[Terminer]De quelle couleur est le monde ?

Après 2 mois, ou une nouvelle amitié entre 5 personnes c’est former, Mistig à appris à connaitre Gustav et Georg, mais elle a continué à connaitre Bill et Tom.

Bill trouve en Mistig, une confidente, une bonne amie, mais également une fille courageuse. Tom y trouve, lui une bonne amie, où peut-être plus qui c’est. Gustav, lui, contrairement aux autres, prend Mistig comme une sœur, il lui dit souvent « Si tu as besoin d’aide, demande-moi. », mais jamais elle n’a demandé d’aide. Georg, lui ne sais pas encore comment réagir quand elle est là, il ne sait pas encore comment lui parler sans dire de bêtise … mais il essaye aussi souvent qu’il peut de ne pas dire « regarde » ou même « mes cheveux sont bien lise ? », il le demandait tout les matins avant, maintenant, il le demande moins.


Le professeur, Lucas, l’appelle encore tout les soirs, personne du groupe ne le sait encore, un secret.

Aujourd’hui, un voyage est prévu avec le lycée. Bill, Tom, Gustav et Georg, sont venu chercher Mistig chez elle. Ils sont tous monter dans l’appartement pour l’attendre, tous assis sur le canapé.

Gustav : C’est incroyablement propre et … ranger … waouh.
Georg : D’un côté, faut mieux que se soit ranger, mais propre … comment ?
… : Un balais, une pelle, un aspirateur, et je fais le ménage comme toute les autres personnes.

Ils se retournent tous vers Mistig qui vient de faire éruption dans la pièce … sans les lunettes … mais les mains devant les yeux.

Mistig : Vous n’auriez pas vue mes lunettes … je pense les avoir mie dans le salon.

Alors que Bill et Tom cherchent les lunettes, Gustav dit à Mistig que Bill lui amènera dans la salle de bain. Elle est donc retournée dans la salle de bain pour se maquiller.

Alors que Mistig se maquille les yeux de noir et recouvre quelque peut la cicatrise avec du fond de teint, Bill arrive dans la salle de bain.

Bill : Tu sais, tu n’es pas obliger de cacher ta cicatrise devant Gustav et Georg, ils ne te jugeront pas.
Mistig : Oui, je sais, pendant deux mois, j’ai appris à les connaitre, mais je ne sais pas … je préfère encore la cacher … même s’ils le savent.
Bill : Prend ton temps … c’est vrai qu’on ne sait pas que c’est difficile … de la montrer … mais … on sera toujours là pour toi.

Mistig a bien entendu de l’inquiétude dans la voix de Bill.

Mistig : Pourquoi tu t’inquiète ?
Bill : Un … Que … Quoi ?
Mistig : Il y a de l’inquiétude dans ta voix, alors pourquoi tu t’inquiète ?
Bill : Oh … Pour rien.
Mistig : Tu sais, je suis là si tu veux parler.

Bill répond d’un simple « Hum » et sort de la salle de bain, laissant encore quelque minute à Mistig de fini de se maquiller.

Dans le salon, Bill rejoint les autres.

Gustav : Si ça continu, on va être en retard là.
Georg : Arrête, il nous reste … 50 minutes pour aller jusqu’au lycée.
Tom : Voir plus.
Gustav : Oui … au pire Marc dira au pro …
Mistig : Ne dit pas se prénom dans mon appartement.

Oui, Mistig est prête, elle est arrivée dans le salon sans faire de bruit. En disant cette phrase, elle a crié, montrant par la même occasion sa présence dans la pièce.

Gustav : Mais …
Mistig : Tu as compris.

De nouveau, sa voix a fortement résonné dans la pièce, même dans l’appartement. Gustav répond alors un simple « Oui ». Personne n’a jamais vraiment compris pourquoi ils ne doivent pas prononcer se prénom presque trop courant dans ce monde.


Le bus est sur la route, les bagages de chaque élève dans la soute. Bill et Tom parlent à voix basse, laissant quelque fois des rires sortir de leur bulle de bonheur. Mistig, juste devant eux, commence à trouver le sommeil, le nez dans le keffieh. Et Gustav et Georg, aillant déjà trouver le sommeil depuis que le bus à démarré. Et tout les autres, accompagner de leurs amies/amis les plus chère, rigolent à gorge déployer, laissant les autres rirent avec eux.

Mais pourtant, installer dans le fond du bus, un seul des élèves se fait royalement chier. Il se lève, laissant sa place libre. Il se dirige maintenant vers la place libre à côté de Mistig. Installer à côté d’elle, il prononce enfin quelque mot à son oreille.

Marc : Alors … tu me dis toujours non ?

Mistig ouvre les yeux à toute vitesse en entendant cette voix et cette question. Elle se retourne vers lui, essayant de trouver la forme de son visage, mais sans aucun sucée.

Mistig : Laisse-moi tranquille, s’il te plait.

Elle prononce cette phrase à voix basse, espèrent que Marc le laisse tranquille.

Marc : Dit-moi oui, et je ne te ferais plus chier !

Derrière eux, Bill et Tom écoutent la conversation discrètement.

Mistig : Jamais. Tu m’entends, jamais.

Alors que tout le monde rigoler, la voix forte de Mistig sort tout les élèves de leurs petits monde. Tout le monde regarde Mistig, debout entre les deux sièges, Gustav et Georg réveillaient en sursaut par la phrase crier de Mistig, ils se retournent vers elle.

Mistig : Tu m’as fait assez de mal comme ça. Alors laisse-moi.
Marc : Mais … ta gueule.
Mistig : Non, je me la fermerais pas, je ne suis plus celle que j’étais avant, je suis différente.

Ces phrases étaient encore crier par ces deux personnes.

Marc déjà levait, décide de retourner à sa place laissant Mistig debout entre les deux sièges. Bill se lève et s’installe à côté d’elle. Il lui prend la main, l’incitant à s’asseoir. Elle s’installe, juste à côté de Bill, de son autre main elle prend celle de Tom qui venait de passer entre les deux dossiers des sièges. et Gustav est Georg qui ont passé une de leurs mains entre les deux sièges pour pouvoir mettre leurs main en contacte avec celle de Mistig.

Gustav, Georg, Bill et Tom : On est là.

Oui c’est vrai, ils sont là, mais il y a également Gustav et Georg, ils veulent aussi s’avoir l’histoire, être proche de Mistig pour la protéger.

Après plusieurs heures de routes et d’attente, plusieurs Action vérité, plusieurs « Je n’ai jamais fait … » ou encore des secrets dévoiler. Nous sommes enfin arrivés à Paris, la ville de la mode.

Le lycée à réserver un hôtel, pas très luxueux, mais il y a encore pire.

Bill : Bon … c’est parti, on va te faire visité la chambre, et après on va dans la notre.

Alors que Bill ouvre la porte de la chambre de Mistig, elle l’arrête.

Mistig : Je peux me débrouiller toute seule. Vient juste me chercher quand on sortira, je viens avec vous … j’ai envie de sortir.
Bill : D’accord.


J’ouvre doucement la porte de la chambre. Mes mains s’activent sur les murs, cherchant chaque détaille, chaque porte, chaque relief. Alors que la première porte se présente sous mes doigts, je rentre dans cette pièce trouvant très près de moi, un lavabo, fessant un pas et tapant du pied dans se qui est surement le bac à douche, et sentant l’odeur du « Canard WC » m’indiquant que les toilettes sont dans la même pièce.

Ma valise entrée dans la chambre d’hôtel, visité par mes doigts de fond en comble, connaissant pratiquement chaque détail et chaque reflet de cette chambre. Je retrouve l’armoire toucher il y a maintenant plusieurs minutes.

Affaire rangé, par forme … par nom (pantalon, T-shirt …). Je prends, un slim surement noir, une mini-jupe normalement noir et blanche, un marcel noir, je l’espère.


La salle de bain trouver, l’eau réglet à la bonne température … par on ne c’est quel moyen, les affaires éparpillé sur le lavabo. Le corps dénudé de Mistig restant sous l’eau chaude dégouline délicatement sur chaque morceau de sa peau.

Elle sort doucement de la douche, cherchant la serviette du bout des doigts sur cette barre la soutenant. Elle enroule cette serviette autours de son corps maigre, mais pas trop.

Mistig : Bon, maintenant on va se préparer.

Elle prend une grande inspiration.


Mistig est belle est bien prête, maquiller, habiller, coiffer.

Le slim =>
Mini-jupe => (imaginer là en noir et Blanc [Je ne l’ai pas trouvé dans la couleur que je voulais])
Les chaussures =>
Le T-shirt =>
Veste en cuir =>
Keffieh =>
Le sac =>
Lunette de soleil =>

Elle prend une grande inspiration, peut-être pour se donner du courage.

Tom : Mistig dépêche-toi on va être en retard.

La voix de Tom fait stresser beaucoup plus Mistig, mais malgré se stresse qui n’accepte pas se style, elle sort de la salle de bain, laissant quelque peut de bordelle dans la salle de bain. Elle est enfin devant eux, les laissant la regarder, la contempler.

Mistig : Je vous plais ?

Alors que la question fut poser, Tom fait doucement le tour de Mistig, c’est vrai, on dirait une autre … on ne dirait pas elle, mais au fond, en regardant bien, c’est elle.

Bill : Tu es … je ne sais pas comment le dire … mais … Waouh.

Le visage de Mistig s’illumine en quelque seconde, c’est vrai la phrase de Bill lui a fait plaisir, mais en même temps le silence de Tom l’inquiète un peut.

Mistig : Et toi, Bill, tu es habiller comment ?
Bill : Une simple chemise noir, une cravate noir et blanche dessus, pas trop attaché, et un slim blanc avec des bottes noires. Je vais mettre une veste en cuire noir.
Mistig : Tu dois être beau comme ça.
Bill : Je l’espère.
Mistig : Et toi, Tom ?
Tom : Euh … T-shirt blanc et un simple baggy noir … c’est très simple.
Mistig : Mais ça dois t’aller, comme d’habitude.

Oui, c’est vrai, le baggy et le T-shirt XXL de Tom lui vont bien, il est fière de son style est l’aborde dans toute les circonstances. Bill est parfait, comme à son habitude, aucun plie apparent sur ces vêtements, ces mèches de cheveux parfaitement ranger sur le dessus de ça tête, laissant tout de même cette mèche sortir du lot.


Ils sont tout les trois dans les rue de Paris. Ils rentrent dans un magasin parfaitement au style de Bill et Mistig. Ils y restent presque une heure, ils en sortent fidele à eux même, les mains pleins de sac. Slim, vestes, T-shirts, accessoires … et mainte et mainte choses remplissent ces sacs.

Tom, pendant se temps là, il était parti dans un magasin vendant des vêtements plus de son style, mais aillant mie moins de temps que ces deux compagnons, il a rejoint Gustav et Georg dans un café tout prés du magasin où Bill et Mistig ont décidé de rester pendant plus d’une heure.

Bill et Mistig s’installe à la même table que Tom, Gustav et Georg, tout en posant leurs sacs tout près d’eux.

… : Mistig … c’est bien toi ?

Voilà une connaissance de Mistig, une ancienne connaissance, avant son départ, avant le déménagement de ces parents pour Munich. Mais le problème, c’est que Mistig ne sait pas qui c’est, elle ne reconnait pas cette voix pourtant déjà entendu il y a longtemps.

Alors que Mistig ne veut pas se retourner, de peur que cette personne est peur d’elle … ou autre. Quand à Bill, Tom, Gustav et Georg, ils regardent cette fille aillant reconnu, sans aucun doute, Mistig.

… : Regarde-moi au moins !

Mistig ne bouge pas.

Mistig : Je ne peux pas.
… : Pourquoi ?

Mistig ne répond pas à cette question bien trop simple.

… : Je suis quand même ta meilleur amie.

Mistig se lève, d’un coup, renversant le café sur ces chaussures blanche. Une phrase sort de sa bouche, sa voix est basse, mais audible.

Mistig : Ca fait plus de 10 ans que je suis parti d’ici, pendant toute ces année … j’ai eu le temps de faire plein de chose … de vivre … d’apprendre à revivre … à apprendre à vivre seul avec mon handicape. Alors maintenant … si tu veux que je te regarde … il va falloir attendre … car même si je veux te voir … je ne peux pas. Alors maintenant … laisse-moi.

Alors que Mistig prend ces affaires, et pars dans cette foule se formant doucement dans les rues de Paris. Cette personne … ne comprenant pas encore tout se que Mistig lui a dit … reste là, avec son plateau en main … le coca, perdant ces bulles au fil des minutes … et le café, perdant la chaleur, qui aurait du être dans le corps d’une personne, l’ayant commandé il y a déjà plusieurs minutes.

Pendant se temps, Bill, Tom, Gustav et Georg se regardent, ne comprenant pas toute l’histoire, ne comprenant pas ce français beaucoup trop parfait.

Oui, la dernière conversation a été faite en français, laissant les garçons dans le flou.

Deux jours qu’ils sont à Paris, deux jours que la meilleure amie de Mistig essaye renoué le contactent avec elle. Il doit être dans le 10h00 du matin, le téléphone de la chambre de Mistig sonne, la réveillant doucement. D’une voix endormie elle répond.

Mistig : Allô !

Une voix féminine répond au bout du fils, laissant un peut le temps à Mistig de se réveiller.

Voix féminine : Bonjours. Désoler de vous réveiller à 9h00, madame, mais vous avez de la visite, dois-je faire monté cette personne ?

Alors que la question est poser, Mistig presque réveiller … une visite, mais qui ? Mistig répond un simple « Oui », juste avant de raccrocher. Mistig se précipite alors dans la salle de bain, cherchant son serouale du matin. Elle enfile, tombant à la renverse quand elle remarque qu’elle à me pied coincer.

Quelque bruit, de la même sonorité se fait entendre contre la porte … quelqu’un qui frappe tout simplement. Elle prend rapidement ces lunettes de soleil posé hier sur le rebord du lavabo et sort de la salle de bain. Elle ouvre doucement la porte.

Un parfum de vanille envahie rapidement son nez.

Mistig : Qu’est ce que tu viens faire là ?
… : Je voudrais te parler.
Mistig : Tu sais, Élodie, tu peux partir. Je ne reste plus que deux jours à Paris, après je retourne en Allemagne.
Élodie : Je le sais … mais … je veux comprendre se que tu m’as dit au café il y a deux jours.

Mistig se retourne laissant la porte ouverte, une sorte d’invitation pour Élodie qui rentre dans la chambre parfaitement ranger.

Élodie : A ce que je vois, tu as changé … tu range beaucoup plus ta chambre maintenant.
Mistig : Je suis obligé … depuis maintenant 6 ans.
Élodie : Tu peux peut-être me dire pourquoi … non ?
Mistig : Je croyais que ça se voyer comme le nez au milieu du visage.
Élodie : Bah … Euh … Non.

Mistig se retourne vers Élodie, espérant la trouver juste devant elle, mais en vin, elle ne sait pas où elle c’est installer dans la pièce.

Mistig : Je suis …

De nouveau, quelqu’un tapant contre la porte, se fait entendre. Mistig ne termine donc pas sa phrase, et se dirige vers la porte. La porte s’ouvre et laisse rentrer une tornade féminine dans la pièce.

… : Tu aurais pue me dire que tu revenais à Paris … tu sais que tu nous as manqué … tu n’as pas changé dit donc … je veux un câlin, comme avant.

Des bras entours le corps de Mistig … qui c’est ?

Alors que la tornade noir, mais magnifique se dirige vers Élodie, laissant même pas le temps à quelqu’un de placer un mot.

… : Merci de me l’avoir dit … au début je ne te croyais pas, mais elle est bien là, devant nous … elle est toujours aussi belle.

Mistig reste là, devant la porte ouverte, ne sachant pas quoi faire, écoutant chaque mot de la bouche de la tornade parlant à toute vitesse. Elle ne reconnait même pas le parfum, ni même la voix … trop de temps c’est écouler entre son départ et aujourd’hui.

Un « Stop », sortant de la bouche de Mistig, se fait entendre. Tout aller trop vite pour elle.

Mistig : Tu es qui ?
… : Bah … c’est moi … Val.

Se nom, Valérie … Val, il était belle est bien dans ces souvenir, elle aurait aimé voir le visage de ces deux filles souriant.

Elodie : Alors … tu es … ?
Mistig : Désoler, mais j’aimerais vous dire que vous êtes belle, que vous n’avez pas changé … et plein de chose dans se genre, mais je ne peux pas, c’est trop difficile de mentir, alors que je ne vous vois pas.
Val : Bah … enlève tes lunettes de soleil, tu pourrais mieux voir.
Mistig : Sa ne changerais rien.
Val : Pourquoi ?
Mistig : Je suis …

Elle prend une grande inspiration, lui donnant aucun courage, mais elle veut leurs dire.

Mistig : Je suis … aveugle … depuis 6 ans.


Je sans alors une main se plaquer violement sur sa joue, une douleur … serte … mais elle est mérité, je leurs ai caché … alors que je devais leurs donner de mes nouvelles au moins une fois pas mois … du jour au lendemain, j’ai arrêté de répondre à leurs lettres, et même à leurs message … que se soit SMS ou E-mail … je comprends cette gifle, je comprends pourquoi je l’ai eu.

Je sans des bras s’entourais autour de moi.

Je voudrais pleurer … mais les larmes ne coulent pas … elles restent en moi.

Mistig : Vous m’en voulez … n’est-ce pas ?

Les bras se desserrent d’autour de moi … je sans une main prendre la mienne.

Élodie : D’un côté oui … mais d’un autre non. Je tant veux parce que … je n’ai pas eu de nouvelle de toi pendant 6 ans … rien … pas de réponse à mes messages. Et je ne tant veux pas parce que … tu es ma meilleure amie … et jamais je ne tant voudrais … quoi que tu face.
Val : Bah moi … je ne tant veux pas … mais tu aurais pue demander à ta mère de nous envoyer un message pour nous le dire.

Je lâche la main tenant le mienne et me dirige vers ma valise, cherchant cette objet qui sonnait bien trop souvent la premier mois, puis la deuxième de mon handicape.

Je le tant derrière moi, espérant que quelqu’un le prenne et le regarde.

Mistig : 400 messages non lu, boite de réception saturer … je voulais les lire, mais je ne voyais pas les mots inscrits dessus.


Val et Élodie prennent le portable, laissant les messages défiler devant leurs yeux lire chaque ligne indiquant la personne qui a envoyer se message.

VAL
ELODIE
VAL
ELODIE
ELODIE
ELODIE
LUC
LUCAS
VAL
VAL
LUCAS
…

Plus de 400 noms … 400 messages … un sur deux de lu … et encore sa s’arrête au bout de 10 lus …


Deux heures qu’elles sont là … deux heures qu’elles parlent ensembles … qu’elles rigolent … comme avant … ou presque.