[PDV externe]
Le week-end est belle est bien terminer pour tout les étudiants. Des étudiants sortent de chez leurs parents, d’autres de leur appartement accompagné par des personnes importantes pour eux. Et d’autre sorte de chez eux seul.
Bill et Tom ont pris, pour la première fois, un chemin différent des autres jours, ils voulaient changer pour une fois. Ils arrivent dans un rue, où plusieurs hôtels et appartements, quelque s’un à louer, d’autre à acheter.
Il s’arrête devant un appartement, blanc, un peut délaver quand même, mais tout de même blanc. Ils regardent la fenêtre, blanche, tout comme les murs. La lumière est éteinte dans cet appartement, pourtant une silhouette fait des aller retour dans tout l’appartement.
Bill et Tom restent à regarder cette silhouette, du trottoir, surprit de voir cette silhouette dans le noir.
Mistig sort de son appartement, tout en le fermant la porte à clef. Elle descend les marche tout en les content pour ne pas faire de faut pas. Elle arrive très vite devant la porte d’entré. De son sac, elle sort sa canne. La porte s’ouvre sou la pression de sa main.
Alors que Bill et Tom allaient reprendre leur route en direction du lycée, quand une porte s’ouvre juste derrière eux. Bill se retourne en premier et découvre Mistig … sans lunette.
Bill : Tom, j’ai oublié mes lunettes de soleil à la maison, on peut aller les chercher, s’il te plaît.
Tom se retourne vers son frère, qui lui fait une tête de chien battu.
Tom : Mais … il ne fait même pas soleil.
Bill : Et alors ? … Ça … Ça peut faire styler … Non ?
Tom : Alors toi … on ne te changera jamais.
Alors que Bill et Tom partent vers chez eux, Tom n’aillant pas vue Mistig. Elle se rend alors conte qu’elle connait la voix qui venais de dire la toute première phrase. Lunette de soleil alors qui ne fait pas soleil, inutile se dit Mistig. D’un coup, elle dépose une de ces mains sur ces yeux et remarque le manque de lunette.
[8h30]
Alors que le hall du lycée est vide, la porte d’entré s’ouvre dans un petit grincement plutôt discret. Mistig monte doucement les marches, la porte s’ouvre de nouveau, laissant deux voix se faire entendre.
… : Mais si, regarder, ça fait bien, et en plus ça va bien avec mon style.
… : Mais Bill, ça fait encore plus fille qu’avant.
Bill : Tu fais chier Tom, de toute façon, toi tu ressemble à un sac à patate.
Tom : Merci du compliment.
Après se remercîment quelque peut inutile, ils se mirent à rire tout les deux. Mistig, aillant très bien reconnu les voix, mais … elle ne sait pas où ils se trouvent, trop de résonance.
Mistig : Vous êtes où ?
Les rires de Bill et Tom s’estompent à l’entente de cette voix. Tom se retourne vers Mistig, pendant se temps Bill lève simplement son visage pour la regarder.
Mistig : Répondez.
Alors que Bill et Tom la regardent, une des mains de Mistig commence à chercher la rembarre, qu’elle a perdu juste après avoir fait demi-tours.
Bill s’approche de Mistig, il monte les marche, une par une. Tom le suis de très près, c’est vrai que la dernière fois qu’il a eu Mistig en face de lui, c’était plutôt … douloureux. Bill prend la main de Mistig dans la sienne et la dirige vers la rembarre.
Mistig : Merci Bill, pour tout.
Tom s’approche d’elle.
Tom : Je … Je suis … Désolé … Pour la dernière fois.
Mistig : Moi, je m’excuse pour la claque, j’y suis allé un peu fort.
Tom : Tu avais une bonne raison, je pense.
Mistig se retourne pour continuer à monté les marches.
Tom : Attend.
Elle s’arrête, reste sur place, ne se retourne pas, mais écoute.
Tom : Pourquoi … Pourquoi … Marc … Qu’est-ce qu’il t’a fait ?
Elle se retourne vers Tom, ne pouvant pas le regarder, elle l’imagine juste en face d’elle.
Mistig : Ce ne sont pas tes affaires.
Tom : Mais … Laisse tomber.
Tom descend les escaliers à toute vitesse, il ne laisse pas le temps à Bill de réagir.
Mistig : Tu sais où il va ?
Bill : Il est surement parti au parc.
Elle ne répond qu’un simple «
hum »
Bill : Tu devrais lui dire.
Mistig : Pourquoi tu me dis ça ?
Bill : Tu vas aller le rejoindre si je pars, non ?
Elle répond d’un signe négatif puis d’un positif de la tête. Bill lui dit un simple «
Vas-y ». Mistig n’attend pas deux minutes de plus, elle descend les escaliers, peut-être une par une, mais elle va aussi vite qu’elle peut.
C’est vrai, elle sans veut de ne pas lui dire, pourtant elle sait, au fond d’elle, qu’il peut l’aider, mais … elle n’arrive pas à lui faire confiance. C’est vrai qu’elle a entendu sa réputation, «
le coureur de jupon » comme dirait certaine personne, mais, on lui a bien dit «
Ne juge pas, sans connaitre toute les versions de l’histoire. » … pourtant c’est se qu’elle fait en se moment.
[…]
Elle n’a plus de moyen de se diriger après cette barrière. Elle enlève ces chaussures et ces fine chaussettes pour tout mettre dans son sac bandoulière. En un pas, elle arrive dans l’herbe froide et un peut humide. La voix de Mistig retentit dans le parc.
Mistig : Tom, tu es là.