[A] « And the Reason is You. »

je veux une suite !!! (et sur ton autre fic' aussi )

AhAh :p

Je veux une suite pour me motiver pour mes exams !! mdr
pitiééééé xD
je rêve de mp <3

Nouvelle lectrice =).
J'ai lu ta fic d'une traite.
J'ai vraiment aimer. Hâte de lire le prochain

Ca fait plaisir de voir que tu es si contente
Moi c'est Cindy
J'espère qui aura bientôt la suite =)

Hey hey les poulettes ! =)
Une petite suite, qui j'espère vous plaira.
Dédicasse à toutes celles qui sont plongées dans d'ennuyantes révisions.
(Ile, & Ju"...)
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Il sentait que son attitude changeait. Il aimait ça. Mais il savait qu'il ne devait pas trop y croire. Elle le faisait pour Tom, pas pour elle. Elle le lui avait bien fait comprendre. Parce qu'en dehors des répétitions, elle n'avait pas changé, loin de là. Il avait même l'impression que plus elle se rapprochait de lui sur scène, plus elle se montrait distante et froide en dehors. Elle l'évitait autant qu'elle pouvait, ne lui adressait pas la parole, l'excluait de tout, tout le temps. Elle était tellement forte, se disait-il. Tellement forte qu'elle allait avoir sa volonté.
Elle, pourtant, se sentait vulnérable. Elle se sentait seule, malgré le soutien sans faille d'Abbey, et du reste de ses musiciens. Elle ne les remercierait jamais assez. Mais là n'était pas le problème : Tom lui manquait, horriblement. C'était dur poursuivre ce projet sans lui.
Elle l'imaginait alors, en train d'enregistrer les guitares du nouvel album qu'elle se ferait un plaisir d'écouter. Elle imaginait aussi Bill, chantant ses états d'âme de sa voix si unique. Elle imaginait Gustav tout donner sur sa batterie, et Georg vivre chaque chanson intensément à la basse. Cet album serait forcément une réussite, du moins elle l'espérait.
Et puis, elle songeait à sa propre situation. Elle n'avançait pas. La tournée serait étrange, elle aimait le contact du public, mais elle savait d'avance qu'elle ne l'apprécierait pas à sa juste valeur. Elle s'en voulait déjà. Les retour qu'elle avait reçu de son album étaient tellement bons...


« Lola,
J'ai vraiment adoré ton dernier album !
Enfin « votre » devrais-je dire.
Sincèrement, je n'aime pas vraiment Tokio Hotel, bien que je n'ai jamais vraiment écouté.
En apprenant tes fiançailles, j'étais mitigée.
J'étais heureuse pour toi. Mais en même temps, j'avais peur que ton style change, que tu finisses pas nous faire du Tokio Hotel...
Et puis, l'album est sorti. Je l'ai écouté. En boucle.
J'ai adoré.
Je vous souhaite vraiment tout le bonheur du monde, vous le méritez.
Votre connivence musicale est tellement rare, je te jure que je me suis dite que ça semble plus que naturel que vous travailliez ensemble !

Gros bisous, à très vite sur la tournée,
Lili »


L'administrateur du forum officiel (qui était devenu un ami avec le temps) lui avait même écrit la semaine précédente pour lui dire à quel point « tous le monde, sur le forum, est unanime : c'est ton meilleur album. Tellement personnel et évident. Les chansons nous parlent, les gens se sentent transcendé par tout l'amour qu'il dégage. » Avant d'ajouter la phrase qui remuait le couteau dans la plaie : « Et tout le monde espère sincèrement que Tom sera là pour la tournée. ». Elle allait décevoir son public en ramenant Benjamin. Ceux qui la suivait depuis le début le reconnaîtraient sûrement. Ils connaissaient l'histoire. Ils savaient qu'ils avaient été très proche et qu'il l'avait laissé tombé d'une façon immonde. Mais ça ne les empêcherait pas de jaser sur une éventuelle rupture, sur un froid dans le couple, sur elle et Benjamin.
Les journaux people allaient fondre sur cette info comme des abeilles sur du miel, allaient chercher la petite bête, reprendre des phrases sorties de leur contexte pour essayer de lui faire dire ce qu'elle n'avait jamais dit, et qu'elle ne dirait jamais.
Elle avait peur de ne pas plaire, elle avait peur de perdre Tom, elle avait peur de cet imbécile de Benjamin. Lola n'allait pas bien, et ça, ça n'avait pas échappé aux yeux d'Abbey. Elle essayait de lui tirer les vers du nez tous les soirs, après les répèt', quand elles se retrouvaient pour boire un café ensemble dans la chambre de la jeune femme. Ce soir-là, elle vit sa meilleure amie triste comme elle ne l'avait jamais été.

Abbey frappa, et patienta un peu. Lola ne répondit pas. Elle renouvela son geste, et entendit un faible « Deux secondes, Ab' », que lui lança sa meilleure amie. Elle avait pleuré, ça s'entendait. Elle lui ouvrit, les yeux rougis par les larmes.


- Hey ! Qu'est-ce qu'il t'arrive ma puce ?


C'était une question stupide.


- À ton avis ?
- Je sais pas, peut-être que t'as appris qu'ils ne servaient plus nos cafés préférés, essaya la bassiste.


Lola sourit doucement. « Ok, c'est pas gagné. », se dit Abbey, passant une main dans sa chevelure blonde.


- J'en peux plus Ab', j'en peux plus. On avance pas, Tom me manque, et je hais Benjamin. Je lui ferais bien bouffer sa guitare, je te jure.
- Lo'...
- Non mais c'est vrai. Le pire, c'est qu'il s'améliore et que je peux plus le virer. Plus maintenant.
- Et alors, c'est vraiment une mauvaise chose ?
- Abbey, mais t'écoute ce que je te raconte depuis plusieurs semaines ? Je le hais, je l'exècre, je...
- Oui, c'est bon, je veux pas entendre tous les synonymes du mot « haïr ». Je veux dire par là que c'est bien qu'il s'améliore, non ? En tous cas, c'est ce qu'on commence à penser. Il te connait par cœur, Lo', tu as beau prétendre le contraire, il connait ta musique et il se débrouille presque aussi bien que Tom...
- AH NON ! NON NON NON !


Lola s'effondra sur son lit, et Abbey vint l'enlacer, pour la réconforter.


- J'en peux plus Ab'. Oui, Benjamin s'améliore, et ça me fait peur...parce que parfois, sur certaines chansons, quand je ferme les yeux, j'ai l'impression qu'il est là, sur scène avec moi, qu'il est tout près...et puis j'ouvre les yeux, et je vois cet espèce d'enfoiré sourire comme un demeuré, et je rends compte que non, Tom n'est pas là, qu'il est à plus de dix heures de vol d'ici, que je ne le reverrais avant plusieurs semaines, qu'il me manque, et que je suis à bout de nerfs...


« Ok, elle ne va pas bien. Vraiment pas bien. Il faut que je fasse quelque chose. », se dit Abbey, les larmes aux yeux.


- Ça va aller, Lo', ça va aller.
- Je ne veux que ça, que ça aille mieux, mais pour l'instant...


La jeune chanteuse ne put finir sa phrase, reprise d'une terrible crise de larmes.


- Il me manque, Ab', il me manque et je sais plus quoi faire...

[…]

Tom savait qu'elle n'allait pas bien. Il se sentait fatigué, triste et abattu. Il bossait, parce qu'il le fallait, parce qu'il l'avait promis à Bill, parce qu'il ne voulait pas s'engueuler avec les G's. Il faisait ce qu'on lui demandait, il se levait le matin, il allait en studio, il faisait les arrangements qu'on attendait de lui, il n'était pas inspiré. Il passait tout son temps libre à écouter l'album qu'il avait fait avec Lola, l'entendre chanter leur refrain l'aidait un peu à tenir le coup. Tout le monde l'avait remarqué, mais personne ne lui disait rien, saluant l'effort qu'il faisait pour continuer à bosser malgré tout.
Cette situation rendait Bill mal à l'aise. Il savait que son frère allait mal, il le sentait au fond de lui. Ce vide tellement affolant qui lui bouffait les entrailles, c'était celui de Tom, pas le sien. Le sien était simplement dû à l'angoisse de leur nouvel album, et de l'accueil qu'il pouvait ou non recevoir de leur public. C'était une bonne angoisse, depuis que Tom lui avait promis de ne pas les laisser tomber, il y a une semaine de cela. Il s'enthousiasmait à l'idée de présenter l'album, de décrire le nouveau concept au monde entier, de présenter leur nouveau bébé. Les G's étaient aussi heureux de cet opus, qui renouaient avec leurs deux premiers albums, ils savaient que ça allaient plaire aux fans, qui leur réclamait un retour aux sources depuis la sortie de leur avant dernier album, « Humanoid ». Donc, l'angoisse que Bill ressentait, la mauvaise partie de l'angoisse en tout cas, c'était celle de Tom.
Il ne reconnaissait plus son frère. Un zombie. Lever, bosser, manger, bosser, manger, bosser, appeler Lola, aller se coucher, dormir plus que de raison était l'emploi du temps de son double. Il voulait faire quelque chose, mais quoi ? Ils avaient un calendrier à respecter, David ne les lâchaient pas une seule seconde, sûrement de peur que Tom ne reparte.


- Dav', il faut qu'on parle de Tom, dit le chanteur, pendant une pause.
- Quoi, qu'est-ce qu'il a Tom ? Il bosse, il parle plus de sa nana et il vous fout la paix, non ?
- C'est pas ça...il va mal. Il va très mal.
- Bill, il ne repartira pas à Paris.
- Mais...
- Pas de mais...l'album est fini dans moins d'une semaine. Vous aurez deux semaines de repos, si ce n'est plus, après ça. Il aura tout le temps de la voir.
- Mais...
- Non, c'est non Bill !
- DAVID BORDEL !!! s'écria-t-il, entre colère et peine. Il...il...il tiendra pas une semaine de plus...je le sens, David, je le sais...il va vraiment...vraiment très mal...


L'androgyne éclata en sanglots incontrôlables, laissant son producteur incapable de réagir. Il n'avait jamais vu le jeune homme se mettre dans cet état. Il était tellement fort, d'habitude. C'était le membre du groupe qui savait le mieux garder son sang froid, le pilier, celui sur qui la force du groupe reposait. Il était tellement charismatique que David en oubliait presque parfois qu'il n'avait que 25 ans, et qu'il avait des faiblesses. Son frère en était une. La fatigue de son double l'affectait au centuple, parce qu'il s'en occupait sans arrêt, et veillait sur lui plus que de raison. Les deux semaines de vacances allaient leur faire du bien, à ces deux là, songea le producteur. Il croisait surtout les doigts pour que le tressé choisisse de ne pas uniquement passer ce temps libre avec sa dulcinée, parce que, bien que Bill était plus soulagé de savoir son frère heureux, David savait pertinemment que le jeune chanteur avait besoin de retrouver son frère, de passer du temps seul avec lui pour être parfaitement d'attaque face à la promotion de l'album, et à la pression des médias que le groupe s'apprêtait de nouveau à affronter.


- Une semaine Bill, juste ça, et je vous lâche, lança le producteur d'une voix compatissante.

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Voilà !
Vos avis ?

Merci pour cette superbe suite Clem!
J'adore, encore et toujours, et je me demande si Lola va réussir à tenir durant la tournée...
Bill m'a énormément émue je dois dire, parce que là, on voit plus sa souffrance.

Mais est-ce que Benjamin ne va pas forcer le passage, enfin tu vois....

Suite ma chérie, j'aime!

Bill est genre ... trop mignon avec son frere je trouve, super attentionné quoi !
Suite !!!

Je crois que j'ai fait mon commentaire version bill poule mouillée ?
je maintiens mdr


Merci Clem de penser à nous !
Et de compatir dans cette souffrance mdr

j'aimeeeeeeeeee
zuiiiiteeeeee

Suiiiite!

Moi j'aime bien Benjamin

*Cours se planquer dans le bunker *

Mouahaha

J'aime pas la façon dont il a réagit quand il a apprit pour elle et Tom è_é
C'est... c'est MECHANT voilà !

Citation :

MAIS Y'A RIEN A COMPRENDRE TOM ! RIEN ! TU NOUS FAIS TOUS CHIER, C'EST TOUUUUUT ! s'emporta Bill.

Oui je suis tout à fait d'accord avec toi Bill, Tom nous fait chier !

Qu'il dégage !



J'aime pas que tu montres qu'ils s'aiment et qu'ils se manquent mutuellement. J'aime pas Tom.

*cours se pendre*

Nan pas vrai xD

J'aimerais dire que j'ai hate qu'ils se retrouvent... Mouahaha

Bref je vais arrêter de raconter des conneries, y en a qui vont me prendre pour une dingue attardée ici >>

Ah, HS mais j'ai un nouvel ordi donc maintenant, je pourrais de nouveau venir raconter des conneries tous les jours !
Alors, heureuse ?

TRÈÈS HEUREUSE
(PLUS PLUS....)
Ah, çà t'avais manqué hein!
Eh ben moi t'es conneries, elles m'ont grave manquées XD!

Owii ça m'avait manqué

T'inquiètes, maintenant, je suis de retour

*Pour vous jouer un mauvais tour ? *

Je ne peux que plussoyer Ile sur ce coup.
Je t'accueille avec joie dans mon bunker (je suis en trainde lire The Host [Les Âmes Vagabondes, en français] donc parler de bunker est très étrange...bref. Lisez ce livre, il est énorme) !!!

Quelle joie de te retrouver Traaaaaash !

Héhé. Bon, y'a certains trucs que je peux pas accepter, même de ta part, à propos de Tom.
Non, le rêve dans lequel que je suis enceinte de lui n'y est pour rien.

Donc, comme je suis trèèèèèèèès heureuse de retrouver tes commentaires décalés, je vous poste une suite.

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- Ju', dis, tu viens quand me voir ?
- Whenever you want, dear !


Georg rit à la réplique de sa copine. Julie et lui se connaissait depuis quelques années déjà, depuis l'emménagement des jumeaux à L.A plus précisément, mais le déclic entre eux ne s'était produits qu'il y a presque un an maintenant. Après avoir quitté son ex qui vivait à Hambourg – elle ne supportait plus le statut que lui conférait sa relation avec lui – il avait reçu beaucoup de soutien de la part de la jeune californienne, avec qui il se sentait tellement bien. Ils étaient d'une complicité sans faille, s'aimaient sincèrement, et pourtant, la distance ne les affectaient jamais. C'est pour cela qu'ils avaient du mal à comprendre le malaise qui régnait dans le groupe à ce propos. Ils en auraient même bien ri, si cela n'affectait pas autant le moral de tous le monde.


- Bah je veux que tu viennes maintenant !
- Georg, je bosse là.
- Je sais. Laisse-moi espérer, soupira-t-il.
- Aller, j'ai pris 3 jours de congés, plus qu'un jour, honey, et je suis à toi pour trois jour entiers.
- Croise les doigts pour qu'on ait fini l'enregistrement d'ici là...sinon je crois que tu passeras plus de temps à m'attendre qu'à être dans mes bras...
- Tu penses que ça sera bon ? Non parce que sinon, je déplace mes jours, hein ! Je veux pas en perdre 3 comme ça !
- Ju', tu sais très bien que des jours de congés, t'en as tant que tu veux. Ton boss est dingue de toi !
- Je ne vois pas du tout de quoi tu parles..., s'exclama-t-elle, d'une fausse voix angélique.
- Genre, comme si t'en jouais pas, en plus ! rit le bassiste.
- Mooooiiiii, abuser de mon charme ? Jamaaaaaaaaiiiiis !


Le bassiste s'esclaffa alors de son rire si communicatif.


- De toute façon, qui n'est pas dingue de moi ? ajouta la jeune femme, elle aussi tordue de rire.
- Bah moi, voyons. Si je te fréquente, c'est uniquement pour tirer des coups.
- Et moi, c'est uniquement pour ton fric ! lança-t-elle, hilare.
- Bon, on est d'accord sur un point alors. Relation totalement intéressée.


Silence entendu. Ils savaient que plaisanter les aidait à garder les pieds sur terre. Ils avaient ce sens de l'humour si particulier, que tellement de gens trouvaient pathétique, si bien que lorsqu'ils se rencontrèrent et rirent des mêmes choses – choses auxquelles ils étaient les seuls à rire –, ils surent qu'ils étaient fait pour s'entendre.


- Bon, je dois retourner bosser. À croire que mon boss n'est pas si fou de moi que ça, souffla-t-elle.
- Je te rappelle pour te dire où en est l'album !
- Oui, enfin rappelle-moi surtout pour me dire si les cassos' qui te servent de partenaires ont décidé de se dérider un peu ! lui dit-elle, d'une façon qui laissait entendre qu'elle plaisantait encore, mais pas tant que ça en fait.
- Pas de soucis. Je t'aime, Ju'.
- Love you, honey. See you soon.
- See you.


Georg avait, grâce à son américaine de petite amie, vraiment progressé en anglais. Il en était fier, d'ailleurs. Il savait tenir une conversation plus que convenable dans la langue de Shakespeare, si bien que Bill lui demandait souvent de l'aide lorsqu'il butait sur la prononciation d'un mot, d'une phrase, ou tout simplement lorsque le vocabulaire lui manquait.


- Alors, comment elle va ?


Gustav venait de le surprendre en débarquant dans sa chambre – les jumeaux avaient aménagés deux chambres pour les G's lorsqu'ils venaient de leur rendre visite – sans le prévenir. Le batteur était le seul au courant de son histoire avec Julie, puisque bien que Georg considérait Tom comme un de ses meilleurs amis, ses derniers mois avaient été les plus distants qu'ils avaient connus depuis que le groupe existait. Le bassiste avait donc reporté ses envies de confidence sur le blond. Et Bill, lui, était un peu trop centré sur lui-même et sur ses propres problèmes pour remarquer quoi que ce soit, bien que ce soit lui qui ait présenté Julie au brun.


- Elle va bien, merci.
- Dis, je peux te demander un truc ?
- Vas-y.
- Comment vous faîtes, avec Julie ? Pour rire comme ça, de tout, sans arrêt, pour rire de la distance...
- Bah, à vrai dire, j'en sais rien...on est comme ça, c'est tout. Pourquoi ?
- Parce plus le temps passe, plus les séparations sont difficiles...Ile me manque, mais je ne sais pas vraiment comment faire face. Je t'avoue que j'ai peur de devenir comme Tom, ce qui, franchement, n'est pas du tout souhaitable.
- Je ne pense pas que tu arrives un jour à atteindre son état actuel, tu sais, soupira Georg.
- Oui, mais on sait jamais. Elle te manque pas, Julie, mec ?
- Si, bien sûr que si...mais on relativise, elle et moi. L'humour, c'est un exutoire. C'est pas voulu, on est comme ça, c'est une part de notre caractère, c'est notre façon d'oublier qu'on se manque. Il ne faut pas vous forcer à en rire si vous ne trouvez pas ça drôle, il faut juste vous dire ce que vous en pensez, et c'est tout.


Gustav songea à ce que son ami venait de dire. Lui et Ileana se disait tout ce qu'ils pensaient, donc aucune crise majeure ne serait à prévoir ? Il l'espérait sincèrement. L'idée même de traverser les mêmes épreuves que Tom et Lola lui faisait extrêmement peur.

[…]

- Aujourd'hui, interviews, ma p'tite Lo'.
- Pardon ?
- Oui oui, affirma Alex. Attends, tu croyais sérieusement qu'à moins d'une semaine du début de la tournée, t'allais t'en sortir sans une seule interview ?
- Bah franchement...j'espérais ouais.


La jeune femme soupira, et imagina déjà la tête des journalistes quand elle annoncerait que Tom ne faisait pas partie de cette tournée. Elle en avait déjà mal au ventre. Elle ne voulait pas leur présenter Benjamin, mais elle devait le faire. Du moins, Alex allait la forcer à le faire. Elle le voyait dans ses yeux, ils avaient cet air sournois des gens qui ne disent pas tout ce qu'ils savent dans l'optique de ne pas vous effrayer, ou tout simplement de ne pas avoir à affronter votre colère.


- Combien ?
- Oh euh...une douzaine. Quasi que des magazines musicaux. Et un ou deux people et jeunesse.
- Youhou, lança Lola avec un enthousiasme feint.

[…]

C'était parti. Dans cette suite de l'hôtel, elle allait devoir répondre aux questions parfois sensées, parfois complètement loufoques. Comme elle l'avait prédit, Benjamin était là. Tous les musiciens étaient là en fait. Une façon pour Alex de faire passer la pilule plus délicatement auprès de Lola.


- Bonjour tout le monde, commença le premier journaliste. Je suis John, du magazine StarPeople.


« Hey bah..., pour un commencement » soupira Lola.


- Bonjour, dirent-ils tous en cœur, sans réel entrain.
- Alors, pour commencer...où est Tom ?

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So ?
Une suite bientôt, quand j'aurais un peu plus écrit, parce que j'arrive à cours de suite...

HS: Tes mauvais tours, je les attends avec impatience Trash !
Clem, j'ai lu ce bouquin, et il gèresaracedesamèrelacatin.

HS FINI: J'ai trop kiffé!
Sérieux Georg et Julie m'ont fait vraiment rire, j'trouve que c'est le couple le plus "normal" et touchant.
Et non, moi j'les comprends très bien, leur humour est trop top! On reconnaît bien Julie d'ailleurs xD.
Moi j'pense que Gustav devrait essayer l'humour avec moi. J'suis très réceptive à l'humour (n'importe quel humour d'ailleurs XD).
MAIS PAS DE CRISES DE COUPLE AU SEIN DU MIEN CAPICHE?
Sinon j't'écartèle dans ma fiction! (HARDCORE BONJOUR!)
Et Lola, Lola, Lola...mais que va-t'on faire d'elle hein -?
Non j'la comprends entièrement, et j'ai juste l'impression qu'elle va se faire decsendre par les journalistes et que Benjamin va l'aider...et beurk!
Suite (je t'aime!)

Yeaaaaaah J'arrive alors x)

Je l'ai lu aussi ce bouquin, j'attends une suite now

Je kiff Georg et Julie <3

Mouahaha Tom a disparu !

*C'est un de mes mauvais tour qui aurait enfin marché ? *

Tant mieux !

*Je suis tellement vache avec lui que je me déteste intérieurement, c'est assez bizarre x)*

Suite !

Pour être à contresens, je suis à contresens xD

En même temps c'est normal, je suis unique



*Heureusement nan ? xD*

J'aime beaucoup cette suite !! Surtout la relation de Georg et Julie

Par contre si j'avais été à la place de Lola, j'aurai répondu direct au journaliste " Dans ton cul, t'as regardé ? " bon je pense pas que ça passerait bien mais qu'est-ce que ça la soulagerait lol

J'aime suite !!!