[T] Always cold ( integral+suite)

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Mer 3 Sep 2008 - 20:30

suite

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Mer 3 Sep 2008 - 21:58

c'est juste magnifique, merci

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Mar 16 Sep 2008 - 20:10

Tu postes plus? Je suis en manque de tes mots x3

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 20 Sep 2008 - 22:50

suite

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Lun 22 Sep 2008 - 14:50

Kikou tout le monde.

Alors je viens de faire ma rentré a l'unif, de m'installer dans mon ch moi!

Donc je n'ai pas encore internet c'est pourkpoi je n'ai pas pu poster, mais bientot

Disons 2 semaine grand maximum et sinin si je capte encore du resaux ben p-ê c soir!!!

Dsl de vous faire attendre et merci d'être tjs là!!

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Lun 22 Sep 2008 - 17:36

A trop cool si c'est ce soir et sinon on attend! Wink

J'ai trop hate de lire ta suite

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Dim 28 Sep 2008 - 21:37

suite

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Ven 3 Oct 2008 - 18:01

suite plise et oui me revoila^^

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Ven 10 Oct 2008 - 16:47

ça y est j'ai le net!!! suite ce weekend !!!!!!!!

merci d'avoir patienté!!!!

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Ven 10 Oct 2008 - 18:29

mais de rien très chère!
mais de rien!
ok ok maggle

Invité

vivement la suite

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 11 Oct 2008 - 12:20

suiteeee

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 11 Oct 2008 - 13:50

Cool!=)
Suite stp!

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 11 Oct 2008 - 22:40

La suite pas top mais bon je fais un peu avancer une autre demain normalement. Et au passage j'en profite pour dire que Arrine ne disparaitra pas de ma fic, même i vous nevoyez pas son tilitépour l'instant...

… : Johanna où vas-tu ?
… : …
Johanna Ceriz ! Arrête-toi ! Tu m’entends !!
… : …
… : Arrête ! Obéit je suis ta mère, tu m’entends !!?!!

Voilà ce que pouvait voir Gustav de la fenêtre de sa chambre tout les mercredis :
Johanna.

Comme à chaque fois elle avançait sans prêter attention aux cris hystériques de sa mère.
Mercredi c’est le jour de congé du jardinier alors forcément…
Elle avait arrêté de jouer la comédie depuis longtemps, la comédie des hommes, celle du langage.
Elle ne parlait que lorsque c’était nécessaire ou quand elle avait un coup de trop dans le nez, ce qui arrivait assez souvent. Disons qu’elle passait ces journées à cuver de la soirée d’avant et la soirée à ingurgiter tout et n’importe quoi, du moment que ça lui arrache la gorge. Une taf de Black Devil, un coup de lèvres sucrée et encore une autre bouffé du mélange dont les grande firme du tabat ont le secret.

… : T’aurai pas une cigarette ?

Elle ne l’avait pas vu, et lui, ne la regardait même pas. Disons qu’il se croisait, sans e voir, comme tout le monde. Elle avait sorti sont paquet de clope automatiquement en se disant qu’elle devrait arrêter de fumer. Elle tendit le paquet et lui en prit une.

… : T’as du feu ?

Le briquet émit un faible cliquetis. Tom alluma la cigarette noir au gout chocolat, ce n’étais pas ces préféré mais tant pis. Ceriz le regardait le nouveau de toute sa longueur.

… : C’est toi le nouveau voisin, non ?
… : Ouai.

Tom n’était pas d’humeur bavarde et commença à s’éloigner de la jeune fille en lui rendant le briquet, en hochant de la tête en signe de remerciement. Johanna ne calcula pas et e fit le rflexion qu’elle ne poserait plus de question inutile.

Chacun parti dans une direction opposer tout en se rejoignant. Puisqu’ils allaient tout deux se perdent dans leur esprit pour oublier que vivre n’est rien d’autre que le chemin le plus long vers la mort.

Ariane c’était trouver une occupation, la salsa. Elle passait le clair de son temps dehors à flâner ici et là, gaspiller de l’argent en chose inutile et à fuir Bill. Bill, lui s’énervait sur ses pages toujours aussi blanche et tentait désespérément d’y couché ses émotions. Mais rien, un vide éternel dans le quel s’engouffrait toute l’inspiration. Gustav et Georg faisaient le tour de la ville pour se changer les esprits.

Tom avait recommencé à fumer de belle Marlboro, il sortait souvent et revenait tard sans jamais dire où il allait, n’y quand il reviendrait. Bill était anxieux à chaque sorti et ne son cœur ne s’apaisait que lorsqu’il entendait son frère rentré. Il ne disait rien mais redoutai de voir à nouveau de faux astre dans les yeux du guitariste. Une série de soirée sans intérêt, qu’on pourrait qualifier d’inexistante tellement il manquait d’action, et ivre c’est agir, et agir c’est poser une action. Dans cette grande maison il n’y avait plus de vie, on attendait, comme on attend la pluie durant la saison sèche et le soleil chaud durant l’hiver.

Un hiver mort depuis quelques moi et un soleil d’été qui pointait le bout de son nez sans que la chaleur ne réchauffe leur cœur trop longtemps prisonnier des glaces.

Ce mercredi là Johanna n’arrivait plus à mettre un pied devant l’autre, c’est à peine si elle tenait debout toute seule, c’est en trébuchant qu’elle arriva dans un jardin. Elle s’écroula et vomit ses tripes en plusieurs fois.

… : Et ben comme ça on aura de l’engrais !
… : La ferme …

Bill avait été surpris pas la jeune fille et amuser aussi de la voir tout rendre ans son jardin.

… : Quand on ne tient pas l’alcool on ne boit pas.
… : C’est ça … dit Ceriz entre deux vomissement.

Elle était tellement mal que lorsque son estomac finit pas se calmer elle s’allongea à quelque mètre en prenant de grande bouffée d’air.

… : Tu ne comptes pas dormir là ?
… :…

Ne voyant aucune réaction de la par Johanna, Bill s’approcha doucement et prudemment d’elle, ne sait-on jamais avec l’alcool. Il répéta sa question toujours sans réponse et se décida à lui toucher l’épaule. Elle s’était endormie comme une masse dans son jardin. Il essaya de la réveiller sans aucun résulta. Il prit l’initiative de transporter à l’intérieur et l’allongea sur le canapé. Il la laissa là et alla se coucher à son tour.

C’est dans un fracas de verre brisé que Johanna se réveilla.

… : Putin, mais c’est quoi ce bordel !

Gustav venait de faire tomber son petit déjeuner sous la surprise. Il restait figé face à sa découverte. La jeune fille avait du mal à se réveiller et se tenait la tête en grimaçant.

… : Où je suis ?
… : Chez moi.
… : Tu ne peux pas parler doucement s’il te plait.

Gustav avait à peine murmuré.

… : Comment je suis arrivé ici ?
… : Ben, j’en sais rien, mais vu l’odeur…

Johanna foudroya le batteur du regard, elle avait horreur qu’on la juge. Les apparences sont trompeuses, même quand elles paraissent vraies.
Elle tenta de se lever pour partir et retomba mollement sur le divan. Gustav observait ce spectacle assez triste en se demandant qui avait pu faire rentrer cette fille ici.
Tom fit son apparition, se stoppa une seconde en passant devant Johanna et reparti en plissant le nez, alcool…

… : c’est toi qui la ramené ? demanda Gustav à son ami.
… : Non.
… : Salut !

Bill venait de faire son entré tout content.

… : La ferme !
… : Décidément, toi et la politesse…
Bill l’observait, elle se frottait les yeux et tenta une nouvelle fois de se relever. Elle réussi, bien que n’étant pas très stable. Elle tituba vers une porte et s’arrêta.

… : La sortie ?

Bill secoua la tête négativement et l’accompagna jusque dehors.

… : ça va aller, tu ne veux pas que je t’appels un taxi ?
… : J’habite à coté.

Elle s’éloignait à grande peine mais parvint à rentré chez elle sans tomber.

Invité

j'adore encore un nouveau personnage ça va etre interessant mais n'oublie pas les anciens
je veux dire trop de personnage peut t'embrouiller et nous embrouiller aussi
Arianne qui gaspille ah la la c'est bien elle la
suite

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 11 Oct 2008 - 22:54

suite j'adore...
et heureusement que tu ne supprimera pas ariane de ta fiction...
je l'adore moi

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Dim 12 Oct 2008 - 19:59

Kiko news lectrice !
j'ai adoré du début jusqua maintenant !
Vivement la swite !

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Dim 12 Oct 2008 - 20:48

hey new lestrice, salut à toi sushi*

Bon pour que tout le monde suive, dans ma ic il y les Th, avec David ui fait de braf pparition, Ariane qui évoluera, Johanna ou Ceriz, la nouvelle voisine, et un fantome qui se prénome Halalia, pour l'instant c'est encore simple. Il y aura encore un nouveau personnage mais pas pour tout de suite.

Voici la suite ....

Un corps fatigué, des pieds douloureux s’étaient arrêtés devant un panneau, sur une route où fonçaient des voitures, de part et d’autres, dans des directions opposés. Elle s’était stoppée net, une envie folle de faire demi-tour. Mais l’homme est une contradiction, adulateur l’ordre mais artisan du chaos. Il était là, ils étaient là, les journaux en avaient paré, elle avait essayé de ne pas lire. Mais son subconscient déviait ses pas, changeait le sens de sa marche jusqu’ici. Le souvenir de chaleur avait pris le dessus sur la raison. Elle ne savait pas, elle a juste baissé les yeux et courbé l’échine comme un condamné à mort que l’on mène sur l’échafaud.

Mercredi, Gustav guettait les cris de la mère de Johanna, le premier retenti, le second, puis une porte qui claque, une silhouette qui presse le pas. Elle passe devant lui sans même le voir.

… : Salut.

Un arrêt brutal, la jeune fille tourna avec surprise là tête vers Gus. Une gêne soudaine, un lézard. Elle se souvient, de ce matin, il y quelques semaines, les remarques de Bill, la gueule de bois, la mauvaise humeur.

… : euh… salut.

Elle resta un moment interdite devant le garçon qui la fixait droit dans les yeux, comme une sonde dans son âme.
… : Reviens, tu m’entends !

La voie se rapprochait et dans un este précipité Johanna fit un pas maladroit et se retrouva au sol.
Une ombre surgit derrière le muret de la maison voisine, vociférant des ordres à tout va et avançant vers eux.
Gustav releva d’un geste vif la jeune fille au sol qui retomba aussitôt.

… : Putin, la poisse !

… : Johanna !

D’un coup, l’interpeller se retrouva soulevé et transporté dans la maison.

… : Tu as du te fouler la cheville, dit Gustav en l’emmenant au salon, la posant sur le même divan sur lequel il l’avait trouvé.
Je vais te cherche de la glace.

Tout c’était passé très vite, trop vite et tout ce qu’elle espérait était que sa mère ne vienne pas sonner. Elle ne prêtait aucune attention à son pied qui avait pourtant doublé de volume.

… : Ah, mais c’est froid !
… : La glace tu sais, c’est toujours froid, remarqua Bill qui avait assisté à la scène dans un coin du salon.

Gustav s’empêcha de rire, et Johanna croisa les bras comme une petite fille l’air boudeur.

… : Tu es attiré par notre maison, d’abor tu nourris les plante de ton vomi et ensuite tu squatte le fauteuil et tu te barres sans dire merci, et maintenant tu obliges se gentil Gustav à prendre soin de toi, tout en lui hurlant dessus. Tu manques vraiment de bonnes manières.

Bill s’amusait, la taquinait. Elle avait ouvert de grand yeux et restait ahurit face au remarques acerbe de Bill.

… : Laisse là, elle n’a pas eu de chance c’est tout, dit Gustav en se relevant.

… : Je vais te chercher de la crème et te faire un bandage, tu iras voir le médecin, même si ça n’a pas l’air bien méchant.
… : merci… murmura-t-elle.

Bill sourit de voir la jeune fille perturbé et vint s’assoir auprès d’elle.

… : Salut, moi c’est Bill.
… : Je sais qui tu es.

Réponse sec.

… : Et toi tu es…
… : sans importance, juste la voisine qui a vomit dans ton jardin.

Gustav revint avec la trousse des premiers soins et s’activa pour panser la cheville foulée. Il était un peu coupable, après tout.

… : Voilà, Johanna, c’est ça ? Ne t’appuis pas trop dessus.

Elle ne répondit que d’un hochement de tête. Prit son téléphone et appela une de ses nombreuse connaissance pour qu’il vienne la chercher.
Le silence régnait en maitre durant les quelques minutes qui passait. Bill alluma la télé. Gustav alla ranger la trousse. La sonnette retenti et Johanna se leva pour partir.

… : Au revoir, Jo-ha-na, dit Bill sans détourner la tête de la télé.

Gustav la raccompagna à la porte et lui conseilla encore d’aller voir le docteur. Elle le remercia une dernière fois et disparu dans un e voiture de sport tape à l’œil, conduit pas un mec aux yeux étrangement rouge.

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Lun 13 Oct 2008 - 12:10

Deux suites en un week-end!! Wow Merci beaucoup!
C'est toujours aussi bien écrit.
Il y a un truc que j'ai pas bien saisi : johanna c'est la fille et Cerise c'est la mère? Qui est qui en fait?
Et ou est Halalia?!
Ca fait beaucoup de question là xD
J'ai trop hate d'avoir la suite!!x3

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Lun 13 Oct 2008 - 14:12

Johanna c'est Ceriz, c'est la même personne Ceriz c'est son second prénom et son surnom aussi.

Halalia, ellle est perdue...

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Mar 14 Oct 2008 - 12:50

suiiite !

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Ven 17 Oct 2008 - 15:45

Voilà une longue suite parce que je ne posterai pas ce weekend, dsl si c'est un peu brouillon, je me suis perdu dans mes pensées...

conseil: écouter l musique et lisez la fic, ensuite lisez le spoiler, il y la traduction ( j'ai traduis comme je pouvais mais il y des nuance, typique à chaque langue.)

Il fixait les pans de sa robe turquoise. Elle se terminait en petit volant, comme les pétales de fleur bleue. Il n’avait jamais remarqué le galbe élégant de ses jambes, la courbe de ses mollets, et la forme de son pied surélevé par des scandales argent. Ses yeux remontaient doucement du bas vers le haut, s’attardant sur la légère cambrure qui annonçait un magnifique fessier. Il découvrait le dos nu parsemé de petite tache rousse à peine visible. Cette peau blanche, ainsi abandonné à sa vue, lui donnait terriblement chaud. Sa chevelure flottait sur ses épaules tant dis qu’elle réajustait les brettelles de sa robe au niveau de la poitrine, qui elle aussi ne le laissait pas de marbre.

… : Tiens ma belle, c’est pour toi.

Georg venait de briser son instant de rêverie. Il tendait à la jeune fille un collier en argent sertît de saphir.

… : Mais, il est…
… : Magnifique, comme toi.
… : Merci.

C’est tout naturellement qu’Ariane laissa son ami lui placer le présent. Elle l’effleura du bout des doigts comme pour ne pas l’abimer. Un étrange sentiment lui chatouillait la gorge. Elle ne méritait rien, ne servait à rien. Sa présence était inutile. Georg la serra dans ses bras comme pour la protéger de ses doutes qui l’assaillent sans cesse.

… : Ce soir tu seras la plus belle. Et si je n’avais pas deux pieds gauche, je serai le plus beau !

Un rire commun s’éleva alors, Bill qui n’avait rien raté de la scène fit une grimace de dégout avant d’ouvrir la bouche.

… : Je remercie le ciel de ne pas être ton partenaire ce soir, quelle honte d’être obligé de s’afficher avec toi !

Ariane ne releva pas, Georg foudroya du regard son ami.

… : Tu devrais lui dire merci, si tu es encore debout c’est en parti grâce à elle.
… : N’importe quoi.
… : Tu crois vraiment qu’on aurait eu la patience de te supporter, toi et tes crises de junkies sans elle.

Bill devint livide, il n’avait jamais pensé à ça. Il se savait aimer, du moins le pensait-il.
Au fond, il ne se rappel que très vaguement de ses crises, comme une douleur légère mais constante, alors on fini pas la minimiser. Il se rappelle de Georg et tom a son chevet, d’Ariane les matins ou les nuits avait été dur pour eux. Des repas et déjeunés, mais il ne savait pas, n’avait jamais su l’hardiesse de l’épreuve pour les autres. La quasi inexistence de vie social, endurer les folies et autres de sa personne. Et pourtant il était là, grâce à eux. Debout et fier, comme avant. Il avait toujours ignoré les longues discussions à bout de force de Tom, Georg et Ariane, des mots qu’elle avait prononcés pour leur remonter le moral, le courage qu’elle leur avait insufflé quand il leur manquait pour continuer. Il n’avait jamais su, et ne saurai probablement jamais l’étendue d’une présence à vos cotés dans les moments difficiles. Il avait toujours eu Tom, mais là ce n’était pas pareille, elle avait été là, un léger murmure, une caresse légère lors des nuits trop agité, la faible lueur dans les nuits les plus noirs. Elle avait été là, telle une foi frêle, prête à se rompre à chaque instant, mais plus rénitentes que le rock.

Elle était là…

Elle avait eu du mal, beaucoup de mal, ici c’est différent. Les grandes villes ont cette particularité, elle souffre d’une maladie rare que l’on nomme indifférence, les syndromes son les suivant ; métro, boulot, dodo. Une vie qui n’en est pas une, où les excès n’ont pas de limites pour les enfants victime de la maladie, parents trop absents, argent abondant, parents incapable, argent difficile. Ici se côtoient sans pour autant se voir, les classes social diverses. Et pourtant, personne n’a réellement conscience de l’existence de l’autre. L’autre n’existe pas, Il y une masse et puis rien.

Elle ne faisait pas parti de la masse mais faisait tout pour si fondre. Attiré par des dit « amis » tous plus perdu les uns que les autres. Cela faisait deux jours qu’elle n’était pas rentré chez elle. Sa cheville allait mieux, deux semaine c’était maintenant écouler depuis la chute. Elle n’avait pas revu Gustav. D’ailleurs elle se demandait se qui lui avait pris de l’arrêter comme ça. Elle pensait à ce petit blond à la moue d’angélus boudeur ou rêveur. Une soudaine envie de grignoter. Heureusement dans les grandes villes il ne manque pas de petite épicerie. Elle descendit, se faufilant entre les corps de personnes connue et inconnue. Une envie de sucre, après avoir trop fumé. Elle ne flottait pas, ne flottait plus, le plaisir de la première tafe avait disparu. Elle était juste un peux étourdi, et avait terriblement faim. Elle se précipita dans la première échoppe et parcourus le rayons gâteaux sans trouver ce que son cœur désirait. Elle prit au hasard des biscuits et alla payer. Là, devant elle s’étendait des barres de chocolat de toute sorte. Son cœur fit un bon, c’est ce qu’elle voulait, Kinder, Cote d’or, Raffaello. Elle paya et sorti une barre déjà en bouche. Elle décida de trainer ici et là, avant de s’asphyxier à nouveau dans cet appartement dont elle ne connaissait même pas le propriétaire.

Elle n’existait pas puisqu’elle ne faisait pas parti de masse. En marge de la société image, elle était adossée péniblement contre un quelconque mur tagué. Elle avait de plus en plus froid, et pourtant, il faisait de plus en plus chaud. Elle se frotta les mains avant de prendre son étui et de l’ouvrir. Tel un culte, elle prit délicatement l’objet qui si trouvait. La seule chose qui lui arrachait le sourire et de douloureux souvenirs. Elle passa ses mains autour des étoiles peintes, ferma les yeux et prit une inspiration profonde. Lorsque ses iris noir réapparurent une tristesse profonde les animait. C’est avec lassitude qu’elle positionna sa guitare et entama les accords d’une chanson mélancolique.

Elle avait ouvert le paquet de Raffaelo et se délectait de la coco qui enrobait un mince filet de chocolat blanc qui protégeait un biscuit léger fourré d’une crème qui cachait une noisette croquante.
Une douce musique la tira de sa délectation. Elle s’approcha de l’endroit où provenaient ces notes. Elle arriva s’arrêta devant une fille en guenille, cheveux en bataille et visage bas. Les yeux clos et douloureux, empêchant des larmes qui n’existaient plus de couler, elle entama la chanson

https://www.youtube.com/watch?v=1wPo993nWGw

[font=Times New Roman][size=18]La dernière note est morte, germant dans l’esprit de Johanna, qui c’était mise à fouiller activement ses poche pour trouver une pièce, un billet, mais elle avait tout dépensé pour assouvir sa gourmandise. Elle n’avait entre les mains que du chocolat. Elle se sentait stupide, pauvre face à tout ça, une clocharde sur un mur lui avait donné les larmes aux yeux. Au font elle n’était pas comme eux, pas comme la masse, inexistante à leur yeux peut-être, mais belle et bien en vie. Elle déposa à la hâte les sucreries, en s’excusant de n’avoir rien d’autre. Elle retenait difficilement les gouttes d’eau salé qui menaçait de couler. Elle était complètement désorientée. Elle parti en direction de chez elle, n’essuyant même pas les larmes qui perlaient abondement son visage. Au font, elle s’était laissé aller depuis si longtemps. Elle se plongeait dans sa tristesse et son incohérence depuis si longtemps. Si longtemps, qu’elle avait oublié d’être heureuse, elle s’était perdu dans ses pensées, focalisé sur sa petite personne, ses petits problèmes, que le reste n’avait plus d’importance. Elle était devenue son propre ami, et s’entourait de pantin aussi désenchanté que ses rêves. A force de tout analysé, regretté le bon vieux temps, elle avait oublié de vivre le présent, et même si vivre nous tue, même si l’absurdité même de naitre réside dans l’attente de la mort, puis que tout est ridicule, et que le ridicule ne tue pas. Vivre de cette absurdité en saisissant la plus petite poussière d’étoile ne rend-elle pas la vie plus belle, et la mort l’aboutissement d’un périple sans queue ni tête si « vivant ». Après tout combien de fois ce brule-t-on les yeux à regarder le soleil ce lever sur nos vie pitoyable sans saisir la beauté de l’instant.

Perdu dans le tourbillon de ses pensés Ceriz, ne s’est pas rendu compte qu’elle marchait depuis des heures, qu’elle était arrivé chez elle, en fait qu’elle fonçait droit sur son voisin. Lui était perdu dans une mélancolie, il c’était ramassé une claque un peu plus tôt. Il était sorti sans trop savoir pourquoi et ne s’était arrêter qu’à quelque mètre de la. Une collision de plus.

… : Bordel mais t’as un problème toi…

Il n’avait pas fait attention aux larmes sur son visage.

… : ça ne va pas ?
… : Si si, désolé je ne t’avais pas vu.
… : tu es sure que ça va.
… : Oui, c’est juste que…

Il y des fois où on se sent submergé, on voudrait tout sortir, se soulager mais on garde tout à l’intérieur.

… : Que ?
… : Juste une fille qui chantait et voilà.

Bill sourit, il se rappelle le nombre de fois où il était en larmes devant une foule en délire, il n’ait plus vraiment lui, il n’était rien, rien que Musique…

Spoiler:

Invité

j'adore tous ces sentiments que tu fais passé
Le personnage d'Arianne est intriguant comme toujours, mais je sens que bill se rend compte qu'elle a servit a quelques choses a moins que je me trompe u_u" et Georg serais-t-il en train de fantasmer ? xD
Celui de Johana aussi m'intrigue, bref le tout pour faire une histoire super
suite

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Ven 17 Oct 2008 - 20:44

Voila tu as réussi à me faire verser quelques larmes. Ca faisait longtemps que ca ne m'était pas arrivé de pleurer grâce à des mots. Tu y es parvenue alors Merci. Merci même si ca m'a émue aux larmes, c'était un moment sublime.

Ok donc Ceriz et Johanna c'est la même personne. =)
Et Halalia est perdue, jusque là j'avais suivit, mais parviendront t-ils à la retrouver?...

Sujet: Re: [T] Always cold ( integral+suite) Sam 18 Oct 2008 - 11:41

Désolé de ne pas etre venue avant
A vrai dire je viens rarement, j'ai plus le temps
Puis je penser que tu suiterais pas, enfin je me suis tromper, j'ai dévoré ces suites que j'ai loupé et je n'en ai pas assez j'en veux encore.
Donc suite

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