[Terminer]De quelle couleur est le monde ?

pourquoi simone derange tout sniff

la suite

sniff double sniff

la suite

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Hii j'aimeeeeee !

la suite please ^^

génial ^^

la suite ^^

J'adore ta fic. J'aimerai bien une Suite. STP.

la suite please

La suite stp ma femme de chanteuse

la suite ^^

Oui la suite stp

Chapitre 15 : Des retrouvailles.

Voilà la semaine est passée. Valérie et Élodie arrivent, normalement, dans deux heures. Mistig est largement prête, presser de retrouver ces amies.

Mistig, elle est habillée, pantalon noir. T-shirt blanc avec une tête de mort noir dessiné dessus. Une longue veste en cuire, tombant jusqu’à ces cheville recouvre ces vêtements. Ces chaussures blanches préférer par leurs formes au trouver place à ces pieds. Du maquillage recouvrant les imperfections de son visage.

Bill, lui se prépare, espèrent surement séduire une jeune fille, la fille qu’il n’a jamais trouvé, mais qu’il espère trouver. Il met se pantalon qu’il aime tellement, le pantalon noir déchirer. Un T-shirt blanc avec quelque motif noir. Ces bottes, toujours pour choquer, à talon, surement acheté côté fille. Il met une veste en cuire, des lunettes de soleil, parce que le soleil tape fort aujourd’hui. Ces cheveux sont crêpés au dessus de la tête, laissant se former une crête.

Quand à Tom, Un simple baggy bleu jean un peut déchirer. Un T-shirt blanc recouvert d’une veste de la même couleur. Ces baskets assortis au T-shirt et à sa veste, tout comme son bonnet recouvrant ces tresses noires. Il ajoute, un keffieh blanc, noir et rouge autours de son coup.

[…]

Bill, Tom et Mistig rentrent dans la gare, laissant les yeux des autres personnes se promener sur leurs styles hors du commun. La main droite de Tom tient la gauche de Mistig, vue de près ou de loin, on dirait un couple, mais c’est simplement de l’aide que Tom donne à Mistig, mais ça personne ne le sait à part Mistig, Bill et Tom.

Ils s’installent tout les trois sur des sièges, peut confortable, installer au milieu de hall.

Tom : Mistig, il n’y a plus que deux sièges, alors installe-toi, je vais rester debout.
Mistig : Non, c’est bon, je suis bien debout.

Tom s’installe donc sur le siège, incitant Mistig de s’asseoir sur ces genoux. Il passe alors ces bras autour de la taille de Mistig l’obligent à rester assise sur ces genoux. Mistig ne dit rien, à quoi bon ?

[…]

Trois jeunes filles arrivent dans le hall de la gare, tout en descendant des escaliers. Un sourire s’affiche sur leurs visages, leurs yeux se baladent partout dans la gare.

La résonance des pas, les tallons tapant dans plusieurs endroit de la gare, les voix d’adultes, d’enfants et même d’adolescent. Entre tout ces bruits, de par et d’autre de la gare, on peut voir, trois jeune filles, courant à vive allure suivi de près par leurs valises.

Val : Mistig.

Elle court vers Mistig, presque arriver au niveau d’elle, elle lâche sa valise, mais continu tout de même d’avancer, et prend Mistig dans ces bras. Élodie la suit de près, ainsi que cette jeune fille au nom encore inconnu.

Tom et Bill se lèvent au même moment, Bill ajuste correctement sa veste en cuire, quand à Tom il prend le bas droit, ainsi qu’un bout de son pantalon, dans sa main droite.

Mistig sort des bras de Val et d’Élodie.

Val : Tu nous présentes à ces beaux garçons.

Val dit cette phrase en se retournant vers Bill et Tom. Mistig fait donc les présentations, sans oublier personne ou presque.

Élodie : Nous aussi on a quelqu’un à te représenter. Elle a absolument voulu venir quand on lui à dit qu’on venait te voir cette semaine. Tu te souviens de Priscilla ?

Le visage de Mistig s’illumine encore plus, laissant ces dents blanches éclaircir son sourire.

Mistig : Vient là Priscilla, je suis contente que tu sois là.

La dite Priscilla sourit et rentre dans les bras de son ainé de 2 ans. Mistig est comme une grande sœur pour Priscilla, avant de partir en Allemagne, Mistig l’aidait dans différente chose. Les yeux de Priscilla pétillent, laissant quelque larme de joie couler sur ces joues.

Mistig : Je suis désolé de ne pas t’avoir donné de nouvelle, je ne pouvais pas vraiment.
Priscilla : Je sais, ce n’est pas grave.

La voix de Priscilla est cristalline, son parfum était à la douceur de fraise. Son style, classique rock, laissant tout de même le rock prendre le dessus.

[…]

Les voilà arriver dans la maison, les valises prenne possession de l’entré, Simone sort du salon, embrassant sur la joue chaque nouvelle personne présente dans le hall.

Simone : Il va nous manquer une chambre.
Tom : Non, c’est bon, Priscilla prendra la mienne.
Simone : Tu dormiras avec qui ?
Mistig : Avec moi, j’ai encore peur de faire le cauchemar, ça me rassure de l’avoir près de moi.
Val : Vous êtes en couple ?
Tom : Non, malheureusement.

Se dernier mots à était dit dans un chuchotement, empêchant les autre de l’entendre.

Simone : Aller, venez dans le salon, le voyage à surement était long.
Élodie : Très long, mais ça vos le coup, surtout pour revoir ma femme.
Val : C’est sur que pour revoir ma sadique, je le ferais, toute les semaines.
Tom : Ma femme ? Ma sadique ?
Val et Élodie : Surnom.

[…]

Ils ont parlé plusieurs heure, tout les 7, mais ils ont vite été rejoint par Gustav et Georg.

Les valises sont monté dans les chambre, sauf celle de Priscilla, Tom n’a pas ranger ça chambre. Ils se sont tous regrouper dans la chambre de Bill, surement l’une des plus belles pièces de la maison, d’après lui. Bill c’est installer sur son canapé noir longeant le mur soutenant la fenêtre. Val c’est installer à côté de lui, ainsi qu’Élodie. Quand à Tom, il c’est à moitié allonger sur le lit, laissant tout de même la place à Mistig, Priscilla et Gustav de s’asseoir. Quand à Georg il vient trouver sa place, comme à son habitude sur l’accoudoir du canapé noir, au côté d’Élodie.

Mistig : Comment on fait pour Priscilla ?
Priscilla : C’est bon, je dormirais sur le canapé.
Tom : Non … Mistig pourquoi tu ne laisse pas ta chambre ?
Mistig : Et venir me casser la gueule dans ta tienne ?
Tom : Je rangerais un peut.
Mistig : Tu es sur que tu serais capable de faire ça ?
Tom : Oui.
Mistig : Tu y vas maintenant, où on attend le déluge ?
Tom : Maintenant.

Tout le monde se mie à rire, sauf bien sur Tom et Mistig. C’est vrai que la scène était comique. Tom sort de la chambre et se précipite vers la sienne pour la ranger.






Ps: dsl pas de présentation, j'ai pas le temps

ja veux la suite please

j'adore tom est perdu avec les surnoms mdr

encore la suite please ^^

J'adore ^^
la suite STP =)
J'aime trop le pauvre tom il comprend plus rien

la suite please

Oui suite

la suite please

c'est loin samedi

ma dictatrice tu te repère lol

ma suite quand tu peux ^^