[T] Always cold ( integral+suite)

On attendra ! =)

Bisous & suite !

suite <3

hello, je sais je n'ai pas suité, les vacances, les soirées mais je n'oublie pas je vais essayer ^pour ce soir...

merci de patienter

de rien, c'est normal
on attendra
et puis on c'est ce que c'est les vacances =)

Cool alors =)

Suite !

suite!=)

suuuuuuuuuuuuuuite Very Happy

Suite ?

Suiiiite

bon dsl mais je suis plus prévenue quand il y des commentaire...

Bientot très longue suit!!!

aj oui est-ce qu'il y a des gens qui vont à werchter boutique Bruxelles ce dimanche si oui envoyer un MP!!!!

A bientot!!

Okeii trop hate d'avoir la suite!!=)

suite^^
XD

suite <3

SUIIIIIIITASSE!!!! <3

Suite !

alors je m'excuse mais je reçois plus les message!!!

donc voilà la suite les autres suivront!!

Un autre jour s'est levé, les rayons du soleil transperçaient les fenêtres sans rideaux de la chambre de Bill. Il avait dormi toute la nuit, sans rêve... La chaleurs de l'astre de feu caressait ses paupières et la lumière le força à ouvrir les yeux. Comme perdu dans ses rétines blanches des iles brunes, prunelles noisettes s'ouvraient sur le monde.
Il attendait aujourd'hui le soleil s'était levé comme tout les autres jours...
Il attendait la lumière habituelle comme tout les autres jours...

Arriane avait fini de faire le petit déjeuner et attendait Tom depuis deux semaines c'était lui qui apportait le petit déjeuner à son frère. Bill ne mangeait rien qu'elle lui proposait. Depuis deux semaines il y avait eu du changement.
Le soleil se levait et se coucherait comme tout les autres jours...

Elle continuait de marché vers le nord ou le sud, tantôt vers l'est, l'instant d'après à l'ouest, fuyant les ombres de son passée et se jetant dans les bras de ses ennemis futur. Ses pas trébuchaient à chaque foulées et pourtant pas de chute,plus de chute, un fâcheuse tendance à tanguer au moindre coup de vent mais rien de moins incertain que le trou qui guette le prochain pas. Le soleil se levait déjà et elle continuait de marcher, l'herbe repoussait, des bourgeons pendaient fébrilement au bout des branches et comme un miracle qu'on attend plus une faible sourire sur son visage. Encore quelque mètre et les premier passant pouvait entendre sa voix, voir un tout petit sourire et des doigts presque maladroit sur une guitare étoilées posés sur le sur le trottoir.
Le soleil été levé et irai se coucher comme tout les autres jours...

Il avait rendez-vous pour a visité, il en avait rêvé, il avait prié, fait des souhait aux oreilles qui n'exaucent rien. Elle se dressait devant lui droite comme l'architecte l'avait voulu, élégante comme sur les plans et simple comme les coup de crayon qui avaient mené à sa création. Il la visita comme un amant visite sa bien aimé chaque soir et découvre des merveilles plus grandes encore. Ces yeux ne voyaient que des pièce remplis d'air nouveau et d'inspiration atteignant les cieux, un sol assez grand pour accueillir les notes qu'il avait perdu et en créer de nouvelles, entendre à nouveau la terre.
Un living room grand comme la salle d'attente d'un hôpital, des chambres d'alliènés et des couloirs qui aussi tortueux que les pensées humaines. Il saisit son mobile et n'hésita pas une seconde.

...: ...
...: C'est moi! Je l'ai trouver
...: ...
...: L'endroit, c'est parfait!
...: ....
...: Non! je te dis, j'ai trouvé la maison qu'il nous fallait.
...: ....
...: Elle est parfaite!

Il venait de trouver un endroit pour les fous, un asile pour les notes du cœur et les mots de la terre.
Le jour était déjà présent et attendait l'heure de son départ comme à son habitude...

Tom venait d'entrer dans la chambre de son frère plongé dans le silence depuis deux semaine, une étape inconnue, Bill souriait comme un abrutit et ses yeux brillaient de mille feu mais ses lèvres restaient close, alors comment savoir. Tom apporta son déjeuné au pied de son frère et s'apprêtait à lui donner la becter lorsque son portable vibra, un numéro absent depuis trop longtemps.

...: Allo
...: ...
...: De quoi tu parles?
...: ...
...: Mais tu es fou?
...: ...
...: ... la maison mais quel maison?
...: ...
...: comment ça parfaite mais Gus attend!
...: ...
...: Gus?
...: ...

Confusion totale et puis tan pis, il le rappellerai. Bill souriait toujours et refusa la nourriture que lui proposait son frère. Tom soupira avant de recommencer son geste sans succès.

...: Bordel, qu'est-ce que tu veux?

Les lèvres de Bill se détachèrent difficilement et il articula.

...: Détache moi.

Ses poignets sétaient levé et il les tendait vers son doubble.
Les jumeaux se fixèrent ainsi un long moment, le temps de trouver la vérité.

Georg était avec Arriane dans le salon et riaient de rien, Tom fit son entré et de son ombre sorti Bill.
Les liens étaient tombé, il était temps recommencer.

Il avait le stylo à lamais et s'apprêtait à signé une avance pour l'achat de la maison lorsque son portable vibre, un message de Tom: prend on arrive.

Le soleil était déja haut dans les ciel et n'attendait que les première lueure de la nuit pour apercevoir son aimée avant de disparaitre à nouveau...
Comme tout les autres jours depuis une éternité...
Comme tout les autre jours.

Invité

c'est beau
c'est touchant
ça recommence
j'aime le personnage de Bill et j'aime le fait qu'il deteste arianne
mais il n'y aurait pas un peu d'amour la dedans.
Tom par contre je veux qu'il la retrouve je suis sur qu'a eux 5 ils le peuvent
suite

Merci de m'avoir prévenu que la suite était la Very Happy

J'aime toujours autant, c'est magnifique !
J'aimerais que Tom la retrouve...
suite

merci pour le message
c'est toujours aussi beau
j'en pert toujours autant mes mots
Tes mots m'avaient manqué mais te voilà de retour
pour mon plus grand bonheur
vivement la suite

je sais pas quoi dire
c'est beau ça ne change pas
j'apprecie vraiment le fait que tu m'es fait une place dedans
il serait peut-etre temps de la retrouver non ?

Sublime. Emouvant. Et on repart de zéro.

Encore encore encore encore encore encore !!!

Suiiiiiiiiiite

Il y a des choses qu'on ne dit pas, un secret qu'on avoue jamais, elle vivait la vie que de milliers d'autres voulait vivre et pourtant...
Elle aurait tout abandonné pour marcher pieds nus sur la plage, sa plage, son ile...
Son portable vibrait pour la xieme fois dans sa poche, le tout dernier I-phone, son père le lui avait rapporter de son dernier voyage d'affaires. Il pensait à elle, entre deux coup et la signature d'un contrat qui les éloignait un peu plus. Elle prit le chemin le plus long vers sa maison de luxe en passant par le jardin du voisin vide depuis longtemps. Elle remarqua que le panneau à vendre ne trônait plus stupidement au milieu de la pelouse, dommage...
Elle grimpa vulgairement au montant de plantes qui envahirait bientôt le balcon de sa chambre. Elle entra dans sa chambre sans lui jeter un regard, et pourtant elle l'avaient décor des objet les plus couteux. Elle daigna enfin décrocher son téléphone.

...: M'man je vois pas pourquoi tu m'appelles quand je suis à la maison!!!!!!!

Des pas lourd se firent entende et des coups violents furent donné dans la porte.

...: Johanna Ceriz Fountain! Ouvre cette porte tout de suite!

Un cliquetis perdu dans le brouhaha du pied qui martelait le sol en signe de rage.

...: M'man?

Elle se tenait droite comme un I du haut de son mètre 65 devant sa mère guère plus grande.
L'orage qui semblait devoir éclaté disparu pour laisser place à un soupir d'exaspération.

...: Ton père est rentré, il repart demain matin.

Johanna ferma la porte comme si de rien n'était, c'est à peine si l'information l'avait frôlé. Elle n'ira pas le voir, il n'avait pas le temps, elle non plus. Lui à gagner de l'argent, elle à apprendre comment le haïr petit à petit. Mais ça c'est une chose qu'on ne dit pas, un secret que personne n'entend jamais parce qu'on s'efforce de le hurler à tout bout de champs.

Les cartons étaient partout, ils avaient juste été rangé, Arriane fesait ça valise et regardait la chambre qui avait été sienne, au fnd qu'avait-elle fait, avaient-ils fait un pas de plus grace à elle, et un pas vers où?
La lumière ou les ténèbres?
Elle se sentait inutile, comme si leur avait fait perdre leur temps...

C'est sans prévenir que des bras l'entourèrent et la serrèrent très fort, une chevelure châtain lui caressait le visage.

...: Georg tu m'étouffes!
...: Pardon.

Georg déssera son étreinte et sourire au lèvres fit face à son amie. Ses grand yeux océan plongèrent dans l'âme d'Arriane et de ses lèvres un simple mot explosa.

...: Merci.
...: je... j'ai... je n'ai rien fait.

Voilà, elle n'avait rien fait enfin...

...: Si, tu étais là, tu es resté tu nous as supporté dans tout les sens du terme. Tu as fait attention à nous, à moi... Alors Merci.

Merci un merci qui efface tout les autres mots de la bouche, paralyse les pensés, savoir dire Merci c'est poséder le pourvoir de l'humble.

...: Toute bonne chose à un fin tu sais, maintenant je rentre chez moi.
...: ...
...: Merci à toi Georg. Tu es quelqu'un de bien.

Elle bouclait ça dernière valise, il ne restait d'elle qu'un semblant d'emprunter qui disparaitrai dès qu'elle aurait quitter la pièce. Un soupire, une mèche de cheveux maladroitement arrangé et voilà, c'était fini.

Bill ne savait pas vraiment ce qu'il faisait , il pliait, emballait des affaires qui ne semblait pas être les siennes, des restes de vie perdu accroché à un string égaré sous le lit vide. Les meubles ne bougerait pas, il les donnerait, trop de souvenirs enfermés. Tom faisait du mieux qu'il pouvait pour ne pas y penser, il s'en irait et si elle revenait?
Non.
Oublie...

La communication entre les frères était compliquer, titubante comme le nouveau né. Il y avait une maison qui les attendait à Berlin, Dans les beau quartiers de la banlieue berlinoise, à mi chemin entre la ville et la compagne d'après ce que disait Gustave, Tom espérait pouvoir voir les étoiles. Quelque chose le coupa dans sa rêverie, Arriane se tenait avec Georg dans l'encolure de la porte.

...: Euh... ben...
...: Tu peux mettre ta valise dans le salon, les déménageurs la prendrons, tu la retrouvera la-bas.

Georg et Arriane se regardèrent d'un air surpris, il semblait que Tom n'avait pas envisagé une seconde qu'Arriane les quitterai...

...: Ben vas-y tu veux comme même pas que je le fasse pour toi?
...: Euh... je...
...: Elle rentre chez elle Tom.

Bill venait de couper cours au explications qui ne venaient pas.

...: Comment ça? Tu restes! Partir ou? Pourquoi?

Trauma, c'est bien le mot, disons que Tom avait subit un traumatisme, une choc, une frustration lié à un événement marquant. Il n'était pas question d'autre départ, sans même y réfléchir il avait intégré Arriane dans le groupe, disons dans la vie du groupe.Chez elle c'était chez lui, chez eux.

Arriane restait stoïque, Bill fixait intensément son ainé, Tom attendait une réponse, seul Georg s'amusait de la situation, Tom venait de faire ce qu'il désirait, Tom avait lié Arriane à leurs vie.

J'adore
j'en veux encore
Georg me donne le sourire
Bill des frissons et Tom on en parle pas.
Je vois même pas l'interêt de mon com
Il est nul et je peux même pas d'ecrire ce que je ressens
j'ai juste un sourire niais sur le visage et je t'en remercie
suite

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