[terminer]Si je chante pour toi, chanteras-tu pour moi?

voilà je commence une nouvelle fiction
j'espère qu'elle va vous plaire
je posterais des que je le pourrais
kis
Mistig

ps: Bonne lecture

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Si je chante pour toi, chanteras-tu pour moi?

Nous étions célèbre, nous le sommes resté longtemps, mais tout bonheur à une fin. Pendant un de nos concert, mon frère jumeau à perdu sa voix. J’entends encore chaque nuit, le bruit de micro qui tombe par terre, depuis nous ne sommes pas remonté sur scène. Il c’est fait opérer, mais na pas voulu reparler depuis.

J’aimerais tellement l’entendre de nouveau chanter. Je suis sur que sa voix est toujours aussi belle.

Là, je lui prépare ma spécialité, des pates à la bolognaise. Je lui monte tout ça dans sa chambre.

Moi : Tu sais, ta voix me manque.

Il me regarde avec des yeux tristes. Il commence à ouvrir la bouche, il va parler, je veux entendre sa voix.

Il referme la bouche et baisse le regard. Je sais au fond de moi qu’il veut parler et qu’il est triste de ne pas pouvoir le refaire.

Je m’installe sur le lit à côté de lui et le prend dans mes bras.


Il se met à pleurer dans mes bras.

Il ne prend plus soin de lui, il prend une douche le matin, mais ne fait rien d’autre. Ses vêtements reste dans le placard depuis se jours, tout comme son maquillage, … tout se qu’il pouvait mettre reste dans le placard.

Je vais vous raconter cette journée.

...

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Alors ???
Suite ???

je suis la première hahah

la suite ma sadique

J'aime bien le début ^^
Suite please!

J'aime le début.
Je demande une autre suite stp

Y a pas de souci.
Bon courage pour ton français.
Bisous

sniff à demain alors

ps : bonne nuit je te le dis ici parce que mon msn deconne ^^

val a écrit:

sniff à demain alors

ps : bonne nuit je te le dis ici parce que mon msn deconne ^^

à demain
bonne nuit à toi aussi
jtm very

la suite se soir quand ma diablesse aura poster ^^

sadique va mdr

Suite stp

Tout se passe bien, Bill est déjà sur scène pour faire les réglages pour ces micros. Quand à moi, j’attends mon tour.

La soirée arrive à grand pas, le stresse monte de plus en plus, pour le faire descendre nous rigolons, Gustav et déjà parti dans sont coin, comme à son habitude.

L’heure du concert est arrivé, le stresse est de plus en plus présent en nous tous. Les fans crient. Je monte sur scène en même temps que Gustav et Georg, je commence mon solo.

Un, deux trois, quatre chansons, tout se passe pour le mieux. Bill rentre dans la loge pour boire vite fait un verre d’eau et revient. Il commence l’autre chanson, la cinquième. Tout est commencé. Il est parti. J’ai beau être à fond dans mes accords de guitare, j’entends tout de même un problème dans la voix de mon petit frère.

Bill, je tans pris, détend toi.

Une pause est marquer dans la chanson, il la prend, prend de grandes inspirations. Et recommence … mais rien, rien ne sort de sa voix, rien. Il recommence et toujours rien.

La peur se lit sur son visage. Sa main qui tient son micro descend pour arriver le long de son corps. Il lâche le micro, quelque seconde passe, le micro touche le sol dans un bruit strident. J’enlève ma guitare, la pose sans trop de délicatesse et cours vers lui.

Il tombe à genoux devant tout les fans, le silence règne dans toute la salle de concert. Je me baisse vers lui, il entours ces bras autour de mon coup et moi autour de son corps fin. Je sans des larmes qui coule dans mon coup.

Des flaches de photo illuminent la salle. Georg et Gustav viennent vers moi et me fond signe de rentré dans la loge.

Je passe un de mes bras sous ces genoux et lève son corps. Il garde son visage dans mon coup et continu à pleurer. Je sors de scène avec mon frère dans les bras. Tout ceux qui se trouve derrière la scène me regarde passer devant eux.

la suite ma sadique j'adore cette fic ^^

aller la suite

j'attends d'autre demande et d'autre lectrise si c'est possible ^^

mais heu c'est pas juste sniif lol

Depuis se jour, depuis un an, plus rien de ne sort de ces cordes vocal. Depuis un ans nous vivons comme inconnu dans cette petite ville de France. Je ne donnerais pas le nom de cette ville. Nous avons bien sur l’intention de retourner en Allemagne, mais pas maintenant.

Notre famille n’a pas déménagé avec nous, ils sont tous rester en Allemagne. Georg et Gustav viennent quelque fois ici, pour voir comment se porte Bill et nous donnent des nouvelles de notre famille. Bien sur notre famille aussi, mais moins souvent que Gustav et Georg. Ils vont venir dans trois semaines maintenant.

Il a arrêté de pleurer dans le silence. Seulement les larmes me fond savoir qu’il pleurait. Il sait allonger, sa tête sur mes cuisses, les yeux fermer, les mains qui se sont regroupé devant sa bouche et ces jambes regrouper contre lui comme si il avait froid.

Je prends la couverture et recouvre son corps fin et fragile, de plus en plus fragile de jour en jour. Je passe ma main droite dans ces cheveux qui se décolore un peut plus chaque moi. ces cheveux on énormément pousser. Il ne les entretient plus.


Ça fait une heure que nous sommes dans cette position, de peur de le réveiller, je n’ai pas bouger, et je ne bougerais pas de la nuit. Mon dos collé au mur je me suis endormi.


Je me suis réveiller tôt avant lui, mais je suis resté pour ne pas le réveiller.

Il se réveille doucement et ouvre les yeux. Il lève son buste à l’aide de ces bras. Sans vraiment crier gare, j’entour son coup de mes bras. Je lui fais un câlin, j’en ai besoin, j’ai besoin de ça pour m’aider à tenir. J’ai besoin de se contacte.

Je ne peux plus entendre ta voix, mais je peux toujours être près de toi, avoir ta présence dans mes bras, cette présence qui me manque des qu’elle n’est pas présente.

Je mets fin à se geste.

Je sors de la chambre et descends pour aller préparer son petit déjeuner. Les larmes coulent le long de mes joues, ça fait un an que je les retiens, un an qu’elle demande à sortir, un an que je ne montre pas à Bill que je ne suis pas faible.

Mais deux mains sur le bord du plan de travaille, que je sers de toute mes forces. Je sans deux bras entourer mon corps, comme pour me consoler.

Moi avec une voix triste : Pourquoi ?

[PDV de Bill]

Tom, J’aimerais tellement répondre à cette question si simple et en même temps si compliquer. Je voudrais tellement savoir aussi pourquoi.

Tu es tellement gentil avec moi depuis un an, je ne sais pas comment te remercier pour tout sa. Tu me donne tellement d’amour, tu me donne tellement de chose que je ne pourrais jamais tout te redonnais. Je ne te remercierais jamais assez.

Tu m’as vu tellement faible, tellement vide, laisse moi te consoler au moins une fois.

Tu sors de mes bras, me regarde et sors de la cuisine pour ensuite aller dehors tout en claquant la porte de toute tes forces.

Malgré mon silence je voulais que tu restes. Car malgré les apparences je comprends ta colère. Je comprends se que tu ressens.

Je ne chante plus, tu ne prends plus ta guitare, tu ne fais plus tes mélodie qui accompagner ma voix sur scène.

Les larmes coulent le long de mes joues. Je monte en courant les escaliers et me dirige dans ta chambre et m’allonge dans ton lit. Il y comme ta présence dans ces draps.

‘’ Je suis désoler. ‘’

J'adore!
Suite please

la suite ma sadique

Deux heures que tu es parti, deux heures que je suis là à t’attendre. Je regarde ta guitare qui n’a pas bouger depuis tellement longtemps. J’entends la porte d’en bas claquer.

Je me lève en vitesse, prends quelque chose et descends en courant dans le salon. Je me pose devant lui et lui tant l’objet que j’ai pris il y a quelque seconde au paravent.

Il me regarde. et prend cette objet entre les mains, cette instrument qu’il a tellement tenu entre ces mains. Je lui pince la cuisse gentiment pour lui demander de me jouer un morceau de notre composition, je le fait de même dés que je veux qu’il me chante quelque chose.

Je m’assoie à terre, en tailleur, juste devant lui.

Tom : Tu le veux vraiment ?

Je lui réponds d’un oui de la tête.

Il me joue, avec beauté, la mélodie de Rette Mich, suivis de près par celle de Komm. Pendant cette dernière chanson, j’ai perdu ma voix. Il a arrêté la mélodie mais ne la reprend pas.



Je n’ai pas le courage de finir cette mélodie, je n’ai pas le courage de la finir sans sa voix.

Moi : Je ne peux pas la finir, pas sans toi.

Je dépose donc la guitare sur le canapé.


La journée était longtemps, mais nous avons fini par nous endormir dans mon lit, après qu’il met rejoint avec la peur de l’orage qui naissait dehors. Nous sommes allonger tout les deux dans ce lit, il a coller son corps au miens pour pouvoir être en sécurité.



Dans cette maison, tout le monde dort profondément, rêvant tout les deux de chose différente.

Mais plus loin, dans un parc, à quelque rue de cette maison. Dans cette nuit, il paraît désert. Mais tendez l’oreille et écoutez.

Des sanglots, maintenant regardé plus attentivement en direction de ces sanglots, il y a une personne. Pencher en avant, les mains qui recouvrent son visage triste.



Toute la nuit elle restera là, à pleurer toute ces larmes qui ne se sont pas arrêté un seul seconde. Vers 6 heures du matin, elles se sont enfin arrêter.

Elle se leva et se dirigea vers chez elle où personne ne l’attends. Sa sœur jumelle est parti pour une semaine en Allemagne. Ces parents … ils ne sont plus de se monde.

la suite ma sadique c'est triste sniff


mais je veux la suite

suite please!

je ne pense pas poster une suite se soir, à moins que j'ai le courage d'écrire
mais le probléme c'est que je veux prendre mon temps pour vous faire quelque chose de bien
donc bah j'espère que vous serez patiente
kis
Mistig
PS: merci de me lire ^^

no problème ma sadique

Je passe le pas de la porte et laisse couler longtemps mes larmes, qui fond couler mon maquillage. J’aimerais tellement ne plus être seul au moins une fois dans ma vie.

Moi : Val revient s’il te plaît.

J’ai dit cette phrase avec tellement de tristesse. Les larmes on continuer de couler. Je tombe à genoux sur le sol. Les mains sur mon visage.

Je sans des bras m’entourer.

… : Je suis là.

Je lève mon visage vers la personne qui me parle, c’est cheveux noir, son visage angélique, ces yeux vert. Elle est là, elle est présente. Je lui saute dans les bras.

Val : Je suis désoler, je ne te laisserais plus. Tu m’as trop manqué.



Tu sais, je ne pourrais plus partir sans toi, tu es ma jumelle et être loin de toi est trop dure. Si tu pouvais lire dans mes penser, tu lirais tout sa, et tu sourirais, avec tes yeux bleu qui pétille. Tu sais Mistig, tu es la chose là plus importante qui me soit arrivé, tu es juste arriver 10 minutes après moi et j’en suis heureuse.

Nous restons ainsi, pendant plusieurs minutes avant de nous séparer et qu’elle me dépose un bisous sur la joue.

Moi : Je joue, tu chantes ?
Mistig : Tu le veux vraiment ?

Je lui réponds qu’un oui de la tête.

Je sors ma guitare de son étuis et commence à pincer les cordes pour en faire sortir le son de sa chanson préfère. ‘’ Komm ‘’ Vous connaissez ?



Je commence à chanter sur la mélodie que ma jumelle joue. Je ferme les yeux, et chante aussi fort que je le peux, et aussi juste que possible.


La chanson terminé, je la regarde dans les yeux. Nous ne nous ressemblons pas vraiment, mais nous aons toujours vécu ensemble, pour le meilleur et pour le pire.

ma sadique jumelle
j'aime trop ton espoire

la suite please ma sadique