[T.] Incroyable.... Mais vrai. Eh mxrde.

Rome, Varsovie, Moscou, midi, heures locales

Agnese l’italienne, Liwia, la polonaise et Brygida la polonaise


Personne ne me l'a fait remarquer -__________-
Elle est RUSSE Brygida xDDD
Fin OSEF.
je prépare la suite (-:

Excusez moi si c'est nul >< j'essaie de mettre une ambiance sombre et du suspense, mais dites moi ou ça foire et je me corrigerai !

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Chapitre 2.

Question de vie ou de mort, j’ouvris les yeux -péniblement- et je me dirigeai tant bien que mal vers la porte. Enfin, je recouvrai la vue. Et ce que je vis me glaça. Cinq hommes armés, dix prisonniers. Toute tentative de fuite était d’ores et déjà mal barrée. A propos des prisonniers, je les découvrais pleurant pour quelques-uns, tremblant pour la plupart, amochés pour tous. Trois jeunes hommes avaient été redressés par des armoires à glaces. Ils les maintenaient fermement, jusqu’alors. Et moi je me sentais pâlir à vue d’œil. Je me tâtai le visage, histoire de savoir si, moi aussi, j’avais reçu des coups, mais je sentais mon nez, mes lèvres, mes chev…

Jusqu’à ce qu’on me tire violemment par le bras.

- Toi, derrière lui !

Et c’est là que je vis mes compagnons d’infortune pour la première fois. La première fille que je vis était grande, de type scandinave, et elle aurait pu être top-modèle si elle n’avait pas eu un look si… sombre. Elle avait les yeux gris éteints sous des mèches de cheveux noirs. L’autre était plutôt petite, je lui donnais treize, quatorze ans, en fait. Elle était ronde, mais avait un magnifique visage, étonnamment fin, encadré de cascades de boucles blondes et illuminé par de grands yeux bleus. Enfin, la dernière était élancée, l’allure sportive. Elle arborait un carré brun méchés de blond et ses yeux verts lançaient des éclairs (un peu dans le genre Alice, de Twilight !).

Mais ce qui me surpris le plus, ce furent les garçons. Tous des célébrités, avec une exception. Cinq des jeunes hommes les plus convoités de cette planète se retrouvés enchaînés avec nous. Au palmarès : Bill et Tom Kaulitz, ainsi que Georg Listing, de Tokio Hotel, le Nicolas Duvauchelle de Hell, j’en aurais mis ma main au feu, même sans voir ses tatouages, et un autre qui avait l’air de tomber des nues de se voir là : Alex Evans, mannequin canadien. L’autre était un grand brun, l’air arrogant, décalé par rapport à la situation avec son costume-cravate trois pièces.

Je me retrouvai derrière Nicolas. En deuxième position. Je n’osai pas me tourner pour voir si les autres suivaient et, de toute façon, abasourdie d’une telle faune carcérale, je ne pipai mot. Les geôliers étaient désormais de chaque côté, nous encadrant, nous contrôlant, et surtout, nous surveillant. Ma main gauche était liée à la droite de Nicolas par des menottes d’acier, comme dans les gros films policiers de mon enfance, ma droite avec la gauche de la troisième personne. Dont je ne distinguais que les ongles noirs.

J’entendis au loin une porte claquer. Des bruits de pas. Vu le soudain air sérieux des soldats habillés de cuir noir et l'ambiance glaciale qui venait de tomber comme une chape de plomb sur notre prison, ça devait être quelqu’un d’important, car les voilà au garde-à-vous. On fit ouvrir la porte, digne d’un coffre fort…

P'tin j'adore.
Mais ouais y à trop de suspens ><

Suite stp, veux tout savoir xD

chuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiittttteeeeeeeeeeee

Bouuuuh, j'ai pas le temps de lire maintenant, je fairais ça demain matin. Hell, tu viens de Lille aussi ?
Bon aller, suite quand même va !

*va s'évanouir*

OMFG.

Mais comment c'est trop bien.
J'adore ces ambiances là.
Et l'originalité quoi.

Pouah, j'suis déjà accro la tu vois.

Suite Hell. =D

L’homme était grand, sale, avait un grand manteau de cuir, des chaussures luisantes la petite trentaine, et pourtant, de longs cheveux blancs qui avaient bien besoin d’un shampooing…

- Où est-elle ? tonna-t-il d’une voix caverneuse.

Il eut vite fait de balayer la « foule » avant de s’arrêter… sur moi ! Mon sang ne fit qu’un tour et je me sentis déglutir. Mes yeux mêmes s’étaient arrêtés de cligner. C’était à peine si j’osais respirer.

- Là, mon seigneur, répondit pourtant un homme en noir.

- Bien.

Et là-dessus, il fit volte-face et sortit de la pièce. Un coup de fouet claqua, contre le mur, heureusement. C’était le signal du départ. Mais je n’entendais les « avancez » « plus vite que ça ! » et autres remontrances que d’une oreille, ailleurs, comme plongée dans un rêve, ou dans une bassine d’eau qui me rendait hermétique à toute tentative de communication. Encore une fois : pourquoi moi ? Je n’ai rien fait de spécial dans ma vie, ma mère n’a jamais voulu m’inscrire à des concours de mannequins, je ne chante pas assez mal pour passer à la Nouvelle Star et je n’ai pas inventé la bombe nucléaire. Qu’est-ce que je fichais ici ? Et pourquoi ce type attachait-il une importance telle à me savoir là ? Si quelqu’un répond « pour tes beaux yeux, bébé », je l’étrangle.

Mais je me ressaisis quand nous passâmes dans le « boyau » suivant. J’avais en fait l’impression d’être entrée dans une boîte de conserve. Tout était de métal et de clous, et chacun de nos pas faisait sonner un « clong ! » retentissant. Pourtant, la structure ne semblait pas aussi solide que ça… ça semblait même… provisoire. J’étais sûre qu’un bon coup de poing ferait une bosse. Mais je n’allais pas m’y aventurer ! La phrase « un mouvement et je tire » tournait en boucle dans ma tête.

Ce couloir débouchait sur une entrée. Une entrée circulaire, dans un petit espace cyclique renfermé. Je creusai dans ma mémoire pour me souvenir où j’avais déjà vu une telle embouchure… ça remontait à mes vacances de l’année précédente, avec des amis de mes parents et eux-mêmes… Oui ! Nous étions allés à Saint Malo, et ça, c’est le sas d’un sous-marin !

- On monte dans un sous-marin ? ne pus-je m’empêcher de m’écrier.

- Ou pas. Avance !

Ok, au moins, on ne m’a pas dit de la fermer. Je pense que je dois ça au grand homme de tout à l’heure. Je pourrais l’en remercier… s’il ne m’avait pas KIDNAPPEE. Je regardai avec effarement un des hommes en noir. Il avait ramassé mon sac, que j’avais dû lâcher quand on m’avait menottée. Eh bien une armoire à glace, avec un sac rose, et qui joue à Tic Tac Toe sur un iPhone, je peux vous assurer que ça perd toute crédibilité. Mais je ne dis rien -cette fois- considérant que c’était déjà pas mal d’avoir mon sac avec moi. Bien que légèrement rabrouée, je n’en demeurais pas moins claustrophobe ! J’entrai avec appréhension. De toute façon, je n’avais pas le choix, Nicolas était déjà dedans. Il avait l’air assommé. Complètement stone. Ils avaient dû le droguer…

Purée, comment j'aime.

Une suite. x)

waaaaaaaaaaaaaaa
suittteeee miiss!!

Surprise =P

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Chapitre 3.

Nous voilà désormais dans une sorte de salle des machines. La lourde porte s'est refermée dans mon dos et je pense que nous n'allons pas tarder à avoir les oreilles bouchées...

- MISE A L'EAU !

- VITE !!

- QUAI A TRIBORD vire de trente degrés est !

Et sous mes yeux équarquillés, le hublot montra l'eau. Nous coulions. Au sens "nous nous enfoncions dans l'eau à bord d'un sous-marin, nous, kidnappés d'un fou pour on ne sait quelle raison, nous qui avions pour destination le fond de l'océan", pas au sens Titanic "on coule, on s'aime, on meurt".

Enfin... je ne crois pas. Une bouffée d'angoisse me submergea soudainement. Et si son but était tout simplement de nous lâcher tous, comme ça, à mille lieues sous les mers ? Ah, il avait un but... Scientifique ? Peut-être voulait-il mesurer, en fonction de la taille et de la masse de chacun, la vitesse que mettait un cadavre à remonter à la surface ?? Je me mis haleter jusqu'à ce que je sente un truc pointu dans mon dos.

- On se calme.

Je hochai la tête, len-te-ment et l'homme en noir se recula. Une des filles sursauta lorsque celui-ci frappa dans ses mains.

- Bien, asseyez-vous.

Suivant ses gestes sans broncher, nous nous mîmes en rang d'oignon contre la paroi du fond, avant de nous asseoir par terre. Le métal était froid, un peu mouillé aussi, et je sentis peu à peu mes fesses se tremper. La pièce était désormais toute calme. Nous étions assis, eux étaient debouts, postés tout autour à un mètre les uns des autres. Comme si nous allions nous échapper ! Et on allait faire quoi ? Ouvrir la porte ?

Résignée à mon triste sort, je laissai aller ma tête contre le mur.

- Hey, faut pas pleurer, me chuchota ma voisine, cognant doucement son genou contre le mien.

Je me redressai pour lui sourire et murmurai en réponse :

- Je ne pleure pas, ne t'inquiète pas. Je me pose plein de questions.

La brunette aux yeux mutins de tout à l'heure avait laissé la place à une jeune femme aux traits tirés, marqués par l'inquiétude. Elle partageait donc mes craintes et ne savait pas plus que moi ce qu'elle faisait là... Un coup d'oeil aux gardes pour s'assurer qu'ils n'allaient pas nous canarder soudainement, mais non. Apparemment, nous avions le droit de parler...

- Moi aussi.