[T] Moi, Bill, chanteur de tokio hotel et ... vampyre

liebe th a écrit:: Meeeeeeee toooooooooooo !!

Mais qu'est ce que tu racontes, là?lol

ma fic: dans un hotel à tokio
https://tokiohotel-4-love.jeun.fr/Papotages-c15/Fanfictions-c3/Fanfics-en-cours-f43/dans-un-hotel-a-Tokio-t22368.htm?start=0

Je dis que je dis la même chose que toi !!!!

Lol! Oh la la! Moi et mon anglais! Il devrait être réviser tout comme mon humour. Merci Liebe TH pour cette traduction!

ma fic: dans un hotel à tokio
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Mais de rien.
Liebe th, à ton service.

Lol!!! Mon service?

Tu vas devoir assouvir mes moindres désirs, là...looooooool

ma fic: dans un hotel à tokio
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Nan, c'est pas du tout ce que je voulais dire !!!
[Mais qu'est ce qui m'a pris ?! ]

Katerina : Je suis désolée mais je vais devoir partir.
Moi :Hein ? Mais où ça ?
Katerina : Loin d’ici…
Moi : Mais vous ne pouvez pas partir…
Katerina : Il ont déjà tués Angèle, je ne peux pas prendre le risque de rester. Si ils l’ont trouvés ils nous trouverons tôt ou tard.
Moi : Mais enfin qui ?
Katerina : Je suis désolée.
Moi :Mais il faut faire quelque chose !! Le ou les personnes qui l’ont tués doivent être punies.
Katerina : Ecoutez, si Angèle vous a laissé ce message c’est pour que vous me préveniez et que moi et ma famille nous partions. Elle ne voudrait pas que nous mourions pour la venger.
Moi : Et bien moi je ferai quelque chose.
Katerina : Non je ne peux pas te laisser faire ça.
Moi : Ecoutez vous ne pouvez pas imaginer à quel point je me sens coupable. Si j’étais arrivé plus tôt elle serai peut être encore en vie…
Katerina : Non cela n’aurai rien changé. Au contraire ils t’auraient sûrement tué aussi et c’est ce qui risque de se passer si tu décide de la venger.
Moi : Je suis prêt prendre ce risque. Seulement j’ai besoin d’aide et je pense que vous pouvez me l’apporter car je ne sais pas qui l’a tué et vous vous avez l’air de les connaître.
Katerina : Quoi que je te dise ça ne changera pas ta décision de venger ma fille n’est ce pas ? …
Moi :En effet…Connaissez vous ses agresseur ?
Katerina : Je ne sais pas qui c’est exactement mais je peux le découvrir très facilement. Je ne sais pas si Angèle t’as parlé des pouvoirs que pouvaient avoir certains vampyre…
Moi : Si.
Katerina : Et bien mon pouvoir me permet de voir des scènes du passé. Si tu me mène à l’endroit où le meurtre a eu lieu, je peux peut être voir ce qu’il s’est passé. Comme ça je pourrai te montrer l’agresseur. Mais ensuite je devrai m’en aller.
Moi : D’accord. Allons-y.

Nous sommes donc allés au parc et je l’ai conduite devant le rosier blanc et noir. Là, elle m’a attrapé le bras, j’eus le temps de voir ses yeux devenir entièrement blancs puis ce fut le noir complet.
Peu à peu un paysage pris forme. Le même que celui qui se tenait devant mes yeux sauf que là il faisait nuit. Angèle attendait, adossée contre un arbre, en chantonnant « Wenn nicht mehr geht », et en écoutant son mp3. Soudain un craquement se fit entendre. Elle enleva les écouteurs de ses oreilles. Angèle : « Qui est là ? ». Silence. « Qui est là ? Répondez ». Personne ne répondit mais six personnes sortirent de l’ombre. Angèle : « Oh non… ». Elle attrapa son épée et se mit en position de combat. Trois du groupe l’attaquèrent. Elle repoussa les première attaques avec facilité mais commençait peu à peu à être débordée. Elle utilisa donc son pouvoir et envoya ses adversaires valser contre les arbres. Il y eut un craquement sonore : L’un des trois s’était brisé la nuque. Mais les deux autres se relevèrent. Voyant qu’ils allaient bientôt passer à l’attaque, Angèle pris un poignard à sa ceinture et le lança en plein dans le coeur d’un deuxième. Elle allait sortir un autre poignard mais les quatre autres personnes, énervés par la mort de deux d’entre eux attaquèrent immédiatement et en même temps . Elle eut tout juste le temps d’esquiver la première attaque. Leur tactique leur donnait l’avantage de pouvoir attaquer de tous les cotés mais avait également un énorme inconvénient :ils se gênaient. Aussi à un moment, l’un d’entre eux, manqua Angèle ( qui avait fait un bond sur le coté pour éviter l’attaque) et, ayant pris trop d’élan, en blessa un autre au ventre. Angèle en profita pour l’achever et pour tuer celui qui, horrifié par ce qu’il venait de faire resta un court moment sans rien faire. Il en restai cependant encore deux et ils étaient carrément enragés. Ils attaquaient avec une violence et une rapidité inouïes et Angèle, fatiguée, ne pouvait que se défendre. Finalement elle utilisa son pouvoir ( ce qui l’affaiblissait également) pour envoyer les deux, tête la première, l’un contre l’autre. Complètement sonnés, il ne purent éviter la lame et elle les tua chacun d’un seul coup d’épée. Elle se laissa tomber contre un arbre, afin de reprendre son souffle. Mais, quelques secondes plus tard,une autre personne sorti de derrière un arbre, à l’opposé d’Angèle. Grand, des cheveux longs, blonds et emmêlés, des yeux noirs injectés de sang et un sourire sadique sur les lèvres, laissant voir des dents jaunes et pointues… Il approchait lentement. Dans les yeux d’Angèle on put lire un court instant de la peur : Elle ne pouvait gagner ce combat, épuisée, blessée, affaiblie…Mais la lueur de peur laissa place à de la détermination et de la colère : Elle n’allait pas se laisser faire. Elle se redressa et se mit en position. Cela accentua le sourire de l’autre. Il approcha encore un peu toujours aussi lentement et passa à l’attaque. Il était très fort et expérimenté et Angèle, dans l’état où elle était ne pouvait rivaliser. De plus, elle n’avait plus assez d’énergie pour utiliser son pouvoir. Elle tenta quelques attaques qui furent toutes parées puis elle dut renoncer et se concentra sur la défense en essayant tout de même de le blesser. Mais il avait l’avantage… Il la blessa gravement à plusieurs reprises et il parti, la laissant mourante.

A nouveau ce fut le noir complet puis nous revînmes dans le présent. Nous avions tout deux les larmes aux yeux. Nous gardions tout deux le silence puis :
- Tiens, dit Katerina en me tendant un papier. Dis que tu appelle pour moi : « Katerina Torvlick » .J’espère que tu va arriver à tes fins mais s’il te plait fais vraiment attention car si il t’arrive quelque chose se sera vraiment ma faute et j’aurai vraiment une raison de me sentir coupable.
Sur ce elle parti, en me souhaitant une dernière fois « bonne chance » . Je la regardai partir puis lus le bout de papier. C’était un numéro « 06-01-09-19-89 ». Je le rentrai dans mon portable, l’encrai dans ma mémoire et brûlai le papier. Je me tournai vers le rosier.
Moi : Je te vengerai mon amour. Je te le promet. Il va payer pour ce qu’il t’a fait...

suiteeeeee

Je décidai de ne pas appeler tout de suite. Il fallait d’abord que je réfléchisse… Apparemment la famille d’Angèle avait des ennemis mais pour quelle raison ? Finalement le lundi je décide d’appeler. Après tout je n’ai rien à perdre. Je m’enferme dans ma chambre d’hôtel, mes mon téléphone en inconnu et compose le numéro. Une sonnerie, deux, trois… ça décrocha mais personne ne parla.
Moi : Allo…allo ?!? J’appelle de la part de Katerina Torvlick.
La personne à l’autre bout du fil parle alors très vite et a l’air affolé : Il y a un problème ? Que c’est-il passé ? Elle s’est faite repérer ?
Moi : Elle je ne sais pas mais sa fille oui et… ( je ne pus continuer… c’était trop dur. A chaque fois que j’y repensai, je revoyais le terrible combat qu’elle avait du mener et le visage satisfait de son assassin lorsqu’il était parti la laissant mourante au pied d’un arbre)
Voix : Elle est morte ? Répondez moi.
Moi : Oui. Je … suis désolé.
J’entendis des reniflements à l’autre bout du fil, comme si l’autre pleurai. Ca ne dura que quelques secondes.
Voix : Est ce que Katerina souhaite notre protection ?
Moi : Je n’en sais rien, elle m’a dit qu’elle allait partir.
Voix : Qui êtes vous ?
Moi : Je m’appelle Bill et je suis… j’étais un ami d’Angèle.
Voix : Ah bon. Et que veux tu ?
Moi : Je veux retrouver son meurtrier… et la venger…
Voix : As-tu vu son meurtrier ?
Moi : Non j’ai retrouvé Angèle mourante mais elle était seule. Par contre sa mère est venue avec moi sur le lieu du meurtre et grâce à son pouvoir elle a pu me montrer ce qui s’était passé et je connais donc le visage de l’assassin.
Voix : Très bien. Bon il vaut mieux que nous nous voyions. Je ne pourrai pas te voir avant la semaine prochaine. Je te rappellerai. Donne moi ton numéro.
Cela ne me plaisait guère cependant je lui donnai mon numéro.
Il raccrocha. Plus qu’a attendre la semaine prochaine. Peut etre qu'enfin j'allais avoir les réponse à mes questions...

Super intrigue ma p'tite! (oh la la, j'ai pris mes aises! hum!)

Je souhaite de tout coeur que Bill aura les réponses à ces questions! Super intrigue, je me répète. Je repense à Angèle, elle était si gentille.

SUITE!

Bon alors j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle.
Je commence par la mauvaise puisque la bonne en découle.

Donc la mauvaise c'est que je pars ce soir pour une petite semaine = pas de suites avant vendredi...

La bonne c'est que c'est la dernière fois pour longtemps donc aprés yora plein de suites...

Voila donc la dernière suite avant vendredi:

Le mardi soir nous étions invités dans une émission de télé allemande. Le journaliste nous posa des questions puis nous avons du interpréter un extrait de notre nouvel album qui allait sortir en janvier. Nous avons donc interprété « Ubers ende der Welt » mais au milieu de la chanson je me sentis tout à coup très faible, j’avais du mal à tenir sur mes jambes et de plus en plus de mal à respirer. Je fini la chanson avec difficulté et à la fin de la chanson retournai m’asseoir avec bonheur dans le fauteuil. L’animatrice posa encore quelques question que j’écoutai d’un air distrait et je laissai les autres répondre.
Enfin au bout d’un temps qui m’avait paru interminable nous pûmes partir et rentrer dans notre hôtel. Tom me jeta des regards inquiets durant tout le trajet. Arrivés à l’hôtel je montai immédiatement dans ma chambre. Un vertige me pris et je m’écroulai sur mon lit. Je me réveillai au milieu de la nuit. Il pleuvait fortement et il y avait de l’orage. J’étais fiévreux. Je me dirigeai vers la chambre de Tom. J’entrai sans toquer. Il dormait. Je m’approchais de son lit. J’allais me coucher à coté de lui comme quand nous étions petits et que l’un d’entre nous était malade lorsque mon regard se porta sur son cou. Je ressenti alors un désir intense d’y planter mes cros, qui obéissant à un ordre muet s’étaient allongés. J’approchais doucement ma bouche de son cou. J’entendais presque le sang circuler dans ses veines et …

Mon coté sadique qui resort...
Alors mordre ou pas mordre ?
Bye bye et à vendredi ...

o_O NAN t' as pas le droit xD

Beverly a écrit:: o_O NAN t' as pas le droit xD

mdr! oui c'est ça! Interdis la de partir!!!!! loooooool. Trop fort ton message mais j'avoue, j'allais écrire la même chose quand j'ai vu le message de l'auteur.

SUITE!

Merdeuuuuuuuuuuuuuh !! J'ai raté 3 chouite !!

J’entendais presque le sang circuler dans ses veines et …un coup de tonnerre plus fort que les autres retentis, me faisant sortir de l’état second dans le quel je me trouvais. Je pris alors conscience de l’horreur de ce que j’avais failli faire. Je sortis immédiatement de la chambre de Tom et m’enfermai à double tour dans la mienne. Puis je me rendis compte que cela faisait plus d’une semaine que je n’avais pas bus de sang ce qui expliquai ma faiblesse…

J’allumai mon ordinateur, Internet, recherche de l’hôpital le plus proche. Il y en avait un à environ 500 m. J’enfilai un pantalon noir, un sweat à capuche noir également et sortis de ma chambre ( auparavant j’avais ouvert légèrement ma fenêtre). J’arrivai dans le hall, il n’y avait personne, tant mieux. Je sortis de l’hôtel sans faire de bruit et me retrouvai dans la rue. J’allai en courant jusqu'à l’hôpital.
Maintenant il fallait réussir à entrer et avec ce temps impossible de trouver une fenêtre ouverte… J’allai devant la porte d’entrée. Il y avait une femme et elle ne me laisserai jamais entrer. Il fallait pourtant que je réussisse car j’allai devenir dangereux pour mes proches si mon esprit de vampyre commençai à prendre le dessus pour se nourrir à tout prix. Finalement j’escaladai le bâtiment jusqu’à ce que je trouve une fenêtre dont les volets n’étaient pas fermés. A un moment, un nouveau vertige me pris et je me rattrapai de justesse à une corniche,échappant à une chute mortelle. Il fallait faire vite, je n’allai pas pouvoir escalader longtemps, les forces commençaient à me manquer. Enfin je trouvai ce que je cherchais. Une vieille dame dormait paisiblement. Je cassai un carreau d’un coup de poing puis me plaquai contre le mur. Il n’y eut aucun bruit dans la chambre. Je jetai un coup d’œil à travers la vitre. La vieille n’avait pas bougé. Je passai la main à travers le carreau brisé en faisant attention de ne pas me couper et ouvris la fenêtre. Puis je m’introduisis sans bruit dans la chambre, la traversai et sorti dans le couloir. Je n’avais plus qu’à trouver la salle ou ils entreposaient les poches de sang. J’errai un moment dans le labyrinthe des couloirs silencieusement pour ne pas me faire repérer par les infirmières. Plusieurs fois je dus me jeter dans un chambre au hasard, priant pour que l’occupant dorme, pour éviter le regard des personnes qui « patrouillaient » dans les couloirs. Guidé par mon odorat, je fini enfin par trouver ce que je cherchai. Je pris cinq petites fioles vides dans un placard puis je me dirigeai vers une poche de sang. Je fis un trou avec mes canines et vidai son contenu dans les fioles que je mis ensuite soigneusement dans mes poches, et bus ce qui restai à l’intérieur. Tout de suite je me sentis mieux. Les forces revenaient en moi et cette sensation de soif s’apaisa… Bon il me fallait maintenant sortir d’ici et rentrer illico à l’hôtel, pourvu que personne n’ai remarqué mon absence… Le chemin du retour se passa sans incident si ce n’est qu’en arrivant dans la chambre par laquelle je devais sortir j’eus la mauvaise surprise de voir que la vieille dame était réveillée. Je voyais ses yeux ouverts briller. Elle regardait avec étonnement le carreau cassé et la pluie qui s’engouffrai dans la pièce. Je vis avec horreur sa main se lever vers la sonnette qui lui permettrai d’appeler une infirmière. Vite j’allai à toute vitesse vers son lit. Trop occuper à regarder la fenêtre, elle ne me vit pas arriver. Je lui donnai un petit coup sur la tête, juste assez fort pour qu’elle se « rendorme ». Je m’en voulais d’avoir frappé une vieille dame mais je ne pouvais pas rester toute la nuit dans cet hôpital… Je repassai par la fenêtre et quelques secondes plus tard, j’étais sur la terre ferme. Je rentrai à toute vitesse à l’hôtel. Malheureusement maintenant il y avait quelqu’un à la réception. Je me félicitai donc d’avoir pensé à laisser la fenêtre de ma chambre ouverte. Problème : Où était ma chambre ? J’escaladai la façade, m’aidant des balcons et me mis à inspecter toutes les fenêtres du quatrième étage. Je trouvai enfin la mienne et entrai dans ma chambre. J’enlevai mes vêtements et allai prendre un bain chaud. Puis je me couchai.

TROP BIEN!

C'est du délire! Suite please!

ps: j'ai enfin écrit une suite à ma fic "dans un hotel à tokio"
https://tokiohotel-4-love.jeun.fr/Papotages-c15/Fanfictions-c3/Fanfics-en-cours-f43/dans-un-hotel-a-Tokio-t22368.htm?start=0

Si ça t'interesse! Tchuss.

Hé, page 7, si c'est pas joli, ça?

Citation :

geheimnis a écrit:: Hé, page 7, si c'est pas joli, ça?

Bravo pour la page 7! lol
Pour ca je vais mettre une suite.

Le Dimanche je reçus un appel, en inconnu. Je n’aime pas trop ça et d’habitude je ne répond pas mais cette fois ma conscience me dictai de répondre.
Voix : Allo.
Moi : Allo ?
Voix :Vous êtes Bill ?
Moi : Oui.
Voix : Je suis Jack, vous m’avez appelé lundi dernier.
Moi : Je… non… je.
Jack : Le vampyre.
Moi : Ah oui pardon mais vous ne m’aviez pas donné votre nom la dernière fois.
Jack : Je suis désolé mais il fallait que je vérifié que vous ne mentiez pas avant de vous donner mon nom et de vous rappeler. Nous étions censé nous voir demain. Est ce que ça tient toujours ?
Moi : Oui bien sur.
Jack : Très bien. Où êtes vous ?
Moi : Actuellement je suis à Magdeburg.
Jack : Connaissez vous un endroit assez tranquille et discret où nous pourrons parler tranquillement.
Je lui donnai l’adresse du studio de répétition de Magdeburg. Depuis que nous étions célèbres, nous avions les clés et nous pouvions donc y aller quand bon nous semblai.
Jack : Très bien. Peux tu être là bas demain soir vers 21h
Moi : Je pense que oui.
Jack : Bon on a qu’a dire comme ça et si tu as un empêchement tu n’as qu’a nous appeler.
Moi : D’accord…
Il raccrocha. Demain j’en saurai enfin un peu plus. Qui était ce Jack et comment pouvait-il m’aider ? Et qui était les mystérieux agresseurs d’Angèle ? Demain les réponses...

Je parti en ville et allai chez le fleuriste. J’achetai un bouquet de crocus blanc et partis en direction du parc. Là bas, je m’assis à coté du rosier blanc et noir, déposai les crocus à son pied et commençai à parler tout seul, comme si elle pouvait m’entendre. Je partis vers midi, promettant de revenir dimanche prochain….

Le lundi me sembla durer une éternité puis ce fut enfin 20h15. Mes parents étaient sortis et Tom était scotché devant je ne sais quel film. Je n’eus qu’à me faufiler silencieusement à l’extérieur et prendre la clé de la porte de derrière. Je partis à pied au studio de répétition. A 21h pile, on toqua à la porte. J’ouvris précautionneusement. Deux hommes se tenaient devant la porte. L’un d’eux était grand et maigre. Il avait des cheveux châtains et des yeux noirs qui vous transperçait. Il n’était sûrement pas très vieux mais son visage inspirai le respect. L’autre était légèrement plus petit et tout aussi maigre. Il avait des cheveux blond et frisés et de grand yeux marrons.
Le châtain : Vous êtes Bill ?
Je reconnu la voix de Jack.
Moi : Oui. Entrez.
Il entrèrent et je refermai la porte.
Jack : Ferme à clé s’il te plait.
Je fis tourner deux fois la clé dans la serrure et me retournai vers les deux hommes mais je me retrouvai nez à nez avec le canon d’un revolver. Le mec blond se trouvait au bout du révolver.
Le blond : Prouves que tu es bien celui que tu prétend être.
Je fis pousser mes canines puis je donnai avec ma main un coup sur le revolver pour diriger le canon vers le haut. Puis j’attrapai le bras qui tenait le revolver et le lui fit lâcher par une prise que Angèle m’avait apprise.
Jack : C’est bon.
Je lâchai l’autre et « rentrai » mes dents.

Super!

Petite suite :

Jack : Je suis Jack. Et voici Nathaniel.
Moi : Enchanté.
Jack : Asseyons nous.
Moi : Qui êtes vous ?
Jack : Nous sommes des vampyres
Moi : Ca je m’en doutai, mais encore ?
Jack : C’est tout ce que nous sommes. Ecoutes, lorsque je t’ai eu au téléphone, les seules choses que j’ai comprises c’est que… que Angèle était morte, que tu souhaitai la venger et que tu avais eu mon numéro par sa mère, dit-il la voix un peu tremblante.
Moi : Et ce sont les seules choses à comprendre et les seules dont je suis sur. Lorsque j’ai dit à Katerina que je voulais venger sa fille, elle m’a donné votre numéro avec pour seule consigne de dire que j’appelai de sa part…
Jack : D’accord. Tu veux donc la venger et tu m’a dit que tu ne connaissais pas son assassin.
Moi : Non mais je sais à quoi il ressemble.
Jack : Tu pourrai me le décrire ?
Moi : Je peux vous le dessiner.
Jack : Très bien. Vas y.
Je pris un papier et un crayon et 15 minutes plus tard je tendis le portrait à Jack.
- Laïloken, dit-il dans un murmure.
Moi : Vous le connaissez ?
- Oui, dit-il les yeux remplis de colère. Il contempla le portrait pendant encore quelques secondes puis le posa sur la table. Donc Katerina ne t’as pas expliqué ?
Moi : Expliqué quoi ?

j'adore de trop

suite !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

PLEASE UNE SUITE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

J'ai encore raté des chouiiiiiiiiiites...

Mais j'en demande quand même ! C'est trop bien !!

Moi : Expliqué quoi ?
Jack : Que depuis toujours, une bataille avait lieu dans le secret des humains.
Moi : Non, laquelle ?
Jack : Les vampyre contre les loups garous.
Pendant quelques secondes je fus incapable de prononcer un mot. Je m’attendais à tout sauf à celle là. Qu’est ce que ça serai la prochaine fois ? Des dragons ? des elfes ? des sorciers ? Je faillis eclater de rire puis je me rappelai du message d'Angèle et de la tête qu'avait faite Katerina lorsque j'avais prononcé le mot "loup"...
Moi : Moi qui croyais que plus rien ne pourrai m’étonner après la découverte des vampyres…Ce Laïloken est donc un loup garou ?
Jack : Oui et il fait partie de la classe la plus dangereuse. Pour nous du moins. C’est un chasseur de vampyre.
Moi : Et vous ? Qui êtes vous ?
Jack : Nous sommes des combattants ?
Moi : Vous combattez les loups garous ?
Jack : Exactement.
Moi : Mais enfin pourquoi ?
Jack : C’est une longue histoire. Elle remonte à très très longtemps, vers le XIIème siècle, en Transylvanie dans le village de Eriu. Là bas, habitait une famille de paysans, les Mandrague. Ils habitaient à l’extérieur du village, prés de la forêt. Ils se sont fait attaquer par les vampyres. On a retrouvés tous leurs corps vidés de leur sang. Tous, sauf celui du plus petit garçon, il avait deux ans… Vingt ans après, un jeune homme arriva au village. Personne ne savait d’où il sortait, il se faisait appeler Maolmorda. Dés son arrivée, chaque soir de pleine lune avaient lieu d’étranges disparitions, uniquement des jeunes gens. Finalement il fut chassé du village par les habitants car il apportait le malheur sur le village. Cependant il avait entendu parler de l’histoire des Mandrague et s’était mis en tête que c’était lui l’enfant disparut ( ce qui est peu être le cas mais personne n’en sais rien).Les jeunes gens du village n’avaient pas disparus, il les avait transformés en loups garous comme lui et ils habitaient à présent dans la forêt. Il alla donc les retrouver. Ils le reconnaissaient pour chef et lui obéissaient. Il leur fit partager sa haine des vampyres et ensembles, ils en traquèrent et tuèrent un grand nombre, tout en continuant à « contaminer » de nouvelles personnes. Puis un jour, Maolmorda tua la femme du chef des vampyres et c’est depuis ce moment là que dure la guerre.
J’étais accroché au récit. J’avais l’impression d’écouter le début d’un film ou d’un livre… sauf que cette histoire là était réelle. J’étais complètement abasourdi et j’avais du mal à y croire. Enfin au bout d’un moment je parvins à articuler.
Moi : Mais… mais enfin c’est complètement débile. Et rien n’a été fait pour arrêter cela ?
Jack : Plusieurs traités de paix ont été signés mais aucun n’a tenu très longtemps car il y avait toujours quelqu’un d’un des deux camp qui attaquait quelqu’un de l’autre pour venger telle ou telle personne et alors la guerre reprenait. A mon avis aujourd’hui chacun des deux camps a fait trop de mal à l’autre pour arriver à trouver un terrain d’entente. Tu vois, toi même tu veux venger Angèle.
Moi : Oui mais je ne savais pas tout ce qu’il y avait derrière.
Jack : Et maintenant que tu le sais tu veux laisser tomber ?
Moi : Non.
Jack : Tu vois ?
Moi : Oui mais moi je ne veux pas tuer ce… Laïloken parce qu’il est un loup garou, je veux le tuer car il est le meurtrier d’Angèle. J’aurai eu la même réaction si ça avait été un humain ou un autre vampyre.
Un silence suivi ma déclaration. Puis Jack le rompis :
- D’accord mais là c’est un loup garou.
Moi : Et ça ne change pas mon avis. Au contraire ça me révolte de savoir qu’Angèle s’est faite tuer uniquement parce que c’était une vampyre. Et tout ça pour une histoire vieille de plusieurs siècles…
Jack : Hum,hum, il faut que tu sache qu’Angèle était comme nous.
Moi : C’est à dire ?
Jack : C’était une combattante ou plutôt une apprentie combattante.
J’eus l’impression que le ciel me tombait sur la tête.
Moi, dans un murmure : Non…
Je m’écroulai dans le fauteuil.
Jack : je suis désolé…
Mais tu sais, elle pensai exactement la même chose que toi : Que cette guerre était débile et elle ne comprenait pas pourquoi nous allions attaquer les loups garous. Elle me répétai sans cesse que si elle nous avait rejoint, ce n’était pas pour attaquer mais pour pouvoir se défendre et défendre sa famille au cas où ils seraient attaqués. Malheureusement cela n’a pas suffit, ajouta-il, les larmes aux yeux.
Une larme perla sur sa joue. Cela me fit réagir.
Moi : Ils…ils étaient à six contre elle. Elle ne pouvais rien faire…
Il s’essuya les yeux et me dit :
- Je t’assure qu’elle mérite d’être vengée.
Je ne répondit rien puis :
Moi : Les loups garous, es ce qu’ils sont nombreux ?
Jack : Je n’en sais rien. Sûrement autant que les vampyres.
Moi : Et où habitent ils ?
Jack : Un peu partout. Mais la plupart d’entre eux habitent à l’écart des hommes, dans des grottes ou des forêt. Ils sont plus sauvages que nous.
Moi : Alors il me sera difficile de trouver Laïloken.
Jack : Tout seul sûrement mais avec notre aide beaucoup moins.
Moi : Si vous m’aidez, je suppose qu’il faudra que je fasse quelque chose pour vous en échange ?
Jack : Et bien tu pourrais en effet nous rendre certains services…
Moi : Vous voudriez que je devienne un combattant ?
Jack : Disons que tu en serai un uniquement le temps que nous dénichions des infos sur Laïloken, sauf si tu souhaite le rester plus longtemps.
Moi : Ca m’étonnerai… Très bien es ce que je dois vous donner ma réponse tout de suite ?
Jack : Non tu peux prendre le temps que tu voudras pour réfléchir. Juste en passant, tes chances de réussir à le retrouver tous seul sont quasi inexistantes…
Moi : Je vais réfléchir à la proposition et je vous recontacterai.
Jack : Très bien, nous allons donc partir.
J’allai leur ouvrir la porte mais lorsque je me retournai ils avaient disparus. Je les cherchai dans tous les recoins de la pièce pendant un petit moment puis je me rendis à l’évidence : Ils n’étaient plus là, encore un truc inexplicable…

.....

Chouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiteuuuuuuuuuuuuuuuuu !!
Vite ! Je veux savoir !!

» Bill & Tom se moque de Tokio hotel :)
» [FR. / Novembre 2009] Bill de Tokio Hotel.
» [USA/Jui 2010] TOP 25 LOOKS: Tokio Hotel's Bill Kaulitz
» [Amérique/ Déc. 2009] Bill from Tokio Hotel looks like...
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