La nuit est tombée sur Berlin depuis plusieurs heures. La fatigue se lit sur les visages des filles.
Val et Élodie vont chacune dans leurs chambres d’amis. Priscilla se fait porter dans la chambre de Mistig, par Gustav. Gustav et Georg rentrent chez eux, à quelque pas d’ici. Bill se couche doucement dans ces drap encore un peut froid. Mistig se déshabille, enfile un T-shirt XXL et un boxer propre dans la salle de bain, pendant que Tom se met en boxer et dans le lit. Mistig rejoint Tom dans le lit.
Mistig est à gauche du lit, laissant le côté droit à Tom, il ne se colle pas, il ne se touche pas. Un « Bonne nuit » sort de la bouche de Mistig et est répété par Tom.
[…]
Il doit être 12h quand la première personne se réveille dans la maison. Pour la première fois, c’est Bill qui se réveille en premier, cheveux en bataille. Il sort de sa chambre, se dirige vers celle de son frère, ouvre la porte et découvre Mistig allonger de tout son long sur Tom, il sourit à cette vue. Il va ensuite voir dans la chambre de Mistig et découvre Priscilla qui se réveille, encore les yeux fermer.
Bill : Je t’attends pour déjeuner ? Priscilla sursaute à l’entente de la voix, elle regarde Bill et lui répond d’un signe positif de la tête. Bill ne referme pas la porte. Il va ensuite faire le tour des deux autres chambre, il découvre les deux corps féminins toujours dans un profond sommeille.
Il descend les escaliers et se dirige vers la cuisine pour préparer le petit déjeuner. Priscilla le rejoint vite.
Priscilla : Bonjour.
Bill : Bonjour. Le silence se fait donc, briser par la cafetière qui fait couler le café.
Bill : Tu prends quoi comme petit déjeuner ? Priscilla se retourne vers Bill, hier elle le trouver impressionnant avec sa coiffure, son maquillage et son look, mais se matin, les cheveux en bataillent, le visage palle, et un Bill torse nu ne l’impressionne plus.
Priscilla : Un chocolat chaud.
Bill : Je te le prépare.
Priscilla : Non, t’inquiète je vais le faire.
Bill : Tu es une invitée. Priscilla laisse donc faire Bill.
Au dessus de leurs têtes des draps bouge. Val se réveille doucement, sentant un poids sur elle. Il y a quelque seconde, Élodie c’est getter sur elle pour la réveiller, se qui à marcher. Elles se prennent dans les bras pour se dire bonjour, et sortent du lit. Elles rejoignent Bill et Priscilla dans la cuisine.
Bill : Vous connaissez Mistig depuis combien de temps ?
Val : Quand je suis arrivé en première année de primaire.
Élodie : Je crois que depuis que l’on marche.
Priscilla : Je l’ai connu à ma première année de collège,
Val : Et toi ?
Bill : Sa fait deux mois et deux semaine je crois. Le silence prend place. Les bols se vident doucement, réveillant quelque peut les corps encore un peut endolorie par le sommeil.
Bill : Elle était comment avant ?
Élodie : Elle rigolait beaucoup, très autoritaire, elle avait même un copain, elle l’a toujours d’ailleurs.
Val : Très bordélique.
Élodie : Oui, très, on ne pouvait même pas faire un pas dans sa chambre sans marcher sur quelque chose.
Priscilla : Très protectrice.
Val : Elle aidait tous ceux qui avaient besoin d’aide.
Priscilla : Elle écoutait souvent la musique.
Élodie : Beaucoup de Rock. Pendant qu’elle d’écrive Mistig, Bill reste bloquer sur le mot « Copain ».
Bill : Elle avait un copain ?
Val : Oui, elle la toujours d’ailleurs, enfin, lui l’attend.
Bill : Et merd*. Val et Élodie se regarde, ne comprenant pas pourquoi se mot a pris place dans la conversation.
Élodie : Qu’est se qui se passe ?
Bill : C’est mon frère … je crois qu’il est …
Val : Mais d’un côté, ça fait longtemps qu’ils ne se sont pas vus. Après le départ de Mistig, elle venait toute les deux semaines pour nous voir et le voir, mais sa n’aller pas plus loin, je me demande même si elle avait des sentiments pour lui.
Élodie : Elle cache très bien ces sentiments, ce n’est pas qu’elle est honte, mais jamais nous l’avons entendu dire « je t’aime » à quelqu’un, ils ne se sont jamais embrasser devant nous … même qu’au début, on n’aurait pas dit qu’ils étaient ensemble. Alors que dans la cuisine, la conversation tourne beaucoup autour de Mistig. Cette dernière dort toujours, allonger de tout son long sur Tom qui à ouvert ces yeux. Il pousse doucement le corps de Mistig de sur lui, pas que ça le dérange, loin de la, mais il en a marre d’être allonger. Mais Mistig n’est pas de cette avis, elle se rallonge sur Tom qui n’eu pas le temps de bouger.
Mistig : Reste encore, s’il te plait. La petite voix endormie de Mistig venait de résonner dans la chambre, incitant Tom à rester allonger. Tom d’une voix rieuse dit :
Tom : Si tu ne te lève pas … je te chatouille.
Mistig : Tu n’oserais pas.
Tom : Tu en es sur ?
Mistig : Certaine.Sur se dernier mot, Tom se retourne tout en fessant basculer le corps de Mistig en dessous de lui. Il la chatouille, laissant des rires sortir de la bouche de Mistig. Mistig se tortille dans tout les sans sur le passage des doigts de Tom.
Mistig : Arrête … tu n’as pas le droit. Alors que Tom s’arrête, Mistig s’immobilise. Il reste ainsi, Tom regardant Mistig, Mistig imaginant le visage de Tom au dessus d’elle.
[PDV de Tom]
Son visage … ces lèvres … sa peau … sa bouche … je ne vais bientôt plus pouvoir résister. Je baisse mon visage vers le sien, elle ne bouge pas. Nos souffles se mélange entre eux. Je frôle mes lèvres contre les siennes. Je relève mon visage à toute vitesse, comme si c’était interdit de faire ça. Elle ne me repousse pas. Je pose alors mes lèvres contre les siennes. J’ouvre doucement mes lèvres, laissant passer ma langue, je demande le passage au niveau de ces lèvres. Elle approfondit le baisser tout en mettant sa main sur ma nuque. Mes jambes s’allonge, allongeant mon corps sur le sien. Mes avant bras me soutienne pour évité de trop m’appuies sur elle. Mes pouces vont caresser doucement ces joues.
Je sans une de ces mains montées le long de mon torse. Je ne peux pas m’empêcher de mettre mes mains sur ces hanches, relevant son T-shirt le long de son buste, sans aller trop haut.
Je sans ces mains forcer contre mon torse pour nous séparer.
Mistig : Je suis désolé, j’aurais du te repousser, dés le début. Je me pousse du dessus d’elle, puis elle marche vers la sortir de la chambre. Quand à moi, je reste comme un con sur le lit, ne comprenant pas tout.