[T] Quel est la limite d'un rêve ?

C’est toujours à se moment là que quelque chose arrive. Tom et Bill arrivent en courant. Ils font une drouille de tête. Jack nous dépose et recule doucement. Se loup-garou doit avoir peur.

Moi : entre un loup-garou et un vampire qui est le plus fort ?
Tom : nous avons la même force mais les vampires peuvent l’utiliser quand il le veut que les loups-garous, ils doivent attendre la pleine lune !
Moi : et qui est plus fort qu’un vampire ?
Bill : un humain, en riant
Mistig : aller arrête de rire, qu’est-ce qui est le plus fort ?
Bill : je me répète, un humain
Tom : un vampire est immortel mais sans cœur, il ne vaut plus rien
Moi : tu as donc un cœur, en riant
Tom : si tu savais, en me caressant le visage

Je vais la cuisine pour le prendre un verre de coca or quand j’y suis, un frisson me traverse. J’ai froid donc le coca, ne me fera pas du bien au contraire. Il me faut quelque chose de chaud, n’importe quoi mais chaud. Je vois un verre lorsque je le touche, il est bouillant donc…j’ai trouvé ma boisson. Je porte le verre contre mes lèvres. Je bois, on dirait du vin chaud mais avec un goût salé. D’un coup sec, je le bois.

Tom : tu reviens ?
Moi : oui, oui, j’arrive

Je regarde autour de moi comme si quelqu’un me regardait. Je ne vois personne. Cela doit être mon imagination sans doute. En retournant voir les garçons, je me sens encore si froid. Je vais sur canapé et m’enroule contre une couverture. Je meurs de froid. Tom vient près de moi. Il doit peut-être croire que j’ai peur ou un truc de se genre.

Tom : tu as gelé, en paniquant. La dernière fois que tu t’ais fait mordre, c’est quand ?
Moi : aucune idée, je ne sais pas, pourquoi ?
Tom : tu as bu quoi dans la cuisine ?
Moi : je pense que c’était du vin chaud
Tom : Bill essaye de trouver se verre
Bill : ok

Bill part en vitesse dans la cuisine. Mistig panique pour une raison que j’ignore. Tom me frotte comme un possédé. Bill revient avec le verre. Il essaye de me réchauffer mais aucun moyen.

Moi : je dois tomber malade, en riant
Tom : si seulement cela pouvait être ça
Moi : quoi ? En criant

Bill donne le verre à Tom, celui-ci renifle ce qui se trouve dans le verre. Aussitôt, il me serre encore plus contre lui.

Tom : éloigne Mistig de Val, s’adressant à Bill
Mistig : pourquoi ? Je veux rester avec elle
Tom : tu ne peux pas !
Mistig : mais pourquoi putain, en s’énervant

la suite se soir bisous

je veux pas m'éloigné moi
la suite stplai
jtm very
j'adore

* PDV de Tom *

Pourquoi il veut que cela arrive à elle ? Cela n’aurait jamais dû arriver. Comment cette personne a pu entrer ? Personne ne l’a vu. Je prends des cordes, de quoi la tenir quelque instant. Je l’entoure et serre un maximum. Elle risque de devenir dingue. Je ne voudrais pas me défendre et lui faire mal pourtant elle réussit à se défaire, je n’ai peut-être pas assez serrer

Val : mais qu’est-ce que tu fais ?
Moi : c’est pour ton bien…je suis désolé
Val : mais explique moi, s’il te plait
Moi : dans le verre, il y avait du sang pas du vin
Val : quoi ? C’est une blague
Moi : tu as été mordu, il y a peu de temps et tu as bu du sang
Val : donc ?
Moi : tu es en train de mourir, tu ne souffre pas comme si tu avais été poignardé. Tu as froid signe que la mort est là
Val : je vais mourir, il y a un mais ? Dis-moi qu’il y a un « mais »
Moi : tu vas revenir en vampire donc une personne à part de la population
Val : c'est une blague, en paniquant

Elle marche sans cesse, elle n'arrive pas à s'arrêter. Elle va péter un câble si elle continue. J'ai déjà vu des personnes en train de se transformer à cette bête que je suis. Certaines de ma main et d'autres par accident. Il faut savoir qu'un nouveau vampire doit le respect aux anciens surtout son créateur. Je suis un des plus vieux qu'il puise existé omis Bill qui a le même âge que moi. Même si il doit le respect certain ce fout royalement de cette hiérarchique. Ce respect est réciproque sauf si l'un des eux le ne respect pas.
Je dois attendre de voir son évolution. Soit elle meure, soit elle vit. Et si elle vit soit cela va être douloureux ou comme une petite fièvre sans gravité. Je ne sais jamais à l'avance comment la transformation va se passer. Je regarde Valérie, elle bouge dans tous les sens. Elle chipote aussi à tout. Elle me regarde d'un air aussi méfiant.

Val : je veux du coca
Moi : quoi ? On t'a déjà dit que tu ne fais jamais rien comme tout le monde
Val : depuis ma naissance, houais, en riant

Ses yeux changent de couleur, sa peau devient plus clair sans pour autant ressembler à un mort vivant. Ses formes deviennent plus attirant pour les hommes, mais trop pour les humains. Elle finit par terre. Sa transformation se finira dans son sommeil.

Bill : elle va bien
Moi : pour l'instant oui mais bon, on verra ça, à sa renaissance
Bill : si elle lui arrive quelque chose je paris que Mistig voudra me tuer
Moi : et le pire, je pense qu'elle pourrait y arriver, en riant

J'emmène Valérie dans ma maison. Je l'installer dans le lit, je lui attache les membres en cas où elle péterait un câble toute seule. Je ne peux rien faire sans attendre. Je suis impuissance à son malheur. Je prends une chaise, et attends. Je me demande ce qu’elle va dire lors de son réveille. Je ne sais pas ce qu’elle va vivre, je suis né en vampire donc jamais transformer. J’ai entendu certain dire que la personne vit à des passages de celui qui l’a mordu, un moment de la vit très important. Cela peut-être soit une histoire d’une mère à son enfant, un début de relation, une mort.

J'aime beaucoup cette suite Smile

J'ai hâte de savoir comment la transformation va se passer et comment elle va évoluer si elle s'en sort (ce dont je n'en doute pas... Tu vas pas la tuer hein ???)

Une autre suite please !!!

je ne sais pas pour vous mais ici ( belgique, charleroi ) il fait chaud même trop d'un coup

ca donne aucunement l'envie d'ecrire mais vu que j'ai pris un peu d'avance sur ma fic, je post se soir

bisous les filles

* PDV de Valérie *

Je me sens être soulevé. Je suis inconsciente pourtant je peux entendre et sentir ce qu'il se passe autour de moi. Je suis comme dans un monde parallèle. Je ne peux pas interagir, je suis seulement observatrice. Je n'ai pas le choix. Je peux voir une femme assez jolie au point de vouloir lui faire un croche-pied ou tout faire pour qu'elle se prenne une porte par accident.
Je peux voir cette femme portant une magnifique robe incruster de bijoux précieux. Elle se promène dans les couloirs d'un château, il me semble. Toutes les personnes, des servants, s'inclinent devant elle, soit par respect mais je ne sais pas pourquoi, je dirais plutôt à cause de la peur. Cette femme n'engendre pas le respect mais la crainte. La femme marche jusqu'à une porte blindée.
Il y a des gardes armées d'épées très épaisses. Les gardes devraient un peu désirées cette femme, elle est seule. Tout homme normalement constituer, devrait faire un signe enfin quelque chose. Nous allons dire que c'est plutôt une esclavagiste en femme.
Je me demande comment cette femme peu faire aussi peur à ses gens. Je rentre en même temps qu'elle. Dans cette salle plongée dans le noir, il y a que des lampes qui éliminent cette pièce. Il y a des personnes qui sont cagoulées, ses gens tremblent comme des feuilles. Cette femme arrive près d'eux retire leur masque. Ce n'est que des filles, jeunes, elles pleurent. Peut être savent-elles ce qui va ce passer ?
Une autre personne arrive d'un pas lourd. C'est un homme, beau de plus même si il se cache le visage d’un masque, sans comprendre pourquoi. Mais dès qu'il arrive dans la pièce, il le retire. Mais c'est Tom. Qu'est-ce qui fait là ?

Femme : tu me fais honneur d'être venue ici, dans ma demeure ?
Tom : je ne suis que passage
Femme : si tu as faim, dit-le-moi, je te ferais une plaisir de te nourrir
Tom : je n'en doute pas, en riant

Elle essaye de toucher la main de Tom cependant celui-ci recule.

Tom : ne joue pas à ça Julie
Julie : tu ne vas pas m'en vouloir d'essayer, en souriant
Tom : bien sûr que non

Elle lui sourit d'une façon charmeuse sans pour autant se montrer vulgaire or je pense, elle veut quelque chose de non catholique. Elle désire cet homme plus que tout. Je le suppose parce que lors du diner, elle ne regarde que lui or qu'il fixe dans une autre direction. Il veut à tout prix éviter les yeux de cette Julie.
Lors qu'il fessait nuit. Il y a cet homme qui se promène dans le jardin du château. Il veut sans doute être seul or il regarde autour de lui. Comme si quelqu'un le surveillait. Il regarde vers ma direction et me sourit. Heu, personne ne m'a vu auparavant alors pourquoi maintenant ? Je me retourne en cas où il y aurait un homme ou une femme derrière moi et c'est cela qui l’observe. Pourtant il n'y a rien. Je pense que je deviens folle. Déjà que je vais mourir donc un peu plus ou un peu moins cela ne changera rien.
Tom ferme les yeux comme si il se concentrait pour mieux entendre ou sentir. Est-ce qu'il peut s'apercevoir que je suis là ? Dans un souvenir, je ne fais pas partir du tableau donc non logiquement enfin je l'espère surtout.
Une femme arrive à moitié nu. Tien, tien, Julie comme par hasard.

Tom : on ne peut pas avoir la paix chez toi
Julie : j'ai quand même le droit de me balader dans mon domaine
Tom : dans cette tenue ? Je comprends pourquoi les hommes ne passent qu'une nuit dans ton lit
Julie : mais toi, tu pourrais rester autant que tu veux, je te laisse le choix
Tom : je finirais avec toi quand tous mes espoirs seront anéantis
Julie : ne parle pas trop vite, on ne sait jamais ce qui peut arriver dans l'avenir et nous elle sera bien plus longue que tes simples conquêtes

la suite se soir

J'attends la suite avec impatience Very Happy

Julie retire un de ses vêtements. Tom rigole puis part. Il vient vers ma direction. Il sourit dans le vide comme si quelque chose envahit son cœur de bien être. Il laisse tomber quelque chose par terre, un tissu. Je ne vais pas lui courir à ses fesses pour lui apporter, il penserait qu'il y a un fantôme. Dans un certain sens, se serait marrant, faire peur à un vampire. Ce serait l'ironie du sort.
Je prends le morceau de papier, il est marqué « j'aime ton odeur mais s'il te plait, ne te cache pas de moi ». Je voyage dans les couloirs du château, je m'ennuie beaucoup donc j'espionne tout le monde.
Le seul problème, c'est que je dois attendre que la porte s'ouvre pour pouvoir passer. Je ne suis pas un fantôme, je ne traverse pas les murs plutôt je me les prends en pleine face. Je n'arrive pas à tourner les clinches des portes. J'aimerais transverse ce serait plus simple. Je vois Tom entrer dans une pièce et laisse la porte entrouverte. Curieuse que je suis, j'y entre. Je me jette dans la gueule du loup. Il y a du bruit juste derrière, je prends peur et entre encore plus vite. Il fait noir, il y a une lumière qui éclaire très peu. J’avance doucement, prudemment manque de peau pour moi, je me cogne contre une table basse et tombe sur le canapé.

Tom : cette belle odeur est revenue. A qui ai-je l’honneur ?

Je ne dis rien. Déjà est-ce qu’il pourrait m’entendre ? Tom se promène dans la pièce après avoir fermer la porte à double tort. Il veut être certainement qu’on se trouve entre nous, éviter d’être déranger par une femme nommé Julie. Je pense que bon nombre de fille aimerait être à ma place pourtant moi, je voudrais partir le plus vite possible.

Tom : est-ce que tu pourrais faire bouger quelque chose pour montrer ta présence…je ne te ferrais aucun mal, je te le promets

Je ne préfère rien faire. Je ne sais pas comment il pourrait réagir. Il sait que je suis là, alors qu’on ne peut pas me voir. Donc il connait les existences de certaines choses inexplicables.

Tom : je ne te ferais aucun mal, je ne te peux te toucher sauf si tu le désire et pour info, tu peux entendre parler si tu parle assez fort

Depuis que je suis ici, dans son monde parallèle. Je ne parle pas beaucoup, je suis comme muette. Je n’ai plus entendu ma voix depuis quelque jour. Pourquoi parler quand personnes ne peut nous entendre et maintenant j’apprends que si. J’aurais pu foutre la trouille à des personnes, si je l’allais su plutôt. Il y aurait eu des personnes qui auront fait des crises cardiaques. Autant essayer, je ne risque rien.

Moi : heu

Qu’est-ce que je suis censée dire. Heu, bonjours, je suis désolée de vous déranger mais je… ». Je n’arrive pas à terminer cette phrase. Je suis un fantôme ? Alors je suis morte ? Je suis une chose bizarre

Tom : si tu pouvais dire une phrase avec un sujet, un verbe et des compléments. Cela me ferait très plaisirs
Moi : je…je ne sais pas où je suis et pourquoi je suis là
Tom : tu as peur ?
Moi : je pense que j’ai passé ce niveau depuis un petit temps
Tom : tu es morte mais seulement le temps que ton cœur se relance pourtant ces secondes se transforment en heures voir journée quand tu es ici
Moi : super, en râlant
Tom : qui t’a mordu et t’a donné son sang
Moi : bonne question, je ne sais pas, j’ai été comment dire manipuler plus d’un an, cette personne ne donnant son sang qui avait pour conséquence des « simples » rêves qui se révèlent être des souvenirs. Alors que tout commençait à aller mieux, je me suis fait mordre et ensuite j’avais soif, j’ai bu la première chose qui venait à moi
Tom : la personne mordue est attirée par le sang de son agresseur.
Moi : merci, j’avais remarqué
Tom : désolé si je te frustre

la suite demain

snif f personne ne veut de suite sniff

Siiiiiiiiiiiiiii je veux la suite moi !!!!!!!!!!!!!

alors je vais la poster juste le temps de lire pour eviter qu'il y a trop de faute et je poste ^^

J'attends

Je me sens trouble quand j'attends sa voie. Pour dire que je le connais mais au présent. Désolé si je te frustre, je ne suis pas frustrer, je suis tout simplement en colère contre toutes personnes vivantes. Pourquoi est-ce que cela arrive à moi ? Je ne suis pas si méchante que ça. Je ne fais rien de mal.

Tom : je peux te poser une question ?
Moi : oui bien sûr
Tom : est-ce qu’on se connait ?
Moi : oui
Tom : connaissance, ami
Moi : on va dire ami
Tom : pourquoi « on va dire » ?
Moi : c’est compliqué à vrai dire, en riant

Je remarque qu’il approche vers moi donc par réflexe, je recule. J’ai un peu peur de cette situation. Je ne sais pas ce que je dois faire ou comment réagir. Il y a cet homme que je connais en surface qui veut me parler, qui veut essayer de me connaitre. Je me déplace en fessant attention cette fois-ci.

Tom : je suis curieux de me connaitre. Qu’ai-je pu faire pour n’être qu’un « on va dire ami ».
Moi : c’est personnel
Tom : je suis dedans donc je peux savoir
Moi : non, tu ne l’as pas vécu donc non

Je cherche un endroit pour partir. Je remarque les rideaux qui bougent donc il y a du vent dehors alors la fenêtre doit être ouvert. Chouette, un peu de chance. Je regarde au loin puis fixe le bas. Il y a de la hauteur. Aie.

Moi : si je me blesse ici qu’est-ce qui se passe là-bas ?
Tom : des choses bien plus grave que tu peux l’imaginer
Moi : super, en soupirant

Je finis par m’assoir sur le lit. Je regrette de ne pas avoir la télévision ou le portable. J’ai encore ce satané réflexe d’aller dans mes poches pour regarder si j’ai reçus un sms. Je me sens toute nue sans cette chose près de moi. Les gens de mon époques, nous sommes dépendants à cette technologie, je pris que jamais les centrales quel qu'elle soit ne s'arrêter jamais. Je pense qu'on s'emmerderait où se serait le contraire parce qu'il y aurait plus de travail, oui, tout faire à la main cela prend du temps

Tom : tu es où ?
Moi : quelque part !

Déjà qu’il peut me sentir, je ne sais pas qu’il sache où je suis. Pourquoi a-t-il besoin de le savoir ? Pourquoi se pose-t-il ces questions ? Tom s’assoit juste à côté de moi. Il pose des questions, alors qu’il peut répondre tout seul. Je suis fière de lui, de me faire tourner en bourrique.

Tom : je peux connaitre ton nom ?
Moi : heu…d’abord est-ce que tu auras souvenir de ça ?
Tom : oui, c’est comme un flash back mais en vérité, tu as fait un bond en arrière
Moi : alors je ne préfère rien dire
Tom : alors mon ami, je suis comment dans le futur ? Toujours aussi beau ?
Moi : tu es immortel, tu ne change pas, donc tu es pareil…si cela ne te dérange pas, je voudrais partir
Tom : d’accord, en se levant et ouvrant la porte

Je pars le plus vite possible. Je cours en évitant les personnes. Punaise que font ses personnes à cette heure là ? Je passe la nuit dans la cuisine mais lorsque je tombe sur un rat qui voudrait me dévorer, je décide de trouver un autre endroit pour y dormir. Je ne trouve rien de convenable, je vais mourir par le manque de sommeil. Je fonce dans un truc mou et dur à la fois. Je tombe par terre.

J'aime beaucoup cette suite !!! Elle reste étonnament calme pour ce genre de situation, ça me fait rire Smile

J'ai hâte de lire la prochaine suite même si je suppose que l'on approche de la fin...

bah j'ai pas encore d'écrire la fin donc ce sera dans plusieurs suites

heu bientôt un lemon ^^

la fiction vous interresse encore ?

Bien sûr qu'elle m'interesse toujours !!! Surtout s'il y a un lemon à venir Very Happy

mdr il y a que toi qui suit ma fic mdr

c'est pas vrai
moi aussi je lis ta fiction
bon ok ... je ne mets pas toujours de commentaires
à vrai dire je ne vais plus vraiment sur l'ordinateur
mais je continue à lire ta fiction
et en plus de sa je veux la suite en plus j'ai compris qu'il y avait un lemon bientôt
^^
^^
^^
la suite stplai

ho la coquine enfin comme toutes les filles lol

la suite se soir

d'accord ma diablesse
vivement se soir

Tom : tien, tien, je me demande qui peut être se fantôme ? Je peux enfin connaitre ton nom ?
Moi : je peux savoir pourquoi tu es si bizarre ? En parlant lentement
Tom : est-ce que ca va ?
Moi : je suis morte de fatigue, en ballant
Tom : tu veux dormir avec moi enfin dans ma chambre mais pas avec moi ?
Moi : merci
Tom : mais à une seule condition !
Moi : il y a toujours un « mais ». Je suis maudite
Tom : je veux savoir pourquoi nous ne sommes pas des amis comme tout le monde
Moi : nous sommes amis, cela est sûr et certain mais on ne…
Tom : quoi ? En hurlant
Moi : on ne fait pas l’amour avec ses amis
Tom : nous ?
Moi : c’est gênant horriblement gênant

Je me cache le visage, je ne souviens pas que personne ne peut me voir. Je lui demande de m’aider pour dormir. Il m’ouvre les portes, je peux enfin dormir. Alors que je me réveille, Tom m’accuse de mentir, que je suis une menteuse. Je lui explique comment est sa cicatrice au niveau de laine. Il me répond qu’il n’a rien, il n’a pas de cicatrice et n’aura jamais.

Moi : blesse-toi et tu auras une cicatrice !
Tom : je cicatrice aussitôt donc impossible
Moi : bah je ne comprends rien, je ne suis qu’une menteuse, je ne dis que des conneries mais je sais que tu es un con et tout ce que je vis est ta putain de faute, en criant. J’aurais voulu que jamais tu ne reviennes dans ta maison, que se soit ton frère ou toi
Tom : tu connais mon frère ?
Moi : lui, il est plus gentil que toi. Il est marrant et moins coincée du cul. Je préfère rester avec Jack que toi au moins, il me fait rire.
Tom : tu…
Moi : oui, en le coupant. Je veux repartir chez moi quoi que je préfère mourir pour revoir ta gueule

Je suis méchante, moi. Je pense que j’ai un pétage de câble. Je viens de mourir donc je peux péter mon câble. De plus, je ne supporte pas le fait qu’on met ma parole en doute. Les jours passent, je continue à passer mes nuits dans sa chambre. Je mange à ma guise sans manger les restes, Tom commande deux fois plus de nourriture. Je m’ennuie comme pas possible. Alors que je dors dans le canapé, je sens un vent froid passer contre la jambe. Je me réveille aussitôt, j’aperçois une silhouette passée. Elle n’est pas discrète avec sa bougie. Je me lance dans une tenue assez léger, je m’en fous personne ne me voit.
Cette femme retire doucement le drap qui cache le corps de Tom. Celui-ci reste totalement endormir. La femme passe ses doigts sur la peau de cet homme. Punaise, elle a un couteau dans la main. Je pousse Tom mais je n’arrive pas, je ne parviens pas à faire bouger seulement qu’une mèche de cheveux. Je suis comme bloquer par un mur. La femme découpe le tissu qui cache l’intimité de celui-ci.
Elle veut pour mordre…l’artère dans la jambe. Je pensais qu’elle allait faire autre chose à vrai dire. Tom est réveille lorsque cette fille lui mord la jambe ce qui a pour conséquence une plaie profonde.
Tom la prend dans ses bras et la jette par la fenêtre. Il ne cherche pas à comprends. Aller zou à la poubelle.

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