[terminer]Si je chante pour toi, chanteras-tu pour moi?

[PDV de Tom]

Je rentre dans la cuisine, prends un bol, verse le café, qui à déjà couler de la cafetière.

Je ne reste pas dans la cuisine est rejoins Val dans le salon. Nous avons tous un lien très fort depuis le début, bien sur pour que le lien soit terminé, il manque une personne, mais elle reviendra, j’en suis sur.

J’arrive au niveau de la porte du salon, rentre dans le salon, les pas lent, trainant par terre mes pieds déjà refroidit par le carrelage.

Je dis cette phrase, en regardant l’intérieure de mon bol, pour éviter de … de montré qu’elle me manque, pour éviter que Val voit se manque dans mes yeux.

Cette voix, se timbre de voix.

Je lève mes yeux de mon bol, regarde en direction de cette voix que je connais que trop bien.

Elle est là, devant moi, debout. Son style, se style toujours présent sur elle. Ces cheveux encore plus longs que la dernière fois laissant quelque mèche de cheveux se débâtent entre eux, comme si le vent est présent dans cette pièce. Son regard bleu, ce bleu qui me manquait.

Mes doigts laisse glisser le bol, il tombe, dans un bruit sonore, un bruit laissant le liquide coaguler sur le sol, sur mes pieds nue.

A vrai dire, je ne sais pas quoi dire, les mots se mélangent dans ma tête. Je ne sais pas comment réagir, que faire.

Mes jambes marchent d’elles-mêmes, elles me mènent à elle, à son corps, à son visage, à cette peau qui ma manquer. Du bout de mes doigts, je remonte son visage, pour regarder ces yeux, encore et toujours ce même bleu entourer d’un simple trait noir.

Ma main, aillant soulever son visage, monte pour aller caresser délicatement sa joue, pour aller enlever, de mon pousse, cette larme qui coule seul.

[PDV de Mistig]

Cette larme fessait sortir la peur, la peur qu’il ne pardonne pas. Je pose ma main sur sa main qui est contre la joue. Je ne peux m’empêcher de lier mes doigts avec les siens. Cette peau douce, il ma manquait.

Là, tout de suite, maintenant, j’ai envie que nos lèvres soient les unes contre les autres.

[PDV externe]

[…]

La journée avait beau être passée dans la bonne humeur, une tension régner toujours, une tension dans un couple. Tom se demande toujours si Mistig l’aime, ou si elle joue un jeu. Il ne sait pas s’il peut lui faire confiance, ou pas.

D’un coup, Tom se lève, sans ne rien dire à personne, sans regarder les regards déjà poser sur lui. Impossible de dire, s’il les écoute lui demander se qu’il a ? Impossible de dire s’il veut partir, ou rester ?

Sur cette phrase, que personne n’aurait entendue si le silence n’était pas présent.

Il se dirige donc vers la sorti, la sorti de cette maison, où normalement le bonheur aurait du régner depuis le début de cette journée.

Il part, seul, vers le parc.

Dans la maison, Mistig regarde la porte qui est fermé depuis maintenant trois bonnes minutes, elle attend qu’elle s’ouvre.

Mistig se retourne vers sa sœur. Elles se regardent dans les yeux, espérant trouver une réponse à une question que personne ne connait.

Et voilà, Mistig est sorti. Gustav et Priscilla sont montés dans leur chambre. Georg et Cindy font de même pour excuse, vouloir laisser Bill et Val se câlinaient seul.

[PDV de Tom]

Voilà, je suis dans le parc. J’avais envie d’être seul, mais en même temps j’avais envie qu’elle vienne, qu’elle soit avec moi, qu’on soit ensemble.

Je sans une main se poser sur mon épaule.

Je tourne le visage vers cette personne, et remarque qu’elle est venu, qu’elle est là. Je me lève, en face d’elle.

Je me fais couper par son index qui se pose sur mes lèvres.

Je prends cette main dans la mienne, cette main qui avait installé se doigt contre mes lèvres.

Je ne lui laisse pas le temps de dire quoi que se soit d’autre. Je lis nos lèvres, notre premier vrai contacte depuis se matin. Se contacte qui ma tellement manquer.

[…]

[PDV externe]

Sa fait plus de 9 mois que cette histoire c’est produit.

Depuis c’est 9 mois, il c’est passer tellement de chose.

Ils sont chacun dans leurs chambres.

Tom est Mistig, tout les deux allonger dans le lit, l’un contre l’autre, lui en boxer, elle en T-shirt XXL et boxer.

Mistig, étonné, par cette question si soudaine, elle relève la tête pour le regarder.

Mistig a les larmes aux yeux, elles coulent seul sur ces joues.

Tom prend Mistig, encore plus dans ces bras, obligeant Mistig à se coller encore plus à lui. Au creux de l’oreille de Mistig, il dit des mots, de simple mot, ‘’ Désoler ‘’, ‘’Je t’aime ‘’… et encore d’autre qui la réconforte encore plus.

Tom prend son visage entre ces mains, le met en face du sien, et comme simple réponse, il se regarde dans les yeux l’un de l’autre.

[PDV de Mistig]

J’ai mon regard fixer dans le sien, simplement se regard. Dans ce regard chocolat, se chocolat parfait, se chocolat que seul lui à dans les yeux (bien sur, Bill à le même ). Dans se regard, je peux voire tellement de chose. De la beauté, comme dans tous les regards, de l’amour, comme dans les regards amoureux, un peut de tristesse, peut-être du à ma question.

Nous nous réinstallons, l’un contre l’autre, ces bras entourant mon corps, mon visage dans son coup. Mes yeux se ferment tout seul.

[…]

Nous sommes tous dans le parc, nous voulions le faire, aujourd’hui, pour notre anniversaire de rencontre avec Bill et Tom, donc avec le groupe.

[…]

Tom me prend à part des autres, comme excuse … à vrai dire il n’en a pas. Je lui laisse seulement le temps de se retourner vers moi, après avoir lâché doucement ma main.

Je saute dans ces bras, je ne pue m’en empêcher. Nous tombons sur le sol, moi sur lui, entre ces jambes plié formant un angle. Mon visage enfuit dans son coup, pour respirer son odeur unique. Mes bras autour de son coup. Ces mains nous retenant pour éviter qu’on tombe plus. Je dépose, toujours au même endroit mes lèvres gloser de vanille dans son coup.

Je continue à déposer mes lèvres dans son coup, mais cette fois si, je fais des mains baladeuse. Je remonte son T-shirt assez haut pour pouvoir atteindre sa ceinture que je déboucle avec agilité.

Je relève le visage pour être en face de lui. Peut après, je regarde autours de nous.

Je pose mes lèvres sur les siennes. je passe la barrière de ces lèvres et fais danser nos deux muscles entre eux. Je continue le chemin de mes mains, pour les arrêter à l’élastique. Mais …