[T] Don't leave me.

.... Jullylie ... a écrit:

AAAAAAAAAAAH, voilà je suis mourru mdr
attends je me défébrille mdr

Tu peux venir pour moi ????

ouiii de suite j'arriiiiveeee
mais je risque de te tuer parce que j'ai lu ce que tu as posté toi aussi mdr

Aller, suite suite

Ileana il faut que l'on négocie moi aussi je la veux !!

Ooooooohhh !
(s'en va pour pleurer..)
(Reviens)
Ooooh mais non ! C'est trop triste ! Pauvre Gustav! :'( Je sens que cette fic ne va pas être toute rose. (je sais pas si ça se dit cette expression..^^")

Sinon, ça doit faire du bien à Tom de se faire remballer comme ça :p, il arrêtera de se prendre pour un lover !
J'ai adoré le passage avec Julie.

SUIITE !

zuiiiteeeeee

Oui, aller une suite (:

Hello!! Je dirais bien "nouvelle lectrice" mais bon je commence à connaitre la maison lol, donc me voilà de retour pour prendre du plaisir en lisant ta nouvelle fic!!

Que dire déjà j'adore tes 2 perso Julie et Clemence (de plus c'est cool de lire les commentaires des 2 héroïnes)
Comme toujours j'aime ta vision de Tom en plus même si il à l'air c*n je sais que ça va changer et je sens qu'il va adoucir Julie...

Pour Gustav je m'y attendais pas, au début j'ai penser que c'était par rapport au groupe qu'ils étaient séparés après une cure ou la prison, puis quand j'ai su pour le fauteuil j'ai plus penser à un accident tu m'a scotché avec la leucémie je m'attendais pas à ce qu'il soit condamné!

Mais bon j'espère et je sens qu'il va aller mieux, hein?? Rassure moi il va aller mieux??

Suiiiiiiiteee

.... Jullylie ... a écrit:

ouiii de suite j'arriiiiveeee
mais je risque de te tuer parce que j'ai lu ce que tu as posté toi aussi mdr

Ce que j'ai posté ? Qu'est ce que j'ai posté ?

Allez xllenax ! La suite !

Une suite mily/georg :"(

tu suiiites la russe ?????

Hello Lululovetom, çà fait plaisir de te voir là .
Elle est là, l'amerloque :p
______________________________________


Song:"Somewhere"

Clémence s'était enfermée dans la salle de bain, son havre de paix. Si elle se devait d'être forte, elle se devait aussi de tout lâcher.
Elle s'y attendait. Elle savait que çà allait lui faire mal, elle savait parfaitement qu'elle aurait beau faire tous les efforts du monde, cela ne changerait rien. Elle s'asseya sur le rebord de la baignoire, ses jambes tremblant trop pour la supporter. Elle regarda son reflet dans le miroir, reflet d'une femme dont les traits heureux s'étaient évaporés. Ses joues se crispèrent, et des petites larmes jaillirent de ses yeux. Elle glissa le long de la baignoire, la main bloquée sur sa bouche, pour étouffer ses sanglots qui devenaient de plus en plus fort au fur et à mesure que le temps filait entre ses doigts, et emportait Gustav loin, très loin d'elle. En position foetale, elle tremblait comme jamais, son coeur menaçant d'exploser. Elle n'arrivait plus à respirer, hoquetant plus qu'inspirant et expirant. L'espoir qu'elle portait en elle depuis qu'il était parti s'évaporait petit à petit, ne laissant aucun répit à la douleur lancinante qui enflammait son coeur, sa tête, ses organes, qui lui donnait envie d'arracher ses cheveux, griffer son visage, arracher ses vêtements pour simplement faire taire cette douleur immense.
Elle pensait s'être enfermée dans la salle de bain, mais décidément, Julie avait plus d'un tour dans son sac. Elle ouvrit la porte, y laissa entrer seulement Bill, et referma aussitôt la porte derrière eux.
Bill se précipita sur Clémence, l'attrapant dans ses bras, la serrant contre lui, la balançant pour qu'elle se calme. Ses sanglots étaient toujours présent, et elle fermait les yeux pour essayer de les tarir, en vain. julie s'asseya à côté de Bill, et prit la main de Clémence, se sentant tout aussi impuissante que Bill, qui la regardait, un air douloureux sur le visage. Allongée sur ses genoux, Clémence commençait légèrement à se calmer. Julie ne comprenait rien, et Bill le vit bien. Il haussa les épaules en signe d'excuse, et Julie comprit qu'il fallait qu'elle patiente un peu. Clémence devait se calmer totalement avant de pouvoir parler.
Il passa un temps, peut-être une heure ou plus, Julie ne savait pas trop, jusqu'à se que Clémence se relève un peu, se blottisse contre Bill, respirant enfin doucement. Elle ferma les yeux. Ouvrit la bouche, mais aucun son ne sortit.

-Ne te presse surtout pas, fit Bill.
-Je peux encore attendre, ne t'en fait pas Clémence, insista Julie.
-Gustav est malade, tu…tu l'as remarqué je suppose.
-Oui, Clémence.
-C'est une leucémie. Stade 4.
-Ce qui veut dire…s'effraya Julie.
-Ca veut dire…çà veut dire…
-Phase terminale, termina Bill. On essaye tous les traitements possibles, même les tests…rien n'a marché pour le moment. Mais on ne perd pas espoir. Surtout pas pour Gustav.
-Mon Dieu, Clémence, je suis désolée…
-Ça va, Julie. Si vous pouviez arrêter de parler de çà, s'il vous plaît. Je veux juste me souvenir de sa rencontre avec lui, et te la raconter, Julie, parce que c'est le plus beau jour de ma vie.

Flash-Back

Clémence lissa sa veste de tailleur, et sa jupe, un peu nerveuse. C'était son premier rendez-vous avec un gros fournisseur. Premier rendez-vous qui se déroulait dans une chambre d'hôtel, prouvant alors à ce moment-là qu'elle était entrée dans la haute sphère de la société. La boule au ventre, elle se présenta à l'accueil, regarda un peu autour d'elle. Ces hôtels, cet argent qui coulait à flot, elle ne s'y habituait vraiment pas.
Elle s'engouffra dans un ascenseur rempli d'hommes étranges, et elle regretta aussitôt de ne pas avoir attendu un autre. Elle ne s'était jamais réellement sentie à l'aise entourée que de garçons. Ils parlaient bruyamment. Un avec des tresses ne cessait de lui jeter des regards en coin, et riait grassement avec un aux cheveux longs. Un, un peu en retrait, une casquette enfoncée sur la tête, regardait le reflet de Clémence sur le miroir de l'ascenseur. Quand il vit qu'elle l'avait remarqué, il se mit à rougir, légèrement. Il baissa les yeux, et se mit à sourire pour lui-même. Clémence eut un léger papillon dans le ventre. Cela faisait tellement longtemps, avec le travail, qu'un homme ne l'avait pas regardé de cette manière. Lorsque leurs regards se croisèrent à nouveau, elle n'essaya pas de se cacher, comme à son habitude, mais elle se mit à lui sourire, gentiment. Il lui fit un signe timide de la tête, et regarda si ses amis ne l'avait pas vu faire. Mais ils étaient en pleine conversation pour remarquer ce qui se déroulait sous leurs yeux.
Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent, et galamment, ils laissèrent passer Clémence. Cette dernière se retourna pour essayer d'apercevoir le visage doux et agréable de sa rencontre. Mais l'ascenseur se referma avant. Clémence haussa les épaules, et se dirigea vers la chambre de réunion, prête à exploser le compteur.

[…]

Clémence sortit la première de cette chambre, en soufflant, passant ses mains froides sur ses joues brûlantes. Le paradoxe du stress. Elle se dirigea vers le même ascenseur quand elle vit l'homme de l'ascenseur, semblant l'attendre. Elle s'approcha de lui, et avant même qu'elle ne lui adresse la parole, il lui tendit un petit papier. Surprise, Clémence eut un temps de réaction avant de prendre le papier. L'homme lui adressa un sourire timide, enfonça sa casquette sur ses rougeurs, et disparut, alors qu'elle s'apprêtait à lui demander son nom. Un peu confuse, elle déplia le petit papier, un sourire attendri s'agrandissant au fur et à mesure de sa lecture:

"Les physiciens quantiques disent que des mondes parallèles nous entourent, et qu'ils correspondent à notre vie telle que nous l'aurions vécue si nous avions choisi un autre chemin, décidé une autre chose. Je ne suis pas physicien quantique. Mais j'espère de tout coeur que mon double dans un autre monde, a réussi à vous parler, et vous dire que vous êtes belle. J'espère qu'il vous a proposé de vous emmener boire un verre. Et j'espère qu'il ne vous a pas laissé filer entre ses doigts comme moi.

Gustav, chambre 708, 324 780 967".

Fin Flash-Back

Julie sortit de la salle de bain, sonnée. Elle n'arrivait plus à reprendre ses esprits, et essayait de ressentir de la peine seulement et uniquement pour Clémence. C'était horrible à dire, mais elle ne voulait pas ressentir de la peine pour Gustav, car ressentir quelque chose pour Gustav signifiait qu'elle allait faiblir, ouvrir son coeur…
Et çà, c'était catégorique. c'était non.

-Ça fait mal de savoir.

Julie fit volte-face et aperçut Tom, dans la pénombre.

-Ça fait mal de savoir qu'un de ses meilleurs amis va bientôt mourir, et qu'il n'y a peut-être aucune solution. Je peux rien faire, à part le laisser s'éteindre.
-Il…il n'est pas encore mort, Tom.
-Je sais.

Il s'approcha un peu d'elle, se pencha vers elle, doucement. Julie recula brutalement, sentant les effluves du parfum de Tom.

-Si tu pouvais garder çà pour toi, ce serait sympa: je déteste quand les gens savent que je faiblis.

Julie le regarda dans les yeux, un peu sous le choc. Tom se mit à sourire tristement, pensant à Gustav.

-On est fermé au monde, toi et moi.
_________________________

Alors ?

Je suis morte de ...... RIRE



AAAAAh ma petite île mdr,
tu m'as pas crut j'espère ?


Ma pauvre clem, elle morfle, et Gustav n'est pas là ?
Il devrait pas lui dire de jolie mot ?
Dans la salle de bain, elle s'est enfuit c'est triste quand même.
Tu as vraiment assurée niveau description, c'était fort.
La phrase de l'année quand même :

Citation :

Julie avait plus d'un tour dans son sac.

Bill est vraiment un beau soutien, pour elle, c'est vraiment.
Il la berce, c'est mignon.
Et moi mme Patient, faudra le noter quand même.
J'aime pas parce qu'il est condamné mais j'ai espoir qu'il trouve un donneur de moelle ?
Possible ou pas ?

Clem rencontre son chéri dans l'ascenseur,
J'aime le regard dans la vitre, ces sourires, et tout.
Par contre les rires gras mon fait rire j'ai bien imaginé les deux types se moquer de lui.

Le petit mot est juste trop touchant, quoi,
je pensais que c'était son numéro, mais c'est même pas ringard c'est juste touchant.

Oh j'aime bien le rapport que tu fais,
entre mon perso et Tom fermer au monde, qui ne veut pas ressentir ce que ressent Gustav.
Tom le voit vraiment déjà mort, mais il y a encore de l'espoir ?
Si tu me réponds pas, on ferait Hiroshima ?
Attention hein !!

Par contre ça je veux vraiment ma réponse.
Parce que je ne sais pas si c'est fait exprès mais :
qui dit la dernière phrase ?
Tom ou Julie ??

J'adore, ces mps :-)

Merci ma île chérie
bizoooo
et
zuiiiiiteeeeeeeee

Ahh mais non, mais non ! Gustav ne peut pas mourir.
Attends, déjà que tu nous mets dans un état pas possible là, alors imagine si Gustav meurs :'(
J'aime bien la rencontre Clémence/Gustav, c'est beau, c'est romantique, c'est magique.
Pauvre Clémence....
Je trouve que le caractère que tu attribue à Tom lui va bien, c'est un tombeur et tout mais qui cache tout ce qu'il ressent, qui cache ses peurs etc.

suite ! ♥

C'est beau... & triste :/
Pauvre Clémence, et pauvre Tom...
Même moi ca m'a fait mal...

Suite ♥

Bonne année les filles, et merci de me lire .
Clémence: Merci merci merci, j'suis heureuse que çà t'aie plu

Julie: Je me suis simplement demandé qu'est-ce qu'il y avait de drôle XD, et ouais, j'y ai cru, ENCORE !!! Clémence refuse que Gustav voit qu'elle faiblit, parce qu'elle consièdre que ce ne serait pas l'aider à aller mieux que de geindre sur son sort et pleurer à ses côtés, voilà pourquoi elle s'enferme dans la salle de bain pour pouvoir lâcher, et après revenir auprès de Gustav.

Pour le message, j'avais peur que çà fasse ringard, mais bon ^^', tant mieux si çà va.
Tom a du mal à être positif ouais, et c'est justement parce que toi&Tom vous êtes fermés au monde que vous allez peut-être vous rapprochez.
Prépare tes bombes nucléaires, car je ne te répondrais pas .

C'est fait exprès pour vous donner le doute, mais c'est Tom qui prononce cette phrase .

Morgane: Tant mieux si tu as aimé, et je suis contente que tu trouves que le personnage de Tom lui va bien.

Camilla: c'est triste, et çà risque pas de s'arranger :/.

J'vous mets la suite bientôt les filles

Quelqu'un veut la suite ?

Song: "Pain".

Georg détestait ce genre de journée, à l'hôpital, mais c'était le seul moyen pour que Gustav reste chez Clémence et Julie, et non pas enfermé dans une petite chambre sans aucun droit de visite. De toute manière, Gustav avait fait son choix, et çà…Clémence ne le savait pas. Et Clémence n'avait pas besoin de savoir que Gustav avait décidé seul, que les médicaments, il ne les prendrait plus, qu'il ne ferait plus aucune chimiothérapie, et que plus jamais il n'irait se faire opérer. Ces visites étaient de simples routines, pour vérifier comment tout se déroulait, et une énième fois supplier Gustav de changer d'avis. Mais Gustav en avait marre, Bill pleurait à chaque séance, et Tom ne supportait pas les hôpitaux. Gustav voulant épargner à tout prix Clémence, il avait donc demandé à Georg de l'accompagner. Et Georg s'était dit qu'il pouvait bien faire çà pour son meilleur pote.

-Gustav…
-Non, Georg. Non, je ne changerais pas d'avis.
-Alors réfléchis encore je t'en supplies.

Georg plaça le fauteuil de Gustav en face d'une chaise, et il s'asseya sur cette même chaise, prenant la main cadavérique de Gustav.

-J'te demande même plus de combattre pour Clémence, ni pour toi, ni pour les autres. Et pour une fois, Gustav, s'il te palpait, fais-le pour moi, réfléchis encore et encore, choisis les médicaments, j't'en supplies, Gustav. Pour moi. J'peux pas me dire que dans quelques mois tu vas partir, que tu vas arrêter de m'taper la tête avec tes baguettes, j't'en pries Gus'…
-Georg, est-ce que tu crois que c'est facile pour moi? Est-ce que tu crois que çà ne me fait rien de vous voir souffrir par ma faute, tu crois vraiment que j'suis heureux de partir? Mec, tu crois que j'ai pas envie de rester? Mais là, c'est fini. J'en peux plus d'être à côté de mes pompes à cause des médicaments. J'peux plus me dire que j'recule la date qu'à cause de médicaments. Je peux plus taper sur ma batterie. Je peux plus cuisiner. Je peux plus marcher. Je peux plus faire l'amour à Clémence, j'peux plus me battre avec vous, tu crois que c'est facile? Et jamais je ne me suis senti aussi bien depuis que j'ai lâché les traitements. Alors, Georg, pardonne-moi d'être égoïste, de vous laisser tomber. Mais si je dois vivre que pour quelques mois encore, je préfère le faire jusqu'au plus profond de moi, et non pas abruti de médicaments. Je t'en parle à toi parce que t'es le plus fort et celui qui supportera mieux mon départ. Mais il va falloir vous faire à l'idée que çà ne sert à rien de me chercher un autre traitement, que vaut mieux profiter des moments avec moi, point barre.

Georg déglutit et enfouit son visage entre ses mains, pour pas que Gustav voit les larmes perler sur ses joues.
Il perdait son meilleur ami, et il devait faire comme si tout allait bien.

[...]

-Ecoute-moi bien Tom, j'ai accepté, trop gentiment, que tu viennes faire les courses avec moi, mais c'est pas pour que tu me fasses chier avec tes boissons à la con! Je ne veux pas de ces conneries chez moi!
-Oui, la pimbêche, ronchonna Tom.
-J't'ai entendu, connard.
- C'était le but.

Julie tapa du pied, à bout de nerfs/ Elle prit le chariot, avança vraiment vite vers le rayon surgelé, pour qu'il courre au moins, pour la suivre.

-Attends-moi au moins, Julie!
-Quoi, t'as peur de te p…

Julie s'arrêta net en voyant l'homme en face d'elle. Son coeur terrifié fit un bond, et elle essaya de reculer discrètement. il se mit à lui sourire, de son air si malicieux et si sadique. Julie se mit à pâlir, mais elle était complètement paralysée par la peur.

-Salut, Julie. Comment vas-tu??
-Je…
-J'te fais toujours autant d'effet, c'est chouette à voir, lança l'homme.
-Ah, merci de t'être arrêter, enfin!, cria Tom, rejoignant Julie, à bout de souffle. Oh, bonjour monsieur, ajouta-t'il en voyant l'homme impressionnant en face de lui. Vous êtes un ami à Julie?
-Une vieille connaissance, dirions-nous, répondit l'homme, sans quitter du regard Julie, qui semblait sur le point de s'évanouir de peur.


Tom regarda Julie, et la posture de défense qu'elle avait prit. Elle était surtendue, tremblait de tout son être. Et cet homme, en face d'eux, l'avait remarqué, et jouait de son sourire pour l'effrayer encore plus. Tom ne vit qu'une seule issue. Il attrapa Julie par la taille, la cacha légèrement derrière lui.

-On va vous laisser hein, on a finit, hein Julie? Au plaisir, monsieur.
-De même.

Tom attrapa le cadis sans lâcher Julie, qui était en état de choc. Ils s'éloignèrent de cet homme sombre, et plus ils s'éloignèrent, plus Julie reprenait des couleurs. Tom ne la lâcha toujours pas, et elle s'agrippait légèrement à lui, encore un peu crispée. Ils payèrent, sortirent du supermarché.

-C'est qui?, demanda Tom.
-Tais-toi. J'veux pas parler.

Julie s'éloigna de lui, monta directement dans la voiture. Tom ne releva pas. Il mit les courses dans le coffre, monta à bord également, et démarra la voiture, non sans lancer un regard vers Julie, qui essayait de cacher ses larmes. Compatissant, il posa sa main instinctivement sur la sienne, et elle ne le repoussa pas, mais ne le remercia pas non plus. Tom repense à la phrase qu'il avait prononcé. Ils étaient tous les deux fermés au monde. Mais ils semblaient être enfermés dans le même monde, tous les deux.
_______________________

Alors???

J'ai TOUUUUUUUT lu
C'est vraiment triste, ce qui est arrivé à Gustav... Ca doit être tellement dur pour Clémence... Gott !
J'aime vraiment ta façon d'écrire l'histoire. C'est émouvant. Chaque mot est émouvant. Chaque chapitre est émouvant.
J'adore la relation Tom/Julie. Julie peut pas le blerer, c'est magnifique xD
Par contre... le monsieur psychopathe il fait peur :O Je veux savoir qui c'est !

Suite !

j'aime beaucoup cette suite,elle est vraiment triste, surtout quand on apprend que Gustav ne veux plus prendre ces médicaments, ça doit être vraiment dure pour le groupe mais aussi pour Julie de savoir que son copain va mourir.

C'est vrai que Julie et Tom sont marrant, elle ne supporte pas Tom mais elle est bien contente de le trouvé quand elle voit l'autre homme. En parlant de lui je veux en savoir plus sur lui.

Vite suite

J'ai adoré ...... un peu.

Je change un peu parce qu'après tu vas plus me croire mdr.

Gustav bon sang, c'est terrible, ce qui tu lui fais.
Waouh mais il peut pas mourir impossible, tu feras pas ça.
( Parce que sinon la vraie guerre commence )
non je rigole je t'aime trop pour ça.
puis avec ce talent quel gachis

C'était beau le discours de Gustav,
Georg est vraiment un bon ami,
mais quelque chose me dit qu'il va craqué je sais pas qui le dira à Clem
Qui le remettra à l'ordre le Gustav.
Mais j'avoue que je comprends sa réaction.

Les courses avec un mec ?
Jamais grosse, grosse, grosse erreur.
je le vois que trop bien courir avec dix litre de boisson gazeuse.
pimbêche, j"étais morte de rire, lui il dit un vieux mot rétro et moi un connard bien comme il faut.
j'adore.

Mais qui est ce mec ?????
lol
il l'a traumatisé mon perso ?
bon il est grand méchant, sadique ???
tu m'en dis plus ?
A moi hein rien qu'à moi.
Surtout que j'ai pas eu la suite en avance, xD
Bah oui je dormais j'étais ko, fin bref, j'éteinds RTL

Tom est je dirais utile ?
Non c'est mignon, de toute façon j'aurais pas ranger les courses

Citation :

enfermés dans le même monde, tous les deux.

J'adore cette phrase.
Tu commences à me faire souffrir ?
j'adore comme d'habitude, avec la musique aussi.
bizoooo

<3333

Oooooh c'est qui le monsieur?
Un ex à Julie?
Je pense, sinon elle aurait pas réagi comme ça.
Je VEUX savoooiiir ! =D

C'est trop triste pour Gus'... J'ai une boule dans le ventre à chaque fois que je lie ça. C'est horrible. Je plains à la fois Gustav et les autres. Pauvre Georg.... Perdre son meilleur ami, c'est terrible. Je sens que je vais pleurer! (encore)

BREF !

Suite! J'ai hâte, j'ai hâte !