[T] Kein Zurück - I

Bill mérite vraiment des claques. Il va finir par se retrouver tout seul s'il continue.
Pauvre Gustav. Etre blessé à cause de la diva.
Heureusement que Tom est là.

Suite!!!!!!!!!!!!!

Le pauv' Gustav avec sa main =/
Il a bien raison de réagir comme ça !

Han Gustav me fait tellement de peine!!!

Tom qui est compréhensif, j'adore.

Bill mérite a nouveau des claques, j'ai l'impression que la discussion ou il est vulnérable d'il y a quelques chapitres est bien loin du Bill la diva...

A force d'être comme Ca, il va créer la perte de tous.

Suite!

Haan Pauvre Gus ='(
Je Peux Frapper Bill ?
'Tin Tom Est Gentil, Ca Me Perturbe >_<'

Bon Suite x)
Vu Que T'as Pleins D'idées
xD

Bill est un égoiste de première! Pauvre Gus, ça ne doit vraiment pas être façile de voir ses "amis" ce détruire et de ne pouvoir rien faire... Au moin Tom est là!
Suite... ^^

Merci, j'adore ta fic^^
Hey oui, j'ai tout rattrapé et je demande la suiteuuu! lol!

OUIII YA MOI MOI MOI !! REGARDE JE SUIS LA !! *Saute Pour Qu'on Me Voit Du Haut De Mon 1m55*

I'M HERE !!!!!!!!!!!!!!

Ah !! Enfin le Bill que je voulais. C'est trop mignon cette suite. Et qu'est-ce que j'aime la façon dont s'est écrit. On se croirait être avec eux (comme d'hab quoi XD)

Suite!!!!!!!!!!!!!

Haan Mon Dieu Il Est Trop Bien Ce Chapitre *O*
Les Deux Frères Sont Trop Mignons *O*
Et Ils M'ont Fait Rire Aussi xD

J'adore J'adore J'adore *O*

Vivement La Suite

sssssuiiteeeeeuuuhhh!

Ah enfin un Bill un peu humain, Ca fait du bien de voir ca .

La connexion qu'il y a entre les deux frères est complètement folle. C'est trop beau!

Mais Gustav a raison de poser cette question...

Suite!

Ah bon? Cindy, jpensais que t'avais tout lu ^^

Bon alors BONJOUR LECTRICES !
Juste pour vous prévenir, la suite c'est à priori pas tout de suite. Sur l'autre, ça fait encore plus de temps que j'ai pas posté, mais j'ai pas vraiment le temps d'écrire en ce moment, désolée.
C'est une mauvaise passade, mais no worries, je n'abandonnerai pas Kein Zurück !

Bonsoir !
Alors j'ai ce qui s'appelle "une bonne nouvelle".
Enfin, en français courant, ça s'appelle une suite, mais pour moi, c'est "une bonne nouvelle", parce que j'ai ENFIN eu suffisemment de TEMPS pour écrire un truc (minuscule).
So je vous poste ça bientôt, si ça vous chante de partager ma bonne nouvelle

Ps: Par contre elle est encore très inutile pour l'histoire, mais ça devrait s'accélerer dès la prochaine... la fin est proche, mes amis

JE VEUX LA SUITE, JE VEUX LA SUITE !!

Voilà, Maintenant Tu Peux Poster (A) xD

KAPITEL VIERUNDZWANZIG　: WIR STERBEN NIEMALS AUS

- Les mecs, on est en VACANCES!

Affalé sur le fauteuil, Tom lève sa paume encore moite vers Georg qui lui en tape cinq. Bill vient s’asseoir sur la hanse du fauteuil de son frère, sa bouche collée au goulot d’une bouteille d’eau qu’il se descend d’un trait. Il reprend un peu son souffle et passe sa main sur son front et dans ses cheveux.

- Bill. Biiiiiill !
- Quoi?
- Tu fous de ta transpiration partout là, c’est dégueu !
- Mais c’est pas grave, on a le même ADN, Tomi, répond-t-il insolemment.

Il se lève, s’essuie théâtralement le front, regarde le bout de ses doigts et les essuie avec un grand sourire sur la joue de Tom qui n’a rien vu venir.

- Beuuuuuuurk !

Il se lève d’un bond et se rue sur Bill qui a eu le temps d’aller se mettre à l’abri de l’autre côté de la table, le visage fendu en un grand sourire. Tom part à gauche, Bill part à droite, et rit de plus belle quand Tom essaie d’escalader la table avec son baggy trop grand. Bill éclate de rire et passe à côté de moi, m’éclaboussant de gouttelettes.

- Mets des baggy moins grands, t’iras plus vite !
- Et toi, mets des talons moins hauts, ça peut aider aussi, dis-je en le saisissant par la taille.

Il se fige, pris de surprise, et réalise que je le soulève à vingt centimètres du sol, et que son frère se rapproche dangereusement, un sourire diabolique au coin des lèvres.

- Gustav lâche-moi, lâche-moi, lâche-moi !
- Tu entends, Georg ? on dirait presque de la panique dans sa voix.

Georg éclate de rire et je repose Bill au sol qui fait un dérapage pour échapper à Tom. Il se précipite vers la porte de sortie de la loge, suivi de près par son frère, et on entend au loin un cri strident mêlé à un cri de victoire.

- Il l’a eu, conclus-je.
- Yep. Tom gagne toujours, répond Georg.
- Mouais. Il est quelle heure　?
- Presque minuit. Faut qu’on se magne, on décolle à deux heures. Et demain, on est chez nous.

Un silence. On imagine tous les deux notre maison, nos parents, toute notre famille avec qui on va passer le réveillon demain soir. Et puis ensuite, le nouvel an, rien que tous les quatre, chez les jumeaux. Une bonne douche, et en route pour la maison.


Hambourg est magnifique, toute couverte de blanc. Il fait déjà nuit, et les décorations de Noël sont allumées partout dans la ville. Le lac est gelé, il brille sous les lumières des ampoules. Il fait froid, mais que serait un hiver sans neige　? On est tous d’accord que Noël et le nouvel an, ça doit se fêter dans le froid, en famille. "　Mais me barrer aux Maldives dès le premier de l’an, je ne suis pas contre non plus　", ajouterait Tom. Oui, certes.
Je ris en constatant que Tom a bien soigneusement rangé son Audi dans le garage, et qu’il a certainement lui-même également rangé celle de son frère. Je me souviendrai toujours de la tête de Bill lorsque Tom lui a offert la toute dernière voiture… ni celle de Tom lorsqu’il a fini par comprendre que Bill s’en fichait plus ou moins, des voitures. Le seul véhicule garé dans l’allée est la voiture de Georg, dont le capot bleu nuit brûlant tranche avec l’atmosphère enneigée. Je m’arrête à côté d’elle et coupe le contact. Dans le coffre, je prends le gâteau, les cadeaux et les bouteilles de champagne, et, les bras chargés, bénis Tom qui a ouvert la porte, m’épargnant ainsi une casse-tête pour savoir comment sonner à la porte.

- Hey mec, me salut-il en me déchargeant du gâteau. Viens, entre.

L’appartement des jumeaux est exactement à leur image. Il est extravagant et la déco est assez chargée, mais le tout forme malgré tout un ensemble totalement harmonieux, entre modernité et futurisme. L’odeur est aussi typique　: ça sent la laque, le maquillage, le déo, la clope, et les chiens. Sans oublier une petite touche acidulée due aux paquets de bonbons vide éparpillés un peu partout dans la maison. Ils refusent catégoriquement d’engager une femme de ménage, ils n’ont confiance en personne. Mais du coup, c’est pas forcément toujours super bien rangé. Surtout chez Tom. On dirait que ce soir, ils ont quand même fait un effort. La table est mise, et la petite table est couverte de choses et d’autres. Bill est assis dans son fauteuil, face au canapé d’où dépassent trois têtes. Et je ne comprends pas.

- Ah Gustav est là　! s’exclame Bill avec un grand sourire lorsqu’il me voit.

Il se lève, et je ne peux m’empêcher de retenir mon souffle en le voyant en entier. On dirait que ses jambes se sont encore allongées, moulées dans ces jeans bleu nuit. Il porte un pull noir légèrement transparent et une veste cintrée couleur crème. Ses chevilles sont habilement relevées dans des bottes noir, et une multitude d’accessoires achève le tout. Ce qui fait que Bill est si fascinant dans chacune de ses tenues, c’est sans doute parce qu’il sait trouver le détail que personne ne verra et qui pourtant change tout. Et si personne ne se lasse de le regarder, c’est parce qu’on trouvera toujours quelque chose qui avait échappé à notre regard. Et son regard, justement… Son maquillage est indescriptible. Je ne saurais dire si c’est le noir ou l’ocre qui domine, c’est un mélange des deux, et de quelque chose d’autre. Il faut que j’envisage de me ressaisir. Cela fait bien plusieurs secondes que je suis figé, comme ça, et je crois que je manque d’air. Bill écarte les bras et me fait une accolade chaleureuse, puis prend les deux bouteilles qu’il pose sur la petite table à côté des… un, deux… six verres. Georg se lève du canapé, suivi de Julian et Andreas.

- Surprise ! fait Tom qui nous a rejoint.
- Vous auriez pu me dire qu’on serait six　!
- Quel intérêt ? demande Julian avec un regard malicieux. J’adore te faire des surprises, cousin. Tu m’as manqué depuis la semaine dernière.
- J’imagine, oui. Hey Andreas, ça me fait plaisir de te voir!
- Yep, ça faisait longtemps, ajoute-t-il en souriant.
- Bon, eh bien puisque tout le monde est là, je propose qu’on commence　! lance Bill, enthousiaste, s’emparant déjà d’une bouteille.
- Heu ouais, attends, passe-moi ça, dit Tom, tu vas pas y arriver avec tes ongles. Laisse faire le pro. Ces doigts font des merveilles, tu le sais bien.
- Tom, pas ce soir, soupire Georg, réprimant un sourire.
- Ce n’est pas ma faute si j’éclate toujours par ma supériorité, s’entête le guitariste. Tiens, la voilà ta bouteille.
- Voilà, on va dire ça, répond Bill en prenant le champagne. Allez, venez vous asseoir !


- Trois… deux… un… PROST NEUES JAHR　!

Nous sommes en cercle tous les six, serrés dans une étreinte presque fraternelle. Je me souviens d’avoir entendu quelqu’un dire une fois que les personnes avec qui on commence l’année sont celles avec qui on la termine. Depuis que Tokio Hotel est connu, nous avons toujours passé le nouvel an ensemble. C’est une de nos traditions, sans doute un peu naïves, mais qui nous permettent de garder l’équilibre et la confiance en l’avenir. Nous levons nos coupes à nous, à nos fans, à tous ceux qui nous sont chers… et espérons recommencer l’année prochaine, et les cent mille ans à venir. Parce que tant que ce sera le cas, nous ne mourrons jamais.