[PDV de …]
Je suis sous là douche, à repenser à se visage, se visage presque trop parfait. Elle porte tous les jours ces lunettes bien trop encombrantes sur son visage.
Je me rappelle, quand je l’ai vue, hier, sortir de la salle, sans se rendre conte de ma présence, alors que j’étais tellement près d’elle. J’ai vue ces pas s’arrêter tellement vite quand ma voix à résonner dans le couloir. Et aussi, quand elle a buté contre moi, en plein cour, j’ai même senti mon T-shirt se diminuer doucement sous la pression de ces doigts qui n’ont pas trouvé une parcelle de mon corps.
Je sors de la douche, m’habille d’un simple boxer pour ensuite me diriger vers la cuisine, pour y retrouver mon petit frère, endormi, comme tout les matins, au dessus de son bol encore vide.
… : Bonjours petit frère.
Sa tête se relève à une vitesse, laissent ces cheveux long chatouiller son visage pendant le geste. Je m’approche de lui, dépose doucement mes lèvres sur sa joue droite, juste après avoir poussé quelque mèche noir.
… : Se soir, je te referais ta teinture, ça commence à se voir.
Mon petit frère, à la voix encore un peut endormi, lui répond un simple mot.
Petit frère : D’accord.
[1h00 plus tard]
Nous sommes enfin devant le lycée, peut-être en avance, comme tous les jours. C’est parti, nous allons dans le hall, retrouver nos quelques amis.
[g]… :[/g] Tom, Bill, par là.Nous nous retournons à l’appelle de nos prénoms, nous rejoignons donc ces deux énergumènes.
… : Vous êtes au courant que Mistig a parlé avec quelqu’un hier ?
Ça, c’est Georg, toujours au courant de tout.
Bon on ne va pas lui gâcher le plaisir de le savoir en lui disant que c’est moi cette personne.
Tom : Et c’est qui cette personne qui lui a parlé ?
Georg : Bah … personne ne le sait.
Les portes d’entré grince, le silence commence à apparaître dans le hall. Tout le monde se retourne vers la personne qui vient de rentré. Tout le monde regarde Mistig, elle est tellement … différente des autres. Elle fait un pas dans le hall, les personnes se trouvant sur son passage, se déplace pour la laisser passé. Elle s’arrête, en plein milieu de tous les autres.
La voix, presque perçante de Marc retentie dans le hall.
Marc : Alors comme ça, Mistig c’est fait un ami ?
Mistig ne dit rien à cette réplique.
Je commence à m’avancer vers elle, mais une main me retient, je regarde vaguement qui me retient, et remarque que c’est mon petit frère. Je ne sais pas comment ça se produit, mais je vois, dans ces yeux, la question qu’il pense.
Tom : Oui, c’était moi hier.
Des chuchotements ce font entendre dans toute le hall. En entendant quelque fois des «
ce n’est pas possible ». C’est vrai que moi aussi, je me demande si c’est possible d’avoir dit cette phrase. Je me retourne pour pouvoir voir l’expression du visage de Marc, lui qui se dit notre ami. Il me regarde avec des yeux noirs, ce noir que je connais trop bien venant de lui, d’un côté je ne l’ai jamais pris comme un ami.
Je sans une main se poser sur mon épaule, je n’ai pas besoin de me retourner, la personne qui à mie sa main sur mon épaule est juste devant moi, elle est là, à quelque centimètre de moi.
Je sans sa main se déposer violement sur ma joue. Je pose ma main sur ma joue peut-être déjà rouge par la douleur.
Marc : Oh … le coureur de jupon, n’a plus toute c’est qualité apparemment.
Je regarde Mistig, j’aimerais tellement comprendre se qu’il lui est arrivé, se que Marc lui a fait.
Je regarde Marc qui s’approche de Mistig, il pose sa main sur ces hanches, et sans qu’elle ne dise quoi que se soit, il la colle à lui, comme pour dire qu’elle est à lui. Elle ne dit rien, elle se laisse faire.
J’aimerais s’avoir si elle a peur. J’aimerais lire sur son visage se qu’elle ressent. J’allais pour dire quelque chose quand la voix de notre professeur principal retentie.
Le professeur : Lâche là !
Marc lâche Mistig tout en lui disant quelque chose à l’oreille.
[PDV de Mistig]
J’ai peur, je ne peux pas le montrer quand il est là, il prendrait un malin plaisir à recommencer, à recommencer à me faire du mal, et je ne veux pas.
Je garde la tête haute, et me dirige vers la salle que nous allons occuper pendant deux heures.
[12h00]
Il est enfin midi, pendant les quatre heures de cours qui viennent de passer, j’ai pensé à cette phrase qui n’a pas pue me sortir de ma tête.
«
Alors tu me dit toujours non ? »
Il y a 6 ans, il avait réussis, mais plus maintenant. Je dois être forte, forte pour moi. Je monte au troisième étage, où personne ne vient le midi. Je m’installe contre l’un des murs qui forme ce couloir.
Je sais un courant d’aire passé délicatement dans le couloir, laissant une odeur de noix-de-coco sur son passage.
Mistig : Il y a quelqu’un ?
[PDV externe]
Bien sur qu’il y a quelqu’un à côté d’elle, il a essayé par tout les moyens de ne pas se faire entendre.
… : Pourquoi tu es toujours seul ?
Mistig, n’aillant jamais entendu cette voix, que se soit dans sa classe, ou dans le hall, ne s’empresse pas de répondre.
Après quelque minute à faire patienter son interlocuteur, elle fait bouger ces lèvres pour enfin lui répondre.
Mistig : A causse de ma différence, je ne me sans pas accepter par les autres.
… : Moi, je t’accepte.
Mistig : Tu dois bien être le seul.
… : Peut-être parce que je sais se que c’est la différence, même si ce n’est pas la même différence que toi.
Mistig : Je peux te regarder ?
… : Mais … comment ?
Elle lui montre ces mains. Ces mains parfaitement propre, parfaitement blanche, simplement verni de noir, dépassent quelque peut sur cette peau palle.
… : Tu ne veux pas savoir mon prénom avant ?
Mistig : Je préfère connaitre la personne qui me parle d’une autre façon que par son prénom, et pourquoi ne pas imaginer un autre prénom ?
… : Alors donne moi un surnom que je porterais avec fierté.
Mistig : Je veux te voir avant.
[PDV de Mistig]
Je lui demande de se mettre en face de moi. Du bout de mes doigts, je cherche son visage.
Je touche, une parcelle de peau. Une peau douce, surement un peu blanche, mais tout de même un peu coloré par le soleil. Je cherche doucement ces lèvres, doucement gloser, je ne pourrais pas dire le gout de son glose, mais ça doit bien aller sur ces lèvres quelque peut pulpeuse, surtout la lèvre inférieure.
Je passe mes mains sur ces jours, creuse, anorexique ? Non, je ne pense pas, au pire, c’est une personne comme les autres.
Je passe à ces yeux, qu’il ferme juste au moment où je passe mes doigts. Je pose mes doigts sur la peau recouvrant ces yeux. Une matière, quelque peut terreuse recouvre ces yeux.
Mistig : Qu’elle couleur ton maquillage ?
… : Noir.
Juste cette couleur, je vois bien, cette couleur sur son visage, se visage comme je le vois.
Je monte mes mains vers son front, pour pouvoir découvrir le passage entre ça peau et ces cheveux.
Des cheveux lever en l’aire, défiant la graviter pour tenir debout sur sa tête, malgré la petit mèche qui retombe sur le côté droit. Les côtés sont rasés, laissant quand même quelque millimètre de ces cheveux.
Mistig : Tu as un très beau visage.
… : Merci. Je peux peut-être te donner mon prénom maintenant, non ?
Mistig : Laisse-moi tant donner, je ne veux pas connaitre ton vrai prénom.
… : Pourquoi ?
Mistig : Parce que j’ai peur de perdre la personne, même si elle connait mon handicape.
… : Comme tu veux.
Mistig : Tu aime le noir, ton visage est très beau, alors je dirais …
[PDV externe]
La réflexion ne se fait pas très longue, elle a tellement de surnom dans la tête qui pourrais lui aller, qui pourrais d’écrire la beauté de se jeune homme au visage d’ange.
Mistig : Prince noir. Oui, je pense que ça te va bien.
Bien sur «
Prince Noir » porte se surnom à merveille.
PN : Lors je le porterais avec plaisir.
Le visage de Mistig s’illumine d’un simple sourire, un sourire qui n’a pas vue le jour depuis bien longtemps. «
Prince Noir » trouve alors un moyen de garder se sourire graver dans le passer, il prend simplement une photo de cette fille entrain de sourire.
Mistig : Qu’est ce que tu fais ?
PN : Je prends une photo d’une personne qui sourit.
Mistig ne répond rien à cette phrase.
Alors que les minutes passer, le silence rester présent, la dans se couloir, où personne ne passe pendant l’heure du repas. «
Prince Noir » reste avec elle, assit à côté d’elle. Il fredonner la musique qui passe dans ces oreilles.
Mistig: Willst du mit mir gehn?
«
Prince Noir » s’arrête de fredonner en entendant le titre, exacte, de la chanson.
PN : Comment ?
Mistig : Je suis sur que tu peux la chanter.
Bien sur Mistig ne répond pas à la question de « Prince Noir », mais elle lui demander, dans un sans de chanter la chanson.
PN : C’est impossible, je n’ai pas une belle voix.
Mistig : Je ne te crois pas.
Alors que Mistig dit cette phrase, elle se lève et commence à partir, elle arrive près de la première marche à descendre, au même moment la sonnerie indique la fin de la pose.
Personne ne comprend comment elle peut s’avoir, avant les autres, quand la sonnerie sonnera, bien sur personne ne lui demande, il préfère penser que c’est une sorte de don.
[18h00]
Tout le monde est rentré chez eux, depuis presque une heure, comme si l’appelle de la compagnie de famille est importante.
Mais … non loin d’une église, deux personnes veulent absolument trouver un endroit, perdu à leurs départ de Berlin, quand ils avaient l’âge de 7 ans.
Qui sont ces personnes ?
Retrouveront-ils cet endroit ?