[terminer]Si je chante pour toi, chanteras-tu pour moi?

Et si cette voix était la solution. Et si cette énergie était également la solution.

J’étais là, au bord de la fenêtre ouverte avec Bill à côté de moi, envelopper dans une couverture pour éviter que le froid ne le rende malade. Cette chanson était tellement … je ne pourrais décrire cette puissance qu’elle a mie dans cette chanson que je ne connais trop bien.

Bill aussi là écouté. Il avait les larmes qui couler pendant toute la chanson. Il les a toujours.

Moi : Si elle chante pour toi, chanteras-tu pour elle ?

Je tourne mon visage vers mon jumeau. Il n’ose pas me regarder, il n’ose pas répondre d’un oui ou d’un non.

Moi : Tu la entendu toi aussi, nous n’avons pas disparu pour tout le monde, et si on vivait au moins pour cette personne, juste pour elle. Nous serions célèbre, mais pas comme avant.



Je saute dans les bras, et pleure plus de larme qui ont déjà coulé.

Tom si tu savais que j’en avais envie, si tu savais que j’ai envie de le faire pour toi. Mais dés que je trouve la force de te parler, je suis comme paralysé. J’aimerais te dire tellement de chose.



Une question tellement simple à retenir, mais la réponse est dure à trouver. Aide-moi.

Je sers de plus en plus le son T-shirt entre mes doigts.



Je sans au fond de moi que Bill a peur. J’entours également mes bras autour de lui.


Nous sommes resté ainsi, plusieurs minutes voir heures. Je ne sais pas trop. Par la suite Bill c’est endormi dans mes bras. Je l’ai pris dans mes bras, comme une princesse et allonger dans son lit. Je lui ai déposé un bisou sur le front.

Là je suis dans ma chambre, un papier posé sur un livre, lui-même poser sur mes jambes. Et un crayon fessant plusieurs allers retours, ne sachant que noter sur cette lettre.

j'aime ta fic ma sadique

a vrai dire

il y a quelque chose de changer dans ta façon d'écrire
j'adore

la suite ^^

J'adore!
Suite please!

suit please!

la suite ma sadique please

Je regarde le courrier, sous le regard de ma jumelle. Je fais passer les lettres entre mes doigts. Et tombe sur une lettre, écrite à la main, d’une écriture fine et étirer.



Ça c’est sur ce n’est pas moi. Je regarde ma sœur qui à toujours le regard poser sur moi.

Moi : C’est pour toi.

Elle me regarde avec étonnement.



Elle me donne cette enveloppe et découvre l’écriture fine et étirer qui est sur l’enveloppe. Je prends le couteau qui est juste à côté de moi et ouvre l’enveloppe en coupant la bordure droite. Je prends la lettre entre les doigts et la déplie. Ma jumelle vient derrière moi et regarde cette même écriture sur la feuille de papier.

‘’ Salut


L’écriture change de forme, mais reste tout de même fine et étirer.







Et si cette personne au prénom étrange, Mistig, ne pouvait sortir de chez elle que la nuit, pour être vue de personne. Et si cette voix est la seul chose qu’on pouvais aimer chez elle.

la suite ma sadique

ps il y a pas que ta voix qui est belle
toi aussi ^^

suite please!

la suite ma sadique j'aime trop

je veux encore une dose ^^

lol
elle ne sera pas pour se soir
je veux écrire pour m'avancer maintenant
donc je vais dire la suite dans le week -end je pense
voilà
kis
Mistig
Ps: Merci de me lire

tu veux dire que c'est un plaisir de lire une magnifique fic

surtout qu'on voit que tu fais beaucoup d'effort pour qu'on aime
bisous ma sadique

la suite ma sadique please

Dans une maison, les questions sans réponses sont toujours là, toujours présentes. Dans l’autre, Val et Mistig.

La nuit tombe peut à peut sur cette ville au mystère complet.



Un pull XXL à capuche me recouvrant le visage et le buste. Je sors de cette maison qui me connaît trop bien. Je me dirige vers le parc que je connais déjà trop bien. Je m’installe sur le banc qui est devenu froid par les goute d’eau qui tombe petit à petit du ciel noir peut étoiler.

Je reste là à regarder le ciel, c’est seulement à se moment là que l’ombre et la lumière ne fond plus qu’un sur mon visage.



Elle est là, installer sur se banc. Le visage lever vert le ciel. La capuche XXL de son pull tombe peut à peut pour laisser voler légèrement ces cheveux long. Le visage dont je ne vois que le contour dessiner par une lumière.



Je ne m’approche pas d’elle, je la regarde tout simplement.



Mistig était là, Tom aussi. Il l’avait vue sortir de la maison, il la donc suivit. Il la regarde cherchant l’ombre et la lumière de son visage.

Mistig se lève, remet sa capuche et se retourne. Elle découvre Tom. Par réflexe, quand quelqu’un la regarde, elle baisse son visage.

Elle avance, passe devant Tom. Ils ne se frôlent pas, ils ne se touchent pas. Mais un petit courant d’aire de bonheur passe sur leurs visage.

Tom, sans le vouloir à découvert l’ombre et la lumière d’un visage déformer. Et s’il s’avait l’histoire, serait-il près à la connaître ?

Elle se dirige vers chez elle, évitant de regarder derrière, pour ne pas voir cette personne qui a déjà trop vu d’elle.

suite please!

la suite ma sadique please

kikou
je ne suis pas sur de poster une suite aujourd'hui
j'ai des amis aec moi
et je veux rester avec eux le plus longtemps possible
puis par la suite je doit faire des recherche niveau personnelle
donc pour la suite je pense plus demain,
mais si je peux se soir je le ferais
kis
Mistig

no problème ma sadique

reste avec tes amis
sa doit faire du bien pour ton inspiration ^^

Tom, lui reste là. A regarder Mistig partir, les cheveux volants avec le vent qui caresse ces deux visages.



Là dans ma chambre allongé sur mon lit, je vois malgré moi, son visage se dessiner sur le plafond blanc. Se visage meurtrie d’un côté, angélique de l’autre.

On rentre dans ma chambre, je ne bouge pas. Je sais qui c’est. Il s’installe à côté de moi dans mon lit. J’entends un crayon écrire sur une simple feuille. Il me la met dans la main, que je monte pour lire ces mots.

‘’ Pourquoi tu ne va pas la voir et lui parler. ‘’

Je me lève pour me retrouver assis à côté de lui. Sans rien dire, je le prends dans mes bras et enfuit mon visage dans son coup.

Ces mains se promènent dans mon dos, comme pour me rassurer.

Moi : Merci, merci d’être là.

Je m’attache à son T-shirt autant que je peux. Je ne eux pas lui montré que je suis faible, je ne veux pas qu’il me voit ainsi.

Je me sépare de lui, me lève et sors de la chambre suivi de près par mon frère. Je descends jusqu’à la cuisine. Je prépare à manger.



Je m’installe à côté de lui avec des feuilles où je commence à écrire quelque chose.

‘’ Va là voir. ‘’

Je lui donne ce bout de papier, où seulement trois mots y trônent.

Il se retourne vers moi.

Tom : J’y vais, mais avec toi.

Moi, non, je ne peux pas sortir. Je lui réponds d’un non de la tête.

Tom : Alors je n’y vais pas.

Il reprend ces activités.

Ok, il est comme ça, alors il va voir. J’écris vite fait sur un bout de papier que je ne mange pas.



En lisant se mot, Tom se retourne vers Bill, qui sort de la cuisine pour se diriger vers sa chambre.

Bill ne sachant pas quoi faire pour faire comprendre à son frère qu’il doit aller voir cette fille. Tom, de son côté, veut y aller, mais avec son frère.

Tom décide de monté voir son frère.

Suite please!

mais va la voir

je vais te donner un coup de pied pour bouger

Mistig est allé plusieurs fois au parc, quelque fois accompagner par Val. Tiennent d’ailleurs elles y sont en se moment.



Je regarde le ciel, qui malgré les nuages, est magnifique.

Moi : Pourquoi ?
Val : De quoi tu parle ?
Moi : Pourquoi sa met arriver ?

Je sais qu’au fond de moi, elle ne connaît pas la réponse.

Moi : Ne tant fait pas, je sais que cette question n’a pas de réponse.
Val : Je suis désolé de ne pas pouvoir répondre à cette question.

Je continu de regarder le ciel, se ciel, dans le quel je cherche des réponses inexistantes.

Val : Mistig.

Je ne tourne pas la tête vers elle. Je ne réagie pas à mon nom, mais je l’écoute tout de même.

Val : Laisse-les te voir.
Moi : Tu crois qu’il m’accepterait comme je suis.
Val : Je suis sur que oui.

Je sans une main se poser sur la mienne, je reconnais la douceur de cette peau, la douceur de la peau de ma propre sœur. Elle me dit qu’elle rentre, je lui réponds d’un oui de la tête.

Je reste seul, sur se banc, dans cette atmosphère froid et vide de vie. J’espère à chaque fois que je viens là, que tout se que j’ai vécu n’été que cauchemars. Mais rien ne change, tout reste.

Après plusieurs minutes, où mon visage rester visible aux yeux de tous ceux qui auraient pu passer à côté de moi. je décide de rentré chez moi.

Je mets de nouveau cette capuche qui me sert, comme un bouclier contre les regards des gens qui passe à côté de moi. Je marche, les yeux regardant chaque parcelle du trottoir sur le quel je marche en évitant chaque obstacle qui pourrais être dangereux.

En passant devant cette maison, où tout c’est passer, où tout est arrivé. Je la regarde. je sans les larmes commencer à couler le long de mes joues. Je n’ai plus mal, mais la douleur est toujours présente, là, dans tout mon corps.

Sans comprendre ma douleur, mes genoux déjà salent par ma souffrance. Mes mains touche le sol, cherchant quelque chose à sérer de toute mes force, pour évité de pleurer. Mon visage, parallèle au sol, les yeux fermés pour que les larmes ne coulent pas. Mes cheveux chatouillant mon visage et le sol à chaque petit coup de vent.

magnifique suite ma sadique

mais je veux encore la suite