[T]33 Kilos d'Espoir...[1er Topic]

Veux une suite

Vivement qu'on ait la suiite

Je t'aime
et je ne t'en veux pas

B'sx
Ta Bouleuz'
<33

aller la souiteeee <3

la suite!!!!!!!!
et oui c'est bien moi^^
TROP BIEN ON SE RETROUVE LOL

Milietrom a écrit:

Nan ma Bouleuz'...je peux pas poster ce soir, gros contrôle de math à préparer pour demain ( ça fait une semaine que je révise alors je vais pas arrêter ce soir, tu comprends...)

Sinon pour te répondre laurene, euh...33Kilos d'espoir, c'est par rapport à une phrase qu'un membre du groupe va sortir à Maria-Eva dans un moment particulier. Fin bref, il va lui sortir ce terme dans sa phrase. C'est vague, je sais, mais vous comprendrez mieux plus tard, quand vous aurez le chapitre où ça se passe devant les yeux (euh...il est assez loin ce chap lol)

Bizzz
Milie

ah ok^^


<3

la suite!!!!!!!!!!!

ONT VEU LA CHOUIITE

suiteeee chui acrooo moiiiii héhé

cilou64 a écrit:

suiteeee chui acrooo moiiiii héhé

T'es une new lectrice toi??? lol

Dsl les filles pour le retard...Internet ne marchait pas parce qu'ils ont fait décoller la fusée Ariane ce soir (eh oui, c'est près de chez moi les lancements ! Enfin, dans la ville à 200km, mais c'est dans mon département quand même lol)

Et donc bah quand ils font décoller un truc comme ça, ils ont besoin d'un max de réseau informatique (et ils doivent le sécuriser pour qu'on ne pirate pas les vols) et c'est pourquoi je n'ai pas pu me connecter plus tôt.

J'arrête mon blabla et je vous tape la suite.
Bizzz
Milie

trop kouleeee

Merci Millie!!!!!!!!!

- Vous allez donc retrouver votre vie d'avant, sans moi, et vous finirez par m'oublier. C'est la meilleure solution pour tout le monde.
Tom la regarda dans les yeux. Elle ne pensait quand même pas vraiment ce qu'elle disait ? Si, elle le pensait. Il soupira.
* Tom, tu es vraiment un gros con, et tu vas tout gâcher.*
Sa conscience n'avait pas tort, même si ce qu'elle disait lui faisait mal au coeur. Il n'avait pas voulu ça à l'origine. Enfin si. Non. Il ne savait plus. Maria-Eva avait semé le trouble dans son esprit, et l'avait amené à se poser des questions sur sa façon de juger le monde.

Il chercha dans les prunelles bleues foncé de la jeune femme le courage de lui parler, et la force de la convaincre.
- Tu sais, commença-t-il, je crois que je ne suis pas doué pour les relations humaines.
Elle lui lança un regard surpris. Où voulait-il en venir?
- J'ai toujours attiré les personnes qui ne m'offriraient rien de bon, et qui me feraient regretter plus tard de les avoir rencontrées. Quant aux personnes qui me soutiennent et qui m'aiment, ou celles qui mériteraient toute mon affection, je ne leur montre pas assez combien elles comptent pour moi. Ou alors, je fais tout de travers, et gâche tout en refusant de les écouter, quand je ne brise pas carrément le contact entre nous. J'agis comme un con, en somme. Mais ce n'est pas de ma faute. Enfin, pas vraiment. J'ai perdu l'envie de faire confiance aux gens.
Il souffla un bon coup. Maria-Eva le regardant, attendant patiemment qu'il finisse sa tirade.
- Il y a bientôt trois ans, je suis allée chez ma petite-amie de l'époque. Comme personne ne répondait, je suis rentrée dans sa chambre. Elle était au lit, avec un autre garçon. Je suis parti, sans lui dire un mot. Depuis, je n'ai plus donné de nouvelles. D'ailleurs, elle ne m'en a pas réclamé.

Il se tut, le regard perdu dans le vague.
- Tu l'aimais vraiment, n'est-ce pas?
Tom eut un petit sourire. Un sourire nostalgique encore plein de tendresse.
- Non. Aimer est un mot trop faible pour décrire ce que je ressentais. Je l'adorais. Mélissa...Elle était mon oxygène, ma boule de lumière quand le monde devenait trop sombre devant moi. Si j'avais dû choisir un jour entre ma carrière de guitariste et une vie à ses côtés, je crois que j'aurai choisi la deuxième proposition. Ma vie, sans elle, ce n'était rien. Une poussière dans l'infinie grandeur de l'univers.
Il baissa le regard.
- Quand je l'ai vue faire l'amour avec un autre homme, quelque chose s'est brisé en moi. Pendant des mois, je n'ai plus eu envie de rien. Plus envie de manger, de rire, de vivre. Si Bill n'était pas là, je crois que j'aurai choisi de prendre le chemin par lequel on ne revient jamais. Les somnifères sont toujours là, dans le tiroir de ma table de chevet. Ils attendent leur heure. Mais je ne pense pas que je m'en servirai. ça serait porter trop d'importance à Mélissa que de mettre fin à mes jours pour elle.

Maria-Eva détourna son regard l'espace d'un instant.
- C'est à cause de cette histoire que tu ne voulais pas voir une fille intégrer ton groupe d'amis d'enfance, n'est-ce pas?
- Je n'y ai jamais sérieusement réfléchi, dit Tom, pensivement. Mais je pense que ça doit être la principale raison, en effet. J'ai eu peur qu'il se reproduise le même schéma qu'avec Mélissa. J'ai eu peur de m'attacher, pour ensuite voir que tout n'était qu'illusion. Et puis surtout, j'ai eu peur que ton arrivée ne signe la fin du groupe. Perdre le groupe, c'est ce qui m'achèverait.
- Je n'ai jamais voulu cela, lui dit Maria-Eva.
- Je le sais, maintenant. Parce que tu veux partir à cause de moi. Mais je ne veux pas qu'on se quitte comme ça, pas dans cet état d'esprit. Reste, et laisse-moi une chance de te prouver que je ne suis pas qu'un imbécile égocentrique complètement con. Laisse-moi te montrer l'autre Tom, celui qui semblait avoir disparu avec la trahison de la fille que j'aimais, mais qui refait surface, peu à peu.

Maria-Eva sourit.
- Pourquoi souris-tu? lui demanda Tom, un peu désemparé.
- Parce que je crois que c'est la première fois que tu me parles autant sans me faire des remarques désagréables...
Tom se mit à sourire lui aussi.
- C'est un grand progrès, dit-il. Et ça ne sera pas le dernier. En tout cas, je l'espère.
Il y eut un court silence.
- J'accepte.
- Tu acceptes quoi?
- De te donner une autre chance. De rester ici, quelques jours de plus.
- Quelques jours, seulement? Parle-moi en mois plutôt, voire en années.
- Qu'allez-vous faire de moi si je reste aussi longtemps? Je n'ai pas le droit théoriquement d'être en Allemagne, mon passeport est périmé dans 4 mois, je n'ai pas de diplôme, pas d'argent, rien pour gagner ma vie. Je ne vais quand même pas vous laisser tout payer pour moi jusqu'à la fin de ma vie !
- Tu trouveras bien quelque chose à faire avec tes dessins, je te fais confiance là-dessus. Et puis ça ne nous ruinerait pas de t'héberger...En plus, tu manges comme un moineau. Ton repas de midi me servirait d'apéro.
- C'est vrai que je ne mange pas beaucoup, dit Maria-Eva avec un sourire. Soit, nous dirons que je vais rester deux semaines avec vous. Pour l'avenir, laissons faire le destin.
- Bien.
Tom regarda l'heure.
- Deux heures du matin. Il serait peut-être temps qu'on aille se coucher, tous les deux.
- Je suis du même avis que toi.
Ils se dirigèrent chacun dans leur chambre. Enfin, Tom dans la sienne et Maria-Eva dans celle de Georg.
- Maria-Eva, dit Tom avant qu'elle ne ferme la porte, je peux te poser une question?
- Vas-y.
- Comment as-tu su? Pour mon histoire avec Mélissa.
- Disons que je pense que les personnes qui se ressemblent peuvent se reconnaître entre elles.
- Toi aussi, tu as été faite cocue? lui demanda-t-il, hésitant à poser cette question.
- Pas exactement. Un très beau jeune homme est venu dans mon orphelinat en attendant d'être transferré dans une famille d'acceuil il y a trois ans de cela. Les garçons de l'orphelinat ne m'aimaient pas. J'étais trop bizarre, trop différente d'eux. Je leur faisais un peu peur aussi, je crois. Ils ont décidé de me faire une vacherie, pour s'amuser. Ils ont dit à Jonas, le garçon nouvellement arrivé, qu'il ne parviendrait jamais à me séduire et à coucher avec moi. Jonas a tenu le pari. J'ai cédé, après deux mois. Je pensais qu'il était sincère, et qu'il voulait vraiment que lui et moi ça dure pour la vie. J'ai vite déchanté quand, une fois passé à l'acte, il est sorti de la chambre en m'avouant tout.
- Le gros salop...
- Non, ce n'était pas un salop. Juste un imbécile qui s'est laissé entraîner par les autres, sans se rendre compte des conséquences que pourraient avoir ses actes. L'histoire aurait pu en rester là, si je n'avais pas appris quelques mois plus tard que j'étais enceinte de lui. Je n'avais pas encore 14 ans, j'étais malade, et faible. Je n'aurais pas pu m'occuper du bébé. Et puis je n'avais pas non plus le courage d'affronter la conséquence de ma naïveté.
Elle soupira.
- Poussée par la directrice de l'orphelinat, qui ne voulait pas que ma grossesse fasse scandale dans l'orphelinat, j'ai avorté. Effacé de la surface de la Terre le petit être qui grandissait dans mon ventre. Mais pas sans être punie.
- Que veux-tu dire par là?
- à 4 mois de grossesse, je n'avais plus le droit d'avorter. Du moins pas légalement. Un médecin grassement payé par la directrice a quand même effectué l'opération. Mais cela c'est mal passé. Je ne sais pas ce que le docteur a bien pu trafiquer quand j'étais endormie. Mais quand je me suis réveillée une semaine plus tard, j'ai appris que c'était fait. L'enfant était mort, et j'avais failli y passer moi aussi, mais j'ai eu de la chance. Enfin, de la chance...Je suis devenue stérile à cause de l'opération. Des caillots de sang se sont formés dans mes trompes. On m'a dit que j'avais une chance sur un million de pouvoir retomber enceinte. La petite fille que je venais de tuer était le seul enfant que j'aurai pu avoir un jour. Et son petit coeur ne battait plus depuis une semaine déjà.
Une larme coula sur sa joue. Tom, dans un élan de tendresse, s'approcha d'elle et lui offrit son épaule, comme elle l'avait fait pour lui. Elle y posa sa tête, ses larmes mouillant le tee-shirt de Tom
- Allons, ne pleure pas. ça va aller. Dis-toi qu'au moins, tu n'auras plus à t'embêter avec des capotes avec ton futur copain, fit Tom.
- C'est tout ce que tu trouves de positif à ce qui m'est arrivé?
- Ben...C'est vachement gênant les capotes. ça me tue le plaisir.
Maria-Eva eut un petit rire. Tom était vraiment incorrigible.

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Aloreuh...dsl pour le retard...j'ai été troublée dans mon écriture par le concert de Manu Chao privé sur Canal+...et puis bah c'était trop beau...mais javais pas eu le temps de finir avant de le regarder, alors j'ai préféré attendre de terminer.

Sinon, vous en pensez quoi de cette longue suite?
Au fait, je vous avais demandé un truc à propos de ce passage. J'étais pas sûre que Tom a vraiment été fait cocu quand il était plus jeune...Mais c'est une rumeur qui circule, alors je voudrai savoir si c'est juste une rumeur ou pas. Pour le prénom, bah j'ai pris ça parce que j'avais vu ce nom dans deux ou trois fics, et ce prénom correspondait donc à la nana qui aurait trompé Tom...ça, je suis pas sûre non plus...vrai prénom ou pas.

Bon, bonne nouvelle pour vous sinon, demain je vais pas à la décharge finalement donc je serai en mesure de vous taper une suite, voire deux.
Par contre je dois préparer la bouffe demain, parce qu'on a des invités à midi. Suites dans l'après-midi, donc.

Bonne nuit tout le monde!
Bizzz
Milie
ps: mel-love2tom, c'est quoi ces manières? Si les lectrices sont reines sur les topics, les auteurs sont dieux ! Alors tu arrêtes tes remarques à la Brice de Nice, sinon je posterai encore moins vite que ce que je fais déjà, na !!! (satisfaction de l'auteur qui vient de créer un chantage...mouahahaha !!!!!! mdr...scusez-moi, mon petit délire avant d'aller me coucher...pardon !!! je n'appliquerai pas ce que j'ai dit...c'était juste pour emmerder mel-love2tom, qui m'a fait bien rire d'ailleurs avec son com, qui contient pas mal de vérité quand même...)

suite!!!!!!!!!!!!!

niaaa chui fan de ta fic *_*


vivement la suite

la suite!!!
c'est vraiment trop bien!!!!

J'adore le dialogue entre Maria-Eva et Tom, il n'est pas aussi imbécile finalement lowl

Suite stp!!!!!

<3333
J'adore toujours autant décidemment.
Une petite suite pour mon anniversaire stp ? :p

Bon anniversaire la miss!!!
La suite!!!