[T.] Playing Dead.

Suga'Girl : hé bien, tu ne sais pas quoi dire et c'est déjà beaucoup ! ^_~ Merci. =)

Huhu, Bim, merci, tant mieux que tu aimes :p

EsTHelle, je trouve ça cool quelque part que tu te reconnaisses dans mon texte. J'espère qu'un Bill arrivera vite pour vivre avec toi. =)

Muahhahha Kim, toi tu m'éclates franchement ^^

Tu n'as pas à me remercier !!!

Merci a toi, j'ai tellement envie de te serrer dans mes bras je sais même pas pourquoi mdr !!!!
Un élan d'affection sans doute

Suga'Girl, muahahhha ça me dérangerait pas ^^
Au fait, pardonne mon inculture mais qui sont les beaux éphèbes sur ta signature ?
Celui entre Bill et Gustav me fait penser à Kadaj de FFVI x] (sauf que la même lui tombe dessus l'oeil mais enfin braaaiiif')

J'aime beaucoup le point de vue de Bill n_n
Et puis, le fait qu'il parle à Tom, ça te prend le coeur et te le tord dans tous les sens.
Le coeur déchiré mais un petit sourire aux lèvres.
Parce que malgré tout, le courage de Bill est extraordinnaire, et leur amour magnifique.
Et que le tout sublimé par tes mots, c'est tout simplement grandiose.
(L)

Je sais pas vraiment pourquoi mais j'ai mal au coeur.

Tu viens me soigner (même si j'ai rien)?

Je crois que ...
Non, je sais même pas ...
Mais plus Bill parle, plus j'ai mal.

Ah bah tu vois docteur Nao, t'as deux personnes à venir soigner. (Comme quoi, je suis pas seule au monde XD)

Nao a écrit:

Suga'Girl, muahahhha ça me dérangerait pas ^^
Au fait, pardonne mon inculture mais qui sont les beaux éphèbes sur ta signature ?
Celui entre Bill et Gustav me fait penser à Kadaj de FFVI x] (sauf que la même lui tombe dessus l'oeil mais enfin braaaiiif')

Ces deux ephèbes lol ce nomme Shin et Strify du groupe (allemand) Cinema Bizarre !!!!!!

Cette suite était superbe. Si j'étais à la place de Tom, je crois que j'aurai mal. Parce que Bill lui balance de ces trucs à la gueule...Il y a beaucoup de sous-entendus, bien sûr. Mais ils font mal ces sous-entendus, vraiment. Et le pire, c'est qu'on devine qu'il agit comme ça envers son frère pour le faire revenir dans son monde. Tout comme il emmerde Sans nom pour la faire sortir de son monde aux atrocités innomables.

Le pire, c'est que tu m'inspires. Tu m'aides à sortir le côté obscur qui est en moi. J'ai enfin trouvé une idée de fic pour faire sortir toute mon envie de dire au monde que je n'en ai rien à foutre du fait qu'on fait partie du même univers...mais t'inquiètes pas, je vais d'abord finir ma fic en cours avant de la commencer. Donc je posterai ça dans très longtemps, vu comment ma fic avance à un rythme de tortue dans le monde virtuel (l'aventure dans 33Kilos d'Espoirs se termine en décembre 2009 normalement, alors tu imagines...j'en suis même pas au 16 octobre 2007 au niveau de la rédaction !!!! lol)

Tout ce que je dirais sur cet embryon de fic dont je te parle, c'est qu'il sera beaucoup plus "adulte" que 33Kilos d'Espoirs. Parce que justement, il n'y a pas d'Espoirs dans cette fic. Sauf des espoirs de fous. ^^

Allez, j'arrête avec ça, et je termine mon com là-dessus :

Suga'Girl a écrit:

Ces deux ephèbes lol ce nomme Shin et Strify du groupe (allemand) Cinema Bizarre !!!!!!

Désolée Justine pour le mec à gauche, entre Bill et Gustav...je croyais vraiment que c'était une meuf mdr...

Bizzz
Milie

Excuse-moi, amour.
Excuse-moi de perdre la maîtrise du temps, d'oublier de venir içi.
Je suis de retour et là, c'est pour de bon.
De vrai. De vrai.

J'ai entamé la lecture à 10h55. Je la termine à 11h33.
Trente-huit minutes où le monde aurait pû s'écrouler.
Je ne lui aurait pas accordé un seul de mes regards.
J'étais ailleurs, tu sais peut-être quel est cet endroit merveilleux, je ne parviens pas à lui trouver de nom, pas encore, pas encore mais dieu sait comme il me faut du temps pour comprendre parfaitement.

Tu aurai pû croire que j'avais lâché l'aventure, le courage me manquant, parce que oui, crois-moi, il en faut sacrément pour te lire et pour s'efforcer de ne pas craquer en route, de garder le cap même si plus rien ne va içi-bàs.
Mais je suis là, toujours.
Je te l'avais dit, souviens-toi.
Tu es éternelle, le genre de personne que l'on ne rencontre qu'une seule fois.
Merci d'avoir un jour pris la plume.
Merci de ne plus jamais la lâcher.

<3

Merci Nao...

Vision d'un monde pourri...

Mais pas si pourri quand c'est toi qui le décrit....

Reviens....

Nao
c'est encore pire quand c'est du point de vue de Bill
et le fait qu'il parle a Tom
ca ....
mais j'aime
ce monde pourri jusqu a la moelle que tu decris
que tu detruit
j'aime
encore
et toujours
parce que c'est toi
parce que c'est
(L)
alors
merci
encore une fois
c'est tou ce que j arrive a te dire pour l instant
excuse moi Nao
pr ce com' sans interet

bisou
<3
merci =]
et
encore
s'il te plait
<3::coeur::

Milietrom a écrit:

Cette suite était superbe. Si j'étais à la place de Tom, je crois que j'aurai mal. Parce que Bill lui balance de ces trucs à la gueule...Il y a beaucoup de sous-entendus, bien sûr. Mais ils font mal ces sous-entendus, vraiment. Et le pire, c'est qu'on devine qu'il agit comme ça envers son frère pour le faire revenir dans son monde. Tout comme il emmerde Sans nom pour la faire sortir de son monde aux atrocités innomables.

Le pire, c'est que tu m'inspires. Tu m'aides à sortir le côté obscur qui est en moi. J'ai enfin trouvé une idée de fic pour faire sortir toute mon envie de dire au monde que je n'en ai rien à foutre du fait qu'on fait partie du même univers...mais t'inquiètes pas, je vais d'abord finir ma fic en cours avant de la commencer. Donc je posterai ça dans très longtemps, vu comment ma fic avance à un rythme de tortue dans le monde virtuel (l'aventure dans 33Kilos d'Espoirs se termine en décembre 2009 normalement, alors tu imagines...j'en suis même pas au 16 octobre 2007 au niveau de la rédaction !!!! lol)

Tout ce que je dirais sur cet embryon de fic dont je te parle, c'est qu'il sera beaucoup plus "adulte" que 33Kilos d'Espoirs. Parce que justement, il n'y a pas d'Espoirs dans cette fic. Sauf des espoirs de fous. ^^

Allez, j'arrête avec ça, et je termine mon com là-dessus :

Suga'Girl a écrit:

Ces deux ephèbes lol ce nomme Shin et Strify du groupe (allemand) Cinema Bizarre !!!!!!

Désolée Justine pour le mec à gauche, entre Bill et Gustav...je croyais vraiment que c'était une meuf mdr...

Bizzz
Milie

Il n'y a pas de souci Lol moi aussi au début je croyais que c'était une fille !!!! En plus il a à peine 18 ans
Bref suite ma petite Nao !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Citation :

EsTHelle, je trouve ça cool quelque part que tu te reconnaisses dans mon texte. J'espère qu'un Bill arrivera vite pour vivre avec toi. =)

n'est-ce pas ??
c'est pas con ça... XD
même si on crèvera de haine vers ce monde menfin ^^
ou de froid dans 3 ans?
c'est le prof de svt qui dit ça

sinon brûlés dans 6 ans.


Cool hein ?!
Love--'

"Je suis amoureux de cette fille aux cheveux couleur cendre et au coeur pouri"
Le coup de grâce.

Même plus la force de commenter tellement ça fait mal.
<3

SUITEeeeeeeeeeeeeee Nao where are you ????????????????

Aloreuh, quand est-ce que tu nous mets une suite Nao???

Bizzz
Milie

C'est l'horreur. x]
Bref. J'avais DS de philo hier, puis j'suis allée en ville, le soir j'ai regardé La Star Ac' et voilà comment file une journée x]
Je vous fais la suite aujourd'hui.
Désolée pour l'attente --'

pas grave t'en fais pas x)

C'est rien du moment que tu nous donne de tes nouvelles lol !!!!!!!!!!!!!!!!!

oui ^^ du moment que t'es là maintenant xD

...
J'sais plus quoi dire, tout reste coincé.
Encore...?

Ok, on attend patiemment ^^

Bizzz
Milie

Je ne voulais pas voir que ses regards s'attardaient plus qu'il ne l'aurait fallu sur ton visage glacé sur tous ces papiers souriants. Ou bien était-ce le contraire. Mon appartement est rempli de toi, Tom. Il suffit d'y rentrer pour voir que je t'aime, mes pièces sont à ta gloire et ton parfum flotte dans l'air. Je te jure, à peine un pas dans l'entrée et déjà sur le portemanteau il y a une de tes casquettes qui siège là comme sur un trône. Mes murs sont plein de photos et tu es presque toujours dessus, les placards de la cuisine sont remplis selon tes goûts, tes livres fétiches sont sur ma table basse, mes draps sont les tiens, tes stylos sont planqués dans mes trousses. Tu es partout, Tom. Partout, et c'est bien tout ça qui me fait me rendre compte chaque jour qui passe que tu n'es pas là. Au bout du compte, Tom, c'est simplement ce que me hurle chacun de ces objets, chacun de ces souvenirs. Tu n'es pas là.

Je ne voulais pas voir qu'elle s'intéressait à toi, parce que je n'étais pas sûr d'avoir la force de lui répondre. De t'expliquer à elle. De te raconter. J'évitais ses regards chargés d'incompréhension et de fascination quand elle pensait à toi, dont elle ne connaissait même pas le nom. Mais Georg et Gustav sont arrivés et je n'ai rien pu faire, tu sais. Ça faisait des mois, pour ma part j'aurais même dit des années mais nous ne sommes pas devenus si vieux, que je ne les avais pas vus. Qu'ils préféraient m'ignorer. Je ne les blâme pas, crois-moi, mais quand on décide de se débarasser de quelqu'un, autant ne pas revenir en arrière, tu ne penses pas ? J'ai vu toutes ces années de pur bonheur défiler devant mes yeux, les premières fois à jouer tous ensemble, le début d'une aventure à vivre à deux cents pour cent. J'ai vu ces temps se dégrader une nouvelle fois, jusqu'à la décadence finale. Et je n'ai toujours pas compris pourquoi on devait absolument se casser la gueule.

J'avais mal quand ils sont partis. J'aimerais que tu puisses comprendre mais tu ne le peux plus, à présent. Mes mots ne t'atteignent plus, nos esprits ne sont plus sur la même longueur d'onde. Pourtant, j'aimerais que tu saches à quel point c'est une souffrance sans vergogne, à quel point effleurer ton nom dans mes pensées me déchire de part en part dans cet appartement qui crie comme je ne sais plus le faire que tu lui manques. J'aimerais que tes yeux s'emplissent de larmes, comme quand tu ressentais encore quelque chose, j'aimerais que tu me demandes pardon et que tu me prennes dans tes bras. Je n'en ai rien à battre de n'être qu'un gosse serré tout contre toi. J'aimerais tellement que tu effaces ces mois sans toi avec ton sourire en coin. Mon Dieu, Tom, si tu savais, si tu savais à quel point j'aimerais que tu reviennes de cet endroit où je ne peux pas te rejoindre.

Tu sais, le simple fait qu'elle me demande de qui nous parlions m'a tué, et pendant un instant j'ai bien cru que je ne me relèverais jamais plus du fauteuil dans lequel je m'étais installé. C'était comme si de là où tu t'es égaré tu m'avais coupé le souffle, comme si ma respiration cahotique tendait à s'épuiser alors que tes yeux rieurs prenaient place devant les miens. J'ai presque l'impression de pouvoir te voir encore comme tu étais, avec un peu d'imagination. Pourtant, ce n'est qu'un leurre et au final, c'était juste que mon coeur avait soudain du mal à battre sous sa question. Qui es-tu, Tom ? Le sais-je seulement ? J'ai bien peur d'avouer que celui que tu es devenu m'es totalement inconnu. Toi, ma moité, mon frère, mon sang.
Ma chair.

Le pire, Tom, le pire c'est que je te ressens encore dans le moindre de mes pores, le pire c'est fermer les yeux et entendre ton coeur battre à l'unisson avec le mien de l'autre côté de Paris, le pire c'est de savoir quand tu as peur du noir et que les infirmières viennent voir si tu existes encore dans le néant qui te bouffe, le pire c'est savoir que quand le jour se lève pour moi, il en fait de même pour toi. Le pire, Tom, le pire c'est de savoir que tu es encore moi comme je suis encore toi mais que plus jamais on ne sera pareil, que plus jamais on ne se touchera par la pensée comme on le faisait avant. Le pire c'est que tu es vivant et que c'est toujours en moi que tu vis, oui, le pire c'est ça, c'est te sentir, c'est être toi, c'est avoir besoin de toi, c'est tout ça et ne pas te comprendre. Ne pas t'atteindre. Parler dans le vide. Essayer dans le vide. Dépérir dans le vide. Espérer dans le vide.

J'avais si mal que je lui ai demandé de me rappeler que le monde va encore moins bien que moi. Si tu étais comme avant, tu me dirais que je me mens à moi-même et tu sais, même ça, je le regrette. Je préfèrerais tes giffles et tes reproches à tes yeux instables et tes mains serrées. Elle l'a fait, voilà, elle m'a montré à quel point tout mourrait autour de nous, et l'éphémère de ces vies auquel ils se raccrochent avec une énergie insensée. Elle m'a soigné un peu, comme elle le pouvait et le temps a filé sans que je ne m'en aperçoive. C'est pour ça que j'ai raté l'heure, Tom, et que sa présence est devenue optionnelle. J'en serais peut-être désolé si nos rendez-vous quotidiens n'avaient pas tant d'importance à mes yeux.

C'est devant ta porte que la douleur est revenue, plus forte que jamais. Quand j'ai senti sa question poindre sur le bout de ses lèvres et que j'ai dû lui répondre pour ne pas avoir à l'entendre.
- Mon jumeau.
Et j'ai poussé la porte pour ne pas avoir à affronter cette révélation.

*

Poignant!!!
Triste!!!!!
Magnifique!!!!!

Voilà ce que je peux dire à ce moment précis

<3