[terminer]Si je chante pour toi, chanteras-tu pour moi?

[…]

Toute les familles étaient parti, bien sur personne n’avait compris, Val était descendu en entendant des portes claquer. Elle est au courant que Mistig était parti, où ? Personne ne sait. Tout se qu’ils savent, se trouve sur cette lettre, une lettre peut-être un peut trop courte.

[…]

Une semaine que Mistig est parti, tout le monde espère qu’elle reviendra pour l’anniversaire de Gustav, pour le 8, là on est déjà le 6, et toujours pas de nouvelle. Gustav veut faire une petite soirée, tout en espèrent la faire venir, d’un moyen ou d’un autre.

Pour se qui est de Tom, … comment dire … il n’a pas touché sa guitare, il n’a même pas voulu accompagner son frère pour se faire une soirée musique entre eux. Donc … bah … ils n’ont pas fait la soirée.

Priscilla et Gustav, se rapprochent de plus en plus. Priscilla soutient tout de même Val, elle ne sait pas trop comment faire, mais elle essaie tout de même. Gustav, les soutient tous, en sortant des conneries à longueur de journée pour les faire rire, se qui ne marche pas souvent.

Bill va souvent rejoindre son frère dans sa chambre, parce que celui-ci pleure souvent, le soir en cachette.

Georg et Cindy font leurs possibles, tout comme Gustav, pour remonter le moral qui est au plus bas pour pas mal de monde dans cette maison.

[7 septembre au soir]

[PDV de Tom]

Je viens de monter dans ma chambre, ce n’est pas que les autres me font chier, loin de là, ils sont super à tous vouloir me remonter le moral d’un moyen ou d’un autre, mais … j’en peux plus, j’ai envie de pleurer, mais pas devant eux.

Aujourd’hui pendant le repas, ils ont parlé des bons moments passer pendant la dernière tournée, les moments où Mistig riait beaucoup. Ça me manque.

Je m’installe, dos contre le lit, les jambes pliaient contre mon torse, mon menton sur mes genoux seraient l’un contre l’autre, mes yeux fermaient, espèrent que les larmes ne coulent pas trop vite. Mais malgré mes yeux fermer, elles coulent.

[8 septembre, midi]

Nous sommes tous à table, entrain de rigoler, mais malgré la bonne ambiance qui règne, j’ai mal, là, en moi.

Sans m’en rendre vraiment conte, je regarde cette chaise vide, cette chaise juste à côté de la mienne qui devrais être occupé par la personne que j’aime.

Bien sur j’aime mon frère, mon autre voisin de table, mais pas comme j’aime Mistig, d’une autre façon, pour toujours mon frère restera … mon âme sœur, pour la vie, mais Mistig c’est autre chose, c’est … c’est ce que je n’ai jamais pue ressentir en moi avant elle.

[…]

Le repas se termine très vite, les cadeaux offerts à Gustav, la table débarrassé, nous sommes tous regrouper au salon, pour parler, parler … et encore parler.

Alors que je n’écoute pas un mot de la conversation, pas un seul, c’est comme si j’étais parti, parti dans u autre monde où on ne peut pas entendre les personnes qui nous entours.

Je me lève du canapé, où je suis installé depuis quelque temps.

Je marche dans la rue, je ne sais pas où me mène mes jambes, où mes pieds veulent me conduire. Mais je les suis.

Une cigarette à la bouche, les doigts l’enlevant d’entre mes lèvres et la remettant, je me rends conte, là, maintenant, je suis devant la maison brulé.

J’aurais tellement aimé connaitre cette famille.

Je ne perds pas une seconde après cette réflexion. Je regarde autours de moi, je reconnais assez facilement le Parc, ce Parc. Je cherche des yeux, cette indication qui pourrait m’aider à aller à cet endroit.

C’est là, c’est par là, je me rappelle avoir demandé à Mistig où été enterrer ces parents, elle m’avait dit le nom de ce cimetière.

[…]

Je suis enfin arrivé au cimetière, j’en ai profité pour acheter des roses rouges, 3 roses rouges, pour les mètrent sur chacune des tombes de cette famille.

Mes pas se dirigent d’eux même, comme si j’étais déjà venu, comme si je savais où se trouve ces tombes.

[…]

Une heure que je cherche, et je viens de les trouver, sous se sol pleureur. J’aurais dû m’en douter. Mistig aime tellement cet arbre.

Je m’arrête devant la première tombe, tombe d’une femme.

‘’ Claudie L. M.
Mère de trois enfants, Clément, Val et Mistig
Femme de Luc M.
Née le 12/09/1962, décéder le 05/04/2005

‘’Maman, on t’aime, tu nous manque. ‘’ ‘’

Je m’imagine, la petite voix triste de Mistig, prononçant cette phrase, presque trop simple, presque … invisible avec toute ces écriture bien plus … grosse, mais tellement plus beau que tout les autres mots écrit.

Je pose alors la rose, la première rose.

‘’ Luc M.
Père de trois enfants, Clément, Val et Mistig
Mari de Claudie L. M.
Née le 05/08/1962, décéder le 05/04/2005

‘’Papa, on t’aime, tu nous manque. ‘’ ‘’

Voilà se que je vois sur cette deuxième tombe, la même phrase, la même tristesse que la première. Je pose de nouveau une rose, je redis cette phrase tellement triste sortant de mes lèvres, espérant malgré tout qu’ils m’entendent.

[…]

[PDV externe]

Voilà trois semaines, trois semaines que Mistig est parti, que tout le monde s’inquiète. Mais se qu’ils ne s’avent pas, c’est qu’elle est là tout près d’eux, juste là, derrière la porte.

Ce qu’elle attend derrière cette porte, peut-être qu’elle s’ouvre d’elle-même, que quelqu’un la découvre, mais qui. Trois heures qu’elle est sur cette marche à attendre.

[…]

Une heure de plus. Elle se décide enfin à aller au niveau de la porte, de taper dessus, tellement doucement que personne ne pourrait l’entendre. Mais malgré tout, malgré le silence de c’est quelque tape contre cette porte en bois, quelqu’un d’un pas lent, d’un regard triste, d’un sourire faut, avec des cheveux en bataille, pas encore coiffer, telle un zombi, ouvre cette porte.

Les yeux de sa sœur qui reconnaît très bien la voix de sa sœur. Val, ne savait pas comment réagir, ou même quoi dire. Tout se qu’elle a pue faire, c’est un geste, un simple geste, un geste laissant un trace rouge sur la joue de sa sœur, laissant même la douleur.

Mistig a bien sur mal, mais cette douleur, et la douleur que Val a ressentit pendant son absence, donc bien sur Mistig lui pardonne, elle ne peut pas en vouloir à se sœur, ni même si elle lui fait mal.

Val saute dans les bras de Mistig qui lâche au passage son sac, se simple sac qui lui à servie de valise pendant 4 semaines.

[PDV de Mistig]

Val ne me lâche plus. Là nous sommes entré à l’intérieure, j’ai retrouvé le salon, ces canapés, cette couleur.

Bien sur, elle me demande se que j’ai fait pendant c’est 4 semaines. Je lui raconte alors le début, je continu, tout en lui racontant se que j’ai vue, dans se pays que je n’avais pas pue visité, dans ces villes devenu maintenant le passé. Je lui dis également pourquoi je suis parti.

Je regards ma sœur, nous sourions toute les deux en pensant à la même chose.