[T] Moi, Bill, chanteur de tokio hotel et ... vampyre

La chouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiteuuuuuuuuuuuuuuuuuh !!

suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

suiteeeeeeeeeeee

Non ne vous inquiétez pas je ne suis pas partie
Ce qu'il y a c'est que je travaille alors je peux pas venir sur le forum autant que je le voudré et puis je suis arrivé a la fin des suites que j'avais d'avance alors voilà...
Bon une petite suite pour vous montrer que je vous oublie pas :

Le lendemain matin, je me réveillai assez tôt. Sans doute parce que j’étais impatient de voir si cela avait marché. J’allai déjeuner. Dans les escaliers, je croisais Gustav. Il était déjà levé depuis longtemps, comme d’habitude, avait déjà déjeuné et allait regarder la télé dans sa chambre en attendant que nous soyons tous réveillés. Environ une demie heure plus tard, Tom arriva. Il alla se servir au buffet et partit s’asseoir à une table éloignée de celle à laquelle j’étais assis. Je crus qu’il ne m’avait pas vu et je me dirigeais vers lui. Je m’assis à coté de lui.
Moi : Ca va ? Bien dormi ?
Tom : Ouais ça va mais il me semble qu’on ne se parle plus.
Moi : Mais je…
Tom : Ecoutes. Laisse moi s’il te plait.

Je lui jetai un regard attristé et remontai dans ma chambre. Alors ça n’avais pas marché. Soit cela datai trop et il avait oublié un souvenir ou alors il tenait tellement à Aline que Thierry n’était pas parvenu à lui faire oublier totalement ce que j’avais fait. Cette dernière pensée me rendit malade car ça signifiai qu’il n’y avait aucun espoir. J’allumai la télé, regardai les images sans les voir et n’écoutai pas ce qui se disait. En revanche, environ 10 minutes plus tard, j’entendis très distinctement les pas de Tom dans le couloir, remontant de son petit déjeuner. Il toqua à la porte de la chambre à droite de la mienne. Celle de Gustav. J’entendit Gustav crier « Entrez » et Tom ouvrir et refermer la porte. Je sorti de ma chambre et allai coller mon oreille contre la porte de la chambre de Gustav.
Gustav : Alors Tom bien dormi ? Dis donc tu bas un record aujourd’hui, il est même pas 10 heures du matin…. Ben qu’est ce que t’as ?
Tom : Ca va paraître con mais… je ne me rappelle plus pourquoi je ne parle plus à Bill.
Gustav : Ah bon ?
Tom : Oui je me rappelle que depuis deux mois on ne se parle plus et que je suis même méchant avec lui mais… impossible de me rappeler pourquoi…
* Ah ouais j’avais pas pensé à ça. Il se rappelle de tout sauf de la raison. Et merde.*
Gustav : Et bien je ne peux t’être d’aucune aide.
Tom : S’il te plait Gustav …
Gustav : C’est pas que je ne veux pas c’est que je ne peux pas pour la simple et bonne raison que personne à part vous deux ne savaient pourquoi vous vous êtes disputés. Le seul qui puisse t’éclairer… c’est Bill.
Tom : Oh merde. Ben je vais pas avoir l’air con. Dis moi Bill tu pourrai me rappeler pourquoi on se fait la gueule. Pourquoi ? Ben parce que je m’en rappelle plus… Génial. Non je crois que je vais faire comme si de rien n’était.
Gustav : C’est pas une bonne idée. Je pense que vous devriez en profiter pour vous réconcilier. C’était peut être pas si important que ça pour que tu l’ai oublié.
* Ah ce Gustav, la voix de la sagesse, si je pouvais j’ouvrirai la porte et j’irai l’embrasser ( euh peut être pas en fait) … Allé Tom fais ce qu’il te dit. *
Tom : Non. Pour qu’on se dispute à ce point… ça devait pas être n’importe quoi.
Gustav : Peut être mais cette situation ne peu pas durer indéfiniment. Vous faites chier tout le monde avec vos disputes et même les fans ont remarqué qu’il y avait un problème. Et puis je suis sur que ça ne t’enchante pas d’être comme ça avec ton frère….
Silence.
Tom : Oui c’est vrai. Bon je vais réfléchir. Merci pour les conseils.
Gustav : De rien.

Tom se dirige vers la porte. Vite je retourne dans ma chambre. J’entends les pas de Tom. Il s’arrête devant ma chambre. Il doit hésiter à toquer mais finalement il va dans sa chambre. Bon j’espère vraiment qu’il écoutera Gustav parce que bon moi je sais pas quoi faire de plus…

suiteeeeeeeeee
<3

suite!!!

La voilà. moi je la trouve un peu merdique mais bon...

Pendant les deux jours qui suivirent, Tom ne me parla pas. En fait j’avais l’impression qu’il m’évitait. Il était tout le temps dans la lune et je pense qu’il essayait de se souvenir de pourquoi on s’étaient disputés. Tout le monde avait remarqué ce changement mais personne ne savait pourquoi et personne n’osait dire quoi que se soit. Moi je faisais comme si de rien n’était.

Et puis le soir, alors que j’allais appeler Natacha pour qu’elle vienne me chercher pour s’entraîner, on toqua à ma porte.
Moi : Oui, entrez !!
La porte s’ouvrit sur … Tom, l’air gêné. Il entra et referma la porte derrière lui. Il avança et s’assit sur mon lit où j’étais moi même allongé. Il resta silencieux.
Moi : Qu’est ce qu’il y a Tom ?
Il ne dit rien.
Moi : Tom ?
Tom : Oui euh bon voilà, ça va te paraître débile et je vais passer pour le roi des cons mais voilà, … je ne me rappelle plus pourquoi on s’est disputés…
Moi :…
Tom : Et vu que l’on m’a dit que tu étais le seul à en connaître la raison je suis venu pour que tu m’éclaires.
Moi : Et tu ne crois pas que c’est mieux comme ça et qu’on devrait en rester là. Cette situation est invivable pour tout le monde.
Tom : Je veux bien que l’on se réconcilie, je pense aussi que ça a assez duré mais je ne peux pas pardonner pour quelque chose dont je ne suis pas au courant…
Moi : …
* Et merde, si je lui dis la vrai raison on va de nouveau se disputer mais je ne peux pas inventer un mensonge qui tienne la route en 30 seconde et puis Tom le sentira sûrement si je lui mens … *
Tom : Bill… s’il te plait…
Moi: Tu me promets de ne pas m’interrompre et de m’écouter jusqu’au bout.
Tom : Oui.
Moi : … Bon d’accord. * Ca y est j’ai trouvé *
Bon euh … tu te rappelles d’Aline.
Tom : Bien sur que oui ça va je suis pas amnésique non plus.
Moi : Commence pas à t’énerver. Je fais que me renseigner.
Tom : Pardon. Continu.
Moi : Bon et bien donc tu te rappelle donc aussi que je n’étais pas très gentil avec elle et qu’elle t’as largué.
Il me répondis par un signe de tête.
Moi : Donc premièrement, la raison pour laquelle j’étais comme ça avec elle, c’était que chaque fois que t’étais pas là, elle me draguait.
Tom : ET POURQUOI TU …
Moi : Tom tu m’as promis de me laisser finir. Après tu pourra me dire ce que tu voudras mais s’il te plait, laisse moi finir.
…
Moi : Très bien. Bon, bien entendu, je la repoussai mais ça ne l’empêchait pas de continuer. Et puis un soir, l’avant veille de notre départ à Paris, elle est venue à la maison. Tu n’étais pas là. Elle m’as dit qu’elle voulait me parler. Nous sommes allés dans ma chambre et elle a commencé à m’embrasser. Je lui ai dis d’arrêter mais elle a continué et … nous avons fini par coucher ensemble. Je te jure que je ne le voulais pas mais tu vois Aline ressemblait d’une manière frappante à cette fille dont je t’avais parlé, celle qui est partie sans me laisser d’explications, et je, je … je suis vraiment désolé. Je sais que je n’ai aucune excuse.
Tom :…
Moi : Maintenant, tu peux dire ce que tu veux, me traiter de tous les noms, me dire que tu ne me reparlera plus jamais, me dire que…
Tom me pris dans ses bras. Ca me coupa net dans mon monologue et je lui rendis immédiatement son étreinte.
Moi : Ca veux dire que tu me pardonne.
Tom : Oui je te pardonne. J’ai trop souffert pour cette fille qui n’en valais pas la peine.
Nous pleurions tous les deux, dans les bras l’un de l’autre.
Tom : Bon je… je vais aller dormir. Trop d’émotion en une journée
Toujours les larmes aux yeux, je me mis à rire. Tom aussi. Puis nous nous prîmes encore une fois dans les bras et Tom quitta ma chambre pour aller retrouver la sienne.
Une fois seul, la joie retomba. Je lui avait menti.
*C’est pas beau de mentir.*
*Oui mais c’est tellement pratique.*
*Tu as tout mis sur le dos d’Aline alors que c’était entièrement ta faute.*
*Vous ne la reverrez jamais cette fille. Tu t’en fous. *
*Tu es pathétique. Tu n’as servi que tes intérêts.*
*Mais non c’était pour Tom. Il était malheureux lui aussi.*
*Et à cause de qui était-il malheureux déjà ? *

La sonnerie de mon portable interrompis ce « débat intérieur »
« Jack »
Merde. Un problème ? Une attaque ? Laïloken ?

Suiteeeeeeeeeeee

SUITE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

J'ai ratraper mon retard.

SUITE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

suiiiiite
=)

SUITEEEEEEEEEEE

suiteeeeeeeeee

geheimnis a écrit:

C'est génial! Quel imagination, une petite J.K Rowling! Continue!

Lol
Merci

Les filles (chères lectrices) j'ai le regret de vous annoncer que nous sommes proches, trés trés proches de la fin de cette fic.
Je mettrai la suite plus tard dans la journée ou plus tard dans la semaine

Bisous

suiteeee
=)

suite stp

Dsl de vous avoir fait tant attendre

Nous atterrîmes devant l’entrée du parc. On entendait d’ici le bruit du fer contre le fer. Nous courûmes en direction du bruit et arrivâmes dans une clairière. Un peu plus loin il y avait trois personnes. Une d’entre elle était à terre, les deux autres combattaient. L’une n’avait qu’un poignard et l’autre une épée. Je m’élançai, suivi de Natacha en direction des combattants. Je tirai mon épée de mos dos et vint me placer au coté de Katerina. Ils parurent tous les deux surpris.
Katerina : Bill ?
Laïloken attaqua. Je parai l’attaque avec facilité.
Moi : Katerina, pars avec Natacha.
Katerina : Mais mon fils.
Tout en combattant, je jetai un coup d’œil au corps qui se trouvai par terre.
Moi : Natacha va s’en occuper aussi. Prend la main de ton fils et attrape le bras de Natacha.
Elle fis ce que je lui avais dis.
Nathaniel : Je reviens.
Moi : D’accord mais mets d’abord Katerina et son fils en sécurité.
Nathaniel : Compte sur moi.
Ils disparurent tous les trois. Cela ne plut pas du tout à Laïloken. Il m’attaqua. Je parai l’attaque. Nos épées étaient croisées au dessus de nos têtes qui se trouvaient à quelques centimètres l’une de l’autre. Sur son visage on ne pouvait lire rien d’autre que l’envie de tuer… Il poussa mon épée, me faisant reculer de quelques pas.
Face à face, nous nous toisions du regard puis il attaqua de nouveau. Ses attaques étaient plus puissantes. Celles du début devaient servir à me tester et il avait compris que de simples attaques ne suffiraient pas pour me battre. Il était très fort mais ma colère, ma haine décuplait les miennes.
Nous combattions depuis quelques minutes sans que ni l’un ni l’autre ne prenne l’avantage lorsque je réussi à le blesser gravement à l’épaule droite. Avec un grognement de douleur, il changea son épée de main. Il était presque aussi habile de l’autre main. Cependant sa blessure à l’épaule l’affaiblissait de plus en plus. Ses attaque devinrent moins puissantes et plus prévisibles. Il sorti alors un revolver à une vitesse incroyable. Il était face à moi et je voyais son sourire s’étirer. Il me tenait en joue, visant mon cœur, prenant tout son temps, sur de me tuer.

PAN !!!

Je ne peux plus respirer, je tombe à genoux, les mains crispées sur ma poitrine…

SUITEEEEEEE