !!

Sianna devait faire des analyses une fois par mois pour savoir si elle était atteinte par le sida, pour l’instant, elle ne risquait rien, et demain, elle faisait son dernier test .
Elle était si stressée qui Nathalie se décida la faire venir a la maison dormir pour l’accompagner le lendemain.
Elle l’installa dans la chambre liée a celle de Tom .
Sianna s’allongea, n’arrivant pas a dormir, a côté Tom, lui attendait que le sommeil la gagne pour aller la voir, caresser ses cheveux, admirer son visage aimé.Il jouait sa chanson a elle, et elle sombra doucement dans un demi sommeil.
Il attendit une heure, deux, puis entra doucement et s’assit face a son visage, frappé par un rayon de lune.
Il s’approcha, caressa ses cheveux, respira son parfum, sentant la chaleur de son corps, il l’aimait tellement.
Il s’allongea près d’elle, pour la regarder, la rassurant lors de ses cauchemars, elle criait son nom, a lui, dans son sommeil, lui disait qu’elle l’aimait, qu’elle avait menti.
Il pleura de cet amour qu’il croyait perdu, elle l’aimait, elle avait voulu le protéger, il la serra contre lui et calma ses pleurs.
Puis il alla se recoucher, le cœur léger, demain, il lui dirait tout.
Le lendemain, elle était tellement stressée que Nathalie l’amena dès l’ouverture du laboratoire, puis la promena, dans un mois Sianna serait guérie et pourrait travailler, elle ne voulait pas vivre sur les dommages et intérêts énormes de son bourreau, Nathalie était en train de la former en douce pour qu’elle l’aide sur la tournée , ainsi, elle et Tom, ne seraient plus séparés.Nathalie l’aidait a s’habiller, a se trouver une identité, elle cherchait a dissimuler ses formes harmonieuses avec des vêtements sombres et sans coupe, petit a petit, Nathalie l’aidait a ne pas cacher son corps, a la mettre en valeur, mais dehors, elle portait toujours une veste large, le regard des hommes la gênait, Nathalie comprenait.
N : Viens manger a la maison, reste avec nous, jusqu’aux résultats,dors a la maison ce soir.
S ; ‘accord, merci, merci pour tout.
Elles rentrèrent, Tom les attendait, Bill prit Nathalie par la taille.
B : Ils doivent se parler.
N : D’accord.
Elle l’embrassa et ils les laissèrent seuls.
Sianna était gênée, Tom lui rpit la mai net l’entraîna en haut, dans sa chambre.
T : Sianna, je t’ai veillée, cette nuit, comme toutes celles que tu as passées ici, je t’ai menti, personne ne te remplace, je t’aime, tu as parlé dans ton sommeil, je sais tout Sianna.
S : Tom…
Les larmes coulaient sur ses joues, Tom prit son visage dans ses mains.
T : Je t’aime Sianna, je veux vivre avec toi, je veux t’aimer, si tu veux encore de moi.
S / Je t’aime.
Elle enfouit sonvisage dans son cou, dans la chaleur de ses bras, et pleura, pleura son amour, lui aussi avait les larmes aux yeux.
T : Si tu savais comme j’ai eu peur pour toi, comme j’ai eu peur de te perdre.
*Ils étaient là, dans les bras l’un de l’autre, trop émus pour parler, enfin, enfin, il pouvaient commencer a être heureux.Ils restèrent là un moment, elle, enveloppée par l’odeur et la chaleur du corps de Tom, lui, serrant contre lui cette femme qu’il avait tant désirée, veillée soignée, par laquelle il était tellement attiré, repirant son parfum, caressant ses cheveux, il était si heureux de pouvoir la toucher, la serrer contre lui.

oui mais ...
le suite please ^^

B : A taaable !!!!
S : Ton frère va péter un cable.
T : Les émotions ça creuse.
Ils se regardèrent, il prit son visage entre ses mains et l’embrassa, elle lui rendit son baiser, avec passion.
Ils descendirent tous les deux Main dans la main.
N : ( les larmes aux yeux) Oh enfin !, elle les serra dans ses bras.
Elle piqua presque une crise, a bout de nerfs.
N : Vous, vous êtes les plus grands imbéciles que j’ai jamais rencontré, si je m’écoutais je , je . ;;
Bill passa ses bras autour de sa taille, colla son torse a son dos et embrassa, son cou, puis la retourna et la serra contre lui, et l’embrassa pour la calmer.
B : Ravi de vous voir enfin heureux, calme toi ma chérie, calme toi, chuut.
Un ange passa, enfin, ils passèrent a table, Tom ne lâchait pas Sianna, sa main dans la sienne, il n’osait pas passer son bras autour de sa taille, comme le faisait Bill avec Nathalie, il avait peur que son bonheur s’envole, il voulait y aller en douceur, les hommes l’avaient tellement brutalisée.
B : Gustav est chez katja et Georg …
T : A un rencart, je l’avais jamais vu aussi stréssé, il a l’air amoureux pour de bon.
S : Alors on est heureux…
T / Oui ? on est heureux.
Une heure, deux a parler, a juste savourer l’instant, Bien sûr Sianna avait encore besoin de se désintoxiquer, de savoir ce qui coulait dans ses veines, d’aimer son corps, de se rétablir, mais Tom était prêt a tout pour l’aider, maintenant, il était là, et rien ne les arracherait l’un a l’autre.
Sianna commença a s’assoupir contre Tom.
N : Je connais une demoiselle qui a besoin de sommeil.
Tom l’allongea sur le canapé, puis ils rangèrent la cuisine et Tom reveilla sa bien aimée.
T : Sianna, ma chérie, viens, on va aller se doucher et se coucher d’accord ?
Elle ouvrit les yeux, et ils montèrent, Sianna se lava, puis Tom, et ils se rejoignirent dans la chambre de Tom.
T : Sianna, si tu ne veux pas dormir avec moi, si tu n’es pas prête tu peux dormir a côté, je comprendrais si tu as besoin de temps, si tu as peur de dormir avec un homme, j’ai tout le temps Sianna, ne te force pas, tu as tellement souffert.
Elle vint se blottir dans ses bras.
S / Je veux dormir avec toi, Tom, je veux dormir dans tes bras, j’ai besoin de toi Tom, je t’aime, j’ai besoin de tout oublier dans tes bras.
T : Alors viens faire un gros dodo dans mes bras.
Elle s’allongea sur le dos, tom a côté d’elle, sur le flanc, la regardait, elle lui sourit, s’empara de sa nuque et l’embrassa, tendrement, passionément, il posa sa main sur sa taille transporté par ce baiser.Sentir ses lèvres, si douces, si chaudes, sur les siennes, sa langue demanda l’accès a sa bouche, il le lui accorda, puis de longues minutes plus tard, ils se détachèrent.
T : waouh ! on m’avait jamais embrassé comme ça avant.
S : c’est bon , un baiser d’amour, c’est bon d’êtee là, dans tes bras. Je sais que ça ne suffit pas…
T / Je sais que tu as besoin de temps, pour aller plus loin, pour que ton corps accepte mes mains, on ira doucement, on attendra le bon moment pour faire l’amour.
S : J’ai tellement dechance de t’avoir, Tom.
T ; je suis si heureux de t’avoir retrouvée Sianna.
S Tom, il faut que je t’avoue quelque chose…

révélation ?
zuiiiiiteeeeee