[T] Une erreur peut en cacher une autre.

On est ce soir... ya personne :'(... pas de suite.

fan-de-bill-15 a écrit:

pralinette.....
t'as des problèmes de mémoire?

euh oui mais ça n'a duré qu'un jour^^
enfin c'est compliqué^^

MOI JE SUIS LA!!!!!!!!! ET JE VEUX LA SUITE!!!

MOI JE SUIS LA!!!!!!!!! ET JE VEUX LA SUITE!!!

moi je suis là et vous m'enervez parce que vous m'accusez de jamais mettre de suites alors que j'en mets plus que vous!

alors une suite?

blue copitateuz!!!!!!^^

allez la suite pliiiiizzz

hihihihihihiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii




chuite?













































nan?








































































meuh c'est pas une question!!







































































je rigoleuh





























































































mais j'en veux quand même une! xD

Me fait trop marrer ton com fan-de-bill-15 xD

mdrrrr
allez suite plizzz

LA SUITE BORDAL DE NOUILLE PAS FRAICHE !!!!!


ouiii c'est moi sweety !!! hiiiii xD

et je sui là (wen du bist .... ) ^^ et je veux la suite !!! héhé ! XD (ca c'est au cas ou CLARANA aurait pas COMPRI !)


scrogneugneu de nom dune pipe en bois !!!!! è.é




cheu taime

vii : la suiteuh sitoplé!!

Pour Pralinette, bluefairy, sweety, fdb15, miis-fraizouille, sister d'enfer...
pour toutes mes supers lectrices qui lisent ma fic ^^

Je m’adosse au mur de brique qui ferme l’impasse et laisse échapper un sanglot qui brise le silence de la ruelle, silence tout à fait relatif à cause des cris et des rires du groupe de jeunes bourrés.
[...]

Un crissement me sort de mes pensées, tout à coup les cris cessent, et je sens un affolement général. J’entends une sirène : ce sont des flics ! Les jeunes courent, crient, j’entends des bruits de bagarre.
Une fille déboule en courant dans la ruelle où je suis, elle me fonce dessus, je vais me la prendre de plein fouet !
Elle dévie sa trajectoire au dernier moment et m’agrippe le bras au passage, m’entraînant dans un soupirail lugubre et humide. Nous courons à travers ce dédale pendant plusieurs mètres.
Je ne sais même pas pourquoi je la suis, mais maintenant il est trop tard, je ne peux plus m’arrêter, sinon je me perds.
Elle s’arrête enfin, tout d’un coup, et se laisse tomber contre la paroi du souterrain, essoufflée.
Je n‘en mène pas large non plus.
Une immense douleur me contracte le ventre. Mon cœur accélère d’un coup ses battements : mon bébé ! Je ne peux pas le perdre maintenant ! Mais c’est vrai qu’il a du être sacrément secoué le pauvre...
Je m’appuie contre le mur, mes mains entourant mon ventre.
La fille semble peu à peu reprendre son souffle, alors que je suis toujours haletante, cramponnée à mon ventre comme si le presser comme ça allait m’empêcher de perdre le petit être à l’intérieur.
Elle lève vers moi son visage au regard dur. Le regard de quelqu’un qui a grandi trop vite, le regard d’une petite fille aux rêves détruits, le regard d’une femme déçue par la vie, le regard d’une vieille qui n’attend plus rien, sauf peut-être la fin.
En apparence, elle doit avoir à peu près mon âge, mais à l’intérieur je ne saurais dire. C’est comme si 3 générations existaient dans le regard de cette jeune fille qui a trop vécu pour être une enfant et pas assez pour être une femme.
Ses yeux me scrutent, interrogateurs. Je vois dans son attitude qu’elle est sur la défensive. Mais que pourrais-je lui faire, moi, une fille de riche qui n’a jamais manqué de rien, sauf peut-être d’amour ?
Elle ouvre la bouche, hésitant à parler, comme si elle ne savait pas quelle attitude adopter. Les gens ont donc tant de mal à me cerner ?
« - J’avais pas le choix, s’ils te trouvaient, les flics, ils me trouvaient. T’aurais passé un sale quart d’heure. Où est-ce que t’allais à c’t’heure là ? »
Ma raison me crie de lui mentir, mais je n’ai jamais eu beaucoup d’imagination.
Je lui explique donc toute mon histoire : je suis enceinte, je me suis enfuie de chez moi et je ne connais personne qui puisse m’aider, je n’ai pas d’endroit où aller.

en plus ma suite est toute petite en plus elle est nulle en plus je raconte n'importe quoi en plus j'aurais mieux fair de pas la poster

Elle est super cette suite moi je trouve!

Pour personne.
Personne ne mérite qu'une horreur pareille lui soit dédicacée
Et cette merde ne mérite pas d'être dédicacée, elle ferait mieu d'être enterrée, perdue dans l'oublie ou ignorée, comme tant de choses qui le méritent moins.
Alors tout ça n'est qu'une histoire demérite ?
[cherchez pas de signification, moi je n'en vois pas]

Elle n'a pas l'air très choquée par mon histoire, elle doit en avoir croisé des centaines de filles comme moi.
Des filles perdue, des filles sans famille, sans amies, des exclues de la société. Comme moi.
De toute façon si je suis là c'est que je le veux bien, je n'ai qu'à accepter d'avorter pour être tranquille. Mais si j'avorte je ne survivrai pas. Je ne survivrais pas parce que, une fois ma seule chance de m'en sortir disparue, ma vie n'aura plus aucun sens. Et je plongerais dans une dépression, je me laisserais baigner dans la tristesse, dans la déprime. Une tristesse dans laquelle je me noierais, une tristesse qui m'étouffera, un gouffre aux parois lisses, un gouffre profond dont on ne peut remonter.
Pourquoi la vie est-elle si dure ? Pourquoi a-t-il fallu qu'on m'apporte un espoir, un petit espoir stupide auquel je me raccroche, une pauvre espoir que je ne peux plus lâcher, par crainte d'empirer mon état de lassitude ? Je suis donc condamnée à errer dans la rue, comme une SDF, unemoins que rien, une clocharde. Voilà ce que je suis, une clocharde. Etqui plus est qui cherche de la pitier après d'une fille de la rue qui ne peut rien pour moi. Apès tout elle ne vaut rien non plus, elle ne vaut pas plus que moi. Ce n'est qu'une âme esseulée, elle l'a toujours été. Moi j'ai vécu dans un confort tout à fait acceptable, après tout mon père est riche. Alors pourquoi je suis là, avec cette trainée habillée miteusement, dont la mère ne doit être qu'une femme de ménage, à moins qu'elle soit droguée. Moi, une jeune fille, je raconte ma vie à cette moins que rien ? Elle en a trop entendu, j'ai eu un moment de faiblesse, mais tant pis. Je vais me reprendre, je dois lui montrer que nous ne sommes pas du même monde.
Cette petite idiote me dit qu'on est dans "la même galère".
La haine m'envahie, incompréhensible, incontrolable. Elle ose se comparer à moi ?
- La même galère ? Je crois pas non. Toi tu n'est qu'une pauvre fille, tu dois vivre en faisant le trotoire et en volant, et ce depuis ta naissance. Moi, j'ai de l'argent, un toit, tout le confort immaginable. Mon père est à la tête d'une grande entreprise multinationale. Toi tu n'est rien, et tu le resteras toute ta vie. Moi j'ai juste un petit problème, mais je vais m'en sortir, parce que les gens comme moi s'en sortent toujours. Alors ta galère, tu te la gardes moi je n'ai rien en commun avec une traînée.
Je lui lance tout ça avec toute la argne que j'ai.
Pour toute réponse elle me fout un coup de poing en plein ventre. Je tombe à terre. La douleur est intense, immense, elle m'engloutie totalement. Je ne peux pas la contenir, mais je ne peux pas la faire sortir, je ne sais pas.
La douleur s'intensifie encore, alors que je croyais être arrivée au maximum. Elle s'élargie à tout l'abdomen, me compressant le coeur.
Mon petit coeur... à l'intérieur de moi je sens quelque chose se contracter, et je ressens une douleur aigüe dans le bas du ventre.
Mon bébé ! Entre la course et le coup de poing, il a souffert bien plus que beaucoup d'autres avant même d'être né.
Voilà encore une fois une preuve de la cruauté de la vie, même les plus jeunes ne sont pas épargnés.
Cette pauvre fille non plus n'a pas été gatée par la vie, finalement je devrais la plaindre plutôt que de la mépriser. Mais je ne peux m'empêcher de la rabaisser, j'ai besoin de me sentir meilleure. Pourquoi suis-je ainsi rejetée par la vie ?
Le petit coeur du l'être en moi rate un battement.
Il va mourir.
Je suis au sol, et je ne peux pas me relever, la vie m'a mise KO.
Mon bébé est traîné par terre avant même d'être né, mais qu'importe ? Il va sûrement mourir. Et qu'importe mon amour propre puisque je le suivrais ?
Je voudrais mourir tout de suite.
Je n'ai pas envie de me raccrocher à la vie. Je vais couper la corde qui me retient encore, son fil est effilé par les coups de hache nouvellement mis, il ne va pas tarder à lâcher. Alors je vais l'aider.
Ce fil, c'est mon bébé. Il est ma cause de tous mes malheurs pourtant c'est le seul bonheur de ma vie. Enfin plus maintenant. Puisqu'il va mourir.
Je suis au sol, déversant toutes les larmes de mon corps. C'est ainsi que commence la dégradation de mon être.
Les larmes coulent le long de mes joues pour venir s'écraser sur le sol sale du souterrain. Ce souterrain qui sera ma tombe.
La fille est partie sans même un regard, je suis de nouveau seule, seule dans ce monde où personne ne me comprend, où chacun ne s'interesse qu'à lui et agit sans penser aux conséquences sur les autres.
Ce monde où tout est ephemère, où tout peut basculer sans même qu'on s'en rende compte.
Finalement peut-être que mon découragement n'était là avant même que je ne m'en rendre compte.
Peut-être que c'était fini avant même que je le sache.
Je suis envahie par une fatigue immense, je sens peu à peu mon esprit dériver vers les brûmes de l'inconnu et de l'inconscience. Ma dernière pensée allant vers les Tokio Hotel, ce groupe qui a fait partie de ma vie sans y être, ce groupe que j'ai approché de si près, ce groupe qui est en plein essor, brassant autour de lui des millions de groupies incultes, des milliers de groupies prêtes à tout pour un autographe, ces milliards de groupies obnubilées par les jumeaux, par leur beauté, et ne faisant que peu attention à leur musique. Musique qui d'ailleurs n'a pas forcément le niveau pour subjuger autant de monde. Musique jouée par un groupe surmédiatisé, un groupe qui déçoit de plus en plus les adeptes de l'ancien Tokio Hotel. Ces adeptes du début déçus par le changement de style. Ces adeptes déçus par la concentration de groupies au m² dans les concerts. Ces anciens adeptes qui se désintéressent pour ne laisser qu'un public superficiel autant intéressé par la plastique du chanteur que par les textes des chansons.
Comme quoi le monde n'est fait que d'aparences, tout comme ma famille n'était qu'apparence puisque mes parents m'ont laissée tomber à la moindre faille.
Comme quoi on ne peut faire confiance à personne puisque mes parents m'ont déçue et abandonnée.

[qui a dit que c'était dur d'écrire quand on est déprimé ? Sûrement quelqu'un qui se soucie de la qualité de sa fanfic, pas comme moi...]

Je SuiS DéSolée

L'est très bien ta suite je trouve!

clara steuplais dis pas ça!
ça va aller mieux j'te le promet! tu me crois?
on va se battre putain! moi aussi (j'vais essayer^^) t'as vu j'fais un effort! alors stp fais de même te laisse pas tomber dans ce putain de tourbillon. stp fais le pour moi...

suite?

suite?

pourquoi tu reviens pas clara
en plus c'est à cause de moi :'(

Bah pourquoi se serait à cause de toi?
Chuis pas d'accord moi!

bah si c'est à cause de moi

Je pense pas!

bah si je lui avais pas dit ça elle serait revenue aujourd'hui!