[T] Rêves d'une vie.

suiteuh
te plai^^t

Charlie s'arrête quelques rues plus loin. Elle regarde les deux porte-feuilles qu'elle a glissé dans ses poches. Sa première idée est de voir l'argent qui s'y trouve. Dans le première elle trouve 200 Dollars et dans le second 350 dollars. Elle plit les précieux billets et les glisse dans sa poche de jean. Elle continu de farfouiller dedans. Elle sort les cartes d'identités. Bill et Tom Kaulitz, 18 ans. Elle éclate de rire en pensant à la tête qu'ils feront en comprenant qu'ils ont perdus leurs porte-feuilles. Ses pas la mêne vers la plus grosse rue marchande. Elle fait les étale, toujours aussi discrêtes. Quand le ciel s'assombrit et que son sac commence à être lourd, elle décide de rentrer à l'entrepot.

POur une fois, elle part doucement vers l'entrepot. Sa marche est lente mais toujorus aussi souple. Elle parait défiler, comme si cette rue sale était un podium. En faite, pour elle, s'en est un. La rue est une grande maison de manequinat. C'est elle la chef, c'est elle qui est la plus belle. Non, c'est simplement un rêve de plus. Elle n'est pas la plus belle, elle est simplement jolie. Pourtant, ça ne l'a jamais aider. Elle arrive enfin devant le quartier général. Un homme l'attend. Elle court vers lui, et lui saute dans les bras.

-Steve ! Comment vas-tu ?
-Je vais bien... Bonne journée ?
-Oui, j'ai remplis mon sac, regarde !

Elle enlève son sac et le pose par terre. Avec un grand geste elle l'ouvre et montre ses conquêtes a l'homme. Il acquiesce et la félicite. Avec un sourire plus grand que l'infinie, elle sort les 550 Dollars et les lui tend. Steve arrache les billets de sa fine main. Il regarde l'argent et les empôche. Puis d'une voix raudue il aboit:

-Ou les as-tu trouvés ?
-C'est deux types qui m'ont abordés, je leur ai piquer comme ça sous leur nez.
-C'est bien... C'est bien...
-Dit, Steve, je peux garder leurs porte-feuilles ?
-Oui, bébé, tu peux !
-Merci !!!

Quand Steve lui laisse quelque chose, elle est toujours plus qu'heureuse. Elle le remercie encore et encore. Que ferait-elle sans Steve ? Elle serait si perdu. Elle l'aime tant cette homme. Elle ne serait rien. S'il ne l'avait pas retrouver quand...

-Je veux que tu me ramène de l'argent liquide comme ça !
-Si tu veux ! Ca te ferait plaisir ?
-Oui beaucoup...
-Alors je t'en ramènerais plein !
-Bon, je m'en vais.
-Au revoir.

Elle le regarde partir. Ses yeux s'embuent de larmes invisibles. Elle pleure du vide. Elle aime sans coeur. C'est comme ça, ce sera toujours comme ça. Elle recule lentement et reprend la route de son chez-elle. De son paradis. De sa maison, énorme et magnifique. Elle est heureuse comme elle est.

Alors qu'elle marchait, la tête tournée vers le sol, quelqu'un la percute. Elle se retient à un col de manteau et regarde qui est l'imbécil qui lui a foncer dessus. C'est avec surprise qu'elle reconnait les deux garçons. Elle reste ahurie. Tandis que Bill s'exclame:


-Encore toi ? Mais c'est pas vraie, tu m'aimes ou quoi ?
_Vous me suivez ?
-Non c'est toi qui nous suit...
-Non !

Ils attrapent Charlie puis la trainent dans un square désert. Elle se demande si elle rêve bien que cette question ne se pose pas. Elle rêve toujours sa vie...

_______________
Vous me tuez tous avec vos com's a déglinguer un coeur d'artichaud comme le mien
Merci
(L"

new fan lecteuse ki te suplie davoir une longue suite pr noel et zoyeuxx noel bizouxxx a tt le monde

Merci et Bienvenue tokio girl 3, JOyeux noel a toi aussi n__n

Whoa!!!
It's is very very very beautiful
J'aime tu peux pas savoir
Je veux halluciner de tes illusions

super
la suiteuh
pliiiiiiiiizzzzzzz
jaime de trooooooooop

Bordel, j'adore. Je ne sais plus quoi te dire.

POur la suite...
Faudra patienter je suis...
Pas vraiment dans l'esprit de l'écriture
(chercher pas a comprendre je débloque grave -__- )
Merci pour tout vos com's

J'vous sauhaite quand même (en retard) un joyeux noel
<3

J'vous aime

Merci...
Je ne sais que te dire d'autre
<3

Suite alors

Non.

merde.

Désolée.

Pas grave.

Elle se libère une fois dans le square. Elle aurait pu faire ça tout de suite mais elle n'en voyait pas l'utilité. Oui, Charlie fait que ce qu'elle pense utile. Elle se poste en face des deux frère. Ses yeux passe de l'un à l'autre. Elle ouvre la bouche pour dire quelque chose mais la referme aussi vite. Elle ferme les yeux, une sorte de douleur sur le visage. Peut être à-t-elle mal ? Mais pour quelles raisons alors ? Non, Charlie n'a pas mal, enfin. Pas physiquement. Elle n'a pas peur de la douleur. Elle craint simplement la Vie. Elle ouvre a nouveau les yeux. Elle lève la tête vers les cieux et semble prier. Tom commence à s'énerver. Il lance :

-Bon, pourquoi nous suis-tu ? Tu sais qui nous sommes, n'est ce pas ?!
-Oui, vous êtes Bill et Tom, des jumeaux, non ? Réplique-t-elle
-Tom, calme toi ! Tu nous as déjà vu...
-Dans la rue ? Oui! Le coupe-t-elle

Ils soupirent tous les deux. C'est vrai que Charlie exaspère souvent les gens. C'est dans sa nature et, en plus, elle adore ça. Elle pose un doigt sur le new de Tom et le pousse un peu. Il la regarde, ses yeux croquent ses formes. Elle se retourne vers la sortie du square. Bill l'arrête d'un mot. Un simple "arrête". Elle le fait. Si seulement elle pouvait faire pareil avec sa Vie. Simplement en disant "Arrête". Que tout s'arrête. Non pas qu'elle meurt. Charlie n'est pas suicidaire. Non, elle rêve sa vie, tout simplement.

-Tu viendrais manger avec nous ?
-Pourquoi?
-Je ne sais pas...
-Trouve un argument pour me convaincre, Bill !

Charlie aime être désirée. Elle ne l'a jamais été. Jamais. Alors quand elle peut demander a quelqu'un de remplir ce vide, elle ne se gêne pas. Tom la détaille toujours ce qui provoque du plaisir. Elle lui lance son regard "de biche". Il le lui renvoit. Leurs yeux pétillent. Bill, lui, a surpris cette échange. Ill'ignore et reprend:


-Parce que... Tu as l'air de t'interréssée a mon frère !

Elle éclate d'un rire cristalin. Un de ses rire qui vous hypnotise. Elle ne s'arrête pas avant quelques minutes. Ces minutes de bonheur on redonner quelques couleurs a son visage. Elle parait un peu plus "vivant". Puis, revenant sur ses pas, elle se poste devant Bill et accepte son offre d'un geste de tête. Sans attendre qu'ils réagissent, elle les attrape chacun par une main et se met en route. Ils la suivent, toujours sous le charme. Elle rejête ses cheveux noirs, roses et violet. Puis d'une voix d'enfant, elle minaude:

-Où vas-t-on ?
-Comment tu veux !
-Dans une pizzeria ça vous va ? Demande-t-elle

Qu'ils disent non, aurait eut le même effet. Elle s'arrête devant un porte et les fait entrer. Ils avancent, suivit par Charlie. C'est la première fois qu'elle s'amuse comme ça. Ils se posent, tous les trois, à une table à l'écart. Après avoir commander et reçut leur commande, Charlie les dévisage tout en sirotant un Monaco. Tom demande :

-Que fais-tu dans la vie ?
-Je vis avec... Mes parents. Je suis fille unique, donc je suis un peu gatée mais j'aime ça. Imaginez, l'année dernière je suis partis a Los Angeles pour mon anniv' c'était génial. En plus...

Elle continu ainsi pendant trois bon quart d'heure. Ils ne l'interrompent pas, trop avide. Ils ne comprènent même pas ce qu'ils entendent. Non c'est le son de sa voix qui les ensorcèllent. Elle s'arrête enfin et leur sourit, charmeuse. Elle se lève et lance:

-Je vais vous laissez.
-POurquoi?
-Je ne veux pas vous importuner. Vous voulez surement rentrez chez vous !
-Ca te dit de dormir chez nous pour la nuit ?
-Je ne dérangerais pas ?
-Non !
-Ok! Réplique-t-elle, heureuse
-Téléphone a ta mère!

Elle opine, perdant un peu de couleur. Elle se sauve dehors et sors un portable miteux. Après avoir composer le numéro elle parle. Elle raccroche quand les deux jumeaux sortent de la pizzeria. Ils se dirigent vers un loft. Elle ferme les yeux. La fatigue prend peu à peu le dessus. Elle recommence a rêver un peu plus sa vie.

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Ne me demandez pas pourquoi je poste
Une envie soudaine
Un peu pourris désolée

Non, moi j'adore. Bordel ce que c'est beau.

J'adore =]

jaime
suiteuh
pliiiiizzzzzz

Parce que tu m'as mis les étoiles dans les yeux
Et les étincelles dans le coeur

J'avais l'air béat
Parce que je l'aime
Charlie.

(L)