[T] 4 filles, 4 mecs, une vraie galère...

new lecteur^^
c tro bien jadore tro !!!! la suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

puré t etai pas obliger de faire du suspense comme ca arrrr j aime pas caaaa bn ba la SUITEEE

suite pour moi et fan-de-bill-60 !!

Steph : Bah… En fait…
Raph : On parlait de…
Elles me montrèrent leur poignet droit. C’était devenu un code pour parler discrètement de ma perte de mémoire subie il y a 1 an.

Les médecins m’avaient dis que j’avais trébuché et m’était cogné la tête, ce qui avait provoqué ma perte de mémoire. Mais, mes amies préférèrent me dire la vraie version des faits.

2 mois avant l’accident, j’avais fais une tentative de suicide, quelque part dans les bois, j’en ai gardé une cicatrice au poignet, Raphaël m’a sauvé, ayant deviné l’endroit où j’étais, car d’après elle, je lui en avait déjà parlé.
J’ai passé deux mois à l’hôpital ne disant rien, seulement chantant « Rette mich » de Tokio Hotel, le groupe dont je suis fan aujourd’hui, que je venait alors de découvrir. Puis, je me suis jetée du haut de l’hôpital et à ce moment là, je perdis la mémoire.

J’ai perdu beaucoup d’amis lors de mon rétablissement, croyant à une mauvaise blague, ils m’ont laissé tombé.
Seules Raphaël, Stéphanie, Mélanie, Delphine et Sarah étaient là, elles m’avaient raconté tout ce qu’elles savaient sur moi, mais aucune d’elles ne savaient la raison de mon comportement.

Les seuls indices que j’ai sur ma vie oubliée et cette chanson, qui semblait et semble encore me troubler, et cette cabane dans la forêt où j’ai tenté de me donner la mort.
J’ai longtemps errer à cet endroit et écouté cette chanson, tentant de me souvenir, mais rien ne me revenait.

Je devais avoir changé d’expression car Stéphanie ajouta :
Steph : Désolée de te rappeler de mauvais souvenirs….
Moi : Non, justement ça ne me rappelle rien et c’est là le problème.
Raph : …
Moi : Alors ? Pourquoi vous pensez à ça tout d’un coup ?
Raph : Bah… Tu sais… « Rette Mich »… Bah c’est eux qui l’ont fait.
Moi : Oui, merci j’étais au courant…
Steph : Et on s’était dis que ça aurait peut-être…
Moi : Oui, ça aussi je l’ai pensé mais ça ne me fait me souvenir de rien…
Raph : Ah…
Moi : Je suis désolée de vous causez autant de soucis les filles… Ne vous occupez plu de ça.
Raph : Mais on aimerait t’aider !
Moi : En y réfléchissant, si j’avais voulu me suicider, c’est que ma vie n’était pas si rose… Pas la peine de me rappeler si ce n’est que des mauvais souvenirs…
Steph : On ne sait jamais…
Moi : Non, je ne veux plu vous causer de problème, oubliez ça… S’il vous plait.
Raph et Steph : Ok…

Elles ne paraissaient pas convaincues, mais de toute façon je savais qu’elles ne laisseraient pas tomber pour si peu.
Je repartis dans ma chambre, pris la guitare de mon frère, lui non plu ne savait pas grand-chose sur mon passé, je ne lui en avait pas vraiment parlé.

Je ne me lassais pas de jouer et rejouer encore « Rette mich » jusqu’à en avoir mal aux mains.
Tant que je n’entendais pas les paroles en même temps que la musique, les larmes ne viennent pas. C’était les paroles qui semblaient avoir tout un sens pour moi. Pourtant, je ne voyais pas lequel.
La seule chose que j’avais remarquée, c’est que dans la chanson, on y parlait d’une cachette, qui pourrait être une cabane.
Or, je connaissais une cabane à laquelle j’étais très attachée avant ma perte de mémoire.

Seule Raphaël connaissais sont existence. Elle m’avait racontée qu’un jour, alors qu’elle se baladait avec ses parents et son chien dans la forêt, elle m’avait aperçu dans une petite cabane, elle m’avait rejoint et je lui avait expliqué que cette cabane était pour moi l’endroit le plus important et beau du monde. Mais je ne lui avait pas dis pourquoi, bien qu’elle me l’eu demandé beaucoup de fois.

Seulement, a par cette « cachette » qui reliais les deux indices, je ne voyais pas à quoi cela pouvait m’avancer.

Au fond de moi, je n’avais pas renoncé à retrouver ma mémoire. Je continuais à chercher inconsciemment toutes les petites choses qui pourraient m’aider.

Je posai la guitare et décidai, qu’avant de partir pour la tournée, j’allais voir une dernière fois la cabane.

C fais exprès XDDDD

WWAAAAAA JE SAIS PAS QUOI METTRE POUR LEUR DEPART DE TOURNEE !!!!!

CA ME DEPRIME !

(Mais non, t'inquiète pas Idril... J'ai pas oublié)

MAIS LE DEPART !!!! O_o

*réfléchi...*

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Souiteuhhhhhhhhhhhhhhh

je suis une nouvelle lectrice.
Je t'admire énormément, tu écris tellement bien..cette fan fiction est la plus émotionelle que j'ai lu..j'ai failli pleurer...je peux juste te demander ce que tt le monde demande:

la suite.


gros bisous et surtt, continue!!

VOILA !!! C'EST LA FÊTE CHEZ MOI !!!
POUR FÊTER LA CLOTURE DE LA PREMIERE PARTIE DE "BILL VS ME" DE IDRIL NESSA, ET BIEN SÛR L'OUVERTURE DE SA DEUXIEME PARTIE !!!
ALLEZ Y JETER UN COUP D'OEIL (quand elle postera un nouveau sujet)
VOILA ! CADEAU UNE SUUUIIIITTTEEEE !!!!!
_____________________________

Je posai la guitare et décidai, qu’avant de partir pour la tournée, j’allais voir une dernière fois la cabane.
Je descendis à l’accueil et appela une voiture, lui donnai alors l’adresse de la forêt et descendis à la lisière du bois.
Il était 19h, le soleil n’était pas encore couché.
J’avançais au milieu des arbres, au bout de quelques minutes, je vis au loin la petite cabane. Les branches étaient toutes adossées sur un arbre, cela ressemblait plus à une sorte de tipi en bois.
J’entrais alors dans le minuscule espace qu’offrait cet abri. Enleva le bandeau qui cachait ma cicatrice au poignet droit et commença à chanter « Rette Mich ».
Tout était là, pourtant, aucun déclic ne vint illuminer mon cerveau, me faisant découvrir les liens et toutes les explications.
Beaucoup de fois, j’étais restée là, essayant de trouver au plus profond de moi, des informations, des souvenirs…
Des larmes coulèrent sur mon visage, des larmes de déception, encouragées par les paroles de cette chanson.
Allais-je un jour retrouver la mémoire ?
Je me recroquevillais sur moi-même et resta là à pleurer, longtemps, longtemps.

[Narrateur Bill]

La répétition était finie, les interviews et les séances photos aussi… Les photos avaient été prises dans une forêt non loin de l’hôtel. Il faisait presque nuit lorsque les dernier flash furent lancés.
Tom : AAaahhhhh… Enfin finit…
Georg : Ouai, je commençais à avoir mal aux yeux…
Gustav : Je vais enfin pouvoir aller voir Raphaël !
Moi : Fais gaffe Gustav, tu vas devenir dépendant !
[Rire]
Georg : Bon ! On rentre ?
Tom : Ouai, allez y, je vais juste profiter un peu de la nature…
Gustav : T’a fumé quoi Tom ?!
Tom : Rien pourquoi ?
Gustav : Bah, je sais pas... Si soudainement…
Moi : Allez y je vais rester avec lui.
Georg : T’es sur ? Il va bientôt faire nuit, tardez pas !
Moi : Oui, t’inquiète pas pour nous…
Ils partirent de leur côté et nous du notre.
Tom : T’étais pas obligé, je suis pas un gamin…
Moi : Non, mais moi aussi j’ai envi d’y retourner un peu…
Tom : Ca t’avait manqué ?
Moi : Ca va bientôt faire deux ans…
Tom : Ca me rappelle que ça fait longtemps qu’on a pas vu Andréas !
Moi : Ouai, on le verra après la tournée…
Tom : Bill… Tu sais… J’ai toujours pas vraiment compris…
Moi : Moi non plu Tom.
Tom : En plus, avec le succès, tout est allé assez vite et on a pas trop eu le temps de chercher pourquoi…
Moi : Ouai… C’était pas mal finalement, cette séance photo, j’y aurais pas pensé sinon.
Tom : Moi, ça faisait un petit moment que j’y repensais…
Moi : Ah, la voila.
Nous étions arrivé, les branches tenaient toujours. C’est comme si nous ne l’avions jamais quitté. Notre cachette secrète, fabriqué de nos huit petites mains, 7 ans auparavant.

Andréas l’avait rebaptisé « le trou » après notre séparation avec Cécilia. Tom et moi n’avions pas vraiment compris. Un jour, il était venu en pleur chez nous, il nous raconta qu’elle ne voulait plu nous revoir. Il avait du être très choqué, car il nous avait confié qu’il l’aimait, quelques jours avant. Nous avions 16 ans Tom et moi, Andréas bientôt 17 et Cécilia 15.
Cécilia était une amie d’école d’Andréas, nous l’avions connu à l’âge de 10 ans. Au début, elle était très renfermé, mais je me souvient très bien de tous les efforts que nous avions du fournir, pour la rendre plus joyeuse, plus ouverte.
Nous restions tout le temps ensemble et étaient connu à Magdebourg pour être « la bande de morveux ».
Ce jour, où Andréas leur avait appris la nouvelle, nous avions voulu la contacter, mais bizarrement Andréas nous fit jurer de ne pas le faire.
Nous nous demandions ce qu’elle devenait et pourquoi elle nous avait rejeté ainsi.
Mais, comme le disait Tom, le succès vint peu après cet événement et nous n’avions pas eu le temps de réfléchir plus…

Tom poussa un soupir.
Tom : Rien que de voir la cabane, ça me déprime…
Bill : Ouai, aller vient on y va.
Tom : Ok…

la suite please

Suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

new lecteur^^(soyez indulgent envers moi XD)
SWWWWWWIIIIIIITTEUUUUUUUUUUUUH!!!!!!!!!!!!!!!!!
cest troooo booooooo

Liline, un gros gros merci d'être venue sur ma fic!!

impatiente de lire la suite de la tienne!! je l'adore

je T'adore..je t'aime...( amitié )


bisxxx

aller la suite stp stp

suite