[terminer]Si je chante pour toi, chanteras-tu pour moi?

[…]

[PDV de Mistig]

Les parents de Bill et Tom sont au courant pour notre relation plus amical, entre Bill et Val, et Tom et moi. Ils sont heureux pour leurs enfants. Pour le moment nous avons échappé à la question de nos parents. Les parents de Cindy sont ici, ils sont supers sympa, tout comme les parents de Gustav et de Georg.

Gustav et Priscilla se rapproche beaucoup, j’ai l’impression. Je trouve qu’ils vont bien ensemble.

Nous sommes tous installer autours de la table à parler de chose et d’autre, le dessert, à déjà commencer, donc vous l’aurez compris Bill et Tom ont soufflé leurs bougie. Les gâteaux ont été fait par la boulangère, un vrai délisse.

Je prends mon verre de coca-cola et bois un peut.

Je finis de boire le coca-cola de mon verre, le pose doucement, style de rien, pourvu que personne n’est entendu cette question.

Je regarde alors ma sœur, elle me regarde aussi.

Moi qui penser qu’ils allaient s’arrêter à la première question, mais non.

Ça c’est claire au moins, pourvu qu’ils comprennent.

Tout à coup, j’ai mal, mal à l’intérieure de moi. Je sans la main de Tom me prendre la main. Je baisse ensuite la tête pour ne pas montrer mes larmes commençant déjà à couler.

Je sans une main se poser sur mon épaule, comme pour me soutenir. Je me lève de ma chaise.

Je sors de la salle à manger et me dirige directement dans ma chambre, je la ferme à clef pour que personne ne rentre à l’intérieure.

[PDV externe]

Alors que Mistig monte dans sa chambre pour s’enfermer dedans, les parents présent, ne puent s’empêcher de regarder leurs enfant respectif, comme pour avoir une réponse potable à toute ces questions. Val vers qui les regards se tournent pour avoir ces réponses. Bill et Tom, sont tout à coup, comme … déçus, ou … autre chose.

Tom se lève brusquement de sa chaise.

Elle dit se dernier mot, d’une voix tellement triste, tellement basse. Autours d’elle, des murmures, se fond entendre. Mais très vite le silence prend place dans cette pièce.

Ils avaient tous très bien entendu. Bill prend Val dans ces bras, elle pleure silencieusement.

[PDV de Mistig]

Dans ma chambre, dans se coin, dans mes esprits dans mes penser, je me perds.

J’ai besoin de réfléchir, de respirer autre chose que cette aire quotidienne. Je voudrais prendre une valise, une simple valise, remplit de rien, remplit de mes rêves, et partir. Partir pour vivre une nouvelle vie, recommencer tout à zéro.

Je me lève de cet endroit, de cet endroit, où je suis resté bien trop longtemps, où une parti de mon passer est imprimer comme sur une feuille blanche d’ordinateur.

Je prends un sac parmi tant d’autre dans mon placard, le remplit de quelque vêtements se trouvant sous ma main.

Impossible de dire se que je veux faire, se que je vais faire, mais se que je sais, c’est que je pars, que je reviendrais, mais quand, je ne peux pas le dire.

Je ne prends pas grand-chose, rien de trop inutile, rien de trop utile. Je regarde ma table de chevet, où beaucoup de chose son poser, mais il manque quelque chose. Je sors mon portable de ma poche et le pose sur la table de chevet.

Je me dirige maintenant vers mon bureau prenant un bout de papier et un crayon, imprimant par la suite des mots les un derrière les autres.

Je pose le crayon, puis me dirige vers le lit pour y déposer cette lettre bien trop … courte pour un en revoir.

Je ferme la porte de ma chambre, sans faire de bruit, sans la claquer. Je descends ces escaliers, bien trop court à mon gout, en silence. Dans se même silence, je sors de la maison, sans me faire voir par ces personnes qui sont dans la salle à manger. Je ferme la porte sans bruit, je pose ensuite mes clef de maison devant la porte, sur cette marche indiquant la porte d’entré.

Je ne laisse le temps à personne de venir ouvrir, ou de découvrir mon absence, et cours, cours aussi vite que je peux pour pouvoir fuir, m’évader dans un endroit que je ne connais même pas.

[PDV externe]

Près de 3 heures que Mistig est parti de cette maison.

Tom prit d’une envie soudaine de la voir, de la prendre dans ces bras, de l’embrasser. Il monte les marche une à une. Ne chassant pas se qui aller l’attendre derrière cette porte fermer, cette porte blanche, il l’ouvre. Il découvre très vite, cette pièce vide d’âme, vide de présence. Il remarque très vite la lettre sur le lit, l’écriture fine et bulleuse de Mistig.

Il hausse poser les yeux sur ces lettres formant des mots, n’allant pas tout le temps ensemble.

Il sort de la chambre et descend les marches à une vitesse, pour aller rejoindre, ces amis, leurs familles, sa famille. Il pose la lettre sur la table, d’une main violente.

Bill se lève, ne comprenant pas la colère de son frère, dont il est pourtant si proche.