[Terminer]De quelle couleur est le monde ?

Tout ces élèves, tout se groupe, Gustav, Georg, Tom, Bill, Marc, Andréas … et tant d’autre prépare leurs valises espèrent ne rien oublier. Quand à Mistig, elle est a se bars, Val l’accompagnant, Élodie les servant mais aussi prend sa pause avec elles.

Mistig : Je vais devoir vous laissez les filles, je dois rentrer … à Berlin.
Val : Tu nous écriras ?
Mistig : Je vais acheter tout se qui faut pour pouvoir vous envoyez des E-mail.
Élodie : Attend … j’ai un cadeau pour toi.

Alors qu’Élodie sans va presque en courant dans les vestiaires, allant le plus vite possible aillant peur que Mistig parte sans se fameux cadeau.


Voilà, ça fait maintenant une heure que le bus à démarrer, que Mistig a dit en revoir à Élodie et à Val. Une heure que Marc est assis à côté de Mistig, touchant son bras, sa cuisse. Mistig ne le montre pas, mais elle a peur, peur que tout recommence.

Tom qui voit toute la scène, se lève d’un coup, d’un regard il demande pardon à son frère, il lui avait promis de passer tout le voyage avec lui, à parler musique … mais il ne peut pas laisser Mistig comme ça.

Il se met dans l’allé, je poste juste à côté du siège de Marc, qui lui n’arrête toujours pas son geste.

Tom : J’aimerais parler à Mistig, tu peux aller t’asseoir à une place libre, s’il te plait ?

Marc ne répond rien, il se lève, il est maintenant face de Tom.

Alors que Marc c’est lever, Tom s’installe à côté de Mistig. Quand à Marc, il va s’installer à côté de ces amis.


Alors que le voyage commence à se faire long, que le ciel se couvre par l’absence du soleil qui se fait de plus en plus présent. La lune prend doucement la place du soleil.

Bill est tombé dans le sommeil, laissant son visage basculer doucement sur la droite.

Gustav et Georg n’ont pas vraiment attendu que le soleil se couche, il dorme depuis au moins deux heures.

Tom lui, n’a toujours pas trouvé le sommeil, contrairement à sa voisine dormant paisiblement sur son épaule, il n’a pas pue s’empêcher de prendre la main de Mistig pendant qu’elle dort, il a même enlacé ces doigts entre ceux de Mistig.


Il n’était pas loin de minuit quand il arrive enfin devant leur lycée, des parents impatients de retrouver leurs enfants.

Des visages, encore endormi, des corps encore endolorie par les positions improvisées quelque temps plus tôt, le maquillage de quelque personne laissant la trace de leur sommeil. Tous ces parents attendant leurs enfants, eux sortant des bagages bien trop lourdent pour leurs corps frêle et endormi.

Les bagages dans les voitures, les moteurs démarrent, les voitures partent. Encore quelque élèves sont là, seulement trois.

Tom : Bill on va rentrer, les parents ne viendra pas nous cherché, ils ont dû oublier.
Bill : D’accord, mais Mistig ?
Mistig : Vous voulez venir dormir chez moi, je n’ai pas envie de rester toute seul cette nuit, ni se week-end d’ailleurs.

Bill et Tom se regardent, non ils ne sont pas surpris de la demande de Mistig, mais … heureux. Alors, dans se moment, tout les deux en même temps, Bill et Tom réponde un simple « oui », simple peut-être, mais un sourire ces dessiner sur leurs lèvres.


Alors que tout le monde rentre dans l’appartement de Mistig, des lettres gorgent le sol. Mistig les a senti sous ces pas, mais ne les a pas ramasser … à quoi bon, elle ne peut pas les lire. Bill et Tom rentrent à leurs tours dans l’appartement. Tom se baisse et ramasse les dizaines de lettres recouvrant le sol. Il regarde les entreprises ou même les amis qui pourraient envoyer des lettres.

Alors que la fin du tas de lettre se fait vite, une lettre finie le tas, une lettre sans enveloppe, la lettre est juste plier. Il la déplie, son frère regarde lui aussi attentivement la lettre.

« Mademoiselle,

Je suis désoler de vous apprendre cette nouvelle comme ça, mais vous n’avez pas payé votre loyer depuis deux mois, il est impossible maintenant que je vous laisse l’appartement. Je ne vous demande pas de payé les loyers impayé, je ne veux pas vous endettez, mais je vais louer l’appartement le mois prochain. Vous devez donc partir dés que possible.

Je vous demande pardon et vous souhaite bon courage pour la suite.

Tom : Mistig, c’est qui monsieur Turner ?

Mistig est allé dans la cuisine, pour prendre quelque chose à manger, elle a faim.

Mistig : Mon propriétaire, pourquoi ?

Bill s’approche de Mistig, sans faire de bruit, Tom est resté dans l’encadrement de la porte, la lettre entre les mains.

Bill : Pourquoi tu ne nous as pas dit que tu n’avais pas payé ton loyer ?
Mistig : comment vous le savez ?
Tom : Ton propriétaire ta écrit une lettre … on la lue.
Mistig : Vous connaissez la vie privée ?
Tom : Désoler, mais … explique toi … tu aurais pue nous demander, nous le dire.

Mistig se retourne vers eux, les imaginant devant elle.

Mistig : Oui c’est vrai, j’aurais dit quoi … « Vous avez de quoi payer mon loyer, je n’ai plus de boulot, et ça fait deux mois que je n’ai pas payé mon loyer. ». C’est vrai, vous m’aurez donné les sous, comme ça d’un coup.

La voix de Mistig se fait ironique, mais se n’est pas le bon moment. La voix de Tom, elle ne se fait pas ironique, mais … blessante.

Tom : Oui, on t’aurait prêté cette argent, ou même donner s’il le fallait. Jamais on ne t’aurait laissé dans cette merde. On croyait qu’on était tes amis … mais apparemment non, tu ne nous confit même pas qui t’a fait ça … et maintenant tu nous cache que tu n’as pas payé ton loyer.

La lettre se fait poser avec violence sur la table de la cuisine. La voix de Tom s’élève pour un seul mot « Pourquoi ? », il la prononcer tellement fort que les murs en ont tremblé.

La voix de Mistig se fait toute petite.

Mistig : Je ne voulais pas vous embêter avec mes histoires … c’est trop compliquer pour moi … je vous fais confiance, mais … je ne sais pas comment me comporter avec vous, vous êtes tellement normal … vous voyez des choses que je ne verrais surement jamais … dés fois, quand vous parlez ... vous parlez de film que je ne pourrais pas voir, mais quand j’entends dans vos voix la joie que vous avez eu en le regardant, j’essaie d’imaginer les acteurs, leurs gestes … mais je vois rien. Je ne sais pas comment vous dire tellement de chose … elles sont peut-être inutile pour vous.

Tout est tellement vrai, quand ils parlent de film, elle ne peut pas donner son avis. Eux aussi, on dut mal à savoir comment se comporter avec Mistig.

Mistig : Je suis désolé.

Tom se calme vite, il ne peut pas rester en colère contre Mistig, elle est tellement … il ne sait pas quel mot mettre, mais il le trouvera.

Bill : Dès demain, ...

Alors que le déménagement, de l’appartement de Mistig à la maison des jumeaux se fait. Mistig essaie par tout les moyen d’aider, mais la plus part des amis des jumeaux ne la laissent pas faire, même pas porter un carton, alors ne parlons pas de porter quelque chose qui se casse.

Alors que le camion de déménagement, du père, d’un ami, d’un ami à Gustav, se remplit de plus en plus. Assiette, couvert, verre, trouve vite la place dans un carton emballer délicatement dans du journal, les vêtements trouvant leurs places dans des valises, tout ça à une rapidité … tellement rapide que les vêtements se retrouve vite froisser et en bouchon dans les valises, en tout 4 valises. Les meubles trouvent rapidement une place dans le camion de déménagement.

Quand à Mistig, elle se retrouve vite en dehors de l’appartement, elle est donc allé s’asseoir sur le rebord du trottoir, écoutant tout simplement les voitures passer, les gens qu’elle n’a jamais rencontré, ni même entendu.


Voilà, tout le monde ce retrouvent maintenant chez les jumeaux, leurs parents sont là pour accueillir tout les adolescents. La mère des jumeaux se dirige doucement vers Mistig.

La mère des jumeaux : Alors c’est toi qu’on accueille, je suis heureuse de te rencontrer.
Mistig : Merci à vous madame.
La mère des jumeaux : Oh … je m’appelle Simone, et tu peux me tutoies.
Mistig : D’accord Mada… Simone.

Alors que Simone sourit à la difficulté de Mistig, elle prend Mistig par le bras et la conduit jusqu’à l’entré.

Simone : Les garçons mon prévenu se matin que tu venais vivre ici … donc tu auras les clefs dans l’après-midi, j’ai été pris de cours.
Mistig : Oh … ne vous en faites pas … je ne sors pas souvent.
Simone : On fera des trucs entre fille … enfin, si tu es d’accord.
Mistig : Si vous … Si tu veux.

Alors que Mistig et Simone rentrent dans la maison, les garçons avec leurs amis décharge le camion de déménagement, montant les meubles et les cartons dans la chambre, la vaisselle se retrouve dans le garage bien trop grand pour une seule voiture.

Mistig : Vous … tu pourrais me montré la cuisine, je voudrais faire à manger pour tout le monde … pour les remercier.
Simone : Oui bien sur. Je vais pouvoir te regarder faire.
Mistig : Vous … Tu es au courant pour …
Simone : Oui bien sur … ça ne nous dérange pas, mais … il faudra nous laisser le temps pour nous habituer.
Mistig : Je peux aussi m’habituer, et puis, c’est moi qui vient habiter chez vous, donc c’est à moi de m’habituer.
Simone : On s’habituera ensemble alors.

Elles arrivent alors dans la cuisine. Simone amène Mistig près du lavabo, la laissant toucher chaque recoin de la cuisine. Mistig découvre rapidement la plaque de cuisson tactile. Dans ça tête, en touchant la plaque elle se dit « Ça va être difficile à utiliser. ». Alors que Mistig reste quelque seconde à toucher la plaque de cuisson, Simone s’approche de Mistig.

Simone : On pourra la faire changer.
Mistig : Non, surtout pas … je vais apprendre à l’utiliser … ça me prendra peut-être du temps, mais ça ira.


La cuisine mémoriser entièrement pour Mistig, des casseroles et des poiles chauffant et même grillant quelque aliments, à une allure … lente … mais parfaite. Mistig prend un couteau d’une main, uns courgette de l’autre, se mets sur la planche à découper et commence à une rapidité à couper de fine lamelle, de la même taille, toujours avec rapidité.

Simone est assise, sur un tabouret, à la regarder, impressionner de ces gestes presque imparfait pour son handicape.

Simone : Tu es très douer … tu nous feras souvent à manger j’espère.
Mistig : Avant de dire ça, attends de gouter, ça peut-être immangeable.
Simone : Je suis sur que non.

Alors que la noisette de beurre pétille doucement, Mistig dépose la viande dans la poile, elle met un couvercle dessus.


Le repas est enfin près, la table à mise, tout le monde se retrouve autours de la table, une vingtaine de chaise se fond remplir par tout les amis. Bien évidement, tout le monde mange à sa faim, tout le monde aime.

… : Madame, vous cuisinez supers bien, je reviens manger ici quand vous voulez.
Simone : Oh … Euh … Ce n’est pas moi qui est fait le repas … c’est Mistig.
… : Alors Mistig, je t’épouse tout de suite.
Mistig : Désoler, mais … non, par contre reviens quand tu veux.
… : Alors je viendrais.

Le repas se continu dans la bonne humeur, tout le monde rigole, ça parle de film … de jeu vidéo … d’ordinateur … de musique, mais Mistig ne participe à aucune des conversations, vu que tout se fait à partir des vidéo, ou d’image.


Tout le monde est parti, Gustav et Georg sont parti en dernier. Là, Tom est allé s’enfermer dans sa chambre, sa guitare sèche entre les mains, laissant ces doigts caresser doucement les cordes. Bill est aller lui aussi dans sa chambre, allonger sur son lit, sur le ventre, son ordinateur portable devant lui, la musique sortant de l’ordinateur, et ces doigts se baladent avec rapidité. Et Mistig est dans sa nouvelle chambre, plie et range ces vêtements dans l’immense placard.


Je lâche ma guitare tout en la posant à côté du lit. Je m’allonge sur le lit, mes deux mains se retrouvent sous ma tête, la soutenant. Mes yeux se baladent sur ce plafond déjà vu trop souvent.

Mes pensés, elles, elles se dirigent que vers une chose. Quand j’ai vue la main de Marc sur Mistig, j’ai senti comme de la rage en moi. Quand je la vois parler avec un autre gars, j’ai envie d’aller la voir, de la prendre dans mes bars, de la protéger.

Là, la seul chose que j’ai envie de faire c’est d’aller la voir, de parler avec elle, de prendre sa main, enlacer nos doigts … comme dans le bus ou dans le parc.

Je me lève du lit, et sors de la chambre.

Je n’ai pas eu le courage de passé la porte de la chambre de Mistig, je retourne donc dans la mienne, et essaye de trouvé le sommeil par tout les moyens.


Voilà, je suis enfin debout, nous sommes lundi, Heïdi, est enfin arrivé ici, les parents de Bill et Tom veulent bien que je la garde avec moi, je leurs et raconter comment je les trouvais, et je leurs ai dit que je les aiderais le plus possible dans la maison, quoi qu’il faut faire.

C’est bien, aujourd’hui c’est notre premier jours de vacance, les examens, nous les avons passé avant le voyage. Aujourd’hui, je dois installer mon ordinateur, et le cadeau d’Élodie aussi, c’est un objet qui me sera très utile pour pouvoir leurs écrire.

Je me lève de mon lit, prend Heïdi dans mes bras, elle est toujours là quand je me lève maintenant. J’embrasse sa petite tête toute douce. Je souris doucement en l’entendant ronronner.


Je suis propre, j’ai même mangé en compagnie de la famille Kaulitz, leurs beau-père est supers sympa, Simone, elle est supers comme femme, j’aimerais être comme elle plus tard. Et puis Bill et Tom reste naturel, comme avant avec moi. Simone et Gordon ne savent pas encore se que je cache sous mes lunettes, je ne voudrais pas les effrayés. Je veux que tout continu comme se week-end, tout était tellement bien. Nous avons rigolé, ils ont tout fait pour que je me sente chez moi, et moi j’ai tout fait pour leurs montré que je les aime bien, et je les aime bien, alors pourquoi le cacher.

Là je suis remonté dans ma chambre, ça me fait tout de même bizarre de me dire que j’habite dans une maison, avec d’autre personne, que les clefs ne sont plus obligatoire, que tout n’ai plus comme chez moi.

Du bout des doigts, je cherche le bureau, qui ne devrait pas être très loin. Le voilà, je l’ai trouvé, il me reste plus cas trouver le carton qui doit être sur la gauche du bureau … voilà, je l’ai. Je l’ouvre.


Voilà, l’ordinateur est brancher, j’ai demandé à tom de venir m’aider … juste pour brancher la rallonge sur le courant … je ne trouvais pas la prise de courant. J’allume l’ordinateur, une voix féminine s’élève dans ma chambre.

Voix féminine : Bonjours Mistig, vous venez d’allumer votre ordinateur, attendez que je vous le dise pour donner votre mot de passe.

Je branche le nouveau micro que Élodie ma offert.

Voix féminine : Vous pouvez donner votre mot de passe.
Mistig : My obsession.

J’entends le son que mon ordinateur ouvre la session.

Je demande un page internet, dit l’adresse que je souhaite, tout simplement « hotmail.com ». Je vais pour prendre un bout de papier qui se trouve dans mon sac à bandoulière, pour lire les adresses E-mail … je baisse la tête, c’est vrai … je ne peux pas lire.

… : Tu as besoin d’aide ?
Mistig : Tom, tu es resté dans la chambre ?
Tom : Oui, je voulais voir comment tu tant sortais.
Mistig : Tu n’aurais pas du … tu dois avoir d’autre truc à faire, non ?
Tom : A vrais dire … non.


Tom prend la feuille se trouvant dans la main, leurs main se frôle, se touche. Il prend également le micro pour réciter les adresses E-mails.

Et voilà, l’adresse est rentré, l’objet « C’est Mistig » est rentré également dans sa zone de texte. Et maintenant c’est parti Mistig peut faire ça lettre.

Tom sort de la chambre, laissant Mistig écrire ça lettre seul … quand je dis écrire, je veux dire par là, dictée.

« Coucou les filles.

J’espère que vous allez bien ? Pour ma part, je vais bien, depuis samedi j’habite chez Bill et Tom, ils ne m’ont pas vraiment laissé le choix. Mais je les en remercie dés que je le peux.

Pour se qui est de mon retour, tout ces bien passer, au début il y avait un gars de ma classe à côté de moi, mais Tom la vite remplacer, j’ai pus dormir sur son épaule. Par la suite, quand nous sommes arrivés à Berlin, j’ai invité Bill et Tom chez moi. Puis, il y avait une lettre de mon propriétaire, comme quoi je devais déménager. Donc, le lendemain j’ai emménagé chez les jumeaux, leurs parents sont supers sympa.

Puis, se matin j’ai installé l’ordinateur pour pouvoir vous envoyez un message.

Donner-moi de vos nouvelles aussi, maintenant que je peux faire écrire se que je dis, je vous répondrais le plus souvent possible.

Bisous

Lettre envoyait. Mistig met la musique, du rock. Elle quitte la chaise, et va s’allonger sur le lit.

Elle peut enfin se laisser aller, partir dans ces rêveries. Elle s’endort doucement, la musique toujours présente dans la pièce.


Je sans de délicate lèvre contre les miennes. Ce n’est peut-être qu’un rêve, jamais personne ne ma embrasser aussi doucement.


Je me réveille doucement, après avoir entendu l’appelle de Simone, nous demandant de descendre pour mangé, et plusieurs « Toc … Toc » contre ma porte.

Une semaine qu’elle habite chez les jumeaux, On dirait qu’elle fait vraiment parti de la famille, elle c’est tellement bien intégrée. Bill et Tom rigolent bien avec elle. Simone ne fait plus aussi souvent à manger, elle aime bien la regarder faire, Simone a même apprit à faire un nouveau plat. Et Gordon, lui qui n’est pas souvent chez lui, son groupe lui prend beaucoup de temps … quand il rentre, il est content de voire que sa famille est heureuse.

Tom fait de plus souvent éruption dans la chambre à Mistig, sans qu’elle soit là, soi-disant pour l’attendre. Excuse qu’il ne peut plus utiliser au près de son frère.

La semaine prochaine, Élodie et Valérie viennent à Berlin, Simone et Gordon ont dit « oui » tout de suite, à vrai dire, ils ne pouvaient pas dire « non », avec toute les conversations MSN qu’ils ont fait, 5 d’un côté (Bill, Tom, Simone, Gordon et Mistig) et puis 2 de l’autre (Élodie et Valérie) .


Je sors de ma chambre, voulant aller prendre une douche, je m’approche de la salle de bain. L’eau coule. Ça doit être mon frère, surtout à cette heure là, personne ne se lève au si tard que Bill et moi. Je rentre donc, sans frapper, dans la salle de bain.

Je mets mes vêtements sur le portant de la porte. Je me retourne vers le lavabo et commence à préparer ma brosse à dent. Je remarque alors les lunettes de soleil. « Ce n’est pas à Bill, c’est à Mistig » : voilà se que je viens de me dire.

L’eau s’arrête, la serviette qui est poser sur la paroi de la douche glisse doucement vers l’intérieure de la douche. Je vois son corps, de dos, son tatouage … est quel tatouage ! Il est magnifique, grand, noir et blanc … je vais peut-être m’arrêter la dans la contemplation, et sortir.

Je prends mes affaires, sans faire de bruit, ouvre la porte, sort, et la referme.

« Je dois rêver … oui c’est ça je rêve… ça ne peut être que ça … une rêve. »

Je longe de nouveau le couloir, mais cette fois si … je vais dans la chambre de Bill.


Je sans mon corps se faire secouait comme un pommier. Je sors ma main de sous ma couette, essaie, en vint de taper la personne qui ose me réveiller alors qu’on est en vacance.

… : Put*in, Bill … réveille-toi.
Bill : Laisse-moi.

Ma voix était tellement casser et basse, mais surtout endormie que je doute que Tom l’est entendu. Mon corps se fait encore plus secouer dans tout les sans. Je sors de sous ma couette avec violence, les cheveux surement tout en bataille, alors qu’ils étaient lise avant que je me couche. Je garde les yeux fermé.

Bill : Putain, Tom, tu fais chier … Je veux dormir, moi !
Tom : Oui … mais non.

J’ouvre les yeux, et découvre le visage dépiter de mon frère. Qu’est-ce qu’il lui arrive encore ?

Bill : Qu’est ce qui t’arrive ?
Tom : Je suis rentré dans la salle de bain … mais Elle était sous la douche … je croyais que c’était toi moi … puis j’ai vue ces lunettes … la douche c’est arrêter … la serviette à glisser la long de la paroi, elle la prenait … j’ai vue son dos … son tatouage …

Mistig a un tatouage ?

Tom : … sa chute de rein … Mais comment elle peut être sous notre toit, sans qu’on est vue tout ça ?
Bill : Mistig a un tatouage ?

Il plaque sa main sur ma bouche.

Tom : Ne parle pas trop fort.

C’est vrai que avec l’étonnement de le savoir, j’ai parlé un peut fort … mais elle a un tatouage ?

Bill : Et pourquoi tu es rentré dans la salle de bain … tu aurais pu attendre qu’elle sorte quand même.
Tom : Je pensais que c’était toi.
Bill : Quand même !
Tom : Mais … tu aurais vu son tatouage, il est trop parfait … trop bien placer … il est trop bien placer.
Bill : Tu l’as déjà embrassé …
Tom : Non, j’ai posé mes lèvres sur les siennes ce n’est pas pareil.
Bill : Donc … tu l’as embrassé …

Il va pour dire quelque chose, la bouche à peine ouverte, je …

Bill : Ta gueule, tu m’écoute … ensuite tu la regarde … tu n’as pas fini tes conneries … la prochaine fois que tu fais ça, je lui dis. Tu vas me prendre pour une balance, mais elle n’est pas là pour souffrir … tu ne crois pas ?

Il me regarde, style, moi, aller le dénoncer … et en plus je suis sur qu’il me croit, d’un côté j’ai dit ça avec beaucoup de sérieux.

Tom : Tu ne ferais pas ça ?
Bill : Non, mais ne recommence pas.
Tom : Mais … je ne sais pas se qui m’arrive, avant les filles étaient tous des objets … mais là, non … quand elle parle avec des gars, n’importe le quel, j’ai envie d’aller la prendre dans mes bras, de montrer qu’elle est tout sauf seul. Quand je la vois allonger sur son lit … j’ai tout bonnement envie de m’allonger à ces côté, de l’embrasser, tout simplement de la prendre dans mes bras, pour la protéger des mauvais rêve.

Non, je n’y crois pas … mon frère … lui penser ça … envers une fille … ce n’est pas possible.

Bill : Tu es … non, c’est impossible … Tu ne l’as jamais été … enfin si une fois … mais tu as dit que tu ne recommencerais pas … et puis … non, c’est impossible … qu’est ce que tu as ressenti en l’embrassant ?

Il se mit à réfléchir. Je vois ces yeux pétiller.

Tom : A vrai dire, quand je l’ai embrassé, j’ai ressenti quelque chose que je n’avais jamais ressenti. D’ailleurs ça ma fait bizarre. Pourquoi ?


Mistig sort enfin de la salle de bain, habillé, maquiller, lunette sur le nez. Elle se dirige vers sa chambre.

… : A table !

Ça, c’est Simone qui les invite à venir à table. Bill n’aillant pas eu le temps de faire ça phrase dans sa tête, ni même de la dire, se précipite à sortir de la chambre, suivi de près par Tom qui veut absolument sa réponse.

Il passe à côté de Mistig, qui commence à descendre les escaliers.

Tom : Très beau tatouage !

Tom et Mistig s’arrêtent en même temps, l’un comprenant se qu’il venait de dire, et Mistig entendant les dires de Tom se répéter dans sa tête. Mistig passe ça main droite dans son dos, tirant le plus possible sur son T-shirt, espèrent cacher le surplus de peau apparent. Elle voulait que personne ne le voit, c’est vrai elle aime beaucoup son tatouage, mais elle préfère le cacher. Quand à Tom, il n’ose pas la regarder, c’est vrai il a vue le tatouage, mais pas dans de bonne circonstance.

Tom : Désoler, je n’aurais pas du regarder.

Après cette phrase, presque inaudible, il descend les escaliers à toute vitesse.


Le repas venait de se terminer, il sait passer dans le plus grand silence. Tom n’osant plus ouvrir la bouche de peur de faire de nouveau une gaffe. Bill lui, toujours dans ces penser à chercher se qu’il pourrait répondre au « Pourquoi ? » de son frère. Simone et Gordon ne voulaient pas gâcher se silence pesant régnant entre ces trois adolescent. Quand à Mistig, elle se demandait aussi comment Tom a su pour son tatouage, alors qu’il était parfaitement cacher.

Ils sont maintenant chacun dans leurs chambre, tous dans leurs penser, l’après-midi reste calme.