[T][ Bonus - 115 ] Love Sex Death Passion Fear Obsession. °

alexiia a écrit:

Citation :

=) On va se contenter de ça =)

Quoiii ? Elle était pas longue cette suite ??

T'peux continuer à faire des monologues, c'est chouette d'te lire, en tout cas ^^

J'vous mets une suite dès bientôt =)

Nan, la suite n'était pas assez longue, pour moi en tout cas =)
Ouais, mais j'crois que j'vais arrêter quand même les monologues, j'parle toute seule alors ^^

C'est quand bientôt?? lol
et bonne année à tous!!!!

J'ai hâte de lire la suite...!

Alexiia - a écrit:

Puis merci Willow de t'être donné la peine de tout lire =)

Bin de rien c'est trop bien ta fic !

A quand la suite ? ? ?

Alexiiaaaaaaaaaaaaaa
Où es-tuuuuu ?? xD

j'me suis balladée j'sais pas où, 'puis j'me suis perdue..J'attendais que Bill vienne m'rechercher, mais il est pas venu, alors ben j'suis restée perdue

^^ J'vais essayer d'vous écrire une suite, mais elle s'ra courte, j'ai la flèmme d'aller chercher mes brouillons en haut :p

ho alexia si te plait moi je veux une suiteuh ! =)

J'ai rêvé de Bill.

J'étais en train d'écrire la suite, avec un passage avec les mains de Bill et j'ai eu comme un flash. J'me suis dit "mais j'les ai déjà vraiment vues, ses mains" et puis ça m'est apparu : ses belles mains avec toutes ses bagues, j'les ai vues dans mon rêve.

Wouah ^^ J'vous l'raconte pas, parce que j'm'en souviens plus =)

J'avais enfin trouvé la sortie et passai la porte les larmes aux yeux à la simple pensée de tous ces souvenirs, de l'image de cette brune aux côté de mon Bill. Ben me prit doucement par le bras pour me conduire jusqu'à une voiture. C'était vraiment l'homme parfait, ce Ben, enfin j'veux dire le garde du corps parfait. Il savait exactement ce qu'il devait faire, il savait se montrer attentif sans en être trop proche, vous voyez ce que je veux dire. Il avait même pris l'initiative de me reconduire chez moi, voyant que je n'étais pas en état de me prendre en main.

Il m'ouvrit donc la porte d'un gros van noir. J'entrai dedans sans rien dire et m'assis sur le premier fauteuil. Il ferma la porte sur moi, et ce n'est que lorsqu'il verouilla la porte que je remarquai que je n'étais pas seule dans ce camion miniature. Je sentais des présences, sans oser les regarder, je sentais surtout sa présence, son odeur, sa façon de respirer, là, tout près de moi. A côté de moi, pour être exacte. Paniquée, j'essayai d'ouvrir la porte, en vain. Il l'avait bloquée et il n'y avait pas moyen de l'ouvrir, même en essayant de la déverouillée avec le petit bouton prévu à cet effet.

Je me mis alors à crier, hurler, insulter ce con de Ben qui m'avait amenée dans cette voiture, à maudire le fait que je lui ai trouvé des qualités alors qu'il n'avait fait que m'enfermer en sa compagnie. Et le pire dans tout ça, c'était qu'il était assis juste à côté de moi. Lui, le seul, l'unique. Là, près de moi. Ca m'rendait folle, et j'sentais déjà tout me revenir. Les gazouillis dans le bas du ventre dès que je le frôlais, les frissons quand il posait sa main sur mon bras pour me calmer, le coeur qui bat le record des battements de coeur à la seconde, puis surtout, l'incapacité de bouger. Il avait posé sa main sur mon bras, sa paume contre ma peau, ses doigts se refermant sur mon fin avant-bras. Et il me serrait de plus en plus.

Je ne bougeais plus, ne parlais plus, trop perturbée par ce contact soudain. Je fermai les yeux pour mieux le ressentir, mieux profiter de sa présence et de ces sentiments exquis mais paradoxals qu'il me procurait, et que lui seul savait me procurer. Il ne retira pas sa main, malgré que je me sois calmée. La voiture démarra soudain. Je ne désirais qu'une seule chose : Pouvoir me blottir à nouveaux dans ses bras, me serrer contre lui, et mêler mon corps au sien. Pas faire l'amour, non, juste être avec lui, contre lui, comme avant. Il retira soudain sa main, en caressant au passage mon avant-bras et j'osai enfin tourner les yeux vers lui.

Pas de signe d'Estelle dans la voiture. Il y avait juste Georg et David devant avec nous, Tom et Gustav derrière. Je ne l'avais pas encore regardé, pas encore croisé son regard. J'avais peur, trop peur. Sa jambe était tout contre la mienne, je ne la retirai pas, lui non plus. Mon regard descendit jusqu'à nos deux jambes, sa main se posa sur la sienne, frôlant ma jambe au passage. Il colla innocemment le dos de sa main sur ma cuisse, la caressant avec ses doigts. Mais qu'est-ce qui lui prenait ? Il voulait encore jouer avec moi ? Me faire plus de mal, me voir souffrir ? Profiter de moi et de mes bêtes sentiments pour partir rejoindre sa belle Estelle après ?

Je retirai rapidement ma jambe et risquai un regard en sa direction. Il avait la tête tournée vers David qui lui parlait tout en regardant la main de Bill cherchant ma jambe. C'était donc bien réel, Bill tentait un rapprochement avec moi. Je profitai qu'il soit détourné pour scruter la moindre parcelle de son corps. La peau douce de son cou, son bras toujours aussi fin, ses cheveux toujours longs et noirs, ce nouveau collier que je n'avais encore jamais vu, ce piercing que j'aimais tant, ses yeux noirs et profond. Ses yeux noirs et profonds ? Oh non. Il me regardait. Et mon coeur repartait en vrille. Sa main était désormais bien posée sur ma cuisse, et son regard se faisait presque suppliant.

Lui aussi me regardait avec attention. Mes yeux souligné nettement de noir, mes longs cils couverts légèrement de mascara pour agrandir mon regard, le bleu intense de mes yeux devenus plus clair et plus gris, ma bouche parfaite, ma peau de pêche, mes cheveux désormais lisses et bien coiffés, le collier sage et à la mode qui pendait à mon cou, le gilet de grande marque et classe que je portais. Tout ça, tout ce changement, il le notait. J'avais changé, je n'étais plus cette fashion victime encore fofolle, j'étais désormais sage, une vraie femme de riche. Une vraie femme d'Eric.

Nous étions fiancés. Bill remarqua la bague, celle qu'Eric m'avait offert il y a de cela à peine une semaine. Malgré cette constation, son visage s'approchait de plus en plus du mien. Sa main serrait de plus en plus fort ma cuisse, et ses yeux étaient fermés à moitié. Je ne pouvais pas l'embrasser. C'était encore trop tôt, et je n'avais pas même encore savouré ces retrouvailles. Je posai alors ma tête dans le creu de son cou, comme avant, il laissa tomber sa tête contre la mienne.

-

une longue suite (quand même, non ? ) juste pour Chou' parce qu'à ce qu'il parait, elles sont trop courtes. Puis pour tous ceux qui m'lisent

alexia la suite est super !
suite ?

C'est trop super ! Une suite chteuplé !

une suite?

la suite stp

vi une souite stp, c'est absolument magnifique! j'ai même pas les mots pour décrire... juste une souite...

Wahouuuu enfin leur retrouvailles! ils s'aimeeuuuuuunt! Il était, temps qu'ils le comprenenent tous les 2! lol
Vite une suite alexia!!! stp

Nous étions fiancés. Bill remarqua la bague, celle qu'Eric m'avait offert il y a de cela à peine une semaine. Malgré cette constation, son visage s'approchait de plus en plus du mien. Sa main serrait de plus en plus fort ma cuisse, et ses yeux étaient fermés à moitié. Je ne pouvais pas l'embrasser. C'était encore trop tôt, et je n'avais pas même encore savouré ces retrouvailles. Je posai alors ma tête dans le creu de son cou, comme avant, il laissa tomber sa tête contre la mienne.

La voiture s'arrêta soudain devant un hôtel de luxe. Le chauffeur ainsi que Ben sortirent de la voiture et vinrent ouvrire la porte du côté de Georg. Ce dernier sortir de la voiture suivi de près par Gustav, David et pour finir Tom. Je m'apprètais à sortir à leur suite mais Bill me bloqua le passage et son frère claqua la porte sur nous, vérouillant une fois de plus toutes la voiture. Pas de sortie, pas d'échappatoire.

Nous étions devenus soudain aussi distant et gênés que nous étions proche une minute plus tôt. Qu'est-ce qu'il me voulait ? Un grand silence, pesant, s'était installé entre nous. Où se trouvait Estelle à ce moment-là ? Je voulais lui poser la question, mais quelque chose me retenait. Peut-être que j'avais simplement l'impression qu'évoquer sa copine actuelle, ce serait comme briser un quelconque espoir, l'espoir du nous.

Bill avait la tête baissée vers sa genoux, jouant avec ses bagues lorsqu'il prit la parole. Sa voix était brisée, presque emplie de tristesse. J'étais loin de m'attendre à ça, surtout après ce qu'il s'était passé dans les loges, après avoir vu la façon dont il se tenait avec son Estelle.

" Pourquoi ça n'a pas marché, toi et moi, hein ?"

Bam. Mon coeur était reparti dans sa course effrénée. Qu'est-ce qui lui arrivait ? Pourquoi me posait-il cette question ? Qu'est-ce que je faisais là, avec lui, seule ? Qu'est-ce qu'il nous arrivait, à nous ? tant de questions que je me posais, si peu de réponse. Je lui sortis la première réponse qui me vint en tête, la plus sincère, sans doute.

" Parce que j'suis incapable d'aimer.

- Non, la vraie raison.

- Tu l'sais bien, Bill, j'suis incapable d'aimer. J'connais pas c'mot. Ou pas bien, pas assez.

- Pourquoi tu m'as pas laissé t'apprendre ?

- T'm'en as déjà trop appris, Bill, t'as d'jà trop fait pour moi. Puis j'y croyais plus. J'y ai jamais cru, d'ailleurs. J'avais plus confiance. Ca m'rendait dingue.

- Pourquoi t'es partie, Alex ?

- Pourquoi tu m'as pas retenue ?

- Dis-moi pourquoi ?

- Ca m'f'sait mal d'être dans tes bras, ça m'suffisait plus. J'avais b'soin de voir ailleurs, de changer d'air. D'me remettre les pensées en place pour mieux t'aimer.

- Mais pourquoi ? A cause de c'qui s'est passé ?

- Entre autre, oui. Puis j'suis comme ça d'puis toujours, t'le sais, non ? C'est toi-même qui m'l'as dit, l'jour ou j'suis partie.

- Tu m'aimes ? "

Bordel de coeur, arrêtes de crier, il va t'entendre.

" Et toi, Bill, tu l'aimes, elle ?

- Esty ? Pas autant que toi. Jamais autant que toi. J'pourrais jamais aimer aussi fort que je n't'ai aimé. Tu m'aimes ?"

Oui.

" C'pas la question, Bill.

- Tu m'aimes ? "

Si tu savais, Bill. Je t'aime. Tout court pour des sentiments aussi grands, aussi fort.

" Et toi ?

- Plus que tu n'pourrais l'imaginer. Tu m'aimes ?

- Non. "

Voilà comment casser un moment magique. Il m'aimait, il venait d'me le dire, et moi je venais de tout foutre en l'air à cause de cette fierté à la con. En fait non, c'était plus que ça, plus que de la fierté. Je n'avais plus confiance, ça me faisait trop peur. Trop peur d'avoir mal, trop peur de retomber. Et si je réagissait comme il l'avait fait avec Julie ? Oui, je préférais la sécurité, Eric, que de me lancer. Inversement de rôle. Où était Estelle ? Pourquoi elle n'était pas dans la voiture ? Pourquoi étais-je à sa place.

Bill déverouilla la porte, je sortis la première. Il me suivait de près, son bras contre le mien. Logique, nous deux, sans le vouloir, c'était repartis. Dans le sens que tous ces sentiments, toutes ces émotions qu'on ressentait en la présence de l'autre nous revenaient en pleine face, en plein coeur. Qu'on avait à nouveau besoin de l'autre, de sa présence, de le sentir, puis surtout de le toucher. De quelque manière que ce soit, j'avais besoin d'un contact entre lui et moi.

On entra dans l'ascenseur, endroit fatal, endroit de fantasme pour beaucoup. Pour nous aussi ? Parce qu'on s'envole, haut, qu'on est à deux ? Je n'osais pas le regarder, lui non plus, se contentant de nous regarder en biais. Gênés ? Non, c'était autre chose, il n'y a pas de mot pour décrire ce sentiment étrange.

aha mais j'dois y aller là, donc y'aura pas d'chouite avant quelque temps, chorry les amis =) J'espère qu'elle vous plaira cette suite, moi c'ma plu de l'écrire, vous n'pouvez que l'aimer ^^

Besoos à toutes

déjà une suite?? ouai super merci trop gentil!!! lol
Ca me réconforte avant que je reparte à paris... sans internet!! snif!! Mais je serai de retour dans 3 jours... en espérant trouver plein de belles suites!