[T.] Souvenir d'un passé qui ne reviendra jamais.

Et voilà une suite assez longue et super belle!

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Aujourd’hui est un grand jour pour moi.

Le concert va bientôt débuter et je suis à deux doigts soit de me prendre un gros vent, soit de devenir le mec le plus heureux du monde, et, tout ça, devant près de quarante milles personnes et je stresse comme pas possible.


Ca y est, c’est le moment.

Je vais devoir chanter « Durch Den Monsun », c’est la chanson qui a fait connaître le groupe, elle est spéciale pour moi, aussi spéciale que la chose que je m’apprête à faire.

Je demande à Aria de monter sur scène avec moi.

Rouge comme pas possible, la demoiselle me rejoins, évitant de regarder la foule qui s’étale devant la scène.
Je prends sa main tremblante dans la mienne et chante la chanson sans quitter le regard de ma princesse.

Lorsque les dernières notes raisonnent, je me lance.

Moi : Aria…si je t’ai demandé de venir sur scène, c’est parce que j’ai quelque chose de très très important à te demander.

Elle me regarde, sans savoir se que je m’arrête à faire.

Moi : Sérieusement, je m’étais juré de ne jamais le faire, je n’en voyais pas l’utilité, mais, maintenant, j’ai totalement changé d’avis. Je veux que notre relation soit vraiment officielle, que tout le monde sache que je t’aime. Alors, ça fait presque deux ans maintenant, que nous sommes ensemble, et, j’aimerais….te demander si tu accepterais…de devenir ma femme.

Le public, moi, Tom, Gustav et Georg retenons notre souffle, attendant la réponse à ma question.

Figée sur place, Aria ne dit rien. Je vois une larme couler le long de sa joue, puis une deuxième, suivie de plusieurs autres. Je n’ai pas le temps de les essuyer qu’Aria se jette dans mes bras et enfuit son visage dans mon cou, le cachant à la vue de tous.
Je souris.

Moi : Tu sais, tu peux dire non si tu veux, ça me gêne pas d’attendre un peu, mais, si tu dis oui, je serais le mec le plus heureux sur cette foutue planète.

Je l’entends rire doucement, puis elle parle, si bas que seul moi l’entends.

Aria : Imbécile ! Bien sûr que j’accepte !
Moi : C’est vrai ?!
Aria : …Je t’aime tellement, comment tu veux que je refuse ? Ca m’est impossible.

Je la sens sourire contre mon cou alors que ses larmes mouillent mon épaule.
Je souris, l’enlace, avant de m’adresser au public qui ne connaît toujours pas sa réponse.

Moi : Elle a dit oui !!!

Des exclamations de joie fusent de partout.

Je sors un écrin noir de la poche de mon jean, en extrais une bague ornée de pierres d’Onyx noires et de diamants, pour la glisser à l’annulaire gauche d’Aria, qui s’obstine à cacher son visage dans mes cheveux.

Moi : Tu ne veux pas me regarder ?

Elle secoue la tête négativement. J’informe le public de ce qui se passe.

Moi : Par contre, désolé, mais ma fiancée refuse de relever la tête de peur que vous ne la voyez avec son maquillage qui a certainement coulé.

Explosion de rire, de la part du public et d’Aria.

Moi : Je te raccompagne aux coulisses.

Je l’attire contre moi et l’emmène vers le bord droit de la scène, là où un escalier conduit directement aux loges. Ce n’est qu’une fois dans ces escaliers, à l’abri des regards, qu’elle relève la tête vers moi, et me regarde, le sourire aux lèvres et le visage inondé de larmes.

Je l’admire et essuie quelques unes de ses larmes.

Moi : Tu es magnifique.

Elle rougit, j’adore la voir rougir pour un rien comme ça, c’est adorable.
Je rapproche mon visage du sien et l’embrasse passionnément.

Au bout d’un moment, elle me repousse doucement.

Aria : Je crois que tes fans t’attendent.
Moi : Je préfère rester avec toi !
Aria : Ca ne me dérangerait pas, au contraire, mais il faut que tu y ailles.
Moi (soupirant) : D’accord. Mais encore un bisou avant.

Elle rit avant de m’accorder ce que je lui demande.

Moi : A tout à l’heure.
Aria : Oui.

Je repars sur scène pour finir le concert.

XD

C'est clair que les groupies doivent pas vraiment apprécier. ><

D'ici à ce qu'elle décide de balancer leurs sacs, leurs bouteilles ou leurs chaussures sur Aria, il n'ya qu'un pas.


Voilà la suite.^^



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Moi qui pensais que la demande serait le jour le plus stressant de ma vie, je m’étais bien gourré. Parce qu’il y a pire : le mariage.

Nous sommes le premier Septembre, jour de mes 22 ans et, dans quelques minutes, je serais marié.

Ah, voilà ma princesse qui arrive.

Elle est tout simplement magnifique.

On dirait un ange dans sa longue robe blanche et son corset bordé de perles nacrées.
Des roses blanches son piquées dans ses cheveux qui ont été attaché en une longue tresse, avec seulement quelques mèches brunes qui tombent autour de son visage.

J’ai l’impression de faire tâche à côté d’elle, parce que je porte une chemise noire légèrement ouverte, un jean de la même couleur et mes plus belles santiags. J’étais près à me forcer et à mettre un costume pour l’occasion, quitte à ressembler à un pingouin, mais ma charmante future femme a refusée.
Elle m’a certifié qu’elle préférait que je m’habille comme à mon habitude, mais en faisant un petit effort tout de même.
C’est pour ça que je n’ai pas mis de gel dans mes cheveux, les laissant lisses, je sais qu’elle les préfère comme ça. Et, comme bijoux, je porte uniquement un bracelet en argent que Tom m’a acheté, une bague d’argent orné d’une grosse pierre noire qu’Aria m’a offert quand on a commencé à sortir ensemble et une chaîne en argent autour du cou.

Aria arrive à mon niveau et me sourit.

Elle est vraiment magique cette fille, sa présence vient de faire disparaître mon stresse, ne me laissant que le bonheur de plonger dans ses prunelles brillantes.


La cérémonie est finit, je suis officiellement mariée.

Maintenant, après les félicitations et quelques photos, place à la fête.

Je suis assis à une table avec Tom, Gustav et Georg, mon épouse étant partie se changer pour ne pas passer le reste de la journée à faire attention à sa robe immaculée. C’est vrai qu’il aurait été dommage de le salir.

Soudain, la dite épouse arrive derrière moi et, sans le moindre complexe, les deux chaises à coté de moi étant occupées, elle s’assoit sur mes genoux. Ce qui ne me gêne pas le moins du monde.

Aria : Alors, Monsieur Bill Kaulitz, je vous ai manqué ?
Moi : Bien sûr, Madame Aria Kaulitz.

Nous rions, accompagnés de tous ceux qui sont assis à notre table.
J’en profite pour observer la robe que porte ma femme.

C’est une longue robe noire, retenue par de fines bretelles en dentelle, et fendue sur le côté. Une ceinture argentée entoure les hanches d’Aria et des bracelets en argent ornent ses poignets. Elle porte des chaussures noires à très hauts talons, avec des rubans de satins qui se lassent jusqu’au mollets.

Je ne manque pas de remarquer le collier que porte la jeune femme, car c’est moi qui le lui ai offert : un lourd pendentif ovale en argent, qui peut s’ouvrir, retenue par une longue chaîne d’argent qui passe deux fois autour du cou d’Aria.
Une tenue assez simple dans l’ensemble, mais vraiment très très jolie.

Je n’arrive pas à croire que j’ai la chance d’avoir épousé cette femme, je vis un vrai rêve.

Deux mois que nous nous sommes mariés et les journaux en parlent encore.



On voit des tas de trucs du genre : « Une rock star épouse un célèbre mannequin », « Bill Kaulitz, chanteur adulé du célèbre groupe Tokio Hotel, et Aria *****, l’égérie de Channel. Mariage d’amour ou coup de pub ? », « Chanteur et mannequin, ce mariage va-t-il durer ? »,….


Mais tout ça, on s’en fout. On s’en occupe pas.



Pourquoi on devrait se justifier ? Juste parce qu’on est célèbres ? Mais, nous, on a rien à dire à part qu’on s’aime. Qu’ils nous croit ou non, ne changera rien.


On est heureux et on leur montre, on leur balance notre bonheur au visage à ces hypocrites.



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Y'aura une suite plus grande demain!^^

Voilà une suite deux fois plus longue que prévue parce que j'ai pas pu poster quand j'avais prévue! ><


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New York, moi et les gars, on vient d’y arriver pour une série de concert.

On arrive à l’hôtel.

J’accompagne les autres, mais n’ai pas envie de monter dans ma chambre.
David sait que je n’ai pas l’intention de dormir ici, mais, il m’en a quand même réservé une pour mettre mes valises.

Alors, pour lui faire plaisir, alors que ma seule envie est de partir le plus vite possible pour la retrouver, je vais dans ma chambre et y reste jusqu’à ce que les journalistes et les fans cessent d’attendre devant l’hôtel.

Lorsque tous les journalistes sont partis et que la plupart des fans ont fait pareil, je quitte l’hôtel et m’élance à travers les rues de la ville, vers un autre hôtel.

Je sais déjà que demain il va y avoir des articles du genre : « Le chanteur Bill Kaulitz, présent à New York pour plusieurs concerts, n’a pas passé la nuit dans le même hôtel que le reste du groupe, préférant rejoindre sa jeune épouse, Aria *****, dans un autre hôtel de la prestigieuse ville américaine où elle loge depuis trois jours en vue d’un prochain défilé. »

Mais qu’est ce que ça peut leur faire ?

Franchement, ils ont rien de plus important à faire que de parler de moi et Aria ?
C’est vraiment pathétique !

Enfin, passons, puisque j’arrive devant l’hôtel, je rentre directement dans le hall et, sans prendre la peine de passer par l’accueil, je me rends à la chambre d’Aria, qui m’a déjà donné son numéro de chambre et d’étage depuis trois jours.

Je frappe et attends à peine deux secondes avant que la porte ne s’ouvre et que celle qui m’a tant manqué ces dernières semaines n’apparaisse.

Je ne dis rien, elle non plus, mais elle s’écarte pour me laisser rentrer, avant de refermer la porte derrière moi.

La seconde d’après mes bras enlacent sa taille et les siens entourent mon cou. Commence ensuite un baiser langoureux.

Je ne suis pas près de me lasser de ses lèvres.





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Je suis là, allongé dans le lit de cette chambre d’hôtel et je souris.
J’ai beau me dire qu’il faut que j’arrête de sourire comme un idiot, mes lèvres s’étirent toutes seules. Je suis heureux, tellement heureux.

Je regarde la jeune femme qui est allongée à mes côtés, la tête posée sur mon torse, ses paupières encore fermées par le sommeil.

Ses longs cheveux châtains sont éparpillés autour de son visage et ont échouer sur mon bras, tel un doux voile de satin brun.
Sa main gauche est posée à côté de sa tête, sur mon torse.
Je prends cette main chaude et pâle dans la mienne, ses ongles vernis de noir aussi bien que les miens mais en étant plus longs.

Mes yeux se posent sur la bague qu’elle porte à l’annulaire, une alliance en or blanc, l’alliance que je lui ais passé au doigt depuis plusieurs mois déjà.
Je souris en remarquant qu’elle porte sa bague de fiançailles à son majeur, juste à côté de son alliance. Deux bagues couleur argent, bien que l’une soit en or, sauf que l’une est ornée d’onyx brillantes alors que l’autre, sur laquelle brillent quelques diamants, est plus simple, plus symbolique, cachant à l’intérieur une gravure montrant nos prénoms enlacés.

Mon regard glisse sur ma propre main gauche où brille une bague. Un simple anneau fait du même or blanc que l’alliance d’Aria et portant les même gravures.

Cette alliance me prouve que ce que je vis, tout ce bonheur, n’est pas qu’un simple rêve, fruit de mon imagination que j’aurais créé pour m’évader d’une dure réalité, de ma solitude, comme je le faisais avant de la rencontrer.

C’est le symbole que je lui appartiens, à cette princesse, pour toujours. J’ai promis d’être à ses côtés jusqu’à ce que la mort nous sépare, et bien, qu’elle essaye pour voir, je ne la laisserais pas m’arracher mon bien le plus cher.

Laissant un soupire s’échapper de mes lèvres, je porte la main d’Aria à mes lèvres et pose un baiser sur l’alliance, puis embrasse doucement se paume.

J’embrasse son épaule nue sans cesser de la contempler alors qu’elle bouge légèrement au contact de mes lèvres.

Mes doigts caressent doucement sa tempe et ses joues, retraçant le contour de ses lèvres, alors qu’elle finit par ouvrir ses deux yeux, brillants comme deux pierres précieuses.

M’apercevant, elle sourit et quémande un baiser, chose que je m’empresse de lui accorder, heureux de retrouver une nouvelle fois le contact de ses lèvres sur les miennes.

Les dieux m’ont offert leur plus bel ange, et cet ange est devenu ma vie, mon âme, ma moitié.

Et voilà!^^



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Nous sommes dans une petite ville allemande, là où personne ne penserait à venir nous chercher. Accompagnés de Tom, Gustav et Georg, nous profitons de quelques semaines de vacances.
Je viens de passer une magnifique matinée avec celle qui partage ma vie depuis presque quatre ans et qui est mon épouse depuis plus d’un an maintenant.
Je vis en plein rêve depuis que j’ai croisé son chemin.
Je sais exactement ce que veut dire « aimer à en mourir ». Si elle venait à disparaître, je ne vois pas comment je pourrais continuer à vivre.
Je ne peux plus me passer de ses sourires, de son rire cristallin, de son doux regard qui ne regarde que moi, de ses bras qui m’enlacent si souvent et de ses lèvres qui n’appartiennent qu’à moi et que je me plais à embrasser à chaque instant.
Cet après midi, dans ce parc vide, sans photographes ni fans, tout cela, je le lui ai dis.
Et j’ai été heureux, allongé dans l’herbe verte, la tête sur ses genoux, qu’elle m’avoue ressentir la même chose pour moi.
Maintenant, nous rions, je me relève.
Elle rie encore plus, amusée par mon air contrarié, affiché lorsque j’ai quitté ses genoux. Légèrement vexé, je me jette sur elle. Je me retrouve au dessus d’elle qui est allongée sur le dos, mon visage au dessus du sien et mes mèches noires effleurant doucement ses joues et son front.
Elle sourit et, avant que je me rende compte de ce qu’elle fait, elle sort son portable de sa poche et me mitraille plusieurs fois.
Lorsqu’elle arrête enfin de me prendre en photo, elle est morte de rire.
Je tends la main pour lui confisquer l’appareil mais elle n’est pas d’accord et gigote dans tous les sens en tendant le bras pour que je ne lui pique pas son nouveau jouet.
Dix secondes après, j’attrape ses poignets dans mes mains et immobilise ses bras contre le sol, puis, plaquant mon corps contre le sien, j’en profite pour me rapprocher et l’embrasser doucement.
Un baiser suivit de beaucoup d’autres, de plus en plus passionnés.
Je finis par lâcher ses poignets pour glisser une de mes mains sur sa hanche et l’autre sous sa nuque, pendant que ses bras, à nouveau libres de leurs mouvements, s’accrochent à mon cou.
Sur sa hanche, ma main glisse jusqu’à sa cuisse et, autour de mon cou, l’une de ses mains vient caresser mon dos.
Si le paradis existe, je crois que j’y suis.


Malheureusement, mon jumeau juge opportun de venir nous déranger par un très délicat et original : « Vous savez qu’il y a des chambres pour ça ? »
Enervé, je lâche les lèvres de Aria et appuis mon front contre son épaule en soupirant, pour ne pas tuer ledit jumeau, alors qu’elle rie, puis embrasse mes cheveux.
Je me calme doucement sous ses baisers, mais pas longtemps.
Car un poids vient s’écraser sur nous, en même temps que Tom qui s’étale sur mon dos.
Qu’il m’écrase passe encore, qu’il me gêne alors que je suis avec Aria, c’est déjà grave, mais qu’il soit à deux doigts d’écraser ma femme, là, je dis stop.
Alors qu’Aria commence à suffoquer sous mon poids et celui de mon jumeau, je me redresse d’un coup, projetant Tom au sol et laissant Aria respirer.
Je l’aide à se relever doucement, lorsqu’une masse me pousse sur le côté et me plaque au sol.
Visiblement, Tom veut jouer.
Mais pourquoi j’ai emmené mon jumeau en vacances ? Bon dieu, mais je devais pas être clair lorsque j’ai accepté qu’il vienne avec nous, c’était sûr qu’il allait venir nous faire chi*r !
A 23 ans, il est même pas capable de rester tranquille, il me désole !
J’aurais encore mieux fais d’emmener mon chien ! Lui, au moins, tu lui jettes un bâton ou une balle, il est content, et, c’est bon, il te fout la paix !

Alors que Tom, accroupis au dessus de moi, se marre comme une baleine et que je pris tous les saints pour qu’il s’en aille jouer ailleurs, un ange vient par derrière mon frangin et lui pique sa casquette d’un geste rapide et fluide.
Mettant fin à mon supplice mais démarrant le sien, ma très chère épouse part en courant, bientôt suivit de Tom qui lui hurle de lui rendre son bien.
Je m’esclaffe alors qu’il la poursuit, bien qu’elle soit plus rapide que lui.


Après avoir fait le tour du parc au pas de course, essoufflée, ma sauveuse vient se mettre derrière moi.
Tom arrive, face à moi, et me fait signe de m’écarter.
Je refuse, il insiste.
Je me rends, et me décale pour aller me placer derrière Aria et, malgré ses protestations, les mains sur ses épaules, je la pousse vers Tom.
Un sourire d’excuse sur les lèvres et son regard de chat botté pour être sûre de ne pas se faire massacrer par le guitariste, elle lui rend docilement sa casquette.
Satisfait, Tom repart après avoir remis sa casquette en place, pendant qu’Aria me foudroie du regard. Je me dépêche de suivre mon jumeau, mais, à peine l’ai-je dépassé, que ma femme se manifeste en sautant sur mon dos.
Aria : Mari indigne ! Tu m’as même pas défendu !
Je ris alors que ses jambes encerclent ma taille et que ses bras passent autour de mon cou.
Aria : Pour la peine, tu me portes jusqu’à l’hôtel ! Et pas la peine de discuter, t’es obligé !
Moi : Quelle autorité Madame Kaulitz !
Aria : Et oui, c’est ça être une femme mariée. Il faut savoir se faire obéir.
Je passe mes mains sous ses cuisses pour être sûr qu’elle ne glisse pas et commence à avancer vers le petit hôtel où nous avons laissé nos valises.

Nous rions devant les regards que nous lancent les quelques personnes que nous croisons sur notre chemine et qui nous regardent comme des fous, bien que, faisant exception, de rares personnes nous aient jeté des regards attendris, heureux de constater que des jeunes gens s’aimaient sans faire attention au reste.
Moi : Je plains votre pauvre mari.
Aria : Ce n’est pas la peine vous savez, il est très heureux de son sort !
Moi : Vous croyez ?
Aria : J’en suis sûre !
Moi : Vous avez l’air de beaucoup l’aimer.
Aria : Plus qu’il n’y parait.
Moi : Il a de la chance ! Dommage ! Moi qui espérait vous voler à lui.
Aria : Eh bien, oubliez, j’appartiens corps et âme à Monsieur Kaulitz !
Moi : Et, croyez moi, il sait la chance qu’il a !
Elle sourit et dépose quelques baisers dans mon cou. Je frissonne.
Aria : Laissez moi vous confier un secret….Moi aussi, je sais la chance que j’ai.
Je sourit, tourne la tête sur le côté pour déposer un léger baiser sur ses lèvres, juste avant d’arriver devant l’hôtel.


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Mine de rien, la fin approche à grands pas. T T

J'aime beaucoup ta Fiction
Mais j'ai hésité a lire puisque a la fin Aria meurt : s
Je n'aime pas trop lire ce genre de Fiction :/
Après c'est tout triste et tout

Contente que ça vous plaise.^^

Mais c'est vrai qu'elle est triste cette fic, mais j'avais envie de faire une fic super jolie et romantique qui se finissait mal, ça change de d'habitude, moi qui écris que des fins heureuses habituellement. ><


Bref, voilà la suite!^^



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Elle est morte !

J’en prends vraiment conscience maintenant que je la vois dans cette église, allongée dans ce cercueil.

Elle est toujours aussi belle. Bien que ça peau soit désormais aussi blanche que de la craie, pour moi, elle est toujours magnifique.

Je pris pour que ses yeux s’ouvre et qu’elle m’adresse un sourire, qu’elle me prenne dans ses bras et qu’elle me dise que tout ça n’était qu’un mauvais rêve, mais mes espoirs s’envolent vite.

Je dois parler, devant tous ceux qui se sont rassemblés ici, devant ce cercueil entouré de fleur.

Que puis je bien dire ?

Tout ce que je pourrais dire, elle le savait déjà. Tout ce que je ressentais pour elle, je le lui avais déjà dis, tellement de fois, qu’elle connaissait parfaitement mes sentiments.

« Je suis son mari, je l’aime à en mourir, même si elle n’est plus là pour l’entendre. »
Voilà ce que j’ai dis, juste avant de chanter « Durch Den Monsun » rien que pour elle, en pensant à elle.

Je me suis retenu de cracher ma haine sur le salop, qui avait appuyé sur la gâchette et qui m’avait volé mon bonheur, qui avait brisé ma vie.

Un homme totalement fou, jaloux de mon bonheur qui avait prétendu que, par ma faute, en apprenant mon mariage, sa copine, que je ne connaissais pas le moins du monde, s’était suicidée, car elle m’idolâtrait. Il avait mis deux ans a se décider à la venger, il l’avait fais et il avait réussis!

Il avait perdu la femme qu’il aimait, mais était ce une raison pour me voler mon ange ? Pour m’enlever ma moitié, ma princesse ? Elle qui était mon paradis et mon havre de paix, n’aurait jamais du payer pour les folies d’un psychopathe ! Si il se retrouvait en face de moi, je ne donne pas chère de sa peau, à cette ordure !

Je savais qu’Aria ne voudrait pas que je me laisse aller à la colère en ce jour ensoleillé, alors, j’ai laissé mes pensées noires de côtés, l’espace de ses quelques heures.

D’ailleurs, comment le soleil peut il briller alors qu’elle n’est plus ?

Je m’attendais à voir de la pluie, plein de pluie, et des nuages gris, opaques, cachant la lumière du jour, un temps triste, comme mon humeur.
Mais, ce n’était pas le cas.



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Je reste enfermé dans ma chambre, je ne mange plus, je ne sors plus, je ne vis plus.

Tom, mes parents, Gustav et Georg viennent souvent me voir, mais, même lorsqu’ils sont là, je ne bouge pas, ne parle pas et ne détourne pas mon regard du vide.


Des pas se font entendre dans les escaliers et se dirigent maintenant vers ma chambre, qu’importe, plus rien n’a d’importance !

Aria n’est plus là pour me sourire, me parler, me ravir de l’un de ses rires de cristal, me parler de n’importe quoi pour me distraire ou me serrer dans ses bras à la fois si fins et si réconfortants. Elle n’est plus là pour m’aimer ou, seulement, recevoir mon amour.

Et pourtant, je continu à l’aimer toujours aussi fort, sans pouvoir le lui montrer, le lui dire, alors que j’ai envi de le lui hurler.
Ca fait tellement mal le trop pleins d’amour.



Pour la première fois depuis l’enterrement, je parle.
David voulait absolument qu’on fasse un concert, et j’ai eu une idée.
Un concert en l’honneur d’Aria.
David a accepté, de toutes façons, il n’avait pas le choix, c’était ça ou je refusais de chanter.

Je discute avec Tom, Gustav et Georg pour essayer de voir comment se déroulera le concert.

L’idée de photos de ma princesse défilant sous les yeux du public s’impose à l’unanimité.

Je ne savais pas quelles chansons chanter pour l’occasion, alors les autres m’ont poussé à en écrire d’autres, des chansons écrites rien sur pour Aria.


Oui, lors de ce concert, encore une fois, je ne chanterais rien que pour elle.


(FIN des Flashs Back)


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A partir de maintenant, on revient dans le présent.

Suite ou pas suite?

Voilà la suite.


c'est celle que j'ai eu le plus de mal à écrire, on se demande même pas pourquoi.

J'ai inondé le clavier de mon pc en l'écrivant. ><


Bref, il n'y a plus que deux suites après celle ci. T T


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Le concert vient de se terminer.

Sur le chemin du retour, je ne dis rien, les autres ne parlent pas non plus, ils savent que je ne veux pas parler.

Alors que je monte dans ma chambre d’hôtel, je souris.
Les autres pensent que c’est parce que ce concert a été le meilleur de tous et qu’il était pour celle que j’aime, bien que Tom se doute qu’il y a autre chose.
Mais, si je suis heureux, c’est parce que je sais que, dans quelques minutes, je vais la retrouver.

Arrivée dans ma chambre, je ne prends même pas la peine d’allumer la lumière, les rayons de Lune qui filtrent au travers des fenêtres me suffisent.

Je me dirige vers ma valise et en sors une boîte en carton.
Je pars m’asseoir sur mon lit avec la boîte.

Une fois le couvercle soulevé, je me retrouve avec un 9mm dans les mains, il est déjà chargé.

Je regarde le collier qui pend à mon cou, celui d’Aria, celui que je lui avais offert, celui qu’elle portait le jour de notre mariage et qui ne la quittait jamais.

Elle le portait aussi le jour où elle est morte.

A la chaîne en argent, son accrochée deux bagues : son alliance en or blanc et sa bague de fiançailles en argent, sertie de pierres noires et de diamants.

Ces deux bagues non plus elle ne les retirait jamais. Elle les a porté jusqu’à la fin.

J’ouvre le médaillon en argent. Deux photos sont à l’intérieur, une sur chaque partie. Une photo de nous deux souriant, ensemble, dans les bras l’un de l’autre, et une de moi, qu’elle avait prise dans le parc avec son portable. Le regard que j’ai sur cette photo en dit long sur ce que je ressens pour la photographe de quelques secondes.

Des larmes coulent sur mes joues, je referme le médaillon.

Mes dernières hésitations viennent de s’envoler.

Même si je sais que ça va faire du mal à mes fans, à mes amis, à ma famille, à Gustav, à Georg et, surtout, à Tom, je ne renoncerais pas à l’idée de la rejoindre.

Même si je sais qu’Aria ne voudrait pas ça, qu’elle voudrait que j’essais de
vivre, je n’en ai plus la force.

A quoi ça sert de survivre pour ne pas faire de mal aux autres, alors qu’on est mort de l’intérieur, alors que la personne qu’on aimait le plus au monde, celle qui nous donnait envi de vivre, n’est plus à vos côtés ? A quoi ça sert ?

A rien !

Je pose le canon du revolver contre ma tempe, je ferme les yeux et j’appuis.

Le coup part et, l’instant d’après, je ne sens plus rien.



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Alors?
Je vous mets la suite ou pas?