[T] Corps de fer, cœur humain.

j'adore ma sadique la suite please ^^

la suite stp ma femme de chanteuse

Oukii ^^ t'inquiète prends ton temps

prend ton temsp ^^

Coucou! Ben je suis une nouvelle lectrice. Et ce soir jme suis dit tiens on a qu'a lire cette fic la. Et franchement je suis pas déçue. Tu as réussie a créér un univers et j'ai tout de suite plongée dedans. Vraiment c'est originale, ça sort de l'ordinaire et ça fait plaisir a lire. Donc je te dis de prendre ton temps pour nous faire une suite .

Ben écoute de rien et puis c'est vraiment ce que je pense, alors je suis contente que ça te fasse autant plaisir !

Chapitre 5 : Rose métallique.

Ce corps encore recroqueviller, lourd telle une pierre tombant du plus haut monument du monde … un cœur battant dans se corps de fer. Tout se passe bien … oui ou non ?

Tout est tellement étrange, le trajet ne se passe pas dans de bonne condition … l’eau tombe à flot malgré le soleil pesant qui se propager sur l’Allemagne il y a quelque minute … la boite de fer tremble telle des pulsations d’un cœur en détresse, sous les yeux des deux chercheuses. Le moteur du van s’arrête malgré l’accélération demander par le chauffeur … la boite tremble un peut plus qu’il y a quelque seconde … tout est tellement rapide. Les deux chercheuses se sont réfugier dans un coin étroit de la camionnette, elles tambourinent contre la vitre pour prévenir les conducteurs que quelque chose se produit.



La boite de fer est maintenant sur le béton inconfortable de l’autoroute … les sangles se fond maladroitement détacher par les mains tremblantes d’une des chercheuses … la boite tremble toujours.



La peau se décompose doucement sous les yeux des chercheuses et des conducteurs. Ce corps de fer maintenant, recouvert de rien du tout, les vêtements aillant disparu comme la peau … le cœur au vue de tous, il bat à toute allure …



Les vans noir passe à côté de se spectacle … des yeux se rivent sur cette scène se déroulant devant ces yeux chocolats.

… : Arrête toi, faut que … faut que je prenne l’aire.

Le van frêne … laissant sortir un châtain foncé aux yeux gris vert brun, deux bruns aux yeux marron et un châtain claire aux yeux marron … l’un des bruns se faufile entre ces coéquipiers de scène et son frère jumeau, leurs disant … assez rapidement … « Je reviens »

Pour ne pas dire, il avait reconnu le nom du laboratoire sur le van blanc, laissant un effet de surprise se lire dans son regard.



Les membres de fer se déplie, fessant sortir se corps métallique de cette boîte bien trop encombrante … le cœur bat encore à toute allure entre tout ces câbles brancher sur cette parti rouge sang de se corps … cette homme, se brun s’approche des chercheuses, les poussant quelque peut pour pouvoir regarder de ces propres yeux.

Le visage gris sombre de cette être métallique se tourne doucement vers le visage laiteux de l’androgyne qui vient d’arrivé.

D’un pas lourd … l’être de fer … s’approche doucement de l’androgyne. Laissant un espace raisonnable entre ces deux étrangers, l’humanoïde s’arrête … et d’un geste presque trop automatique elle lève sa main, l’ouvre doucement écartant les doigts un par un … ça main est maintenant à plat … les yeux marron de l’androgyne fixe dubitatif la main, regarder aussi par les yeux sombres et métallique.

L’androgyne regarde un objet se construire doucement dans sa main. Un bourgeon métallique née doucement au creux de ça paume … les yeux de l’androgyne pétille de surprise. Les yeux métallique de cette être regarde l’androgyne … il est beau, il n’y a pas de doute … dans son esprit de fer, des courants électriques circulent à toutes vitesses. Les doigts se resserrent autour du bourgeon, le cachant avec délicatesse … en quelque seconde, les doigts s’ouvrent de nouveau laissant doucement apparaitre une rose éclore doucement sous les yeux de l’androgyne.

L’homme, au maquillage noir, du bout des doigts touche la rose métallique … il découvre les quelques défauts invisible de cette objets aillant prit forme sous ces yeux. Il la prend délicatement dans les mains et murmure un « Merci » hésitant.

Les chercheuses le regardent … elles ne savent pas qui est cette homme … elles ne se sont jamais intéresser aux stars médiatiser du moment, ou même d’avant.

Val : Qui êtes-vous ?
L’androgyne : Bonjour, je suis Bill, Bill Kaulitz, nous avons communiqué par message pendant quelque jours … et vous allez chez moi en se moment.

Alors que l’humanoïde regarde toujours l’androgyne parler avec ces deux femmes devant elle. Il est 18h29 … elle s’installe en tailleur sur le bitume salle du bord de l’autoroute, et ne bouge plus … elle reste immobile. Que fait-elle ?

Mitsuko : Je suis désoler, mais nous allons devoir reculer la date, un imprévu c’est dérouler.
Bill : Pourquoi ?
Mitsuko : Elle n’a plus sont apparence humaine. Nous devons de nouveau l’étudier pour savoir comment elle a fait cette rose … et pourquoi elle a perdu son apparence humaine.
Bill : Vous pouvez l’étudier chez moi si vous voulez, nous pouvons vous laissez deux pièces pour ça.

Les deux chercheuses se regardent, et d’un même geste commun, elles répondent « oui ».

Bill a présenter ces amis au deux chercheuses … laissant la femme de fer sur le bord de l’autoroute … après tout, que pouvait-il se passé en 5 minutes ? Une discussion s’installe doucement entre les stars et les deux chercheuses.

Le corps de fer se recouvre doucement de peau … mais plus rapidement que la première fois … sa nudité de cette femme de métal se fait de nouveau voire … les yeux bleues reviennent doucement … les cheveux noires redeviennent de nouveau long et tresser sur le côté gauche de son visage … Les ongles noires terminent ces doigts, comme avant. Elle se lève doucement, aillant pris de nouveau forme humaine et se dirige doucement, d’un pas de danseuse vers les chercheuses et les stars.

Du bout de son index, elle tape doucement sur l’épaule du tressé qui se retourne presque immédiatement.

... : Qu’est ce que je suis ?

L’homme au tresse noir … étant le jumeau de l’androgyne, ne sais quoi dire … il regarde la silhouette dénuder devant lui, ne sachant pas quoi dire … il en avait déjà vue, et pas qu’une … mais une qui se présente juste devant lui dans la tenu d’Adam ... jamais ça n'est arrivé ... surtout en pleine aire ... et sur une autoroute, encore moins.

Haan J'adore =O
C'est Tellement Suréaliste Que J'ai Envie D'y Croire x)
Je Veux Savoir Pourquoi Elle A Perdu Son Apparence Humaine Et Comment Elle A Fait Pour La Reprendre Comme Ca OO
La Suite Steuplait x)

Ah j'adore vraiment! Je me demande aussi comment elle a fait et pourquoi elle a perdue son apparence humaine Oo.
En tout cas j'ai encore plongée fans l'univers, et quand j'ai fini de lire j'ai eu l'impression d'être encore dedans^^'.

Ah vite la suite !

Wahou j'adore !! c'est génial
la suite stp

la suite j'adore ^^

Okayy =D

D'ac! A demain .

On est demain donc suite ^^

Oukii

le titre n'a rien à voir avec l'humanoïde ... mais bon lisez la suite et vous verez ... j'espère que ça va vous plaire, comme les précédente suite ... à vrai dire j'ai un peut de mal à l'écrire, parce qu'elle ne resemble pas du tout à mes autre fic, mais j'aime la difficulté ... en tout cas, bonne lecture.



Chapitre 6 : Les protéger de tous les dangers.

Il y a plus d’une heure … ils sont tous arriver chez Bill … ce n’est pas que chez Bill … c’est aussi chez Tom, Gustav et Georg. L’humanoïde regarde de ces yeux bleus l’univers qui se propage dans cette maison bien trop grande pour 4 personnes.

L’humanoïde a trouvé refuge dans un vêtement trouvé par les soins de Tom dans un carton … les vêtements de ces en-siennes conquêtes. Il lui à donner une mini robe, sans brettelle … le bas de la robe lui arrive juste en dessous des fesses, quand elle ne la remonte pas trop. Mainte et mainte fois elle a essayé de l’allonger un peut, mais le haut du vêtement descendait lui aussi … alors elle remontait le tout … mais en vain, ce vêtement était toujours bien trop petit.



Ils se sont tous retrouver dans le salon, laissant l’humanoïde dans la chambre d’ami. Elle était encore entrain d’ajuster se vêtement bien trop petit. Elle lâche le vêtement des doigts … son regard bleu orner de noir sur une armoire … d’un pas léger elle se dirige vers l’armoire et l’ouvre.

Elle découvre, des vêtements … des pantalons noirs … des mitaines plus que féminine … des bagues … des cravates toutes différentes des autres … elle a un petit courant électrique qui passe dans ces yeux … une marque de bonheur ?

Elle attrape un pantalon … elle l’enfile … ça sert docilement le peut de forme qu’elle a. Elle enfile des mitaines grise, avec de la résille noir dessus. Elle prend du bout des doigts fin et long une cravate noire, avec des têtes de mort grise … et quelque chaine.

D’un geste, devant la glace … elle défait doucement sa natte … fessant tomber sait long et soyeux cheveux dans son dos.

Elle repense à ce que l’androgyne avait sur les yeux, ces traces noires qu’il appelle chaque jour son maquillage … elle avait aimé regarder se détaille, elle voulait elle aussi avoir cette couleur sur ces yeux … mais comment faire ? Comment il avait fait ?

D’autres objets … d’autres vêtements ont docilement pris place sur son corps.



D’un pas sur d’elle … elle descend les marches la menant presque instantanément vers le salon … elle reste dans l’encadrement de la porte, regardant les humains qui sont dans cette pièce.

Bill : Comment a-t-elle repris forme humaine aussi vite.
Val : Nous ne le savons pas … En tout cas, merci pour les vêtements que vous lui avez fourni.
Tom : Se n’est pas grand-chose … puis de toute façon je ne pouvais pas les mettre.

Bill donne un coup de coude dans les cotes de son frère … se dernier avait un grand sourire sur les lèvres.

Gustav : Franchement ce n’était pas drôle là.

Bill se lève, réajuste adroitement ces vêtements … il tourne le regard vers la porte … tout en se retournant lui même

Il découvre l’humanoïde devant lui, une rose de métal a prie délicatement place dans ces cheveux ébène et lise. L’androgyne ne peut plus quitter des yeux la silhouette se dessinant sous ces yeux … l’un de ces slim à délicatement pris place sur les jambes de cette femme … une mini veste en cuir noir recouvre ces épaules … ces cheveux, lise et parfaitement long, tombent doucement sur le devant de son visage, ainsi que dans son dos. Des bottes sans talon se sont doucement fermer autour de ces pieds et chevilles. La robe que Tom avait gentiment donner se retrouve également dans la tenu, féminisant encore un peut plus cette silhouette bien fine.

Bien que tout cette tenu ne soit que masque devant le monde qui entours l’humanoïde … un monde qu’elle ne connait pas … qu’elle voudrait voir, connaitre.



Doucement les yeux, de l’être, se ferment … l’androgyne s’approche doucement de cette être … elle ne bouge pas … il approche doucement ces doigts pour la réveiller … pour lui faire ouvrir les yeux … mais tout se qu’il a eu le droit d’avoir … c’est un courant très faible traversant délicieusement le corps de l’androgyne.

Un portable vibre frénétiquement sur la table basse en verre … mais se fait docilement oublier par la fin d’un appelle ou peut-être tout simplement le message qui vient d’arriver.

Le tressé se dirige à son tour vers l’humanoïde bien trop immobile à son gout, le touche lui aussi … la main de l’humanoïde entour violement le poigné de Tom, laissant la douleur se lire sur son visage … la douleur se fait toujours ressentir, mais plus personne, plus rien ne bouge … Le visage de Bill est quelque peut apeurer devant la réaction … le visage de Tom est crisper de douleur, avec un regard de peur … le visage des chercheuse scrutent chaque mouvement, de chaque personne … Gustav, on peut lire de la peur, de l’incompréhension tout comme celui de Georg.



La peur avait pris place dans la pièce qui aurait du les protéger de tous les dangers … mais le danger est bien là … il est devant leurs yeux … l’humanoïde a doucement ouvert les yeux laissant apparaitre autre chose que cette couleur azur … tout est tellement différent … les yeux devenu noir, totalement noir, sans vie … les ongles pouces, tout en se plantant dans cette peau déjà fragiliser par des cordes de guitare. Les corps des compagnons du guitariste se recule doucement … les chercheuses se dirigent doucement vers l’humanoïde.

Un délicat crie de douleur sort de la bouche de Tom, suivit de celui de Bill qui vient de se blaiser doucement à la main … immédiatement l’être de fer retrouve l’azur qu’elle n’avait plus dans ces yeux, ça poigne se dessert du poigné du guitariste. L’être se précipite vers l’androgyne, ne laissant le temps à personne de voir son déplacement. Bill recule voyant devant lui le visage de la jeune fille. Elle prend la main de l’homme apeurer et se précipite d’enrouler un torchon trouver rapidement dans le salon autours de la petite blessure.





Avis ???

waouh... j'adore
la suite stp