[T] De l'enfer au paradis..

Première Partie: L' enfer.


Les
talons de mes chaussures raisonnaient sur les pavés du
trottoir parisien dans cette rue bien trop lugubre pour une jeune
fille de 15 ans. Descendant et remontant inlassablement d' un pas
régulier la rue sombre un samedi soir, dans l' attente d' un
quelquonque passage mais aussi dans l' espoir que rien ne bougerait
cette nuit, je frissonais à cause de la lègère
brise qui venait chatouiller glacialement mes jambes et mes bras nus.
Malheureusement cette fois encore, une voiture s' arrêtat et ce
n' était pas le prince charmant qui venait me délivrer
de cet enfer pour s' enfuir loin d' ici avec moi dans son royaume aux
milles et une nuits. Il s' agissait d' un homme, la quarantaine, mal
rasé, dégageant une odeur nauséabonde d' alcool
et de perversité, J' y étais tellement habituée,
que même dans le noir le plus opaque je pourrais tous les
reconnaître. Les hommes me dégoutaient depuis le jour où
mon ivrogne de père, m' avait jeté dans la rue en m'
ordonnant de rapporter de quoi manger ce soir en profitant de ce que
Dame nature m' avait, selon lui, généreusement procuré.
Je m' étais alors retrouvée seule au beau milieu d' un
quartier peu recommandable à une jeune fille, vite abordée
par des gentlemans qui n' en sont pas et un peu trop vieux pour moi.
C' est comme ça qu' un triste jour, embarquée de force
dans une voiture infecte, enfermée à clée dans
une chambre d' hôtel un peu douteuse, plaquée au mur par
une poigne de fer, embrassée par un individu répugnant
que j' aurais pu confondre avec les cafards qui escaladaient les
parois des murs en se faufilant à travers leurs fissures,
déshabillée lentement par un pédohile, le
pantalon sur les chevilles, le chemisier arraché par un fou
furieux, j' ai perdu la pureté de mon corps, en luttant pour
préserver celle de mon âme et me suis retrouvée
femme avant l' heure et contre ma volonté, à cause de
la pauvreté et l' alcoolisme. Depuis tout ça se
répétait. Tous les jours le même scénario.
Le pire était que je n' arrivais pas à le haïr,
que je l' aimais quand même malgrès ce qu' il me
faisait, A vrai dire je ' avais plus que lui, ma mère étant
décédée dans un accident de voiture lorque j'
étais petite, Elle ne m' avait même pas laissée
un souvenir d' elle, ni son visage, ni une photo, ni un objet, tout
avait été vendu après la visite de l' huicier
durant une vente aux enchères. Ces administratifs insensibles
m' avaient presque arraché mon ours en peluche des mains pour
en tirer quelques centimes de plus. Je voyais ma vie partir en fumée. Les souvenirs de tous les objets qui m' avaeint accompagnés durant mon enfance n' étaient plus que les cendres d' un passé trop douloureux. Il ne me restait plurs rien si ce n' est la vue de mon père saoul, comme à son habitude, menoté dans une voture de police qui l' emmènerait beaucoup trop loin de moi pour que je puisse le voir. L' huicier n' était aps venu seul. Oh non ces gens là n' arrivent jamais seuls puisqu' on dit qu'un malheur n' arrive jamais seul. Celui qui avait inventé ce dicton devait, lui aussi, avois vu sa maison vidée par ces administartifs au coeur de pierre à qui l' on demande comment est- ce qu' ils peuvent faire ce métier.Il était donc accompagné d' une assistante sociale. Plutôt jeune, derrière ses lunettes, elle avait porté sur moi un regard compatissant, empli de peine qui m' avairt horrifié. A travers l' expression celui- ci je venais de réaliser ce que j' avais vécu, ce que j' avais subit. Soudaine ne pouvant plus supporter cet atroce flash back qui me remémorait des instants écoeurants et insoutenables mes jambes fléchirent et je m' écroulais lamentablement sur le sol.




Alors, c' est trop ennuyeux ou quelqu' un aimerait bien avoir la suite?

moué c' est bien ske je pensais ya personne ki aime, c' est tout foireu ^^ j' attends désespéremment un pti quelqun de passage ki laisserait un pti mot pour savoir si je tape la suite ou si je la supprime, mais ce serait bete j' ai déjà écrit u peu plus de 15 pages...

snif,toujours personne, en plus maintenant qu' elle est en seconde page personne va la voir, histoire de la continuer un peu même si personne ne la lis, ben je vasi taper un peu...

DEUXIEME PARTIE: Première bonne nouvelle.

Le soir même je regardais l' orage à travers la fenêtre du foyer d' hébergement de Sainte Hélanène de Paris. Je suivais des yeux les fines gouttes de pluies tomber sur le sol, dévorées des yeux comme je l' avais été tous les soirs ces derneirs temps. Placée dnas une aile où vagabondaient des filles de mon genre je dépérissais et n' arrivais aps à me faire à l' idée de rester ici jusqu' à ma majorité. Allais- je contempler impuissant chaque colère de la nature faisant déferler des trombes d' eau sur les carreaux de la vieille batisse sans jamais pouvoir gouter le plaisir de les sentir rouler sur mon visage, ou est ce que mon regard deviendrai aussi vide que celui d' Emmie? Si je continuais comme ça, recroquevillée sur mon lit dans le dortoir j' alalis déperir. Autant murir de faime, celà a prendrait moins de temps. Cepandant l' assistante socila ene m' avait pas abandonné et continauti à chercher une quelquonque tarce de ma famille. Un mois plus tard la directrice de l' orphelinat vint me cherhcer dans ma chambre en me demandant d' une voix calme et posée, dans laquelle je décelait une joie quasi impreceptible, de la rejoindre sans tarder au secrétariat. Une foule de questionsont prit d' assaut sans tarder mon pauvre cerveau qui n' arrivait aps é resister et commençait à etre submergélorsque j' arrivais enfin devant la porte du bureau de Mme Rochas. J' entrai sans frapper, on ne m' avait jaamis appris à le faire. Là m' attendaient la directirce et le jeune assisatante sociale jouant avec ses cheveux blonds pour tuer le temps. une femme dont la vocation est d' aider de pauvres petites chose en déteresse ne peut tuer que le temps. Elle m' acceuillit avec un léger sourire pour m' annoncer que j' avais un oncle qui s' appelait Emmanuel Ristre, et qui par chance habitait lui aussi à Paris. Dès demain il viendrait me chercher et je devais rassembler mes affaires, du moins ce qui me restait. Sous ce nom un peu dur se cachait quelqu' un qui venait me sortir de l' enfer, seulement parviendrait- il à m' en sauver?

voilà, alors si jamais quelqu' un passe par là, qu' est qu' il en pense?

Nein!! Supprime pas!!
Jepasse par là, alors je te donne mon avis:
C'est vraiment bien taper!!! J'aime beaucoup!! Tu décrit super bien!!! T'as un don, ma ptite!! ( je sais même pas quel age que t'as!)
J'aime vraiment, alors je te demande une swiite, plizz'!

moi aussi j'aime bien^^
une suite siltepléééé!!^^

ben vous savez quoi, j' attendais désespéremment des réponses lol, alors merci, je vous retiendrais comme mes deux premières lectrices, et je vasi taper la suite tout de suite tellement ça fait plaiz qu' on aime ce que je fais^^ j' avais peur que personne n' aime par ce que ça parraissait trop sérieux, mais c' est pour pouvoir mieux s' imaginer que c' est possible et j' ai 15 ans et mon pseudo c' est juste mon nom de famille, les autres étaient pris, sinon je m' appelle manon^^ voilà bisou à toutes^^

oki!^^
bah vivement la suite alors!!^^
vite vite vite!!^^

TROISIEME PARTIE: Réapprendre à vivre.

C' est un homme agé de la quarantaine, aux cheveux bruns, aux yeux bleus et aux traits anguleux qui s' était présenté en s' accoudant à l' entrée du dortoir. Il m' avait d'' abord regardé sans rien dire. Ne sacahnt que répondre je me suis dirigée vers la fenêtre pour regarder une dernière fois les petites touffes d' herbes de la cur danser sous les rafales du vent séducteur qui les faisait onduler joyeusement. Une dernière vision du monde à partir de cette vieille fenêtre ci. Je crois qu' il nous apparaît differement selon l' endroit d' où on le regarde. D' ici il me rendait triste, tellement triste qu' il me faisait rêver pour espérer un monde meilleur. C'est monsieur Rostre qui prit la parole en premier:
" Je viens te chercher dit- il sollenelement.
- Je sais. Je sais aussi que tu es mon oncle , que tu t' appelles Emmanuel, que tu habites à Paris et je dirai que tu as la quarantaine. Tu vois je sais déjà beaucoup de choses sur toi alors qu' on ne se connait même pas. Imagines tout ce que tu devras supporter de partager avec oi une fois qu' on vivra sous le même toit, répondis- je simplement.
- Oui je vais t' emmener chez moi, tu y seras surment plus heureuse qu' ici.
- Qu ' en sais tu? Tu ne pourras m' aider que si je t' accordes ma confiance, sans ça nous resterons aussi éloignés l' un de l' autre que jusqu' à maintenant même si nous sommes à un mètre de distance en plein de ta cuisine, lui dis- je sèchement.
- Peut- être mais je veux sincèrement t' aider Mélanie, tu vois moi aussi je connais ton prénom, dit - il.
- On aurait sans doute dû m' appeler Désespoir."
Sur ce je l' ai entendu descendre les marches de l' escalier, la main sur la rampe pour s' assurer une descente paisible, comme s' il avait peur des risques. Comment allais- je vivre avec un homme qui a peur de la vie?

la suite!!^^
c'est bien écrit j'aime bien^^

Le silence était roi sur le trajet jusqu' au moment où il me parla:
" Je dois passer au boulot pour récupérer un dossier. Ca ne prendra pas longtemps, tu m' attends dans la voiture, m' ordonna- t- il.
- Pas la peine de me donner d' ordres, je sais très bien ce qu' il me reste à faire."
Je l' imaginais dans ce grand bâtiment, soufflant de soulagement d' avoir échappé à cette situation troublante où deux advresaires qui ne se conaissent même pas se livrent une joute verbale sans merci, refusant de faire un pas vers l' autre, séparés par un silence qui creuse un fossé de plus en plus grand que l' on a peur de franchir. C' était surement un de ces hommes qui ne vit que pour le travail, avec un compte en banque bien rempli pour avoir une telle voiture. Elle était tellement reluisante que j' osais à peine effleurer la poignée de la portière et que j' avais l' impression de souiller le siège sur lequelle j' étaus assise. Avec 10 kilos de plus j' aurais eu l' impression d' être un contener rempli d' ordures, largaunt sur une plage de sable fin ses immondices( dechets, détritus, ordures) tout autour. Avec un peu de chance j' aurais droit à la maison aussi grande qu' un château. Sa cuisine risquait d' être immense. Tout ça me dégoutais, comme lui, comme tous les hommes. Il suffit que j' encroise dnas les couloris la nuit pour m" enfuir en courant, terrifiée et me réfugier dnas ma chambre. Ce passage de ma vie me hantait et ne me laisserait jamais tranquille. En arrivant dnas la voiture il posa sa main sur mon épaule pour s' excuser de m'a voir parlé comme ça, mais prise d epanqiue, je le rejetais brutalement et serrai contre la vitre de la voiture, aussi que possible de lui.
" Désolé... dit- il."
Bien sur je ne m' étais pas trompée, et en plein coeur de Paris mon oncle habitait une somptueuse villa:
" Elle te plais?
- Tu serais fier d' avoir une maison plus grande que celle d' un ivrogne? Ca te réjouirai d' avoir mieux que la pauvreté et qu' un lieu de débauche? Désolée de brisezr tes espoirs mais ce n' est pas un exploit! répliquai- je"
J' étais dans une grande chambre vide. L' était- elle pour tout recommencer ou pour mieux m' emprisonner dans cette cage dorée où un oiseau tombé du nid ne pourrait jamais ouvrir ses ailes?

la suite stp^^

Il avait cepandant un bon point, il cuisinait délicieusement bien. grâce à son talent culinaire je me suis décidée à lui adresser la parole:
" Je m' excuse pour aujourd' hui. J' ai du mal à accepter que l' on me sorte de l' enfer pour m' enfermer au paradis.
-Tu ne seras jamais enfermée nulle part, je te le promets. Par contre le paradis n' est pas ici.
- Je commence à douter de son existence.
- Moi auss, mais ça n' a aucuine importance par ce qu' on est dans la vraie vie là, pas dans une quelqonque utopie chrétienne.
-De toute façon je ne crois plus en Dieu, il m' a laissé tomber depuis longtemps.
- Je sais et d' ailleurs dès la semaine prochaine tu devras aller en cours. Ca faisait parti du marché avec ton assistante sociale, je pouvais devenir ton tuteur si tu redevenais scolarisée.
- Mais je ne peux pas j' ai manqué un an de cours!
- Tu trvailleras plus pour rattraper ton retard."
Enervée par la vision de cette nouvelle contrainte, je suis remontée hillico presto dans ma chambre. Comment allais - je affronter les élèves? J' avais peur d eosrtir dnas ce nouveau monde que je ne connaissais pas. Machinallement je me suis mise à dessiner. Je ne savais pas exactement qui mais ça venait du fond de moi. C' était comme dnas une chanson, un garçon au féminin ou une fille au masculin. Les yeux noirs de désespoir, les traits fins, les traits de crayon s' inscrivaient naturellement sur la feuille de papier. Une fois terminée je m' endormis sur lui, protégée des cauchemars par cet inconnu.

a ouais pas mal du tout!!!
j'adore!!
la suite!!^^

Comme je n' avais plus rien à me mettre Emmanuel que j' applele désormais Manu, m' a emmené faire les magasins. Pour moi rien n' était assez cher, j' étais génée par les prix et j' avais du mal à me retrouver en tête à tête avec ce cors impur et soulé qu' était le mien dans ma cabine d' essayage. Malgrès mes hésitations je suis rentré à la maiso avec plusieurs sacs plein à craquer de vêtements tous plus beaux les une sque les autres^^ Je commençais même à aimer ma nouvelle vie. J' avais pris l' habitude de descendre les escaliers en glissant sur la rampe. Manu était sympa et se conduisait comme un père avec moi. Il était bel et bien devenu ma famille même si je n' oubliais pas mon père. Je commençais à prendre véritablement conscience de ce qu' il m' avait fait mais je n' arrivais toujours pas à mette le mot "prostitution" dessus, c' était encore trop dur d' accepter la vérité. Cela me premettait de déculpabiliser mais en contre partie de haïr celui qui m' acvait infligé ce supplice.

lol, g une lectrice mais c sans doute la meileure de toutes par ce qu' lel est super fidèle^^

toujours aussi bien
tu commence a fatigué nan??
les suite son de plus en plus courtes!!^^
LA SUITE!!^^

QUATRIEME PARTIE: Le début d' un problème.

Puis un jour je suis tombée malade. Je mangeais trop, plus que ce que mon corps pouvait contenir. Toute cette nourriture ça m' a fait perdre la tête. J' enchainais placards de biscuits et frigo, je mangeais tout pour m' enfermer dans les toillettes juste après, ne pouvant supporter ce trop plein de nourriture. J' agissais par pulsions incontrôlables même si Manu cahcait lesz paquets de biscuit je les trouvais toujours.

nan c pas ke je fatigue, c ke je me dis ke com sa sa te fais moins longtemps à attendre^^

mdr merci^^
en plus je commencé a avoir du mal a tout lire d'un coup en plus^^
parce que avec tous les autres messages que je reçoir, de lire toutes les fics en même temps et écrire la mienne c'est très evidant!!^^

En cours tout se passait ben, j' étais même contente d' y aller. Laura et Manon étaient de bonnes amie. Grâce à ce que tut m' offrait Manue j' étais comme les autres, ces petits bourgeois nés avec une cuillère en argent dans la bouche mais qui n' étaient pas méchants pour autant. Seulement ils n' avaient, pour la plupart, jamais véritablement souffert et je restais différente. J' avais toujours un peu de mal à m' intégrer complètement dans leur monde. Je gardais mes distances avec ette fourmilère dorée, cette classe favorisée, ces "pourris gatés". Je réaprenais même l' allemand, ça me faisait repenser à ma mère qui était allemande. Un jur le téléphone sonne te je décroche, je tombe sur une voix d' homme sombre et aigre:
"Reviens."
Je lache le combiné et part en courant. C' était mon père! Non je ne veux plus jamais le revoir! Je veux l' oublier, il m' a fait trop de mal. Tous ces hommes qui me caressent et prennent pocession de mon corps en me laissant de quoi payer leur conscience sur le bord d' une table de chevet ou dans mes poches si l' on était dnas leur voiture crasseuse. Tous ces fantômes qui me hnatent et me terrorisent, leurs maisn sales et répugnates. Qu' ils me laissent tranquille! Je cris de toutes mes forces, ça fait mal mais ce que j' essaie de faire sortir me fait encore plus souffir. Les larmes coulent et roulent sur mes joues pour venir s' écraser sur mes converses noires. La douleur est trop profonde, les mal trop présent, opresant. Agenouillée sur le carrelage froid je pleure toutes les larmes de mon corps. Malheureusement la prochaine fois j' en aurais encore et ce sera pareil. Je ne peux en parler à personne, car la honte m' accable de remords trop lourds à porter alors je mange autant que possible et je vomis. Je me remplis à nouveau pour mieux faire le vide mais ça ne marche pas. J' essaie anecore, ça ne marche toujours pas, une autre tentative, un nouvel échec. C' est sans fin. Mon oncle assiste au spectacle impuissant, ça lui fait peur, il a mal, je vais finir par le rendre malade.

ah par ce qu' en plus t' écris ta fic et t' en lis d' autres! oua ben respect lol^^

la suite stp^^

et oui je fait tout ca en même temps!!^^
mdr mais bon sa vas c'est pas trop trop dificile!!

Depuis le jour d el' appel je ne décroche plus le téléphone, trembalnt de peur quand je passe à côté, en espérant qu' au moins sur mon portable je ne l'entendrais jamais. C' étais sans compter un acharnement obsessionnel de sa part. Par 3 fois j' ai changé d enuméro, il m' a toujour retrouvé. Rongée par le stress je ne suis plus qu' une bombe à retardement qui rique d' eploser à tout instant mais qui n'espère rien de plus que la venue du démineur come on cherhche la lumière au bout du tunnel dans le coloir de la mort. Je me détruisais mi même en laminant ma santé, les crises de boulimie étaient deplus en plus fréquentes, s' accentuant avec les appels allants crescendo avec la douleur.Si je ne vais pas au lycée je ne sais pas ce que je risque de faire à force de ressasser tou ça. J' ain peur de moi même. Mon âme est emportéeau fond d' un abime et le tourbillon n' a que faire de mes tentatives désespérées pour lutter contre ce sourant infernal qui m' entraîne vers l' oubli. Je lutte mais je ne suis pas assez forte, et lui qui m' appelle sans arrêt, qui me harcèle. Heureusement j' imagne que j' ai un ange gardienquelquepart sur cette Terre. Qu' il tient à moi et qu' il veille sur moi mais j' ai l' impression qu' il n' est pas très efficace. Peut être qu' on ne peut compter sur personne d' autre que nouset que l' on est toujours seul contre tous, que tous nos démons ne sont là que pour nous rendre plus fort. On dit que tout ce qui ne nous tue pas nous rtend plus fort. En d' autres termes c' est la sélection naturelle. Comme partout ailleur seuls les meilleurs peuvent y arriver, les américains l' ont bien compris, c' est la première puissance mondiale.

a pas mal les métaphore!! j'aime bien!!^^
une suite encore??!!^^